Que beaucoup accorde le mot “espèce” sur le mot qui le suit, comme si c’était un adjectif : “un espèce de truc” ?
Que maçonnerie sans cédille peut être révélateur …
En fait, le coup du féminin pluriel pour les orgues est bien plus subtil que ça.
Si vous voulez parler de plusieurs instruments, vous dites
“les grands orgues des églises de France” (masculin).
Si vous voulez parler d’un seul instrument, mais de façon emphatique, vous dites
“les grandes orgues de Notre-Dame” (féminin).
(Oui, je sais, c’est complètement pas le principe du sujet mais j’ai pas pu m’empêcher).
Parfois, certaines personnes prononcent “mone” à la place de “mon” quand celui-ci,est placé avant un mot commençant par une voyelle.
Ex: “C’est mone ami”
XRipper dit:Que beaucoup accorde le mot “espèce” sur le mot qui le suit, comme si c’était un adjectif : “un espèce de truc” ?
D’ailleurs ils devrait dire “une espèce”
elijah29 dit:... que après "après que" on utilise toujours un subjonctif alors que, grammaticalement et fort logiquement, on devrait utiliser l'indicatif.
Grave, et ça me blesse tellement systématiquement les oreilles que je fais en sorte de ne jamais utiliser "après que ..."
Cowboy Georges dit:elijah29 dit:... que après "après que" on utilise toujours un subjonctif alors que, grammaticalement et fort logiquement, on devrait utiliser l'indicatif.
Grave, et ça me blesse tellement systématiquement les oreilles que je fais en sorte de ne jamais utiliser "après que ..."
Et moi je prends un malin plaisir à l'utiliser associé à l'indicatif, et regarder les yeux écarquillés de ceux qui trouvent que mon français est étrange !-)
Dod dit:XRipper dit:Que beaucoup accorde le mot "espèce" sur le mot qui le suit, comme si c'était un adjectif : "un espèce de truc" ?
D'ailleurs ils devrait dire "une espèce"
Ils devraient en effet. C'était précisément ce que je voulais souligner : l'accord sur "truc" et pas sur "espèce", ce qui est inexact bien sûr mais très habituel.
XRipper dit:Que beaucoup accorde le mot "espèce" sur le mot qui le suit, comme si c'était un adjectif : "un espèce de truc" ?
...Que "beaucoup" ne prend pas de s alors que "accordent" doit s'écrire au pluriel.
… Que les guillemets forment un couple super costaud.
… Que quand on met de l’argent de côté, on en a devant soi.
… Que beaucoup prononcent le mot événement comme s’il y avait un è dans la deuxième syllabe (je crois en faire partie mais je me soigne)
et que “les Sassanides assassinassent les suissesses assesseresses” c’est encore mieux: 
Les serpents qui sifflent sur nos têtes peuvent se rendormir 
Docky dit:Que quand on met de l'argent de côté, on en a devant soi
pour assurer ses arrières.
Chapeau bas, tu es dans le haut du panier !
Espinha de Bacalhau dit:
Sauf que se niche là dedans un petit anachronisme.
La secte des Assassins est postérieure à l'empire sassanide.
Ou alors devrait-on dire que les Hāššaāšiyn de Hassan al Sabbah assassinassent les suissesses assesseresses.
Et oui sauf qu'il n'y avait pas de Suissesses au XIème siècle!
que cet anachronisme valide la phrase?
En effet, étant donné la différence d’époque, il m’eut fort surpris que les Sassanides assassinassent les suissesses assesseresses.
qu’il ne s’agit pas d’une phrase mais d’une subordonnée?
que les mouches ayant sufré sur trictrac ont toujours une démarche un peu raide?
Je me demande si tu ne coupes pas les cheveux en quatre
sanjuro dit:que les mouches ayant sufré sur trictrac ont toujours une démarche un peu raide?
Et donc que les TTciens en ont de toutes petites.
Docky dit:... Que beaucoup prononcent le mot événement comme s'il y avait un è dans la deuxième syllabe (je crois en faire partie mais je me soigne)
La prononciation s'est suffisamment généralisée pour que l'orthographe « évènement » soit maintenant officiellement acceptée (toujours cette réforme 1990).
scand1sk dit:Docky dit:... Que beaucoup prononcent le mot événement comme s'il y avait un è dans la deuxième syllabe (je crois en faire partie mais je me soigne)
La prononciation s'est suffisamment généralisée pour que l'orthographe « évènement » soit maintenant officiellement acceptée (toujours cette réforme 1990).
Dès la troisième édition de son dictionnaire (1740), l'Académie française indique l'orthographe événement. Lors de la septième édition (1878), l'Académie a rectifié l'accentuation de plusieurs mots pour suivre l'évolution phonétique de la langue : ainsi, collége et avénement ont été changés en collège et avènement. Toutefois, quelques mots, dont événement, n'ont pas été rectifiés, et cette orthographe est toujours utilisée au XXIe siècle.
Le Rapport de 1990 sur les rectifications orthographiques préconise la régularisation de tels mots, et les dictionnaires, dès la fin du XXe siècle, encouragent l'orthographe évènement, quoique l'autre orthographe soit aussi mentionnée; de même, l'Académie française a adopté la graphie évènement, mais estime que « la graphie ancienne événement n'est cependant pas considérée comme fautive, encore que rien ne la justifie plus ».
sanjuro dit:que les mouches ayant sufré sur trictrac ont toujours une démarche un peu raide?là, je me prosterne
Garde quand même un oeil sur tes arrières 