Chez Marcel (partie 1)

Kouynemum dit:et ben je suis 'achement contente.
y a deux maçons qui nous font l'escalier à la maison et sur les deux maçons, y a une maçonne.
...

ceux la doivent avoir une relation Béton :mrgreen:
sinon gare à la nouvelle paire de chaussure :pouicvomi:

:kingboulet:
O2 dit:


oh le joli mur en bricouflette!
Loran dit:Je suis d'accord avec ce qui est dit par Cheesegeek.
La fin justifie les moyens et la non acceptation d'une guerre longue d'usure rend les generaux prompt a la recherche d'une hypothetique "percée" du front. Cet objectif et sa realisation jusqu’a la victoire n'était pas accessible sans une compréhension moderne de la nouvelle dimension de cette guerre a la fois materielle, technologique, tactique et subtile.
Face a la mobilité et puissance de feu superieure de la défensive, seule une démultiplication de moyens sur un large front combinée aux innovations tactiques et techniques pouvaient pretendre a une décision rapide.

J'ajouterais la maitrise des innovations...
Ainsi assez vite on perçoit comment on peut briser les lignes de défense mais on n'arrive pas à mettre en oeuvre correctement ces idées... Les feux roulants vont trop vites, sont mal coordonnés et ne protègent plus les fantassins.
Les premières sorties des tanks sont catastrophiques, on les envoie dans la boue et ils s'embourbent. EDIT A Cambrai après Passchendaele (Ypres 3), les chars fonctionnent mais on a peur de coller les fantassins à ceux-ci... Total, ils attaquent en retrait et ne sont pas protégés... etc...
Les préparations d'artillerie au début de la guerre alertent les défenseurs et réduisent les effets de surprise.... Et souvent une fois la percée effectuée on ne sait plus quoi faire...

Marcel, un chocolat bien crémeux fait avec du vrai chocolat…

OC qui a revu son menuisier qui ne ressemble pas du tout du tout à Girafe


PS: allez savoir pourquoi à chaque fois que je croise “les Grandes blondes” d’Echenoz dans ma bibliothèque je pense à madame Girafe…

Marcel, un petit Moccha sans chantilly saupoudré de Van Houten stp, ça ramènera peut-être du monde :D

Scoubi dit:Marcel, un petit Moccha sans chantilly saupoudré de Van Houten stp, ça ramènera peut-être du monde :D


clairement :pouiclove: 8)
Scoubi dit:Marcel, un petit Moccha sans chantilly saupoudré de Van Houten stp, ça ramènera peut-être du monde :D


Ahooouuuuu !

Je peux l’avoir avec la chantilly ? :pouiclove:

Voili voilou





(pas trouvé le Van Houten qui va dessus :clownpouic: )

Je ne peux pas avoir un blue mountain jamaica à la place?

ok, je vais mettre un peu de ça dans la cafetière alors:



Cheesegeek dit:
Loran dit:Je suis d'accord avec ce qui est dit par Cheesegeek.
La fin justifie les moyens et la non acceptation d'une guerre longue d'usure rend les generaux prompt a la recherche d'une hypothetique "percée" du front. Cet objectif et sa realisation jusqu’a la victoire n'était pas accessible sans une compréhension moderne de la nouvelle dimension de cette guerre a la fois materielle, technologique, tactique et subtile.
Face a la mobilité et puissance de feu superieure de la défensive, seule une démultiplication de moyens sur un large front combinée aux innovations tactiques et techniques pouvaient pretendre a une décision rapide.

J'ajouterais la maitrise des innovations...
Ainsi assez vite on perçoit comment on peut briser les lignes de défense mais on n'arrive pas à mettre en oeuvre correctement ces idées... Les feux roulants vont trop vites, sont mal coordonnés et ne protègent plus les fantassins.
Les premières sorties des tanks sont catastrophiques, on les envoie dans la boue et ils s'embourbent. EDIT A Cambrai après Passchendaele (Ypres 3), les chars fonctionnent mais on a peur de coller les fantassins à ceux-ci... Total, ils attaquent en retrait et ne sont pas protégés... etc...
Les préparations d'artillerie au début de la guerre alertent les défenseurs et réduisent les effets de surprise.... Et souvent une fois la percée effectuée on ne sait plus quoi faire...


Effectivement il y a deux choses, la realisation de la percée immediate et ensuite son exploitation.
La percee immediate, on a souvent cru avoir besoin d´un soutien massif d´artillerie (Somme 1916) qui etait un leurre car il ne faisait que broyer les lignes de tranchees avant l´attaque, l adversaire pendant ce temps rameutait des divisions en reserve qu´il plaçait derriere, hors de portee de l´artillerie. Resultat: La percee echoue (question de timing) et les pertes sont significatives de deux cotes a cause des contre-attaques.
Dans le cas des offensives Nivelle, l´armee allemande placee en reserve derriere le front n´a meme pas eu a intervenir....
Ensuite on tente des innovations techniques: Gaz, Tanks, Obusiers a tir rapide qui par leur premiere emploi se revelent parfois desastreux ou des innovations tactiques : Stosstruppen, Barrage roulant, bombardement Eclair.
Ces deux types d´innovations recherchent un pseudo effet de surprise pour empecher l´arrivee des renforts avant la percee decisive.
Certaines percees vont fonctionner: Garlice-Tarnow (Gaz) Caporetto (Stosstruppen), Offensive Brusilov (Effet de surprise) etc...
La percee decisive sur le front ouest ne viendra qu´en 1918 avec les offensives Luddendorf (concentration d´armees + Stosstrupper+ Bombardement Eclair).
Le deuxieme probleme c´est l´exploitation de la percée elle-meme, car le phenomene d´arrivée de renforts par rails decrit plus haut va aussi intervenir pour bloquer l´avancee des troupes ennemis.
Caporetto, le front se stabilise sur la Piave, Les armees russes de Brusilov sont bloquees par l´arrivee de troupes allemandes fraiches, les Offensives Luddendorf en 1918 sont a chaque fois stoppées par le redeploiement de troupes alliees.
La mobilité des troupes ayant percée durant la 1GM n´est pas suffisante pour remporter une victoire decisive.
Comme je le disais plus haut, seule une superiorité en troupes peut permettre une "full-scale attack" qui va permettre une percée a un endroit et le fixage des renforts sur le reste du front. C´est ce qu´il a failli se produire avec les offensives Brusilov, mais les armées du front centre russe d´Evert ont refuse d´attaquer pour empêcher les renforts austrohongrois et allemands de combler la breche. La guerre aurait pu finir par une victoire russe en 1916, et le cours de l´histoire aurait peut-etre été changé. :wink:
Cette démultiplication de moyens en troupes (arrivée des troupes US), innovations techniques (tanks, avions d´appui tactique et Obusiers a tir rapide) et tactiques (débordement par troupes d´assaut) aurait du permettre a Foch de remporter une décision rapide en 1918, au lieu de cela, et peut-etre en souvenir ou par peur du désastre de Nivelle, il applique une tactique en attaque en tiroir qui, certes a permis de gagner la guerre, mais va la faire trainer jusqu´au 11 novembre.

woooo punaise la chantilly…

arrêtez de me faire envie comme ça dès jeudi…

surtout que ne sachant pas de quoi sera fait mon week end …

je vais encore super frustrée :mrgreen:

grandmaitre dit:[
ha ben si elle bosse la ressemblance s'arrête là alors :pouicboulet: :mrgreen:



cher monsieur

c'est pas parce que vous avez un travail qui vous plait
que vous vous éclatez dans votre "projet" professionel,
que votre "situation professionnelle" semble collée avec votre idée de votre épanouissement personnel

qu'il vaut percevoir les "non travailleurs" comme des gens ne faisant rien de leur journée

après tout je dois en faire autant que vous si ce n'est plus
mais moi je suis pas du genre à faire des comparaisons à deux balles
:mrgreen:
Girafe dit:mais moi je suis pas du genre à faire des comparaisons à deux balles :mrgreen:

Tu as raison, en visant bien, une seule balle devrait suffire :mrgreen:

ouiaip

une balle en argent


c’est pleine lune

MArcel, un café. :bonnetpouic:

avec des gateaux ??

à la caféine, éventuellement.

éventuellement ?
:roll:

un bon gros tiramisu ???