Paku Paku
C’est un peu rigolo mais bon je n’ai pas grand chose à en dire… On lance des dés frénétiquement, on se les fait passer, et on essaie de construire une pile avec de la vaisselle en plastique quand le dé nous dit de le faire. Ça s’arrête quand un joueur fait tomber la pile ou se retrouve avec tous les dés.
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Ninja Academy
Je n’avais jamais entendu parler de ce jeu qui pourtant a été créé par un beau paquet d’auteurs bankables (Antoine Bauza, Corentin Lebrat, Ludovic Maublanc, Théo Rivière, excusez du peu). J’ai un peu le sentiment qu’ils ont réinventé Meeple Circus, mais en vachement moins bien. À toutefois beaucoup amusé les enfants.
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Mindbug
Après la déconvenue “Clash of Decks” du mois précédent, je m’essaie à ce jeu d’affrontement dont la proposition initiale m’avait attirée : peu de cartes, peu d’effets, et surtout cette possibilité de “mindbug” les cartes jouées par l’adversaire.
Finalement, même si les mots clefs sont rares, j’ai tout de même rapidement fait face à des situations compliquées (un écueil incontournable de ce type de jeu ?).
J’y ai joué 2 fois, et nous nous sommes à chaque fois retrouvé dans des configurations où un joueur ne pouvait plus vraiment gagner, quoiqu’il fasse, mais qui avait néanmoins des éléments pour faire durer. Je m’attendais à ce que le jeu soit plus dynamique, mais je n’exclus pas que cela se soit produit parce que nous avons mal joué.
Bref je ne suis pas convaincu, mais je commence vraiment à penser que les jeux d’affrontement ne sont pas ma came, je ne vais donc pas insister.
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Knarr
Ma partenaire me bassinait avec ce jeu depuis qu’elle l’a essayé en bar à jeu avec des copines. Comme il ne me tentait pas plus que ça, j’ai attendu d’avoir l’occasion de l’essayer. Et finalement, j’ai plutôt apprécié ma partie. Donc pour une fois que cela vient de Madame, je me suis empressé d’aller le chercher en boutique, pour lui faire plaisir bien entendu. 
Le jeu est agréable à jouer, malgré le peu de matériel j’entraperçois de multiples façons de l’emporter (même si certaines paraissent plus faciles à mettre en oeuvre que d’autres au premier abord). Il faut encore que j’essaie de marquer beaucoup de points avec un équipage basé sur les points de victoires en utilisant les casques pour récupérer les équipages adéquats au marché.
Avantage, aucune difficulté de compréhension pour ma grande de 9 ans, et le travail graphique l’a bien happé, donc ça fait un jeu de plus à jouer avec elle.
En revanche, si le jeu laisse un sentiment plaisant, ça se joue sans passion, la proposition me paraît tout à fait dispensable. Mais maintenant que je le possède moi-même, je pense qu’il va quand même régulièrement trouver sa place sur la table.
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L’Auberge Sanglante
Quelle fut ma surprise de voir que quelqu’un l’avait amené au club ! On n’a pas trop l’habitude d’y voir des Pearl Games.
Forcément, il fallait que je l’essaie.
L’explication des règles fut un peu laborieuse, peut-être la propriétaire ne s’attendait-elle pas à ce qu’il soit plébiscité.
Bon, j’ai moyennement apprécié ma partie, mais c’est aussi ma faute : je pensais qu’il allait se mettre en place une sorte de “coopétition” entre les joueurs, donc j’ai essayé de construire avant mes adversaires beaucoup de bâtiments dans lesquels j’espérais qu’ils enterrent leurs cadavres pour économiser des actions et me faire ainsi profiter du butin. Et il n’en fut rien, donc en fin de partie je n’ai même pas réussi à atteindre les 40 francs car il me restait un cadavre sur les bras… Erreur de conception de ma part ? Situation due au fait que nous découvrions ?
J’aimerais en tout cas bien y rejouer pour cette fois-ci essayer de jouer “normalement” et me faire un vrai avis.
Mais les différents effets qui me paraissent tout de même très classiques teintent un peu mon enthousiasme à y revenir rapidement.
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Fish & Cheat
Ce jeu est au Bluffer ce que Mot Malin est à Decrypto.
C’est pareil, mais en plus rapide, avec moins de temps morts, mais du coup c’est aussi moins réfléchis.
Le pitch : un joueur lit à voix haute une question écrite sur une carte au verso de laquelle se trouve la réponse qu’il montre aux adversaires. Les adversaires forment une équipe, chacun propose de fausses réponses, sauf celui qui a tiré le poisson rouge (on distribue des poissons à tout le monde en début de manche) donne la vraie, et le but pour celui qui lit la question est d’éliminer les mauvaises réponses.
Du coup comme je le disais, on retrouve les mêmes éléments d’ambiance que dans le Bluffer.
Sauf qu’ici, le fait de connaître la vraie réponse va forcément donner un cadre à la fausse réponse qu’on invente, du coup on tombe sur des réponses moins loufoques et donc moins drôles.
L’avantage, c’est qu’au Bluffer la partie pouvait perdre en intérêt lorsque celui qui lit les réponses rigolait en annonçant les réponses proposées. Ici c’est un peu moins le cas (justement parce que c’est moins drôle ?).
Bref, le jeu à des avantages par rapport au Bluffer, mais si j’ai le choix, je lui préférerais tout de même ce dernier dans le style “essayer de faire deviner une mauvaise réponse”.
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Living Forest
Je ne sais pas pourquoi, ce jeu ne m’avait jamais tenté, j’avais toujours l’impression qu’il y avait beaucoup d’éléments et qu’il semblait inutilement compliqué. Et bien en fait j’ai eu bien tort, le jeu reste relativement simple et n’est pas dénué d’intérêt.
J’ai bien apprécié mon unique partie, je n’ai toutefois pas l’impression qu’il y a des tonnes de façons différentes de jouer (même si j’ai trouvé particulièrement amusant de sauter par-dessus les adversaires et leur piquer des tuiles). Je ne vais pas courir après, mais c’est le genre de jeu auquel je pourrais rejouer avec plaisir.
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