Kinder dit:tehem dit:se rapelle quelquechose.
Ce qu'il y a de traître dans ce genre de sujet, c'est qu'on finit par faire de petites erreurs en pensant aux plus grosses...
Yep! cimer camarade!
C'est corrigé

Kinder dit:tehem dit:se rapelle quelquechose.
Ce qu'il y a de traître dans ce genre de sujet, c'est qu'on finit par faire de petites erreurs en pensant aux plus grosses...
tehem dit:Kinder dit:tehem dit:se rapelle quelquechose.
Ce qu'il y a de traître dans ce genre de sujet, c'est qu'on finit par faire de petites erreurs en pensant aux plus grosses...
Yep! cimer camarade!
C'est corrigé
MrGirafe dit:Autant je comprends qu'on dise n'importe quoi et rien de constructif dans la cage aux trolls, autant en ce lieu, j'ai plus de mal.
Dans la série des sites utiles, j’utilise celui-ci pour ce qui est de la conjugaison :
http://www.leconjugueur.com/
Kinder dit:tehem dit:Kinder dit:tehem dit:se rapelle quelquechose.
Ce qu'il y a de traître dans ce genre de sujet, c'est qu'on finit par faire de petites erreurs en pensant aux plus grosses...
Yep! cimer camarade!
C'est corrigé
Je te prie de m'excuser pour mon insistance, mais "quelque chose", contrairement à "quelquefois", s'écrit en 2 mots.
Kinder dit:MrGirafe : cage aux Trolls ou pas, tu t'adresses à un public de... joueurs !
MrGirafe dit:[
La cage et notre entourage ne suffisent-ils pas pour faire des blagues ?
tehem dit:Oulah non! L'espace nécessaire à l'épanouissement du blagueur est illimité. A chaque blagueur selon ses besoins.
MrGirafe dit:
Tu dis ça parce que tu n'es pas un professionnel de la blague, que tu n'es qu'un amateur en la matière...
MrGirafe dit:
Tu dis ça parce que tu n'es pas sur ton propre forum et que tu squattes, comme nous tous, celui de M. Phal.
Schlik ! Schlak !
Là, je suis en pleine réflexion avec moi-même au sujet de “en tout cas”.
Autant je l’écrivais comme ça il y a encore peu, autant je me suis décidé de l’écrire désormais “en tous cas” parce que cela me semble plus logique : “en tous les cas” (les étant sous-entendu, donc il s’agit d’un pluriel).
Enfin voilà quoi. Ne connaissant pas le fin mot de la règle, je fluctue selon mon humeur…
tehem dit:squatter
Kinder dit:Là, je suis en pleine réflexion avec moi-même au sujet de "en tout cas".
Autant je l'écrivais comme ça il y a encore peu, autant je me suis décidé de l'écrire désormais "en tous cas" parce que cela me semble plus logique : "en tous les cas" (les étant sous-entendu, donc il s'agit d'un pluriel).
Enfin voilà quoi. Ne connaissant pas le fin mot de la règle, je fluctue selon mon humeur...
Que de combats perdus d’avance…
Que d’énergie pour employer un mot, un tour selon des règles que l’usage a rendues obsolètes…
La règle décrit la langue et tente de rendre l’usage cohérent, mais quand l’usage change (parce que la langue évolue), la règle doit aussi changer. Ce que beaucoup n’acceptent pas. Ainsi le subjonctif est-il maintenant largement admis après après que.
Personnellement, j’aurais tendance à admettre une “gestion” démocratique de la langue : l’usage du plus grand nombre l’emporte et devient la règle. Et si une majorité “fait une faute”, c’est que cette faute a une raison d’être ou, au moins, une explication logique !
L’évolution de la langue va vers la reconnaissance de l’erreur comme règle. L’accord du participe passé avec l’auxiliaire avoir est le plsu flagrant exemple : pourquoi ce pas d’accord si le Complément direct suit? parce que les copistes le loupaient la plupart du temps! La faute, se généralisant, s’est muée en règle. CQFD.
De plus, la faute est vue par beaucoup de linguistes comme une simple phénomène traduisant une évolution, un changement de la langue, ou dans la perception linguistique du locuteur.
Cela dit, effectivement, la confusion entre voir et voire ou d’autres choses de ce genre…
Je suis entièrement d’accord avec Budnic.
Ceci dit je distingue deux types de fautes :
- Celles du type Après que + subjonctif : la logique veut qu’on mette un indicatif, puisque l’événement étant passé est certain, le subjonctif marquant pour sa part une incertitude. Cependant, il n’y a aucun risque de contresens si on emploie le subjonctif. Donc, ceci est voué à devenir la règle, et ce n’est pas plus gênant que ça, sauf pour 3 ou 4 académiciens (dont je fais partie puisque je m’obstine à mettre l’indicatif derrière après que )
- Celles du type voir/voire, sont/son, etc. qui marquent une incompréhension fondamentale de la langue, et peuvent, occasionnellement, bouleverser le sens de la phrase (j’ai pas d’exemple là). Ces fautes-là doivent être combattues avec la dernière énergie.
Pour conclure, je rajouterais pouet pouet l’orthographe tagada la grammaire prout pour pas qu’on m’accuse de ne pas troller.
Juste pour taquiner :
grolapinos dit:
- Celles du type… sont/sont…qui marquent une incompréhension fondamentale de la langue…
bigsam dit:Sinon j'ai toujours entendu qu'effectivement, on doit mettre l'indicatif apres "apres que" lorsque l'action est averee (ex : apres que tu es parti, j'ai joue a catane) mais pas si l'action est a venir (ex: apres que tu sois parti, j'irai faire une partie de Catane). Maintenant, il serait plus elegant de dire "Apres ton depart", et je ne sais pas si ce que j'ai ecrit correspond reellement a une regle ecrite ou plutot a un usage.
bigsam dit:Juste pour taquiner :grolapinos dit:
- Celles du type.... sont/sont...qui marquent une incompréhension fondamentale de la langue....
Ah ben oui, la, quand meme.....![]()
Budnic dit: De plus, la faute est vue par beaucoup de linguistes comme une simple phénomène traduisant une évolution, un changement de la langue, ou dans la perception linguistique du locuteur.
Disons que quand la masse a tendance à se tromper systématiquement, ça a quand même de bonnes chances d’imposer une nouvelle règle. Sinon, on parlerait encore latin, voire sanskrit ou indo-européen ou que sais-je encore !
Bien entendu, le phénomène de déformation ne se fait pas sur un claquement de doigts, et il est aujourd’hui, je pense, terriblement accéléré et amplifié par la télé, entre autres.
Mais une langue ne perd pas sa richesse ni son histoire en se simplifiant ou en se modifiant. En très peu de siècles, l’anglais a perdu toutes ses déclinaisons, ses conjugaisons, ses modes, la quasi-totalité de ses accords, par rapport à l’allemand. Et pourtant, aujourd’hui encore, il est très facile de voir que c’est grosso-modo la même langue. Et il y a un anglais académique très rigide !
Bref, je pense que les académiciens peuvent rappeler la règle, mais qu’ils n’auront jamais réellement le pouvoir de l’imposer contre la masse, et que c’est souhaitable pour l’évolution de la langue, qui est quand même avant tout un moyen de communication et pas une pièce de musée (ceci dit sans critiquer le travail des linguistes qui me passionne).