Je n'ai pas forcément de méthodologie bien arrêtée, je fais selon l'humeur du moment, mais il y a des choses qui reviennent effectivement de façon régulière. Commencer par les bords, c'est le plus facile, même si parfois des zones centrales se font aussi facilement. J'aime bien trifouiller les pièces dans la boîte, alors je ne perds pas mon temps à trier par couleurs ou autre, pas au début en tout cas, & après c'est selon comment cela évolue. Soit c'est facile & j'avance comme cela vient, soit je commence à bloquer & là, il faut trouver des astuces. Il y a le tri par "couleurs" parfois & sinon, quand cela devient très/trop compliqué, je trie par forme. J'avoue que j'affectionne un peu cette dernière, elle m'est très efficace, aucun puzzle ne m'a résisté jusqu'à présent, même le trois mille pièces de mon frère auquel il restait bien cinq cent pièces du ciel à finir mais dont les pièces avaient déteint au soleil ... toute autre technique est anecdotique chez moi. Ah si, parfois, quand je vois une pièce facilement identifiable, je la place approximativement à sa place & m'en sert comme nouvelle pièce de départ pour m'étendre comme je peux le faire à partir des bords.
Oui, j’en ai un et ça fonctionne plutôt bien. Il peut y avoir 2-3 pièces qui se détachent, mais la globalité reste bien en place. C’est très pratique quand on a qu’une table et qu’on ne peut pas la squatter sur plusieurs jours.
Généralement avec. Je n’ai pas encore le niveau et/ou l’envie de faire sans.
J’ai fait mon tout dernier 1000p presque sans modèle à cause de comment il était composé (fastoche ; mon record sur un 1000p d’ailleurs : 4h05), mais généralement, je m’aide beaucoup du modèle, que ce soit pendant le tri ou la reconstitution.
Après avoir fini un puzzle, je le prends en photo, je partage avec la famille, puis je le défais. Et là, il y a deux types de puzzles :
ceux dont les pièces sont lâches, ce qui est pénible pendant la reconstitution quand le bloc que tu veux déplacer se délite : très faciles à défaire ;
ceux dont les pièces tiennent bien entre elles, ce qui est assez agréable pendant la reconstitution : dans ces cas, ex æquo avec le tri, c’est la phase que j’aime le moins pq il faut “casser” de nombreuses zones pièce par pièce.
Avec et sans modèle : je fais sans mais quand j’ai des gros morceaux de faits, je regarde sur le modèle où ils se placent à peu près pour les positionner et libérer l’espace devant moi.
Une fois terminé, je prends une photo et parfois je le laisse sur la table quelques jours, parfois je le défais et le range tout de suite (surtout quand j’ai envie de jouer à un jds, car je n’ai qu’une table et je ne peux pas faire un puzzle et jouer en même temps).
Je ne pense pas qu'il me soit déjà venu à l'esprit de faire un puzzle sans modèle ... non pas que j'y ai constamment recours, mais c'est moins prise de tête. En revanche, avant de rencontrer mon épouse, j'ai toujours cru qu'un puzzle était fait pour être collé & accroché au mur, comme un poster (sauf ceux pour les tout petits avec dix ou vingt-cinq pièces). C'est ainsi que mon frère s'est retrouvé avec la chapelle Sixtine de huit mille pièces au plafond de son entrée ... ou ma mère avec une mappe monde de cinq mille pièces dans son bureau derrière son fauteuil ... ou la carte du ciel aux étoiles phosphorescentes au-dessus de mon lit ... ou ... enfin voilà quoi, maintenant, il paraît qu'il faut les défaire pour les prêter ... donc on les garde quelques jours sur la planche à puzzle & on les défait pour les remettre sur l'étagère à prêts où, quand un invité passe à la maison, chacun peut faire son petit échange.
Tout dépend du mur. Généralement, c'est chevilles plus crochets à angle droit au mur & crochets ronds à l'arrière de la planche où le puzzle est collée qui s'insèrent dans les crochets au mur. Au plafond, c'est uniquement des crochets à angles droits qui retiennent le puzzle, mais on en met beaucoup ^^
Ah oui ! Oui-Oui. Pardon, je pensais l'avoir dit mais je vois que non, donc oui, en effet, on colle le puzzle sur du papier journal, puis sur un papier cartonné histoire de bien rigidifier le tout & enfin sur une planche, du contreplaqué souvent. Pour certains, ma mère les faisait même encadrer, comme des tableaux.