“C’est un cas d’école tant il est rempli de rhétorique fallacieuse. Je vais le décortiquer parce que je pas laisser passer ça”
Donc vous êtes professeur es “rhétorique fallacieuse” pour en faire un cas d’école… et bien figurez-vous que moi-aussi peut-être et que c’est exactement comme vous, pour “ne pas laisser passer ça” que je vous répond.
““Même avec un calme apparent à l’écrit, on peut aussi dire des bêtises.” Attaque insidieuse. Vous sous-entendez bien évidemment que j’écris des bêtises. Ce qui n’est pas un argument en soi.” Où est-ce que j’ai dit que c’était un argument ? Vous dites plus haut que la colère est mauvaise conseillère et qu’elle conduit à dire des bêtises. Je rétorque que ce n’est pas le seul cas. On peut effectivement être dans un calme apparent à l’écrit et dire des bêtises. Vous vous êtes sentis visés ? Bien sur que je sous-entend que vous dites des bêtises, sinon, je n’aurai pas besoin d’y répondre… Dixit en introduction de ce mail.
"“Bien sûr qu’il est toujours possible de mettre les formes quand on s’exprime…” Là, c’est juste pour me contredire facilement et donner l’impression que je dis n’importe quoi. Parce qu’évidemment c’est possible mais personne le fait. "
C’est exactement cette morgue qui me fait bondir. Vous affirmez. Donc vous avez vérifié les articles du monde entier ? Personne ne le fait vraiment ? Vous dites bien n’importe quoi puisque vous n’avez jamais vérifié. De mon côté, j’essaye au maximum de mettre ce genre de “forme” justement pour être respectueux. Je ne dis pas que j’y arrive tout le temps, mais au moins j’essaye… Mais vous n’êtes, bien sûr, pas obligé de me croire.
““lorsqu’ “on” s’exprime en public et donc, dixit vous-même un peu plus haut, “on” s’expose à la critique” Encore une attaque insidieuse puisque vous sous-entendez que je n’accepte pas la critique. Alors que ce que je n’accepte pas c’est les attaques personnelles qui ne sont pas des critiques de fond. Juste un moyen de se défouler sur quelqu’un. D’ailleurs en parlant de ça, il faudrait peut-être faire un peu le ménage et virer les insultes qui commencent à fleurir en commentaire. Ce serait la moindre des choses. Mais je suppose que c’est ce que vous appelez un forum vivant.”"
Alors j’ai envie de répondre “qui sème le vent récolte la tempête”… d’autres que moi ont trouvé qu’effectivement l’article, sur sa forme au moins, était maladroite dans l’attaque pouvant être perçue comme frontale. De même, je n’ai fait que répondre mais si vous souhaitez la liste de vos attaques personnelles, je me tiens à votre disposition. Mes témoins vous attendront sur le pré, derrière le marigot des douves de TT que je vais ressusciter pour l’occasion s’il le faut.
““Donc votre “je suis sûr que nous sommes entre gentlemen” est faux puisque vous ne connaissez pas toutes les personnes qui vous lisent” Vous généralisez clairement le sens de ma phrase. Reprise dans son contexte, son sens n’est plus du tout le même.”
Donc je généralise le sens de vos phrase et lorsque je dis que vous faites de même dans votre article, ce n’est pas le cas. C’est bien ça. “Faites ce que je dis mais pas ce que je fais”
““Il y a donc bien un souci de forme dans vos écrits.” Nouvelle généralisation à partir d’une phrase sortie de son contexte.”
Si vous voulez… c’est mon avis, j’ai le droit de l’exprimer, comme vous avez le droit de ne pas être d’accord, de le tourner en ridicule… je n’en garde pas moins le droit de l’exposer.
““Donc c’est un ressenti, pas une vérité ? Il est donc possible de, personnellement, trouver votre ressenti fade, pédant ou sans intérêt, incomplet ou à destination de “venez voir ma chaîne” ?” Après avoir enfoncé une porte ouverte (en rajoutant une couche sur l’idée que je n’admet pas la critique) vous glissez un procès d’intention dans des critiques dures mais qui peuvent être argumentées. Je vous l’ai déjà dit, je vous le redit, abandonnez cette manie de vouloir faire des procès d’intention. C’est un sophisme connu et reconnu. Pourquoi ? D’abord parce que c’est une intention supposée et que, du coup, vous pouvez me prêtez toutes les intentions que vous voulez. Ensuite, et surtout, parce que ça nous apprend rien sur le fond. C’est juste une façon mesquine d’essayer de disqualifier quelqu’un.”
Maintenant nous passons au conseil sur ce que je dois faire moi aussi. Il faut que j’abandonne. Mais je fais ce que je veux, et vous aussi. Sophisme connu ou non. Vous me prêtez depuis le début vous-même des intentions comme des faits (celui de ne pas avoir lu votre texte par exemple) et quoi ? Vous pouvez essayer de façon mesquine de me disqualifier et vous me refuser le droit d’en faire autant si c’est bien mon intention ? Voyons, voyons, tsss, tsss, tsss, ce ne serait pas très fairplay non ? Surtout sur un site de jeu…
““Et bien vous savez quoi, après avoir essayer et vu d’autres essayer, nous n’attendions plus que vous pour nous montrer la voie que vous semblez si prêt à ouvrir…” Ca c’est l’argument le plus bâteau du monde. “Si tu n’es pas capable de faire mieux, tais-toi”. Ca voudrait dire qu’on ne pourrait plus rien dire en dehors de notre domaine d’expertise. Vous qui défendez l’idée que toutes les opinions se valent, c’est quand même une sacrée contradiction.”
Encore une fois, ne me prêtez pas d’intention. Je ne dis pas “si vous (je ne vous connaît pas, j’utilise donc le vouvoiement) n’êtes pas capable de faire mieux, taisez-vous”, je dis clairement "puisque vous semblez si malin à définir les choses telles qu’elles devraient être, et que, ce qui se conçoit bien s’énonçant clairement, j’attends votre “critique professionnelle” sur un jeu pour voir.
“Bonnes parties à vous et bonne continuation sur votre chaîne” Balancez des horreurs et finir là-dessus c’est le procédé que je trouve le plus fascinant. C’est un moyen de faire passer la pilule en préparant votre éventuelle défense. Comme ça vous pourrez dire : “Mais non vous voyez bien que je ne lui veux pas de mal, je lui ais souhaité bonne continuation !”.
Et bim, encore une intention. Si vous me connaissiez vraiment, vous sauriez que je ne vous veux aucun mal… Aucun !! Là, encore, vous n’êtes pas obligé de me croire. Par contre, vous pouvez me croire quand je vous dis sincèrement : “Si vous souhaitez continuer à publier sur TT avec vos propres façons de faire, il faut accepter que cette façon de faire soit utiliser avec vous également… sinon, c’est injuste !”… Oui, je suis très Caliméro 
Et pour encore plus marteler le truc, je fais un copié-collé :
Proposer une approche critique n’a, pour moi, rien à voir avec ce qui est décrit dans l’article. J’aime couper les cheveux en quatre, approfondir les connaissances, recouper des éléments et essayer de tourner l’objet analysé pour le voir sous d’autres angles… j’adore ça ! Mais pas pour “se la péter”, pas pour “juger d’une hauteur”, pas pour dire “ce jeu a complètement ratés ses promesses” puisque je considère ne pas être à même de “juger” des promesses du jeu et de la façon dont il résonne avec tout un chacun…
Donc intellectuellement, respectueusement, creuser, oui ! Et être le plus exhaustif possible (en jouant à un maximum de jeux) pour “assurer” le propos et ne pas se moquer de ceux qui écoutent comme de ceux qui créent. Et pour tout ça, il faut de solides bases culturelles, intellectuelles, des connaissances variées… et encore, ce n’est pas suffisant pour être toujours pertinent. Je préfère donc rester humble par rapport à la création de quelqu’un d’autre dans ma façon de dire les choses…
Par contre, lorsque monsieur TeaMan, vous appliquez et expliquez ce qu’est votre conception de “la” critique, avec ses règles, et qu’en contrepartie, vous n’acceptez pas ces mêmes règles de critique sur vos propos… oui, ça m’amène à moins porter crédit à vos dires. C’est tout ! Et ce n’est pas très grave !
Bonne continuation en attendant le moment de se rencontrer en vrai pour voir si nous nous écharperons ou si la discussion sera intéressante quand même… 