Amour ?
Poèsie?
Je suis là!
Filante toute songeuse, au bord de la fenêtre
Marguerite rêvait à son bel amoureux
Qui n’ayant pas voulu de l’allemand pour maître
Était aller servir le drapeau des aïeux
C’est en vain que cherchant à faire sa conquête
Un officier prussien passait en soupirant
Elle l’apercevant et détournant la tête
Répondait dédaigneuse A ce bel allemand
Suit ton chemin, fils d’Allemagne
Va t’en chercher une compagne
Au pays où Bismarck est roi
Toujours fidèle à l’espérance
Je ne veux qu’un soldat de France
Prussien, prussien, mon cœur n’est pas pour toi
Un jour c’était hélas la fête du village
Elle apprit que son frère allait être pendu
Il avait d’un cracha marqué le beau visage
De l’officier prussien de fureur éperdu
L’Allemand exigeait, pour épargner le frère
De voir à ses désirs enfin céder la sœur
Et la sœur s’inclina mais sa voix toujours fière
Avertit de ces mots l’orgueil de son vainqueur
Épouse moi, fils d’Allemagne
Mais si je deviens ta compagne
Ne compte jamais sur ma foi
Toujours fidèle à l’espérance
J’aime mon beau soldat de France
Prussien, prussien, mon cœur n’est pas pour toi
Bientôt il l’amena tout pâle à l’église
Blanche plus blanche encore que son long voile blanc
Soudain elle sentit, ô cruelle surprise
Se fixer sur yeux un regard suppliant
A l’ombre d’un pilier, sombre baissant la tête
C’était son fiancé venu pour la revoir
Et se tournant vers lui, troublant toute la fête
Marguerite poussa ce cri de désespoir:
Oui j’épouse un fils d’Allemagne
Mais en devenant sa compagne
Je ne lui donne pas ma foi
Toujours fidèle à l’espérance
J’aime mon beau soldat de France
Prussien, prussien, mon cœur n’est pas pour toi
Le soir lorsque l’époux, les yeux billants de flamme
Pénétra dans la chambre où l’appelait l’amour
Il recula d’effroi car c’était par un drame
Que Marguerite avait terminé ce beau jour
Dans ce lit nuptial dans sa robe sanglante
Elle était étendue un poignard dans le cœur
Son âme s’envolait mais de sa voix mourante
Elle put dire encore à l’infâme vainqueur:
Et maintenant, fils d’Allemagne
Tu peux me prendre pour compagne
Je n’aurai pas trahi ma foi
Toujours fidèle à l’espérance
Je t’aime, ô beau soldat de France
Je meurs je meurs pour n’être qu’à toi !
Et même un soupçon de 14-18, la revanche
Et je prendrais bien des cahuètes
Kouynemum dit:moi, je me plaçais juste sur le strict terrain militaire, au début du conflit c'est bien l'Etat Major qui prend seul les pleines décisions; le contrôle du politique viendra un peu plus tard :
lancer des offensives d'infanteries en terrain découvert, comme du temps de Napoléon, a priori, je dirais que les militaires de faisaient pas une guerre de leur temps.
Oui sur les décisions.
Les armées à cette époque ont certes changées (notamment l'artillerie) mais elles fonctionnent souvent de manière effectivement napoléonienne... Mais cela s'explique, car elles travaillent sur ce modèle depuis longtemps, et les guerres récentes (coloniales) n'ont pas forcément remis en question ce modèle (même si elles ont favorisés certaines techniques modernes chez les allemands et dans le BEF). Je pense que la on relit l'histoire avec les conclusions en main et qu'ils étaient difficiles de mesurer avant le conflit les impacts de certaines modifications lorsqu'elles sont appliquées massivement (armées massives, mitrailleuses, artillerie sur-puissante, tranchées...)
Ainsi, la simple augmentation en taille des armées rend difficile leur déplacement, les effets de surprise, l'approvisionnement, etc... Les mitrailleuses rendent inopérants certaines attaques. Les nouveautés sont aussi légion. Ainsi les barbelés sont une redoutable nouveauté, il bloquent les troupes en plein milieu du champ de bataille, ils ne sont pas détruits par les premiers bombardements (évolution entre 14 et 18). La préparation d'artillerie est effectivement redoutable mais elle détruit le champ de bataille freinant l'avancée. Organiser un feu roulant est complexe et souvent sans succès, les tranchées se révèlent plus efficaces que prévues etc...
Les généraux ne mènent effectivement pas une guerre de leur temps mais je leur reproche plus d'avoir mis du temps à le comprendre (pour certains) que de ne pas l'avoir vu immédiatement... Ainsi Nivelle a l'idée du feu roulant sauf que sa mise en oeuvre est catastrophique sans communication entre artillerie et troupes sur un front préparé...
Quand au déboulonnage il a commencé il y a longtemps, si EDIT : Joffre (pas Foch) devient maréchal c'est pour le dégager du commandement et il est critiqué, assez tot, Haig est souvent très très critiqué, Pétain est depuis longtemps remis en question, Nivelle a été conspué assez tôt (dès la guerre (alors qu'à mon avis ce n'était pas le pire)) etc...
bertrand dit:Amour ?wahhhhhhhhhhhhhhhhhh
Poèsie?
Je suis là!![]()
:
ça fait du bien
Cheesegeek dit: Les généraux ne mènent effectivement pas une guerre de leur temps mais je leur reproche plus d'avoir mis du temps à le comprendre (pour certains) que de ne pas l'avoir vu immédiatement... Ainsi Nivelle a l'idée du feu roulant sauf que sa mise en oeuvre est catastrophique sans communication entre artillerie et troupes sur un front préparé...
oui, c'est aussi plus l'obstination dans une voie manifestement sans issue que j'ai en tête. je crois aussi que faire une lecture a posteriori fausse la vision d'alors.
Quand au déboulonnage il a commencé il y a longtemps, si Foch devient maréchal c'est pour le dégager du commandement et il est critiqué, assez tot, Haig est souvent très très critiqué, Pétain est depuis longtemps remis en question, Nivelle a été conspué assez tôt (dès la guerre (alors qu'à mon avis ce n'était pas le pire)) etc...
là, je suis moins d'accord.
déboulonnage de statue, ça fait surtout référence à l'information grand public et à l'éducation nationale, pas tellement à la réalité non apparente ou seulement apparente aux lecteurs attentifs d'ouvrages historiques.
le langage majoritairement ambiant ne laissait pas affleurer les critiques ou alors en sourdine. et comme tu le dis par ailleurs, la communication sur 14/18, ça a été surtout du Pathos et pas tellement une analyse critique et historique.
alors longtemps, je ne sais pas trop : ça doit pas faire beaucoup plus de 20 ans que la sourdine est plus audible.
Je vois que Bertrand prend son rôle très à coeur
J’écoutais ça aussi
Sur la route poudreuse et blanche
Où nos drapeaux ne passent plus
Un vieillard va, chaque dimanche,
Rêver seul aux pays perdus.
Parfois de sa lèvre pâlie
Monte une plainte vers les cieux
C’est le regret des jours joyeux
Et c’est l’histoire de sa vie :
Refrain :
Ils ont brisé mon violon
Parce que j’ai l’âme française
Et que, sans peur, aux échos du vallon
J’ai fait chanter la Marseillaise !
J’ai voulu savoir cette histoire
Il me l’a contée en pleurant ;
Gardez-là en votre mémoire
C’est celle d’un coeur simple et grand :
Un soir, me dit-il, sous les chênes
Je faisais danser les enfants
Quand les ennemis triomphants
Jetèrent l’effroi dans nos plaines !
[Au refrain]
Tous s’enfuyaient devant leurs armes
Rouges, hélas ! de sang français ;
Fou de douleur, cachant mes larmes
Tout seul vers eux je m’avançais
- Qui donc es-tu, toi qui nous braves ?
Firent-ils en me renversant ;
- Je suis, dis-je, en me redressant
L’ennemi des peuples esclaves !
[Au refrain]
- Tu railles bonhomme ? Eh bien joue
Les hymnes chers à notre roi !
Alors leur main souilla ma joue
Mais la France vivait en moi !
Je jouai de Rouget de Lisle
L’ardent et sublime chanson ;
Ils brisèrent mon violon
En voyant leur rage inutile !
[Au refrain]
Et c’est dan,s le sujet c’est quand même le souvenir que me laissent mes nombreux voyages scolaires à Verdun : l’aspect “propagande et état d’esprit” m’intéressait plus que l’aspect militaire. Et il était très présent, ce que je trouve sain : montrer à quel genre d’horreur peut vite conduire un amour de la patrie qui devient vite une haine des autres…
Ils ont brisé mon violon, la chanson m’est revenue à l’esprit ces derniers temps… Et pas pour jouer à Shabadabada mais pour réfléchir à quoi peuvent conduire l’amour de nos symboles…
Bon, dans la même collection de disques, il y avait aussi ça
“Dors mon amour, mon fils unique”
Chante une femme en Amérique
Chante en Amérique une femme
A son garçon mort au Vietnam
Chante une femme à son petit :
“Dors mon amour, dors mon chéri
J’irai à la place où tu dors
T’y bercerai jusqu’à ma mort
Je t’apporterai des cadeaux
Ton vieux train et ton mécano
Et l’étoile en papier d’argent
Dors mon amour, dors mon enfant”
Chante une femme en Amérique.
Sur l’autre bord du Pacifique
Une mère au petit matin
Réveille l’enfant vietnamien :
“Debout mon fils, debout garçon
J’entends revenir les avions
Il faut reprendre nos bagages
On va faire un petit voyage
Surtout ne lâche pas ma main
On va courir très loin, très loin
Toi, tu portes ton oiseau gris
Moi, les couvertures et le riz”
Dans son fauteuil diplomatique
A Washington, en Amérique
“Je dois rentrer dans mon argent”
Déclare Monsieur le Président
Et sur la carte du Vietnam
Comme un monsieur qui joue aux dames
Il fixe les bombardements
Et la marche des régiments
Il pose son doigt sur un point
“Courons ! Ne lâche pas ma main !”
Il a posé son doigt ici
“Dors mon garçon, dors mon petit”
“Dors mon amour, mon fils unique”
Chante une femme en Amérique
Girafe dit:bertrand dit:Amour ?wahhhhhhhhhhhhhhhhhh
Poèsie?
Je suis là!![]()
:
ça fait du bien
beurk

pour sur, on fait pas la même lecture de l'amour et de la poésie.
et sinon, Monsieur Bertrand du Lapin, pour rester sur fond d'artillerie, tu pourrais pas plutôt nous trouver du René Char

hips, un p’tit blanc limé…
Quand au bout d’huit jours le r’pos terminé
On va reprendre les tranchées,
Notre place est si utile
Que sans nous on prend la pile
Mais c’est bien fini, on en a assez
Personne ne veut plus marcher
Et le cœur bien gros, comm’ dans un sanglot
On dit adieu aux civ’lots
Même sans tambours et sans trompettes
On s’en va là-bas en baissant la tête
- Refrain :
Adieu la vie, adieu l’amour,
Adieu toutes les femmes
C’est bien fini, c’est pour toujours
De cette guerre infâme
C’est à Craonne sur le plateau
Qu’on doit laisser sa peau
Car nous sommes tous des condamnés
Nous sommes les sacrifiés
Huit jours de tranchée, huit jours de souffrance
Pourtant on a l’espérance
Que ce soir viendra la r’lève
Que nous attendons sans trêve
Soudain dans la nuit et dans le silence
On voit quelqu’un qui s’avance
C’est un officier de chasseurs à pied
Qui vient pour nous remplacer
Doucement dans l’ombre sous la pluie qui tombe
Nos pauvr’ remplaçants vont chercher leurs tombes
- Refrain -
C’est malheureux d’voir sur les grands boulevards
Tous ces gros qui font la foire
Si pour eux la vie est rose
Pour nous c’est pas la même chose
Au lieu d’se cacher tous ces embusqués
F’raient mieux d’monter aux tranchées
Pour défendre leurs biens, car nous n’avons rien
Nous autres les pauv’ purotins
Et les camarades sont étendus là
Pour défendr’ les biens de ces messieurs là
- Refrain :
Ceux qu’ont le pognon, ceux-là reviendront
Car c’est pour eux qu’on crève
Mais c’est fini, nous, les trouffions
On va se mettre en grève
Ce sera vot’ tour messieurs les gros
De monter sur l’plateau
Si vous voulez faire la guerre
Payez-la de votre peau
Kouynemum dit:là, je suis moins d'accord.
déboulonnage de statue, ça fait surtout référence à l'information grand public et à l'éducation nationale, pas tellement à la réalité non apparente ou seulement apparente aux lecteurs attentifs d'ouvrages historiques.
le langage majoritairement ambiant ne laissait pas affleurer les critiques ou alors en sourdine. et comme tu le dis par ailleurs, la communication sur 14/18, ça a été surtout du Pathos et pas tellement une analyse critique et historique.
alors longtemps, je ne sais pas trop : ça doit pas faire beaucoup plus de 20 ans que la sourdine est plus audible.
Pas faux... (En passant j'ai utilisé Foch au lieu de Joffre dans un message précédent). En même temps était ce aussi facile que cela à faire... Pendant la guerre n'en parlons pas! Juste après, avec un million de morts en France et des milliers de mutilés et autres gueules cassés si le sentiment pacifiste progresse il n'était pas forcément facile de parler de "morts pour rien" et de déboulonner certaines statues, par ailleurs bien pratiques pour la République. Puis après vient la seconde guerre mondiale....
Tiens, Kouyne elle écoutait les même disque que moi… On va encore me traîter de Cadra…
Eric dit:Je vois que Bertrand prend son rôle très à coeur![]()
Mais bon, dans la même collection, il y avait aussi ça"Dors mon amour, mon fils unique"
Chante une femme en Amérique
Chante en Amérique une femme
A son garçon mort au Vietnam
Chante une femme à son petit :
"Dors mon amour, dors mon chéri
J'irai à la place où tu dors
T'y bercerai jusqu'à ma mort
Je t'apporterai des cadeaux
Ton vieux train et ton mécano
Et l'étoile en papier d'argent
Dors mon amour, dors mon enfant"
Chante une femme en Amérique.
Sur l'autre bord du Pacifique
Une mère au petit matin
Réveille l'enfant vietnamien :
"Debout mon fils, debout garçon
J'entends revenir les avions
Il faut reprendre nos bagages
On va faire un petit voyage
Surtout ne lâche pas ma main
On va courir très loin, très loin
Toi, tu portes ton oiseau gris
Moi, les couvertures et le riz"
Dans son fauteuil diplomatique
A Washington, en Amérique
"Je dois rentrer dans mon argent"
Déclare Monsieur le Président
Et sur la carte du Vietnam
Comme un monsieur qui joue aux dames
Il fixe les bombardements
Et la marche des régiments
Il pose son doigt sur un point
"Courons ! Ne lâche pas ma main !"
Il a posé son doigt ici
"Dors mon garçon, dors mon petit"
"Dors mon amour, mon fils unique"
Chante une femme en Amérique
Joli

dans le mêm style;
Mrs. McGrath
"Oh, Mrs. McGrath," the sergeant said
"Would you like a soldier of your son Ted
With a scarlett coat and a big cocked hat
Oh, Mrs. McGrath, wouldn't you like that?"
Chorus:
With your too-ri-a, fol-di-diddle-da, too-ri, oor-ri, oor-ri-a
With your too-ri-a, fol-di-diddle-da, too-ri, oor-ri, oor-ri-a
Now, Mrs. McGrath lived on the shore
And after seven years or more
She spied a ship coming into the bay
With her son from far away"
"Oh captain dear, where have you been
You´ve been sailing the Mediterranean
Have you news of my son Ted
Is he living or is he dead?"
Chorus
Up came Ted without any legs
And in their place, two wooden pegs.
She kissed him a dozen times or two
And said "My god, Ted is it you"
"Now were you drunk or were you blind
When you left your two fine legs behind
Or was it walking upon the sea
That wore your two fine legs away?"
Chorus
"No, I wasn't drunk and I wasn't blind
When I left my two fine legs behind
A cannon ball on the fifth of May
Tore my two fine legs away"
"My Teddyboy," the widow cried
"Your two fine legs were your mothers pride
Stumps of a tree won't do at all
Why didn't you run from the cannon ball?"
Chorus
"All foreign wars I do proclaim
live on the blood and the mothers pain
I'd rather have my son as he used to be
Than the King of America and his whole navy"
Chorus
Mrs Mac Grath
ou celle-ci
f you love this land of the free
Bring 'em home, bring 'em home
Bring them back from overseas
Bring 'em home, bring 'em home
It will make the politicians sad, I know
Bring 'em home, bring 'em home
They wanna tangle with their foe
Bring 'em home, bring 'em home
They wanna test their grand theories
Bring 'em home, bring 'em home
With the blood of you and me
Bring 'em home, bring 'em home
Now we'll give no more brave young lives
Bring 'em home, bring 'em home
For the gleam in someone's eyes
Bring 'em home, bring 'em home
(Hooo-hooo hooo-hooo)
(Hooo-hooo hooo-hooo)
The men will cheer and the boys will shout
Bring 'em home, bring 'em home
Yeah and we will all turn out
Bring 'em home, bring 'em home
The church bells will ring with joy
Bring 'em home, bring 'em home
To welcome our darlin' girls and boys
Bring 'em home, bring 'em home
We willl lift their voice and sound
Bring 'em home, bring 'em home
Yeah, when Johnny comes marching home
Bring 'em home, bring 'em home
Bring 'em home, bring 'em home
Bring 'em home, bring 'em home
Bring 'em home, bring 'em home
Bring 'em home, bring 'em home
Bring 'em home, bring 'em home
Bring 'em home, bring 'em home
Bring 'em home, bring 'em home
Bring 'em home, bring 'em home
Bring 'em home, bring 'em home
Bring 'em home, bring 'em home
Bring them back from overseas
Bring 'em home, bring 'em home
If you love this land of the free
Bring 'em home, bring 'em home
Bring them back from overseas
Bring 'em home, bring 'em home
Bring 'em home, bring 'em home
Bring 'em home, bring 'em home
Bring 'em home, bring 'em home
Bring 'em home, bring 'em home
Hmmm.
Mais pourquoi ont-ils tué Jaurès ?
Pourquoi les sociaux-démocrates allemands ont-ils voté les crédits de guerre ?
Ce qui est étrange aussi, c’est que l’on ne mentionne franchement pas beaucoup que la société allemande s’effondrait et rendait la poursuite de la guerre impossible pour les Allemands, malgré les avancées tactiques dont ils disposaient, renforçant en cela leur désavantage matériel croissant.
Bref, y’a pas que l’histoire à la grand-papa avec généraux et maréchaux.
El comandante dit:Ce qui est étrange aussi, c'est que l'on ne mentionne franchement pas beaucoup que la société allemande s'effondrait et rendait la poursuite de la guerre impossible pour les Allemands, malgré les avancées tactiques dont ils disposaient, renforçant en cela leur désavantage matériel croissant.
c'est un des axes de l'Histoire de ce mois-ci.
Kouynemum dit:El comandante dit:Ce qui est étrange aussi, c'est que l'on ne mentionne franchement pas beaucoup que la société allemande s'effondrait et rendait la poursuite de la guerre impossible pour les Allemands, malgré les avancées tactiques dont ils disposaient, renforçant en cela leur désavantage matériel croissant.
c'est un des axes de l'Histoire de ce mois-ci.
pas encore reçu, mais tant mieux.
Mes premières questions demeurent, plus sérieuses que de simples provocations. Fêter l'armistice devrait forcer à revenir sur le pourquoi : la crise du capitalisme, la montée des nationalismes, les insolents profits des marchands de canon, la guerre faite par des gens pauvres qui ne se connaissent pas du tout pour des gens riches qui se connaissent très bien entre eux...
El comandante dit:Kouynemum dit: c'est un des axes de l'Histoire de ce mois-ci.
pas encore reçu, mais tant mieux.
...
en même temps, tu risques peut-être d'être déçu : le numéro de novembre s'affiche sur la seule journée du 11 novembre.
dans le chapitre consacré à l'allemagne, l'analyse porte sur la situation en octobre 18, puis sur sa projection dans l'entre deux guerre et la théorie du couteau dans le dos.
c'est succint, mais c'est là.
Kouynemum dit:...
On passe donc de l'axe au succint. Bon.
Café por favor.
El comandante dit:Kouynemum dit:...
On passe donc de l'axe au succint. Bon.
Café por favor.
le dossier sur l'ensemble du numéro fait 20 pages donc forcément l'axe est court.

ce qui est plus décevant, c'est le traitement du Hors Série du Monde qui lui, est intégralement consacré à 14/18. 100 pages assez creuses, j'ai trouvé.
Eric dit:On va encore me traîter de Cadra...
Ca ce serait encore gentil...

El comandante dit:Eric dit:On va encore me traîter de Cadra...
Ca ce serait encore gentil...
ça définit assez bien une de vos différences, je trouve.
Kouynemum dit:El comandante dit:Eric dit:On va encore me traîter de Cadra...
Ca ce serait encore gentil...
ça définit assez bien une de vos différences, je trouve.

d’être gentil…ou pas