genesteal dit:Mais si on commence à discuter ce que signifie le terme aucun, on est pas sorti de l'auberge.
C'est pas pour chipoter, mais pour défendre ceux qui ont posé la question, le "aucun" pourrait s'interpréter par "aucun rechargement possible" ou "aucun test nécessaire pour recharger". Pourquoi je dis ça ? Parce la ou c'est écrit "aucun", c'est l'endroit où généralement tu attends à voir le test à faire pour recharger.
Oui, mais c'est surtout écrit dans une case de la carte qui s'appelle "rechargement". Ça devrait rendre les choses plus clair, non ?
perso je préfère quand le wording est irréprochable sur un jeu de cartes. Garder une constance d’une carte à l’autre, et aucune confusion possible. Surtout quand on parle d’un JCC ou JCE avec des centaines/milliers de cartes potentielles. Si sur une carte on supprime le bandeau recharger pour signaler qu’on ne peut pas recharger, on garde ce fonctionnement sur toutes les cartes qu’on ne peut pas recharger. Autant un errata d’une règle ne me dérange pas trop, autant un errata d’une carte est plus chiant.
Le wording ou plutôt la formulation (pour être plus français) à effectivement des petits soucis. Il faut avoir en tête que Paizo est un éditeur de jeu de rôle, ils n’ont aucune expérience des jeux de cartes, d’où quelques petites interrogations sur certaines cartes lors des premières parties mais je vous rassure après quelques parties tout rentre vite dans l’ordre. Et pour un premier essais, c’est plutôt honorable certains éditeurs habitués aux jeux de cartes, ne s’en tirent pas mieux. Je comprends que l’on puisse hésiter sur le terme aucun dans la boîte de texte rechargement, même si aucun est tout de même synonyme “nul”, “pas”. Il faut toujours prendre la solution la plus simple, ce que dit la carte, point barre et ne pas trop essayer d’interpréter, beaucoup de mes premières erreurs lors de nos premières parties est que je transposais ça vis à vis d’autres jeu, grave erreur. Pour le sujet du rangement, j’utilise des DragonShield (équivalente aux Ultra-pro deck protector et assez similaire niveau épaisseur à celle de FFG), arrivé à la deuxième aventure, le thermoformage est saturé (manque de la place pour les bénédictions et les monstres). Le plus simple est de refaire l’intérieur avec du carton plume/mousse, sur BGG sur la page consacré à Pathfinder, vous trouverez les dimensions/gabarits d’un intérieur de boîte fait par un fan. Un tutoriel (en anglais) sur youtube pour faire un intérieur de boîte en carton plume : https://www.youtube.com/watch?v=3hfKaDX2P2k Les dimensions pour un intérieur de boite pour Pathfinder en carton plume sur BGG : http://boardgamegeek.com/filepage/99044/constructing-a-foam-board-insert
Heyyyyy companeros !! Je viens de finir la 1er aventure, on sent que ça commence a taper sévère quand même ^^. Sinon petite question, c’est quand qu’on choisit sa classe, car là c’est toujours le grand wallou !!! Petit Report : Valeros et Kyra, remis de leurs blessures, se hâtèrent vers le repaire chaotique et sombre de Nualia. Cette dernière étant la cause de cette invasion de gobelins, il fallait à tout pris arrêter cette folie meurtrière dont elle était alimenté. La salle du trône : C’est par une soirée au clair de lune rouge écarlate que Kyra commença l’exploration du donjon de Thassilonia tandis que Valeros s’empara du trône de Nualia en quête d’indices. Arrivé à l’entrée de la salle du trône, le jeune guerrier semblait apercevoir une ombre sur le siège, il ne pouvait s’agir de la sanguinaire Nualia, l’ombre paraissait colossale. Soudain, un éclair illumina quelques instants le sinistre trône laissant entrevoir de manière assez distinctive le gigantesque Orik, le guerrier nordique. Valeros avait déjà entendu les contes et légendes qui alimentaient les faits d’armes du nordique, à lui seul il pouvait décimer toute une armée en un instant. S’ensuit un combat titanesque entre les deux hommes, l’on pouvait entendre les collisions, chocs métalliques qui retentissaient dans toute la salle. Le guerrier nordique tomba finalement dans ce duel et laissait entrevoir un léger sourire, surement la satisfaction d’avoir été vaincu par un homme puissant. Le donjon de Thassilonia : L’exploration de Kyra commençait a s’éterniser, dans son esprit elle se devait d’aller beaucoup plus vite afin d’éviter une nouvelle vague destructrice de Nualia. Qui pourrait prédire d’avance ce dont cette damnée serait encore capable ? Subitement, elle entendit les invocations émanant d’une douce et voluptueuse voix. Etait-ce possible de trouver quelqu’un d’aussi fou pour venir explorer ce donjon avec les monstres à l’intérieur ? S’approchant lentement de cette voix qui se faisait de plus en plus fort, Kyra pouvait discerner une femme aux formes séraphiques dans un habit de blanc à capuchon, tenant un grimoire. Quand soudain, la femme lança un regard lilial vers Kyra qui la propulsa vers le mur. La main levé au ciel, récitant des sortes d’incantations dans une langue inconnue, il s’agissait de la disciple de Nualia, la magicienne Lyrie Akenja. Pour la vaincre, Kyra savait pertinemment qu’il lui faudrait plus que d’une simple arme. Elle décida de combattre le feu par le feu, seul un sort d’une lumière sacrée pourrait faire tomber ce lieu funeste ou seul la mort réside. Une blanche lumière éclaira la salle sous un cris strident d’Akenja. Le voile levé la magicienne avait disparue, Kyra s’empressa de sceller le lieu. La Forteresse gobelin : Les heures défilaient, Valeros contenait les hordes de monstres venant du Terrier tandis que Kyra essayait de dénicher Nualia de sa forteresse défendu par les derniers gobelins fidèles. Brusquement, les gobelins vacillaient les uns après les autres, Nualia apparu ! Ces yeux étaient blanc, mais laissaient entrevoir une colère qui pouvait faire éclater des volcans entiers. Valeros avait rejoins Kyra, mais étaient-ils à la hauteur de ce défi ? Nualia enfonça son épée dans le sol laissant jaillir un feu ardent devant nos compagnons. Ces derniers étaient en très mauvaise posture, ils décidèrent tous deux de lancer une charge désespéré. Prise de court par cette attaque combiné, Nualia blessé se retrancha vers le Terrier. Valeros savait pertinemment que Kyra était à bout, il s’empressa d’en finir une bonne fois pour toute quitte a payer de sa propre vie. Le Terrier : Arrivé devant cette grotte sinistre, un halètement résonnait. Le valeureux guerrier pris son courage et entra avec conviction ! La démoniaque brandit son bras volcanique et d’un coup net et précis enfonça son épée une nouvelle fois dans le sol. Valeros n’avait plus que son marteau, son épée avait été détruit avec le choc. Soudain, laissant parler son courage, il se rua vers la sorcière puisant les dernières forces de son âme. Il assena un premier coup qui fit virevolté l’épée démoniaque et d’un second qui envoya la sorcière dans un gouffre sans fin. Etait-ce vraiment l’épilogue de cette sordide aventure ou le début d’un terrible cataclysme ?
Merci pour la petite histoire Mussino, j’aime bien ce genre de petit récit. Quand on a l’âme rêveuse on profite encore plus du jeu, non ? Mais ce n’est pas du JdR Et oui, c’est à la 3ème aventure que nous pourrons nous spécialiser.
Du coup comme je ne voulais pas écrire et suivre l’evolution du perso sur une feuille volante. J’ai fait une photocopie des feuilles de personnages en couleur et j’ai superposé les deux photocopies découpées au format carte, avec la carte originale; le tout glissé dans des sleeves transparentes. Du coup c’est plus pratique et ça fait plus “pro”. Et si des amis veulent garder leurs persos pour la partie suivante, les deux faces photocopiés et glissées dans une sleeve, ça marche très bien aussi et ils repartent avec; ravis.
salut, 1er scenar de la petite aventure d’initiation, c’était juste TROP BON. je suis vraiment satisfait du jeu ! c’est très immersif (bien content d’avoir lu un roman pathfinder avant de jouer, du coup les lieux, perso, bénédictions de desna, pharasma… tout ca me parle et c’est tant mieux). Du coup je suis parti à l’aventure avec valeros et erzen, je suis resté groupé tout le long de la partie pour que erzen ai +1d4 en combat. Victoire et il restait 6 cartes béné, valeros 4 cartes dans sont deck et erzen 2 cartes dans sont deck. Petite question (de blaireau certainement ) pour fermer une région, je pense qu’il faut éliminer le sbire pour tenté la fermeture, ou finir la pile (j’ai joué comme ca). on ne peut pas tenter le test de fermeture avant ? elle me parait con comme question, mais le paragraphe fermeture de la règle m’embrouille plus qu’autre chose !
Narsir dit:Merci pour la petite histoire Mussino, j'aime bien ce genre de petit récit. Quand on a l'âme rêveuse on profite encore plus du jeu, non ? Mais ce n'est pas du JdR Et oui, c'est à la 3ème aventure que nous pourrons nous spécialiser.
Je pense en effet qu'il est utile de se raconter une histoire pour profiter pleinement du jeu.
Au fait, j’aimerais me lancer dans une campagne entière; mais je vois que la carte campagne fournie avec la boîte de base ne mentionne pas l’aventure de base “Les périls de la côte oubliée”. J’ai deux questions: - Doit-on faire le scénario “Les périls de la côte oubliée” comme une mini-campagne avant la véritable campagne et les 6 aventures qui vont avec? (et donc recommencer à 0 dès qu’on commence “Les offrandes calcinées”). - Ou bien peut-on conserver ses personnages et leur évolution vécue dans “Les périls de la côte oubliée” comme si c’était une aventure préliminaire à la campagne, liée avec celle-ci?
Bon en relisant un passage des règles je pense pouvoir répondre à ma propre question: on peut faire n’importe quel scénario, aventure, etc. dans n’importe quel ordre; et on peut conserver son ou ses personnages (pas uniquement dans le cadre d’une campagne donc).
oui il vaut mieux faire le scénario d’introduction avant la campagne,ce qui permet d’avoir un peu d’équipement avant d’arriver dans le vif du sujet Par contre les aventures il faut les faire dans l’ordre evidemment,sinon c’est pas trop possible.