La critique ludique n'existe pas

Sérieux ? …
Mais c’est vraiment de la merde.
Comme de définir UNE perception (personnelle) de l’absence de Dieu comme LA démonstration de son inexistence alors que cela en est 1 des preuve évidente à qui n’est pas myope du coeur.

L’étalage pseudo rationalisant d’une certaine bien pensance packagé dans une syntaxe correcte de constats tiédasses sur la non-présence de l’avis de tous dans le sien, ou celui censé le remplacé, ne démontre qu’une seule chose : l’insurmontable mur construit par son auteur avec la vie et les autres, par le moyen même qui lui sert de moteur à sa recherche, à savoir son propre égo.

Jouer c’est transmettre.

M. Teaman, quand il y aura de la place dans votre “savoir” pour vous laisser toucher, vous ne chercherez plus.

Il n’y a que 2 sortes de fous :

  • ceux qui pense vider l’océan avec une casserole, et s’extenuent sérieusement à convaincre les autres du bien fondée à rejoindre leur démarche
  • et ceux qui savent que cela ne marchera pas avec une passoire, mais le font quand même… pour le jeu…

Donc pour être parfaitement clair : je conchie l’extrême-centre dont vous vous faite le chancre.

Bien à vous

Cetrod

Morlockbob. Dommage pour le sujet, le débat est intéressant. Ceci étant, j’en ne suis pas moins en désaccord avec vous.
Si votre honneur et votre honnêteté ne valent pas plus qu’un We quelqu’en part et qu’il est aussi facile de vous acheter un avis complaisant… alors effectivement, je comprend que vous soyez méfiant des autres ! Le respect que j’ai pour mes semblables, surtout ceux qui me liraient ou m’écouteraient, me donne une telle responsabilité que les éditeurs devront mettre la barre bien bien plus haute pour m’acheter… car si tout le monde a son prix, je suis plus cher, alors :innocent:

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Sur la toile on trouve toutes les informations nécessaires : analyses de parties (avec des données statistiques), ressentiment des joueurs sur le jeu (critique/ avis de ceux-ci), description et analyse des règles, du matériel. Données sur l’auteur, sur l’éditeur, le distributeur.
Vous confondez critique et analyse/expertise.
Sur Tric trac ces informations sont en partie séparées mais présentes (largement suffisantes pour bien des jeux à mes yeux).
Il y a un nombre incommensurable d’ouvrages qui parlent des échecs, du bridge, du go, du poker etc. avec parfois plusieurs centaines de page d’analyse d’une seule partie. La popularité de ces jeux est évidemment à l’origine de cette profusion.

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La vache ! Je l’avais pas vu ce commentaire là. C’est un cas d’école tant il est rempli de rhétorique fallacieuse. Je vais le décortiquer parce que je pas laisser passer ça.

“Même avec un calme apparent à l’écrit, on peut aussi dire des bêtises.” Attaque insidieuse. Vous sous-entendez bien évidemment que j’écris des bêtises. Ce qui n’est pas un argument en soi.

“Bien sûr qu’il est toujours possible de mettre les formes quand on s’exprime…” Là, c’est juste pour me contredire facilement et donner l’impression que je dis n’importe quoi. Parce qu’évidemment c’est possible mais personne le fait. Cela donnerait des phrases remplies de “à mon humble avis”, de “selon moi”, “d’après moi”… Inutiles bien sûr parce que quand on s’exprime on exprime son opinion. Et dans le cas contraire, on cite la personne. Et, d’ailleurs, en parlant de citation…

“lorsqu’ “on” s’exprime en public et donc, dixit vous-même un peu plus haut, “on” s’expose à la critique” Encore une attaque insidieuse puisque vous sous-entendez que je n’accepte pas la critique. Alors que ce que je n’accepte pas c’est les attaques personnelles qui ne sont pas des critiques de fond. Juste un moyen de se défouler sur quelqu’un. D’ailleurs en parlant de ça, il faudrait peut-être faire un peu le ménage et virer les insultes qui commencent à fleurir en commentaire. Ce serait la moindre des choses. Mais je suppose que c’est ce que vous appelez un forum vivant.

“Donc votre “je suis sûr que nous sommes entre gentlemen” est faux puisque vous ne connaissez pas toutes les personnes qui vous lisent” Vous généralisez clairement le sens de ma phrase. Reprise dans son contexte, son sens n’est plus du tout le même.

“Il y a donc bien un souci de forme dans vos écrits.” Nouvelle généralisation à partir d’une phrase sortie de son contexte.

“Nous ne sommes pas des critiques ! Donc ça ne devrait même pas en devenir risible puisque c’est un postulat de départ.” Là vous déformez mes propos. Ce que je disais n’était pas qu’il était risible que vous ne soyez pas journaliste. Mais qu’il était ridicule de vous citez en tant que journaliste alors que vous affirmez vous-même ne pas l’être.

“Donc c’est un ressenti, pas une vérité ? Il est donc possible de, personnellement, trouver votre ressenti fade, pédant ou sans intérêt, incomplet ou à destination de “venez voir ma chaîne” ?” Après avoir enfoncé une porte ouverte (en rajoutant une couche sur l’idée que je n’admet pas la critique) vous glissez un procès d’intention dans des critiques dures mais qui peuvent être argumentées. Je vous l’ai déjà dit, je vous le redit, abandonnez cette manie de vouloir faire des procès d’intention. C’est un sophisme connu et reconnu. Pourquoi ? D’abord parce que c’est une intention supposée et que, du coup, vous pouvez me prêtez toutes les intentions que vous voulez. Ensuite, et surtout, parce que ça nous apprend rien sur le fond. C’est juste une façon mesquine d’essayer de disqualifier quelqu’un.

“Et bien vous savez quoi, après avoir essayer et vu d’autres essayer, nous n’attendions plus que vous pour nous montrer la voie que vous semblez si prêt à ouvrir…” Ca c’est l’argument le plus bâteau du monde. “Si tu n’es pas capable de faire mieux, tais-toi”. Ca voudrait dire qu’on ne pourrait plus rien dire en dehors de notre domaine d’expertise. Vous qui défendez l’idée que toutes les opinions se valent, c’est quand même une sacrée contradiction.

“Bonnes parties à vous et bonne continuation sur votre chaîne” Balancez des horreurs et finir là-dessus c’est le procédé que je trouve le plus fascinant. C’est un moyen de faire passer la pilule en préparant votre éventuelle défense. Comme ça vous pourrez dire : “Mais non vous voyez bien que je ne lui veux pas de mal, je lui ais souhaité bonne continuation !”.

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Ah bon, on ne vous y reprendra plus… et bien voyons !
J’ai lu et relu votre article… vous parler d’attaque ad hominem à votre encontre et vous faites de même à mon encontre “lisez mon article” “ça tenait si mal debout” etc… Ai-je, moi, parler en premier “d’expliquer si le jeu respectent ou non ses promesses et pour qui” ? Non, c’est vous ? Je vous explique qu’analyser et expliquer ceci ne peut se faire sans tenter de prendre un compte un maximum de choses, dont l’attente des joueurs au milieu de plein d’autres trucs… qui sont bien des éléments différents ! Et il n’y a aucun doute là-dessus. Et que pour écrire en profondeur sur un jeu, il faut effectivement tout ça… et plus encore ! Maintenant lisez mon exemple sur la critique d’un poème d’un poète et son accueil du public et répondez donc sur l’utilité de la critique ?.. ah non, pardon, vous ne pouvez plus répondre…

Alors je vais essayer d’être plus clair : Je ne suis pas contre une “approche globale, profonde et critique”. C’est juste que je ne me retrouve pas dans les propos de cet article, à la fois sur la forme, et sur l’absence de critique. Ce monsieur vient dire ici qu’il ne trouve pas les critiques tel qu’il les voudrait. Super, Et ?
Proposer une approche critique n’a, pour moi, rien à voir avec ce qui est décrit dans l’article. J’aime couper les cheveux en quatre, approfondir les connaissances, recouper des éléments et essayer de tourner l’objet analysé pour le voir sous d’autres angles… j’adore ça ! Mais pas pour “se la péter”, pas pour “juger d’une hauteur”, pas pour dire “ce jeu a complètement ratés ses promesses” puisque je considère ne pas être à même de “juger” des promesses du jeu et de la façon dont il résonne avec tout un chacun… Donc intellectuellement, respectueusement, creuser, oui ! Et être le plus exhaustif possible pour “assurer” le propos et ne pas se moquer de ceux qui écoutent comme de ceux qui créent. Et pour tout ça, il faut de solides bases culturelles, intellectuelles, connaissances variées… et encore, ce n’est pas suffisant pour être toujours pertinent. Je préfère donc rester humble par rapport à la création de quelqu’un d’autre dans ma façon de dire les choses…
Par contre, lorsque monsieur TeaMan applique et explique ce que devrait être “sa” critique, avec ses règles et qu’en contrepartie, il n’accepte pas ces mêmes règles de critique sur ses propres propos, ça m’amène à moins porter crédit à ses dires. C’est tout !

“C’est un cas d’école tant il est rempli de rhétorique fallacieuse. Je vais le décortiquer parce que je pas laisser passer ça”
Donc vous êtes professeur es “rhétorique fallacieuse” pour en faire un cas d’école… et bien figurez-vous que moi-aussi peut-être et que c’est exactement comme vous, pour “ne pas laisser passer ça” que je vous répond.

““Même avec un calme apparent à l’écrit, on peut aussi dire des bêtises.” Attaque insidieuse. Vous sous-entendez bien évidemment que j’écris des bêtises. Ce qui n’est pas un argument en soi.” Où est-ce que j’ai dit que c’était un argument ? Vous dites plus haut que la colère est mauvaise conseillère et qu’elle conduit à dire des bêtises. Je rétorque que ce n’est pas le seul cas. On peut effectivement être dans un calme apparent à l’écrit et dire des bêtises. Vous vous êtes sentis visés ? Bien sur que je sous-entend que vous dites des bêtises, sinon, je n’aurai pas besoin d’y répondre… Dixit en introduction de ce mail.

"“Bien sûr qu’il est toujours possible de mettre les formes quand on s’exprime…” Là, c’est juste pour me contredire facilement et donner l’impression que je dis n’importe quoi. Parce qu’évidemment c’est possible mais personne le fait. "
C’est exactement cette morgue qui me fait bondir. Vous affirmez. Donc vous avez vérifié les articles du monde entier ? Personne ne le fait vraiment ? Vous dites bien n’importe quoi puisque vous n’avez jamais vérifié. De mon côté, j’essaye au maximum de mettre ce genre de “forme” justement pour être respectueux. Je ne dis pas que j’y arrive tout le temps, mais au moins j’essaye… Mais vous n’êtes, bien sûr, pas obligé de me croire.

““lorsqu’ “on” s’exprime en public et donc, dixit vous-même un peu plus haut, “on” s’expose à la critique” Encore une attaque insidieuse puisque vous sous-entendez que je n’accepte pas la critique. Alors que ce que je n’accepte pas c’est les attaques personnelles qui ne sont pas des critiques de fond. Juste un moyen de se défouler sur quelqu’un. D’ailleurs en parlant de ça, il faudrait peut-être faire un peu le ménage et virer les insultes qui commencent à fleurir en commentaire. Ce serait la moindre des choses. Mais je suppose que c’est ce que vous appelez un forum vivant.”"
Alors j’ai envie de répondre “qui sème le vent récolte la tempête”… d’autres que moi ont trouvé qu’effectivement l’article, sur sa forme au moins, était maladroite dans l’attaque pouvant être perçue comme frontale. De même, je n’ai fait que répondre mais si vous souhaitez la liste de vos attaques personnelles, je me tiens à votre disposition. Mes témoins vous attendront sur le pré, derrière le marigot des douves de TT que je vais ressusciter pour l’occasion s’il le faut.

““Donc votre “je suis sûr que nous sommes entre gentlemen” est faux puisque vous ne connaissez pas toutes les personnes qui vous lisent” Vous généralisez clairement le sens de ma phrase. Reprise dans son contexte, son sens n’est plus du tout le même.”
Donc je généralise le sens de vos phrase et lorsque je dis que vous faites de même dans votre article, ce n’est pas le cas. C’est bien ça. “Faites ce que je dis mais pas ce que je fais”

““Il y a donc bien un souci de forme dans vos écrits.” Nouvelle généralisation à partir d’une phrase sortie de son contexte.”
Si vous voulez… c’est mon avis, j’ai le droit de l’exprimer, comme vous avez le droit de ne pas être d’accord, de le tourner en ridicule… je n’en garde pas moins le droit de l’exposer.

““Donc c’est un ressenti, pas une vérité ? Il est donc possible de, personnellement, trouver votre ressenti fade, pédant ou sans intérêt, incomplet ou à destination de “venez voir ma chaîne” ?” Après avoir enfoncé une porte ouverte (en rajoutant une couche sur l’idée que je n’admet pas la critique) vous glissez un procès d’intention dans des critiques dures mais qui peuvent être argumentées. Je vous l’ai déjà dit, je vous le redit, abandonnez cette manie de vouloir faire des procès d’intention. C’est un sophisme connu et reconnu. Pourquoi ? D’abord parce que c’est une intention supposée et que, du coup, vous pouvez me prêtez toutes les intentions que vous voulez. Ensuite, et surtout, parce que ça nous apprend rien sur le fond. C’est juste une façon mesquine d’essayer de disqualifier quelqu’un.”
Maintenant nous passons au conseil sur ce que je dois faire moi aussi. Il faut que j’abandonne. Mais je fais ce que je veux, et vous aussi. Sophisme connu ou non. Vous me prêtez depuis le début vous-même des intentions comme des faits (celui de ne pas avoir lu votre texte par exemple) et quoi ? Vous pouvez essayer de façon mesquine de me disqualifier et vous me refuser le droit d’en faire autant si c’est bien mon intention ? Voyons, voyons, tsss, tsss, tsss, ce ne serait pas très fairplay non ? Surtout sur un site de jeu…

““Et bien vous savez quoi, après avoir essayer et vu d’autres essayer, nous n’attendions plus que vous pour nous montrer la voie que vous semblez si prêt à ouvrir…” Ca c’est l’argument le plus bâteau du monde. “Si tu n’es pas capable de faire mieux, tais-toi”. Ca voudrait dire qu’on ne pourrait plus rien dire en dehors de notre domaine d’expertise. Vous qui défendez l’idée que toutes les opinions se valent, c’est quand même une sacrée contradiction.”
Encore une fois, ne me prêtez pas d’intention. Je ne dis pas “si vous (je ne vous connaît pas, j’utilise donc le vouvoiement) n’êtes pas capable de faire mieux, taisez-vous”, je dis clairement "puisque vous semblez si malin à définir les choses telles qu’elles devraient être, et que, ce qui se conçoit bien s’énonçant clairement, j’attends votre “critique professionnelle” sur un jeu pour voir.

“Bonnes parties à vous et bonne continuation sur votre chaîne” Balancez des horreurs et finir là-dessus c’est le procédé que je trouve le plus fascinant. C’est un moyen de faire passer la pilule en préparant votre éventuelle défense. Comme ça vous pourrez dire : “Mais non vous voyez bien que je ne lui veux pas de mal, je lui ais souhaité bonne continuation !”.
Et bim, encore une intention. Si vous me connaissiez vraiment, vous sauriez que je ne vous veux aucun mal… Aucun !! Là, encore, vous n’êtes pas obligé de me croire. Par contre, vous pouvez me croire quand je vous dis sincèrement : “Si vous souhaitez continuer à publier sur TT avec vos propres façons de faire, il faut accepter que cette façon de faire soit utiliser avec vous également… sinon, c’est injuste !”… Oui, je suis très Caliméro :slight_smile:

Et pour encore plus marteler le truc, je fais un copié-collé :
Proposer une approche critique n’a, pour moi, rien à voir avec ce qui est décrit dans l’article. J’aime couper les cheveux en quatre, approfondir les connaissances, recouper des éléments et essayer de tourner l’objet analysé pour le voir sous d’autres angles… j’adore ça ! Mais pas pour “se la péter”, pas pour “juger d’une hauteur”, pas pour dire “ce jeu a complètement ratés ses promesses” puisque je considère ne pas être à même de “juger” des promesses du jeu et de la façon dont il résonne avec tout un chacun…
Donc intellectuellement, respectueusement, creuser, oui ! Et être le plus exhaustif possible (en jouant à un maximum de jeux) pour “assurer” le propos et ne pas se moquer de ceux qui écoutent comme de ceux qui créent. Et pour tout ça, il faut de solides bases culturelles, intellectuelles, des connaissances variées… et encore, ce n’est pas suffisant pour être toujours pertinent. Je préfère donc rester humble par rapport à la création de quelqu’un d’autre dans ma façon de dire les choses…

Par contre, lorsque monsieur TeaMan, vous appliquez et expliquez ce qu’est votre conception de “la” critique, avec ses règles, et qu’en contrepartie, vous n’acceptez pas ces mêmes règles de critique sur vos propos… oui, ça m’amène à moins porter crédit à vos dires. C’est tout ! Et ce n’est pas très grave !

Bonne continuation en attendant le moment de se rencontrer en vrai pour voir si nous nous écharperons ou si la discussion sera intéressante quand même… :smiley:

Plus le sujet avance, plus il devient absurde et rigolo. Je ne vais pas redire ce qui a déjà été dit par d’autres, et fort bien, sur l’objectivité, la subjectivité tout ça. C’est un débat déjà fait cent fois pour à chaque fois le même résultat: il n’aboutit à rien. Peut être parce que ce sont deux notions qui se complètent plutôt qu’elle ne s’opposent et que chercher à n’être que l’un ou l’autre amène à ce genre de discussions absurdes.

Néanmoins, si on évoque la subjectivité tout de même, c’est assez fort du café de vouloir jouer les critiques, auteurs si on est incapable d’accepter le moindre avis contradictoire, en assurant le service après-vente pour chaque réponse n’allant pas dans le bon sens en expliquant à nouveau les choses ou en cherchant à dénigrer. Ou alors en se servant des bonnes vieilles ficelles de la victimisation. Peu importe si l’article est prétentieux ou cassant à la base. Si tu n’es pas d’accord, tu es un idiot ou tu diffames. Il y aura toujours une petite phrase dans les réponses pour le suggérer. Je veux imposer mon avis à coup de buche dans le crâne et je suis surpris qu’on me la renvoie. On fait popo dans la salle à manger et on s’indigne parce qu’une personne vous dit que ça se fait pas. Intéressant. Parce qu’on peut parler de l’Art de la critique pendant des heures, la première chose à savoir sur le sujet, et je ne le dis pas sur un ton professoral, juste comme l’avis d’un vague gars qui a déjà posté des chroniques de films en amateur (mon gros défaut je le crains: je n’ai jamais été payé pour le faire, désolé) c’est que tout travail, artistique ou non, objectif, subjectif, vain ou constructif, peu importe expose à la critique. Même la critique justement. Partant de là, si on est incapable de prendre en compte les avis des autres, d’écouter leurs réserves, justifiés ou non, constructives ou non d’ailleurs, il faut faire autre chose, pas un truc public en tout cas. C’est la règle du jeu, parce que sinon, c’est trop facile. On s’écoute parler, ou on se regarde écrire, on “convainc” des gens qui sont déjà d’accord avec vous, on ne se remet jamais en question. C’est ce que la personne qui a écrit cet article fait semblant de ne pas comprendre. Ou ne peut pas comprendre, car son égo l’en empêche. Et c’est assez triste lorsqu’on y réfléchit. Je ne suis pas d’accord avec les articles de ce monsieur mais à la limite, s’il a des arguments (que je n’arrive toujours pas à trouver dans cette masse de formules ampoulées, et pourtant j’essaie) qu’il fasse sa vie, je me contenterais d’une indifférence polie. Là où ça coince, c’est dans l’attitude, l’arrogance, cette certitude de tout connaître et cette manière de reprendre les gens qui ne sont pas d’accord avec LA vérité de l’auteur. Parce qu’autant être honnête, si cette personne est choquée par les avis sur cette page, il n’a pas fini de souffrir. Car ce qui est dit reste extrêmement mesuré par rapport à ce qu’on peut se prendre dans les dents en écrivant des avis sur le net, je parle d’expérience. Et le temps qu’on a mis, l’énergie n’est pas un passe-droit et un gilet pare-balles. Tu crées un truc, tu t’exposes. Et si c’est trop dur à supporter, tu te contentes de consulter. Et si tu fais la démarche pour flatter ton égo, tu fais fausse route. Parce que le monde, et internet encore moins, ne t’as pas attendu et, dans sa grande majorité, n’en a strictement rien à cirer de ton existence. S’il n’y a pas derrière une vague volonté de partage, de bonne pédagogie (pas un truc qui te dirait comment tu dois vivre), s’il n’y a pas beaucoup, mais alors beaucoup de recul sur ce qu’on fait, il faut arrêter. C’est ce qu’on m’a appris lorsque j’ai débuté ma petite et dérisoire vie de chroniqueur, qui est aujourd’hui derrière moi. Mais après tout ça… ce n’est qu’un avis.

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Merci, m’sieur Wolfwood ! Sincèrement !
Je vais me garder votre avis à lire et relire, parce qu’il y a plein de trucs que j’aime bien dedans et que ça va m’être utile d’y revenir régulièrement pour garder le bon cap, et la tête froide, et un fond de bienveillance, si je continue quelques années sur cette voie-là :slight_smile:

Thank you !

Donc quand je m’excuse devant une critique légitime, je joue la victime. Quand j’argumente face à une critique sur laquelle je ne suis pas d’accord ou qui vient, à mon sens, d’une incompréhension, je refuse l’avis contradictoire. Et quand je me défends devant ce qui est clairement de l’attaque personnelle, voire de l’insulte, je diffame. Je peux pas m’en sortir en fait, j’aurais jamais raison.

Avant que vous arriviez, il commençait à y avoir du débat contradictoire. Certains ont relevé très justement des faiblesses à l’article, d’autres ont partagé leurs opinions, leurs ressentis. J’ai débattu, me permettant d’approfondir mes idées. J’ai concédé certaines choses et j’ai répondu à d’autres parce qu’on a le droit de penser que toutes les critiques ne sont pas justifiées. Cela se faisait dans une ambiance sereine, ni tendue, ni violente.

Et puis vous êtes arrivé. Vous avez publié sur tous les fils que vous pouviez. Et les débats se sont tus. ll ne restait plus que vos posts dans lequel on retrouvait des arguments stériles, peu intéressants, parfois même pas en contradiction avec l’article lui-même. Sous un air de bonhomie et de “fond de bienveillance”, on trouvait des petites piques, des attaques insidieuses. Et je n’extrapole pas vous l’admettez vous-même dans le commentaire juste au-dessus de celui-ci. Avant que vous arriviez certaines critiques ne prenaient pas de gants mais elles étaient toujours centré sur le texte. Et c’est quelque chose que j’admet. Après vous, les quelques commentaires publiés étaient pratiquement tous des attaques centrés sur ma personne. Comprenez-moi bien, je ne crie pas au complot. Je ne pense pas que vous ayez plusieurs comptes ou des trolls en cage à lâcher quand un article ne vous plaît pas. Je pense que vos posts ont changé l’ambiance. Vous êtes le tenancier ici, la manière dont vous vous exprimez va avoir une influence. Et c’est comme ça qu’on est passé de commentaires parfois très critiques mais basé sur le fond et ouvert au débat à des quasi-insultes contre lesquels on ne peut pas rétorquer grand chose. Et quand on réplique, quand on ne se laisse pas faire par les brutes, elles s’offusquent. Je n’accepte pas la controverse, disent-elles. Mais quelle controverse ? Il n’y a pas de controverse quand on s’attaque directement à la personne.

J’ignore si je vais continuer à poster ici des articles et sachant que je suis dans le colimateur de haters et qu’ils ont l’assentiment du taulier. Je ne vais pas faire de suppositions. Je ne sais pas si c’est ce que vous voulez ou non. Mais dans tous les cas je n’agirais plus de la même manière. Je n’écrirais plus mes articles pareil. Je n’aborderais peut-être pas des sujets trop sensibles. Je ne m’attarderais pas autant sur les commentaires. Quoique je fasse les brutes gagnent, d’une manière ou d’une autre.

Vous voudriez me rencontrer. Je sais que ce n’est pas me donner le beau rôle mais c’est pas mon cas. Votre manière de débattre, vos petites insinuations, la manière dont vous assumez votre rhétorique tordue. Rien ne me donne envie de parler avec vous. Rien ne me fait croire qu’il en sortira quelque chose d’intéressant. Pour moi (et pour moi seulement, c’est une opinion personnelle) vous êtes le roi des brutes. Ce qui ne donne pas tellement envie de vous connaître.

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Merci Wolfwood, cela résume à 300% ce que je pensais en lisant tous ces échanges.
Je n’ai rien à ajouter de plus. Tout est dit.

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N’oublions pas le fond des choses et les motivations…

alors, le coup de pub a marché ? Combien de vues sur YouTube depuis le post de cet article ?
:partying_face:

J’ai pas pigé le coup de la preuve de l’existence de dieu.

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Franchement, si l’amateur ludique que tu es n’est pas satisfait de ce que tu trouves sur le marché, maintenant que tu en as fait le constat (et que t’en prends plein la tronche en retour) fermes tes écoutilles, blindes ta confiance en toi, et va ouvrir LE site qui répondra au vide que tu déplores.

Je ne suis pas là pour te démonter, te faire la leçon ou quoi que ce soit. Je ne suis pas critique, ni philosophe, ni débatteur. Je travaille dans le commerce international. Je suis pragmatique et n’aime pas les longs discours.

Si demande il y a (et tu sembles la constater), c’est qu’une offre peut/doit/va se positionner en face. C’est la loi du marché, C’est inexorable. Fonces sur cette opportunité, car si tu ne la saisis pas (et si ton constat est véridique) quelqu’un le fera, et probablement moins bien que toi!

Sans aucune ironie, ou malveillance, je te souhaite de t’épanouir dans cette voie, et prouver que tu peux apporter une vraie plus-value à ce secteur en plein développement.

En Afrique, où je vis, un proverbe bien connu dit: “Le Tigre n’a nul besoin de prouver sa tigritude, il bondit sur sa proie et la dévore”.
Ne t’éparpille pas en réponses stériles (c’est le terme quand ni l’émetteur, ni le destinataire ne sont ouverts aux échanges) pour prouver le bienfondé de ton initiative. Agis! Bondis! Dévores!

Ludiquement,

JLP

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J’ai tout relu, article + nombreux commentaires (un record en vue ?). J’ai pris le temps de visionner vos vidéos.
Je retiens.

Vous dites : “Se dire que des heures de travail peuvent être dénigrés en quelques lignes par n’importe quel macaque capable de taper sur un clavier, ce n’est pas toujours facile.”
Je n’aime pas ce terme “macaque” assez méprisant, arrogant voire grossier et inutilement déplacé dans un article qui se veut à la hauteur.

Vous dites aussi : “Un critique est censé bien connaître son sujet, savoir écrire, ne pas faire de fautes…”
J’ai compté 5 fautes dans votre article. Certes ce n’est pas beaucoup mais tout de même, faut rester à la hauteur jusqu’au bout des doigts…du clavier.

Quand j’écris en commentaire, pour détendre un peu l’atmosphère : “Pas trop sérieusement quand même, on est là pour s’amuser, léger-léger :wink:
Y’a que les enfants qui prennent le jeu au sérieux…”

Vous répondez, moqueur voire hautain : “C’est vrai que la dernière fois j’ai fait une partie d’échec, je me suis fendu la poire c’était trop fun !”
( souligner la faute à Echec…oubli du S… jeu d’Echecs toujours avec un S)
Pourquoi cette remarque désobligeante ? ?
C’est ne pas connaître les joueurs d’Echecs et y compris les compétiteurs. Bien dommage pour un futur critique ludique.

Sans donner de leçons, je conclue et vous propose d’être : plus généreux, plus modeste, plus ouvert.
Moins pédant, moins suffisant, moins poseur.

C’est dommage car le sujet lancé sur la critique ludique me semblait intéressant.

Allez, bons jeux à tous.

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  • “Il s’est intéressé aux informations autour de l’oeuvre. Aux interviews du réalisateur, aux carnets d’auteurs, aux interventions publiques de l’éditeur… Tout ça pour mieux cerner l’intention des créateurs.”

Le critique est donc un bibliographe : comment fait-il pour des jeux millénaires dont on ne connait rien des intentions de/des auteurs pour les juger ??? Pas possible alors ???
Il doit aussi être historien/archéologue probablement.

  • “Un critique ne va pas se demander s’il a aimé ou non mais si le public visé va être satisfait par l’expérience proposée. En d’autres termes, si les promesses du jeu sont tenues ou non.”

Donc le critique est un sociologue : il analyse les opinions des joueurs. Quoi de mieux que de lire les avis, d’aller à la source pour savoir si “le peuple” a aimé ? Un critique maitrise donc les outils mathématiques permettant de faire des études sociologiques sérieuses.

  • “Les règles et les avis ne nous donnent qu’une vague idée de l’expérience de jeu et peuvent être trompeurs.”

Ah bon ??? Donc quand des gens donnent leur avis il ne faut pas les croire ??? Va falloir que je parle à mon un psychiatre.

-“Observer une partie c’est un peu pareil. Jouer est une expérience personnelle, très intérieure. Du coup, les informations obtenues seront forcément superficielles.”

Alors il ne faut pas jouer car cela biaiserait notre “critique” ???

“J’irais même plus loin. Une seule partie n’est pas toujours suffisante pour se faire une idée claire d’un jeu”

Quoi ??? Faut jouer sans jouer ??? Faut-il en conclure que pour faire une bonne critique il faut jouer les yeux bandés avec des boules quiès et des moufles ?

  • “C’est pour cela qu’une critique sérieuse écrite avec recul et analyse, après plusieurs parties, dans toutes les configurations proposées et avec des joueurs différents a toujours de l’intérêt malgré l’existence d’autres sources d’informations.”

En plus il faut prendre du recul ? il faut aller dans la pièce d’à côté ?

“Avoir une bonne culture ludique est indispensable pour faire une critique”.

En résumé il faut que le critique fasse mille parties d’un jeu avant de s’exprimer tout en ayant une culture ludique immense : faut commencer l’apprentissage dès le berceau si on veut devenir critique avant l’âge légal de la retraite !

“- En fait, leur existence serait une bonne chose pour tous. Pour les éditeurs qui auraient un repère supplémentaire d’exigence et de tendance du marché. Et pour les auteurs qui sont souvent très curieux du travail de leurs collègues. Une critique peut leur dire “Intéressez-vous à ce jeu, il est raté mais a des idées intéressantes.” ou “là, ça marche plus parce que c’est devenu trop convenu”…”

Le critique est aussi un expert en marketing, un coach pour créateur, un créateur, un peu un voyant aussi (il sait de quoi sera fait l’avenir du marché, surtout écoutez ses prédictions mes braves !) …

J’ai beau regarder les critiques littéraires ou artistiques, je ne vois pas systématiquement (voir même quasiment jamais) d’étude bibliographique (Banksy c’est qui dejà ?) sur l’auteur, le propriétaire du salon artistique où il a exposé ses oeuvres, etc.
Pas de référence à une étude sociologique des gens venus voir ses tableaux ou les ayant acheté également.
Je n’ai pas l’impression que le critique artistique campe trois jours devant le tableau qu’il juge avant de rédiger son papier.
Pas d’étude marketing non plus …

Un critique (littéraire ou artistique) ce n’est pas un journaliste, c’est une personne qui donne SON opinion sur une oeuvre, point barre.

Personnellement si je devais écrire des articles (engagés ou neutres) sur un aspect du monde ludique, je commencerais par choisir un (ou deux) point de vue : soit traiter l’aspect économique, soit l’aspect stratégique,soit le côté création, soit l’apect matériel, soit l’aspect sociologique des joueurs, etc. Soit il te manque des connaissances et tu vas faire une investigation (une enquête) pour mieux cerner le problème que tu désires traiter, soit tu fais une analyse des données que tu as, tu les vérifies si nécessaire.
J’ai l’impression que ce que tu décris n’a guère de sens : pour écrire un bon article il faut savoir faire un tri. Traiter tout ce qui a un rapport de près ou de loin avec le sujet que tu as choisi (et il semble que justement tu sembles incapable de te restreindre à un point de vue), ça ne peut donner qu’une purée indigeste.
Je n’ai jamais vu d’article littéraire qui parle de la petite enfance de l’auteur puis fait une analyse grammaticale du texte, puis une analyse du thème, puis une étude sociologique et psychologique des lecteurs, puis une analyse économique du marché littéraire, puis une analyse du circuit de distribution, puis une analyse de la reliure, etc.

Cordialement

Bonsoir,

Je rentre de mon asso, donc un petit copier / coller de feignasse (et une 'tite citation aussi en prime) , histoire de pas lancer de débat…

“Le mal existe-il ?”

"Un professeur universitaire a défié ses étudiants avec cette question :

  • Est-ce que Dieu a créé tout ce qui existe ?

Un étudiant a bravement répondu : - oui, Il l’a fait !

Le professeur a dit : - Dieu a tout créé ?

  • Oui, monsieur, a répliqué l’étudiant.

Le professeur a répondu : si Dieu a tout créé, il a donc aussi créé le mal, puisque le mal existe

et selon le principe de nos travaux qui définissent ce que nous sommes, alors Dieu est mauvais.

L’étudiant était resté silencieux devant une telle réponse. Le professeur était tout à fait heureux de lui-même

et il se vantait aux étudiants qu’il avait prouvé encore une fois que la foi était un mythe.

Un autre étudiant a levé sa main et a dit : - Puis-je vous poser une question professeur ?

  • Bien sûr, a répondu le professeur.

L’étudiant a répliqué : - Professeur, le froid existe-t-il ?

  • Quel genre de question est-ce, cela ? Bien sûr qu’il existe. Vous n’avez jamais eu froid ? a répliqué le professeur.

Le jeune homme a répondu : - En fait monsieur, le froid n’existe pas.

Selon la loi de physique, ce que nous considérons comme le froid, est en réalité l’absence de chaleur.

Tout individu ou tout objet possède ou transmet de l’énergie.

La chaleur est produite par un corps ou par une matière qui transmet de l’énergie.

Le zéro Absolu (-460°F) est l’absence totale de chaleur ; toute la matière devient inerte et incapable de réagir à cette température.

Le Froid n’existe pas. Nous avons créé ce mot pour décrire ce que nous ressentons si nous n’avons aucune chaleur.

L’étudiant a continué : - Professeur, l’obscurité existe-t-elle ?

Le professeur a répondu : - Bien sûr qu’elle existe !

L’étudiant a répondu : - Vous avez encore tort Monsieur, l’obscurité n’existe pas non plus.

L’obscurité est en réalité l’absence de lumière. Nous pouvons étudier la Lumière, mais pas l’obscurité.

En fait, nous pouvons utiliser le prisme de Newton pour fragmenter la lumière blanche en plusieurs couleurs

et étudier les diverses longueurs d’onde de chaque couleur. Vous ne pouvez pas mesurer l’obscurité.

Un simple rayon de lumière peut faire irruption dans un monde d’obscurité et l’illuminer.

Comment pouvez-vous savoir l’espace qu’occupe l’obscurité ? Vous mesurez la quantité de lumière présente.

N’est-ce pas vrai ? L’obscurité est un terme utilisé par l’homme pour décrire ce qui arrive quand il n’y a pas de lumière.

Finalement, le jeune homme a demandé au professeur : - Monsieur, le mal existe-t-il ?

Maintenant incertain, le professeur a répondu : - Bien sûr comme je l’ai déjà dit. Nous le voyons chaque jour.

C’est dans les exemples quotidiens de l’inhumanité de l’homme envers l’homme.

C’est dans la multitude des crimes et des violences partout dans le monde.

Ces manifestations ne sont rien d’autre que du mal !

L’étudiant a répondu : - le Mal n’existe pas Monsieur, ou du moins il n’existe pas de lui-même.

Le Mal est simplement l’absence de Dieu en soi. Il est comme l’obscurité et le froid, un mot que l’homme a créé pour décrire l’absence de Dieu en soi.

Dieu n’a pas créé le mal. Le Mal n’est pas comme la foi, ou l’amour qui existe tout comme la lumière et la chaleur.

Le Mal est le résultat de ce qui arrive quand l’homme n’a pas l’amour de Dieu dans son coeur.

Il est comme le froid qui vient quand il n’y a aucune chaleur ou l’obscurité qui vient quand il n’y a aucune lumière.

Le professeur s’est assis."

Le nom du jeune homme ? Albert Einstein

“Le monde est dangereux à vivre! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire.” - Albert Einstein

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Il n’y a pas de bouton bof.
J’ai l’impression de lire un de me posts trois ans après et d’y trouver des trucs sur lesquels je suis violemment contre et d’autres, lumineux.

Du coup, bof.

Personnellement, quand je vais voir une exposition, que je lis un livre, quand je vais au cinéma, quand je joue, c’est pour ressentir des émotions. Peut-être pour mieux me sentir vivre, je ne sais pas, me sentir vivre “plus fort”. Je suppose que plein de philosophes ont abordé ce sujet. La prise de hauteur, le contexte, la vie de l’artiste, l’intention, cela peut-être intéressant, mais ce n’est pas ce que je cherche en premier. Je suis sûr qu’il y a des gens qui recherchent cela systématiquement, et qu’il y a des gens qui recherchent autre chose, auquel je n’ai même pas pensé.

Et vous savez quoi ? Quand je lis des avis, c’est pareil. Je cherche l’émotion. C’est pourquoi je vous remercie, je suis gâté ce soir.