J’opte pour l’illustration 3 : Ce carrefour ou un homme sombre et une poule sont semble désertique et la route à parcourir longue et sans embûche, une voie libre bien qu’on distingue un visage au sourire démoniqaue sur la voie de droite, non ?
Pour moi ça ne peut être que la 3
Ce voyageur à la croisée des chemins n’a d’autre contraintes que de choisir sa route. Aucun obstacle ne vient entraver son chemin, il est totalement “libre” dans le choix de la “voie” à suivre
Je vote pour la 4
Par élimination :
- le regard effaré du petit garçon permet d’éliminer la 4
- l’ombre inquiétante sur la 3 permet également de l’éliminer
- le côté trouble et inquiétant de la 1 me rend dubitatif sur celle-ci
Du coup je retiens la 2
Hmmm, et si c’était nos trois petites sardines de la droite de l’image qui voulaient quitter leur boite de conserve? C’est le moment, le dîneur à la tête ailleurs…
Je penche pour la n°1, en imaginant la voix du conteur sirupeuse et tentatrice, légèrement inquiétante aussi. Beaucoup de promesses pour fuir un univers triste et terne et aller vers un monde radieux, la voix est libre, laisse toi tenter !
Sauf qu’on est chez Libellud
“I’m standing at the crossroads
There are many roads to take”
(Je me tiens au carrefour
Il y a beaucoup de routes à prendre)
La “3” me tentait beaucoup, car elle me rappelle la chanson d’Elmore James (version Calvin Russel).
Mais l 'auteur, à la fin de la chanson, laisse choix du chemin au futur et ne décide pas lui-même.
Autre correspondance: “One path leads to pain” (Un chemin mène à la peine): trouvez le quel…
J’y vois aussi un clin d’œil à “La mort aux trousses” et là, la voie n’est plus très libre…
La " 1" et la “2” ont pour moi un principe de dualité “bien/mal”, “ombre/lumière” qui induit un choix binaire, donc limitateur.
Je vais donc choisir la “4” pour son coté innocence. Ce petit garçon en pyjama et au chapeau à la “Indy”, ouvre un porte. Est ce celle de sa chambre ou une porte de son imaginaire nocturne, en tout cas “La voie est libre”…
En route pour “le Temple maudit” ou" l’Arche perdue".
La n°1 bien sûr. On est enfermé en l’enfer, entouré de nos du péchés représentés par tous les symboles bibliques présents et la porte s’ouvre enfin vers le paradis, le jardin d’Eden! Seul bémol, c’est peut-être trop facile.
Je penche pour la 4. Le petit garçon a l’air d’être un explorateur en herbe et doit s’imaginer une folle aventure.
“Nounours, prépare toi, j’ouvre la porte de la pièce secrète… C’est bon, la voie est libre !”
Une de mes répliques dans la pièce que nous préparons : “La voie est libre?” (en rentrant par la porte côté jardin) ; donc juste pour ça : la carte 4.
la 4…le petit garçon semble vérifier la présence de ses parents…c’est bon le voilà parti pour son enquête…
Pour moi ce serait plutôt la n°1 où le petit diablotin ouvre une voie vers un nouveau monde. Le départ vers l’aventure et la liberté semblent envisagées!
carte 4: le petit aventurier est prêt à quitter le cocon familial…
La numéro 1 car derrière on dirait le paradis !
La n°1 qui montre qu’être conteur c’est exposer son merveilleux monde intérieur et ses plus beaux rêves.
La numéro 4
Le jeune garçon ouvre la porte de demain : ses yeux expriment de la surprise voire la crainte de l’avenir ou encore de l’inconnu… Mais contrairement à l’adulte qui se met des barrières, pour l’enfant, tout est encore possible, les portes peuvent toutes s’ouvrir : il suffit de faire preuve de curiosité, d’envie et de courage pour constater que derrière la porte qui nous attire, les craintes sont la plupart du temps injustifiées et la voie vers le bonheur très souvent libre.
La numéro 4, malgré l’expression du visage…
La numéro 4.
L’enfant peut enfin mettre la main dans le pot à confiture ! La porte entrebâillée pour vérifier que personne ne le surprendra. “La voie est libre” phrase susurrée pour se donner du courage et aller faire une espièglerie.Cet enfant ça aurait pu être moi, j’aurais pu dire cela, je vote pour celle belle pensée.
La carte 3… et quelque chose me dit que la poule ne suivra pas la même voie que l’humain… Trop risqué!
La 2. Un long couloir, que rien n’entrave. La multitude de portes laisse le voyageur libre de ses choix. De plus, le bâtiment fait un peu penser à une gare. Et le sol lui fait penser à des rails avec les 2 couleurs. Et comme on appelle cela une voie de chemin de fer, cela ferait un bon lien avec la voie est libre.