thespios dit:Ca fait 3H00 que je me casse la tête à essayer de trouver comment animer une réunion vendredi prochain autour du thème de "comment bien rendre service à son client ? "
des mises en situation sur "l'écoute" et "du comment poser les bonnes questions"?! un truc comme un jeu à objectif caché, en somme
thespios dit:Bonsoir tout le monde, une tisane pour moi, ca passera peut-être mon mal de crâne. Ca fait 3H00 que je me casse la tête à essayer de trouver comment animer une réunion vendredi prochain autour du thème de "comment bien rendre service à son client ? " J'ai eu la cruelle expérience aujourd'hui de me rendre compte que tout ce que je souhaitais présenter, était à côté de la plaque ou alors trop axé sur la technique et pas assez sur le service
Responsabilité spécifique et vente de trombones, avec ça, tu devrais t'en sortir.
Fadest, ceinture orange de prestation de service
Bon, la vente de trombone sur une seule réunion, c'est un peu short, mais leur demander de définir quelle est leur responsabilité spécifique vis à vis de leur client, et surtout leur donner la bonne réponse à la fin, ça marche.
La vie est bonne par-dessus tout ; elle est bonne par elle-même ; le raisonnement n’y fait rien. On n’est pas heureux par voyage, richesse, succès, plaisir. On est heureux parce qu’on est heureux. Le bonheur, c’est la saveur même de la vie. Comme la fraise a goût de fraise, ainsi la vie a goût de bonheur. Le soleil est bon ; la pluie est bonne ; tout bruit est musique. Voir, entendre, flairer, goûter, toucher, ce n’est qu’une suite de bonheurs. Même les peines, même les douleurs, même la fatigue, tout cela a une saveur de vie. Exister est bon ; non pas meilleur qu’autre chose ; car exister est tout, et ne pas exister n’est rien. S’il n’en était pas ainsi, aucun vivant ne durerait, aucun vivant ne naîtrait. Pensez qu’une couleur est joie pour les yeux. Agir est une joie. Percevoir est une joie aussi, et c’est la même. Nous ne sommes point condamnés à vivre ; nous vivons avidement. Nous voulons voir, toucher, juger ; nous voulons déplier le monde. Tout vivant est comme un promeneur du matin. Toutes ces choses qui s’étagent jusqu’à l’horizon, elles n’ont de sens que parce que je le veux. Autrement ce ne seraient que des chatouillements au fond de mes yeux. Mais je me dis : voilà un sentier, des arbres ; cette ligne bleue, c’est une colline où je marcherai. Cela se voit bien au théâtre, où les décorateurs ne nous montrent qu’une toile avec des couleurs dessus ; mais, tout de suite, nous renvoyons les lointains à leur place ; nous tirons à nous les premiers plans. Pour le monde réel autour de nous, c’est la même chose. Le vaste ciel n’est que du bleu dans mes yeux ; mais je l’étale au-dessus de ma tête. Voir, c’est vouloir voir. Vivre, c’est vouloir vivre. Toute vie est un chant d’allégresse… Seulement, il arrive qu’on meurt ; et les causes qui font mourir sont plus ou moins visibles, mais leur effet est toujours le même. La vie n’a plus la saveur de la vie. Plaisir aussi bien que douleur, tout est frelaté ; l’action est comme une source tarie. Alors il est inévitable que le monde s’écroule faute d’action. Pour ceux qui ne veulent plus vivre, c’est bientôt la fin du monde. C’est ainsi qu’on meurt. Mourir, c’est renoncer.
Ce petit texte d’Alain et l’apéro pour tous ceux qui n’ont pas honte d’être heureux de vivre… .
bertrand dit:Que la fête commence alors! Lysisca, j'ai la robe...J'attends à quelle porte?
Ohhhhh!!!!
Je suis dé-so-lée, mais n'ayant pas de news de toi, j'ai pistonné quelqu'un d'autre... Comme il fallait que ce soit une fille et qu'elle habite en région parisienne, mon choix s'est porté sur... Blancas'!!! Bienvenue au Parc ma belle!