Non pas de buteur spécifique.
Mouhahaha, les joueurs italiens qui s entrainent à tomber dans la piscine.
Enorme !
(Edit : désolé, je me suis lâché sur le récap !)
Ciao tutti ! Benvenuti sur RAI2 pour ce premier match de groupe entre l’Allemagne et notre squadra adorée. Sur le banc, il signore Damdamiano qui vient de récupérer ce poste de selectionneur à la surprise générale, puisqu’il officiait avant à l’UEFWA comme organisateur du précédent Euro.
Et c’est parti, l’engagement est donné, et gli azzuri montent tout de suite la balle, par Costa, qui va ti… ooohhh la faute allemande à l’entrée de la surface ! Ma dai, signore arbitro, c’est carton jaune là !! Siii, carton jaune pour le défenseur allemand et un coup-franc très dangereux ! Le ballon part bien… Oh la claquette du portier allemand qui détourne en corner… Il est joué à la san-rémoise, passe, dribble, il entre dans la surface, ma cosa fa ?! Tire, tire !! Et voilà, il s’emmêle les pinceaux et rend la balle, quel gâchis !
L’attaque allemande ne donne rien et on récupère la balle. La Mannschaft a déjà mis en place son bloc défensif. Et une nouvelle faute, quel jeu rugoso des allemands… Le coup-franc est joué rapidement, trop rapidement, la balle est rendue, c’est pas possibile !
Les allemands relancent, je vois Damdamiano faire signe à ses joueurs de poser le bloc défensif, eux aussi. Dai, chers voisins allemands, vous allez gouter au catenaccio all’italiana ! Et voilà, bravissimo, on récupère la balle tout de suite, et ils partent en contre-attaque ! Andiamo ragazzi, les allemands on un nouveau bloc défensif, mais on remonte, si, si, si, il entre dans la surface, dai, dai, il tire, efficace, quel boulet de canone (6) !!! Le gardien ne peut rien faire, gooooool !!
Les allemands sont sonnés, on dirait, ils rendent la balle immédiatement après l’engagement, puis les italiens aussi, ce qui permet une contre attaque des blancs ! Heureusement avortée par une bonne interception mais… On rend la balle encore ?! Et les allemands lancent une autre contre attaque, incredibile !! Cette fois ils passent, ils avancent, no, no, no ! Le tir !!! Heureusement, pas très appuyé, le gardien se couche bien… Bravo !
Nouvelle attaque des azzuri, ils progressent bien, bravi, passe, dribble, dribble, il entre dans la surface encore, ma tire ! Tire, cazzo !! Et il rend encore la balle, c’est pas possibile, je vais manger mon micro !!
Les Allemands tentent une offensive mais Marchetti s’interpose, il va relancer… Che ??? Il rend la balle ?!! Ma no, no, no !! C’est quoi cette strategia de Damdamiano ??!! Virez-le !!!
La Mannschaft repart, portée par Köhler, et cette fois c’est le petit Vitale qui défend bien… Et il lance une nouvelle contre-attaque, ça part dans tous les sens !! Allez, ragazzi, andiamo !! Sii, on remonte, on rem… Oohhh, la faute ancora !! Et un nouveau coup franc très interéssant pour nous ! Bien tiréééééééé… goooooool !! Légèrement détourné par Kräuse dans le mur, le gardien est pris à contre pied, bravissimi !!
Une dernière action des allemand, on récupère la balle, et l’arbitro siffle la mi-temps. Une interview de Damdamiano peut-être ?
Ma, on pé être horo dé mener due-zero… La notre défensé a été molto forté, ché souis très contento, ma l’attaque, ça n’a pas marché dou tout, on a perdou troppo de ballons, ché vé dévoir changer oun po la strategia. Les Allémann, n’ont veramenté pas ou dé chance, beaucoup dé fautes… Il reste oun période, rien n’est gagné ancora.
Merci, on n’a pas tout compris avec votre accent mais c’est pas grave. Une page de pub et on revient !
Grazie tutti, vous êtes bien sur RAI2, et le jeu reprend à l’instant, et une faute de l’Italia. C’est joué vite, les blancs se rapprochent, évitent les défenseurs, et tirent !! C’est un tire efficace mais hoooo, le ballon s’envole dans les tribunes, peccato per loro…
On repart, ça joue vite, passe longue, contrôle orienté aux abords de la surface, il se déca… aahh, dommage, Müller récupère la balle, remonte, remonte, transmet à Becker, qui efface Vitale, il tire ! Ohhh, dio mio, notre gardien repousse la balle en corner… Ca fait deux actions dangereuses, vous faites quoi ragazzi !!! Le corner ne donne rien, on récupère la possession du ballon… Puis l’Allemagne défend bien. On active le bloc défensif, mais ils nous rendent la balle… Il ne se passe plus grand chose après 1h de j… oh, la squadra place une contre-attaque ultra rapide, dai, la passe, si, si, si ! Ooooh, encore une faute allemande, et un nouveau cartons jaune ! Incredibile !! C’est Rossi qui place le ballon, dai piccolo, lo puoi fare ! C’est pas très bien tiré (2+2) mais ça suffit, goooooool de Rossi !!! golderossi, golderossi, golderossiiiiii !!!
Très difficile per les allemands qui ont du mal à approcher la zone rouge des bleus… Köhler qui va tirer peut etre !!! non, un défenseur italien qui intervient, encore… Bene, bene, ragazzi, tranquillo ! On remonte la balle, on construit, il y a Costa qui est démarqué, il va tireeeeerrrr… Oh, le défenseur allemand qui revient de loin, il tente de jouer rapidement, mais De Luca stoppe l’offensive blanche… Quelle défense, bravo Signore Damdamiano, vous êtes un génie… quoi, De Luca rend la balle ??!! Damdamiano vafancµ£!$* !!
Mais les allemands rendent le ballon également, puis la squadra azurra aussi… Les allemands en profitent, une dernière contre attaque alors qu’il reste moins de 5 minutes à jouer ! Passe longue, les défenseurs remontent pour dresser le piège du hors jeu, l’attaquant se retrouve seul face au gardien, Bianco s’avance mais le ballon bien piqué le lobe, gol per l’Alemania !
Attendez attendez, l’arbitre indique qu’il fait appel à la VAR, il regarde le ralenti pour un possible hors-jeu… Ah, apparemment un des défenseurs faisait un selfie avec une supportrice, il n’y a donc pas hors-jeu, le but est validé.
Les Italiens tente une dernière action, les allemands défendent bien, et l’arbitre siffle la fin du match ! Victoria dell’Italia 3-1 !! Signore Damdamiano, un mot pour conclure ?
On est contento d’avor pris lé 3 punti, ma ça a été oune matche plou diffitchilé qué cé qué lé score né laisse penser. Ché souis fier dé mes défensores, qui ont bien appliqué cé qui été prévou. Mais on a quand mémé perdou encore troppo dé balles, le notre adversaire n’a pas ou dou tout dé chance, on marqué sour due coup-francs, horosément, ça aurait pou nous couter très cher. Il faudra améliorer ça contra lé Caméroun.
Grazie, Italia - Allemagne : 3 - 1 , but de Rossi.
Voilà l’horaire est tombé, la France rencontrera L’argentine samedi à 14h30.
Merci pour ce compte-rendu tout en sobriété, daamdam 
Le Mexique entre en lice
Reversé dans le groupe 4, avec les redoutables brésiliens et la plus modeste Corée du Sud (sans vouloir lui faire offense), le Mexique, pays organisateur de cette Coupe du Monde 2020, faisait son entrée en lice cette après-midi face aux Auriverdes, vainqueur la veille des coréens sur le score de 2 buts à 1.
Pour tenter de contrer l’impressionnante armada brésilienne, Luego de Uphiros avait opté pour un prudent 3-5-2 pouvant aisément se transformer en 5-3-2 grâce à ses deux arrières latéraux chargés de faire le piston dans les couloirs. Dès l’entame du match, les intentions des Los Tricolores étaient claires; céder le ballon à leurs adversaires en opposant un solide Bloc défensif, jouer physique (inclusion de deux cartes Duels dans le deck), presser haut pour essayer de lancer des contre-attaques fulgurantes et convertir la moindre occasion (choix de la capacité Etoile; Efficacité). L’animation offensive était portée vers les ailes (défausse des deux Passes Longues pour intégrer un Dribble et un Centre supplémentaire), les mexicains s’en remettant à leurs ailiers, et notamment au virevoltant Dante Arellano (lequel peut bénéficier d’un redoutable enchainement Dribble-Centre non défendable).
Pourtant, les locaux se montraient particulièrement fébriles sur la première offensive de leurs adversaires; Lucas réceptionnait un ballon en profondeur à l’entrée de la surface et, sans opposition, envoyait un premier missile en direction des cages que Ochoa claquait en corner. Sur ce coup de pied coin, Victor Moreno manquait son intervention au premier poteau et était tout heureux de voir la tête de l’attaquant brésilien passer au dessus du cadre.
Cette double alerte passée, les mexicains montraient un peu plus d’ambition et sur une action anodine partie du milieu de terrain, à la suite d’un redoublement de passes bien exécuté, les locaux ouvraient la marque sur une attaque placée. Pour la plus grand joie des spectateurs de l’Estadio Azteca, le Mexique prenait l’avantage au tableau d’affichage.
Mexique 1-0 Brésil
S’en suivait alors une période de flottement, le Mexique n’osant plus attaquer et les brésiliens ne sachant quoi faire du ballon. Ce faux rythme perdurait jusqu’à l’entame du dernier quart d’heure de la première mi-temps, où les Auriverdes décidaient de sonner la fin de la siesta.
C’est tout d’abord Gilberto qui intervenait superbement au milieu du terrain pour récupérer le cuir dans les pieds mexicains; après un relais, l’enfant de Rio lançait dans la profondeur son attaquant qui venait butter sur un Ochoa parfaitement sorti à sa rencontre.
Dans la foulée, Eduardo se procurait à son tour une énorme occasion, mais se heurtait lui aussi à un portier “vert et blanc” en état de grâce ! Ochoa, homme de la première mi-temps, permettait aux siens de rentrer au vestiaire sur un score qui avait tout du hold-up.
Conscients que leur mince avance ne suffirait probablement pas à tenir encore 45 minutes, c’est un Mexique plus conquérant (et plus inspiré) qui revenait sur le terrain. Sur la première action du second acte, Carlos Delavega effaçait Carlos (l’arrière brésilien) d’un génial dribble mais malheureusement poussait trop son ballon qui terminait en sortie de but.
Qu’à cela ne tienne, son geste inspirait ses coéquipiers à l’image de l’intervention rageuse, mais propre, de Victor Moreno pour repousser les timides poussées brésiliennes. Et suite à une nouvelle récupération de balle, Adrián Guardiola lançait parfaitement Dante Arellano, transparent jusque là; l’ailier mexicain dribblait son vis-à-vis et adressait un centre parfait pour son attaquant… que le dernier défenseur brésilien écartait d’un tacle de la dernière chance, privant les locaux d’un but tout fait.
Le temps passant, et cette grosse occasion manquée, le Mexique ne parvenait pas à résister à la tentation de se recroqueviller sur sa moitié de terrain, misant sur son Bloc défensif pour tenir jusqu’au bout. Paulo semblait en mesure de doucher les espoirs de tout un peuple en décrochant une frappe magistrale vers la lucarne… qu’Ochoa, encore une fois, détournait du bout des gants.
La fin de match était haletante. Luego de Uphiros sortait Hugo Salazar pour renforcer encore un peu plus son Bloc défensif, lequel résistait aux déferlantes brésiliennes. De leur côté, les brésiliens jouaient leur va-tout en réalisant trois changements d’un coup et misant tout sur leur Jeu offensif et leur Créativité…
… et sur l’ultime offensive de la partie, le cuir atterrissait dans la surface mexicaine et dans la confusion, un attaquant brésilien propulsait puissamment le ballon au fond des filets d’un Ochoa enfin impuissant !
Mexique 1-1 Brésil
Et sur l’engagement, l’arbitre sifflait la fin de la partie, laissant des mexicains forcément déçus… mais validant un résultat au final assez logique.
Dans la tête du coach Luego de Uphiros…
Pour jouer un bon match, il faut être deux… et ce fut un p… de bon match, avec toute la tension inhérente à ce superbe sport. Pour tout vous dire, je la voyais venir cette égalisation brésilienne, c’était mérité, le Brésil poussait trop, mes “gars” étaient au bord de la rupture. Mais il y avait cette bonne étoile sur Ochoa, incroyable héros du match qui avait tout repoussé jusque là, écoeurant les attaquants brésiliens. Ah que c’est cruel… mais que c’est bon à la fois ! Tout ça dans une poignée de cartes… merci Monsieur Guilut pour ce jeu, et merci Monsieur Gueva pour cette belle partie.
Allez, je me calme et j’analyse un peu plus froidement ce qu’il s’est passé. Après le “rôleplay” (ci-dessus), la mécanique (ci-dessous).
Malgré le boost d’Etoiles (merci à l’organisateur), je n’étais pas serein à l’idée d’affronter le Brésil alors même que les individualités mexicaines n’ont rien à envier aux joueurs brésiliens (j’aurai même tendance à dire que les joueurs des extensions sont meilleurs intrinsèquement que les joueurs des équipes de base, mais ce n’est peut-être qu’une impression). Je me suis donc orienté vers une formation défensive (grâce aux Formations Tactiques de Guilut); j’ai écarté le 5-3-2 et le 5-4-1 et leur 12 cartes de Défense (le max), je ne voulais pas fermer complètement le jeu, et j’ai opté pour un 3-5-2 remanié (11 cartes de Défense tout de même, un tiers de ma pioche).
Côté défense, j’ai écarté un Pressing et un Tacle pour inclure les deux cartes Duel. Comme elles peuvent répondre à n’importe quelle carte Attaque, l’idée était de pouvoir les employer très tôt dans la construction adverse (quelle que soit la carte jouée) pour évidemment lancer une contre-attaque (et ainsi bénéficier du bonus du Mexique en la matière). Bien sûr, sortir un 19 alors que l’adversaire n’a qu’un ou deux PA, ce n’est pas évident, et c’est pour cela que j’ai opté pour le Bloc défensif en capacité Etoile. Je pouvais ainsi théoriquement récupérer le ballon sur un 14+, et avec Victor Moreno (D) qui peut intervenir partout sur le terrain et relancer un jet défensif, je me disais que ça se tentait.
Côté attaque, j’ai écarté les deux Passes Longues préconisées dans le guide; comme je misais tout sur les contre-attaques (et donc des actions initiées a 5 PA), je n’en voyais pas l’utilité et j’ai préféré ajouter un Dribble et un Centre pour utiliser au mieux Dante Arellano, un sacré bon ailier ! Joué après un Dribble, l’adversaire ne peut défendre si l’action suivante est un Centre. Vous voyez la combo ? Récupérez la balle haut, contrer (5 PA), dribbler (+1 PA), Centrer sans opposition (+1 PA)… et tirez à +2 ! Et pour maximiser tout ça, en dernière capacité Etoile, j’ai pris Efficacité, pour un potentiel tir à +3. Je ne voulais pas louper la moindre occasion !
Mais évidemment, comme souvent dans le football, rien ne se passa comme prévu !
Déjà, j’ai dû “consommer” mon atout “récupérateur”, Victor Moreno, dès le premier corner de la partie, après seulement quelques minutes de jeu ! Et bien entendu, malgré la relance, il a loupé son intervention et je n’ai dû qu’à la malchance de Gueva de ne pas être mené au score (1 au dé sur une tête à bout portant !). D’ailleurs, durant le premier acte et malgré quatre occasions franches, Gueva a plutôt été malheureux aux dés; il n’a jamais dépassé 4 sur ses tirs et je n’ai même pas eu à “dépenser” Ochoa (arrêt sur un 4+) pour le contrer.
Et à côté de ça, je marque… sur ma seule occasion de la première mi-temps, qui plus est une attaque “placée” n’ayant jamais pu lancer de contre-attaque. Une vraie attaque de “no name” car je n’utiliserais même pas un joueur au cours de celle-ci. Une bizarrerie totalement contre le cours du jeu ! (et la tension de la fin du match m’a même complètement fait oublier l’enchainement qui m’a conduit au but, c’est dire !).
Après 45 minutes, ça sent clairement le hold-up et comme je suis lâche fier, je change ma capacité Efficacité pour un vieux précieux Jouer la montre. Oui, je veux tenir le score !
Je remanie aussi légèrement la partie offensive de mon deck car je me suis rendu compte d’une chose en première mi-temps; sur mes 17 cartes offensives, j’en ai 7 soumises à condition de PA (3 Centres, 2 Passes en Profondeur, Passement de Jambe et Grand Pont), soit plus de 40% de mes cartes Attaque. Et cela m’a clairement bloqué, me forçant à rendre le ballon. Quelque chose que je n’avais pas vu de prime abord, mais finalement très handicapant ! Je pense qu’il ne faut pas dépasser les 30% de cartes Attaque “conditionnelles” pour maintenir l’équilibre de son attaque.
Je ne sais pas si c’est l’effet de ce remaniement, mais clairement, je me suis procuré plus d’occasions en deuxième période (enfin, j’en ai eu deux au lieu d’une !). J’ai même pu réaliser l’enchainement Dribble-Centre avec Dante Arellano, mais Gueva m’a privé d’un but tout fait (+2) grâce à un superbe tacle.
J’ai aussi placé une contre-attaque (enfin !) qui s’est terminée par un double dribbles dans la surface, suivi d’un tir contré. Amusant comme ce jeu peut-être visuel parfois; j’imaginais mon attaquant qui “en faisait trop”, tentant un dribble puis un autre plutôt que de tenter sa chance en première intention. Vous savez, le truc qui vous fait gueuler “mais tire ! mais tire !!!” devant votre écran.
Mais finalement, le Brésil est parvenu à arracher le nul au bout du bout du temps supplémentaire. Ochoa m’a pourtant encore fait un miracle sur une grosse occasion; cette fois-ci Paulo (2d6, garde le meilleur) était bien parti pour nettoyer la lucarne (6), mais j’avais la carte Ochoa en main (arrêt sur 4+).
J’ai tout tenté dans les dernières minutes; un Coup du Sombrero qui a fait défausser un tir à Gueva, un remplacement pour activer un ultime Bloc défensif, mais mon adversaire a superbement joué le coup. Après mon dernier Tacle réussi, je pensais qu’il n’avait plus les cartes en main. C’était sans compter sur la Créativité du Brésil; trois remplacements pour trois Etoiles… c’est trois PA à mettre dans l’attaque (quatre en fait, il lui en restait une), une Passe en Profondeur qui transperce mon rideau défensif, un dernier tir (6), et un Ochoa enfin battu (1). C’est mérité !
Mais encore une fois, j’en reviens sur les sensations procurées par ce jeu; je voyais mon équipe recroquevillée dans sa surface, attendant le coup de sifflet de l’arbitre pour les délivrer, et puis cette ultime tir victorieux de l’adversaire… un scénario tellement vu !
Ouah, j’adore !
Allez, maintenant, la Corée du Sud; les Mexicains ont leur destin en main !
Merci pour ce superbe retour Uphir ! Le scénario est incroyable avec ce gardien en état de grâce qui ne craquera que dans les arrêts de jeu. On a l’impression d’avoir vu ça tellement de fois…
Concernant la valeur des joueurs du Mexique, je te confirme que tes troupes n’ont vraiment rien à envier à celles du Brésil, bien au contraire ! C’est un peu l’effet pervers de cette décision de mettre tout le monde à 5 Étoiles : ça casse un peu les équilibres que j’avais définis initialement. Avec 5 Étoiles, le Mexique fait partie du groupe des favoris alors que l’Allemagne devient une équipe assez quelconque…
Ton plan était vraiment bon. J’aurais probablement misé plus volontiers sur les Tacle pour améliorer mes chances de contre-attaque, quitte à me prendre quelques Passe Longue de temps en temps… Et je crois que j’aurais intégré Endurance à mon arsenal pour tirer plusieurs fois à 5 PA avec la carte Tir qui le permet. Cela te permet de te procurer plusieurs occasions en entre la capacité de ton attaquant et l’Efficacité, ça finit bien par rentrer
u n’aurais peut-être pas dû te débarrasser de tes Passe Longue qui ont deux avantages : elles t’ouvrent la possibilité d’enchaîner sur certaines cartes conditionnelles et elles te mettent à l’abri d’une Contre-attaque en une seule carte. C’est le métier qui rentre !
Je suis en tout cas super heureux de voir que vous commencez à entrevoir les petites subtilités tactiques derrière une mécanique ne se privant pas pour faire appel au hasard 
guilut dit :Merci pour ce compte-rendu tout en sobriété, daamdam :)
J'aurais dû prendre le Japon !
daamdam dit :guilut dit :Merci pour ce compte-rendu tout en sobriété, daamdam :)J'aurais dû prendre le Japon !
Sympa mais dur à comprendre.
J aurais dû prendre Italien en 5e langue :D
guilut dit :Tu n'aurais peut-être pas dû te débarrasser de tes Passe Longue qui ont deux avantages : elles t'ouvrent la possibilité d'enchaîner sur certaines cartes conditionnelles et elles te mettent à l'abri d'une Contre-attaque en une seule carte. C'est le métier qui rentre !
Clairement le métier qui rentre, comme tu l'écris. Mais je ne l'ai vu que pendant le match, d'où la petite réorganisation à la mi-temps. Franchement, de prime abord, la construction de deck peut paraître simple, mais il y a pas mal de paramètres à prendre en compte. C'est bien plus subtil que je ne le pensais et un deck "défensif" (10+ cartes de défense) fait bien ressentir une équipe qui "ferme le jeu" et se procure peu d'occasion (j'ai déjà une idée pour reproduire la Grèce de 2004 !). Sans parler des synergies à trouver avec ses joueurs, d'où je pense l'importance de bien connaître son équipe.
Bref, il y a moyen de "maxer" son jeu pour avoir un deck et une équipe en osmose, ce qui n'empêchera jamais son attaquant de manquer un but tout fait grâce à cette pointe de hasard. La magie du football en somme...
Et daamdam, moi je t'aime très fort en commentateur de la RAI2; le "Damdamiano vafancµ£!$* !!" sonne tellement vrai !
On aurait manqué quelque chose si tu avais pris le Japon. Jolie victoire cela dit; 3-1 contre l'Allemagne, je n'aurai pas misé dessus.
f.alex1 dit :daamdam dit :guilut dit :Merci pour ce compte-rendu tout en sobriété, daamdam :)J'aurais dû prendre le Japon !
Sympa mais dur à comprendre.
J aurais dû prendre Italien en 5e langue :D
Pardon, je voulais l'italianiser un peu, j'ai dû aller un peu loin :-/
Uphir dit :
Et daamdam, moi je t'aime très fort en commentateur de la RAI2; le "Damdamiano vafancµ£!$* !!" sonne tellement vrai !
On aurait manqué quelque chose si tu avais pris le Japon. Jolie victoire cela dit; 3-1 contre l'Allemagne, je n'aurai pas misé dessus.
Haha, merci, ça me fait plaisir ! Ca m'a amusé de le faire, alors je suis content si c'est marrant à lire :)
Merci à toi pour ton analyse stratégique, avec ton beau récap ça a dû te demander beaucoup de temps ! Sur mon second match, j'essaierai de faire un récap plus court, pour laisser place à ma reflexion stratégique... mais clairement, je me pose encore moins de questions que toi, je suis un bébé coach !
Pour le score, Capitaine Taverne n'a vraiment pas eu de chance au dé. On le voit aux nombreuses fautes commises, mais ce qu'on voit pas ce sont ces petits lancers au d6, et aussi ma chance sur les lancers défensifs, j'ai notamment lancé deux 20... Sur ses 15 possessions de balles, j'en ai défendue la moitié, et il n'est allé au tir que 4 fois.
Moi, sans les coups franc qui me donnent 2 buts, le match aurait été plus compliqué. Je n'avais que 3 tirs, et pas de Schéma tactique : Sur 16 possessions, j'ai rendu la balle... 9 fois ! Dont deux fois à 7PA, c'est assez frustrant !
XXX
daamdam dit :Uphir dit :
Et daamdam, moi je t'aime très fort en commentateur de la RAI2; le "Damdamiano vafancµ£!$* !!" sonne tellement vrai !
On aurait manqué quelque chose si tu avais pris le Japon. Jolie victoire cela dit; 3-1 contre l'Allemagne, je n'aurai pas misé dessus.Haha, merci, ça me fait plaisir ! Ca m'a amusé de le faire, alors je suis content si c'est marrant à lire :)
Merci à toi pour ton analyse stratégique, avec ton beau récap ça a dû te demander beaucoup de temps !
J'aime bien "rôleplayer" autour des jeux que je pratique, surtout que le scénario du match contre Gueva fut "prenant". Mais oui, j'ai aussi voulu partager ma réflexion de coach et je te rassure, je suis toujours un "bébé". La preuve, j'ai failli faire une victoire à la Grèce 2004 ou au Portugal 2016; en ne proposant pas grand chose ou presque ! La construction d'un deck équilibré est bien plus subtil qu'elle n'y parait !
Pour les "rendre le ballon", je te rassure, je l'ai aussi rendu un paquet de fois. Le pire, c'est la fois où je me suis lancé comme toi pour me rendre compte à 6 ou 7 PA que je n'avais pas de Tir en main et aucun moyen d'aller en piocher un. Comme quoi, côté réflexion, c'est pas encore ça...
Super Compte Rendu Uphir!
C’est vraiment sympa de vous lire tous et de voir cette petite communauté qui partage l’amour des Jeux et du Football grâce à WwF! Il n’y a pas des masses de passionnés de foot qui sont passionnés par les jeux de plateau.
Ayant participé à la campagne Ulule Jeu de base et extension 1 et en achetant à Cannes l’extension 2 je regrette de ne pas pouvoir avoir l’equipe du Mexique.
N’y aurait il pas une possibilité de l’obtenir Mr Guilut?
guilut dit :
Concernant la valeur des joueurs du Mexique, je te confirme que tes troupes n'ont vraiment rien à envier à celles du Brésil, bien au contraire ! C'est un peu l'effet pervers de cette décision de mettre tout le monde à 5 Étoiles : ça casse un peu les équilibres que j'avais définis initialement. Avec 5 Étoiles, le Mexique fait partie du groupe des favoris alors que l'Allemagne devient une équipe assez quelconque...
Effectivement je n'avais pas vu les choses comme ça, c'est certainement une erreur d'avoir mis toutes les équipes à 5 étoiles.
C'etait plus pour éviter que tout le monde ne choisissent que des nations à fort potentiel en étoile.
Une fois que je m'en suis rendu compte, nous avions déjà commencé à jouer.
Il serait aussi sympa d'avoir plus tard une nouvelle compétition à élimination directe de manière à pouvoir utiliser les bonus d'équipes à domicile avec des matches aller/retour.
Bienvenue sur “Radio Sport 89”, ici Edison Delcanon, en direct du stade Nemesio Diez à Toluca à maintenant une petite heure du coup d’envoi du match le plus important de l’année pour la sélection uruguayenne.
La tension est montée d’un coup avec l’apparition des joueurs venus fouler la pelouse, le stade déjà archi-plein ou les supporters de la Céleste sont en très grand nombre, ceux des Pays-Bas semblant se réserver pour les 1/4 et la suite de la compétition puisqu’ils sont déjà qualifiés.
Comment se comporter dans cette situation, c’est bien la question que tout supporter se pose. Se recroqueviller et défendre jusqu’à espérer un résultat nul qui vaudrait pour qualification ou bien se porter à l’attaque et l’emporter pour terminer premier et avoir un 1/4 à priori plus simple à aborder.
C’est assurément les mêmes questions qui ont animé la semaine d’Enzo TaiGooBoli quelque peu inquiet après les errements de sa défense centrale face à la Belgique et qui va maintenant devoir juguler les attaques flamboyantes des joueurs bataves, ce ne sera pas une mince affaire…
Nous serons vite fixés…
Voilà bien un match, plus particulièrement la fin du match qui n’était pas à conseiller aux cardiaques…
Comme nous l’avions annoncé en avant-match, l’équipe d’Uruguay ne savait pas trop comment se comporter et ces hésitations coupèrent l’équipe en deux laissant la voie royale au milieu ce dont ne se privèrent pas les joueurs hollandais, multipliant les attaques et les corners mais n’arrivant pas à concrétiser leurs occasions.
Le coach uruguayen profitait de la mi-temps pour faire monter plus haut le bloc équipe laissant des espaces libres dans le dos de la défense.
Et suite à une belle combinaison hollandaise Van Claasen s’en allait mystifier le portier uruguayen.1-0
La Céleste n’avait d’autre choix cette fois-ci de se porter à l’attaque mais la défense adverse était toujours en bonne position et jamais débordée.
Après un premier échec sur une frappe un peu molle du milieu offensif, c’est à nouveau de Lucas Suarez que vînt la délivrance d’une action typique de l’avant-centre, contrôle orienté aux 16 mètres suivi d’une frappe instantanée petit filet, imparable. 1-1
L’équipe appliquera alors une défense de zone plutôt bien organisée pour couper les attaques adverses et les tenir à bonne distance jusqu’à la fin du match attendue par des milliers de supporters relachant enfin la pression accumulée lors de ces derniers jours.
La Céleste sera encore là pour les quarts de finale.
Good job; résister à la Hollande de Ruud Guilut n’est pas un mince exploit.