Bon, je n’ai pas envie de m’intéresser à la chouette d’or, je fais partie des sceptiques sur le côté procédurier.
En revanche, je viens de regarder un documentaire en sept volumes, et j’ai cru parcourir les mémoires de Ston.
Les 7 notes de musiques, Les 7 couleurs, la langue des oiseaux, l’épée de Roland emportée par un Saint, la cathédrale de Chartres, éther ni T…
Probablement une coïncidence…encore que c’est assez étrange.
Je n’ai pas lu le livre d’énigme, juste le post sur ce forum par Ston, donc j’ignore si ça a un intérêt ou si le lien avec l’alchimie est bien établi.
boudje dit:Bon, je n'ai pas envie de m'intéresser à la chouette d'or, je fais partie des sceptiques sur le côté procédurier.
En revanche, je viens de regarder un documentaire en sept volumes, et j'ai cru parcourir les mémoires de Ston.
Les 7 notes de musiques, Les 7 couleurs, la langue des oiseaux, l'épée de Roland emportée par un Saint, la cathédrale de Chartres, éther ni T...
Probablement une coïncidence...encore que c'est assez étrange.
Je n'ai pas lu le livre d'énigme, juste le post sur ce forum par Ston, donc j'ignore si ça a un intérêt ou si le lien avec l'alchimie est bien établi.
Je réponds mais je ne suis ni un spécialiste de la chouette, ni un spécialiste de l'alchimie mais bon j'ai quelques notions tout de même. Quelques points de réflexions :
Il me semble que l'auteur de la chasse n'est pas un pur et dur de l'ésotérisme en général, il me semble plutôt athée (mais je m'avance un peu), répond assez durement à ceux qui veulent soit tout christianiser (la religion doit être prise comme élément culturel) soit tout "alchimiser". Ayant dit cela, il est clair que la "folie" Da Vinci Code n'étant pas encore d'actualité, l'alchimie avait moins de glamour qu'aujourd'hui. Max Valentin semble érudit, quelque peu historien dans l'âme mais autodidacte (je m'avance également) il est bien possible que l'alchimie puisse l'intéresser en tant que thème ludique pour une chasse, c'est-à-dire comme sujet intellectuel et de plaisir d'érudition, un peu comme Umberto Eco et le pendule de Foucault (qui ne fait que critiquer les délires alchimistes d'ailleurs) mais pour mieux le faire coller à l'Histoire. Bref, il connaît ses classiques alchimiques et évidemment, en utilisant Bourges, ville des alchimistes par excellence (rue de l'Alchimie, Palais Jacques Coeur, l'hotel Lallemant et la cathédrale) il se peut qu'il s'en soit inspiré. Bien que pour l'instant, ce soit plutôt la mesure de la Méridienne, la chanson de Roland, Napoléon etc. qui soient plus saillants.
autre point: il est pour moi également évident que la principe même de la chasse, rechercher ce qui est caché dans un texte ou des images, est le principe même de l'ésotérisme, en gros, ça crée des similitudes entre les deux "disciplines". Donc de l'érudition oui, de l'alchimie pourquoi pas mais comme sujet historique et de plaisir ludique. Voilà mon impression.
@zadig: brillant! ceci ouvre des perspectives, il y a beaucoup de choses très très intéressantes, beaucoup de questions également. Je suis moins toutes tes justifications mais le résultat est brillant: Basilique Saint Denis, c'est une évidence, Saint-Spire me semble également tout à fait probant, la piste Tintin est également pour moi primordiale rien qu'à cause de la plume rouge qui ouvre la chasse (j'ai encore pas mal d'éléments sur ce thème), la séparation de la boussole avec son arrière-plan me semble trop facile mais j'y reviendrai... Bref, merci pour cette contrib. Je te réponds tantôt. Le problème d'une résolution avant tout symbolique pose quand même pas mal de questions, j'en retiens une: Où cela peut-il mener?
Et pour compléter l’invitation à St. Denis :
“Mon septième, dressé, crache son venin”
Je retiens le basilic : serpent légendaire des plus venimeux. Il crache son venin par son simple regard. Originellement, il a la forme d’un serpent avec une tête de coq. En ancien français, il est parfois désigné sous le terme basilicoq.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Basilic_(mythologie)
Zadig dit:Et pour compléter l'invitation à St. Denis :
"Mon septième, dressé, crache son venin"
Je retiens le basilic : serpent légendaire des plus venimeux. Il crache son venin par son simple regard. Originellement, il a la forme d'un serpent avec une tête de coq. En ancien français, il est parfois désigné sous le terme basilicoq.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Basilic_(mythologie)
Par contre il est très souvent représenté avec des pattes de coq donc pour le côté serpent qui se dresse...
Enpassant dit:Zadig dit:Et pour compléter l'invitation à St. Denis :
"Mon septième, dressé, crache son venin"
Je retiens le basilic : serpent légendaire des plus venimeux. Il crache son venin par son simple regard. Originellement, il a la forme d'un serpent avec une tête de coq. En ancien français, il est parfois désigné sous le terme basilicoq.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Basilic_(mythologie)
Par contre il est très souvent représenté avec des pattes de coq donc pour le côté serpent qui se dresse...
Eh Ben... Mon lien, après avoir cliqué sur "créature fabuleuse de la mythologie" dans la partie "fiction" me semblait assez explicite : Voir sa représentation d'origine dans l'antiquité, avant ses évolutions iconographiques jusqu'au dragon de Harry Poter.
De plus, rien ne nous dit dans cet item qu'il faille s'en tenir à un aspect serpentéiforme, (en 2ème niveau de lecture, le 1er étant le " S" de la charade) , donc même, (et d'autant plus) avec des pattes, il peut se dresser pour cracher son venin.
Voici la définition du basilic à l'article correspondant de l'encyclopédie de Diderot :
basiliscus, s. m. (Hist. nat.) animal fabuleux que les anciens mettoient au rang des serpens ou des dragons : on le croyoit de médiocre grosseur, & on prétendoit qu'il avoit sur la tête des éminences en forme de couronne. On a distingué trois especes de basilics ? les uns brûloient & enflammoient tout ce qu'ils regardoient ; les autres causoient par le même moyen la terreur & la mort ; les basilics de la troisieme espece avoient la funeste propriété de faire tomber la chair de tous les animaux qu'ils touchoient : enfin il y avoit une autre espece de basilic qui étoit produit par les oeufs des vieux coqs, &c. Toutes ces absurdités n'ont été que trop répétées par les Naturalistes : on peut juger par ce que nous en avons dit ici, que de pareils contes ne méritoient pas d'être rapportés plus au long. (I)
L'existence du basilic avait en effet, encore des défenseurs au siècle des lumières, que les sages se faisaient fort de discréditer. ( Et c'est "Zadig", chapitre 16 qui le dit...)
C'est évidemment l'homonymie du terme qui retient mon attention pour m'orienter vers Saint Denis ( mais aussi, pourquoi pas, vers le jardinage et la piste aux étoiles...)
Bon dimanche à tous !
Non mais je m’excuse d’insister mais moi non plus je vois pas de serpent dressé la dedans:
Une chenille à la rigueur, tout au plus.
Ah c’est malin !
Tiens, je mangerais bien des pâtes au pistou tout d’un coup ! 
Avant de passer à l’énigme suivante je tiens, comme à mon habitude, à revenir sur les choses trouvées et que personellement je garde bien sagement (ceux qui en ont marre de mes multiples “synthèses” peuvent passer). Ceci en réponse à zadig notamment…
B : je garde l’ordre et l’idée d’un cercle où un élément correspond à son opposé, celui d’en face. Je retiens B comme blanc, le spectre, les couleurs, l’importance donnée à la lumière et à l’dée de ne pas être aveugle, donc de rester simple et de trouver des astuces (visuelles et textuelles). Le B m’amène sur Bourges également et sur le Bébé du premier item 530, qui nous apporte déjà une dualité.
530: en accord quasi complet avec zadig, je m’intéresse à la méridienne de Paris (celle qui passe dans la cathédrale de Bourges qui n’est pas exactement sur celle de Paris qu’on se le dise…). Je prends donc Devin=2’20. L’oeil du coq est pour moi l’oculus d’un vitrail de la cathédrale qui laisse passer la lumière à date précise sur l’axe Nord-Sud, méridienne qui est dessinée au sol même de la cathédrale (cette dernière n’est pas dans l’axe d’ailleurs) grâce à un fil de cuivre. Je reprends aussi Hergé car la plume de Rackham ou la houpette de Tintin, donc la méridienne me semble confirmée. RG et RA apparaissent aussi = Hergé pour la référence à Tintin et Ra pour le soleil. La chose la plus importante me semble être cette France redessinée par Becker pour qu’elle puisse s’inscrire dans un cercle avec Bourges comme point central (ceci expliquera aussi que Roncevaux, Carignan, Cherbourg etc, sont des villes importantes puisque situées aux limites de cette France arrondie).
470: Je vois deux interprétations. Une première simple, le piéton va au Sud et donc se dirigera par la suite vers Roncevaux, il s’arrête à Bellegarde-en-marche pour tirer sa flèche au coeur de l’Aube (Troyes) pour arriver sur Carignan. Axe connu mais bon, il est très joli quand même et reste pour moi, pertinent! L’autre possibilité que je vois, c’est la montée vers l’autre Roncevaux au nord. On suit peut-être le cocher ou le piéton. Si c’est ce dernier, une lecture visuel est importante. Je la simplifie ici: le piéton est en forme de flèche noire, son pied perdu est le gros carré au centre de la boussole, l’arrière plan du piéton est circulaire (même diamètre que la boussole)… Tout ces éléments nous pousse à vouloir lui faire faire le premier pas c’est-à-dire le déplacer au centre de la boussole. La nouvelle flèche est donc noire, le S disparaît au profit de la tête du piéton. Le piéton se dirige donc au nord (si vous voulez plus de précision, je peux reprendre cette démonstration). Je m’appuie également sur cette flèche qui doit “viser” le coeur= le piéton doit se retrouver au centre de la boussole. Il y a donc deux axes: Roncevaux-Bourges-Carignan et Bourges-Paris (méridienne) il y en a peut-être un troisième, mais là je cale.
470: “Par la gaîté se multiplie” nous prouve, parce que c’est le premier item, qu’il y a bien multiplication des pistes comme l’épée Durendal a brisé le rocher en mille morceaux. Il faut donc remettre les morceaux en place. Sur le visuel, j’y vois au moins trois points importants, trois points qui demandent un changement de perspective à chaque fois. Les points sont les lieux où l’épée est plantée 1. Roncevaux-Espagne si l’on considère la côte cantabrique à gauche de l’épée. 2. Paris ou le centre nord de la France si l’on considère le “dessin” des brisures du rocher comme étant l’hexagone dessiné, l’épée me semble plantée sur Paris mais on peut discuter. 3. l’océan Atlantique, si l’on considère la droite de l’épée comme étant la côte est de la France jusqu’à la Bretagne (la petite marque en bas du visuel tout à droite est également Roncevaux comme s’il restait un bout de l’épée), ce dernier point je ne l’ai pas trouvé mais je ne serais pas étonné d’avoir le point des "trois habiles rencontres en mer cantabrique. Faut-il déjà l’avoir? ou les prochaines énigmes nous le détermineront? reste aussi, le croisement de la garde et de l’épée qui me semble indiquer un croisement de droites sur la carte.
Je suis moins emballé par le métro bien que je cherche également une suite logique d’un parcours qui suivrait les items, mais je me dis aussi qu’il aurait dû déjà être trouvé si la logique était parfaite. Pour la basilique Saint-Denis, ça me semble très très bien, puisque c’est le lieu de toutes les reliques royales (épée de Charlemagne Joyeuse (gâité) et cor de Roland compris). de plus le “ça s’est passé” me fait penser à une étiquette de musée.
Bon voilà quelques points, perso, je veux bien passer à la suite… qui est encore là? 
Une fois n’est pas coutume, je tente de reprendre une piste que j’ai abandonnée ces dernières semaines et qui me semble toucher à la vérité des trois premières énigmes. Les résolutions de zadig m’intéressent mais elles ne répondent pas vraiment aux madits de Max, je les laisse en suspens pour le moment.
En revenant à la 530, il y a plusieurs choses qui me turlupinent hormis ETERNITE dont je n’ai toujours pas trouvé de résolution pertinente quant aux capitales… Je laisse de côté pour le moment.
ce qui me turlupine disais-je:
1. La 530 donne le lieu pour commencer le jeu et la 780 commence là où finit la 530.
2. Dans les madits, Max parle de déplacement initial dans la 530.
3. Max confirme quasiment que c’est bien “Bourges” l’ouverture, le Tout de l’énigme, le lieu pour démarrer le jeu etc.
J’interprète les deux derniers vers ainsi: Pour l’instant tu as Bourges, mais en réalité, par la suite (quand?), il faudra t’intéresser à Greenwich et non pas à la Méridienne de Paris, garde donc Bourges qui est l’Ouverture mais il te faudra te déplacer sur le point 47-0 à hauteur de Trois Moutiers. Le Devin qui est 2’20 et aussi la devinette, le Pas qui est une négation mais aussi un “Pas à faire” (pas une localisation négative), les deux entités qui devront “chercher en l’heure” le chemin (donc choisir le bon méridien) me “confirment” cette hypothèse.
Pour moi, il y a donc déplacement! Si vous me suivez dans cette démonstration, peut-être pouvez-vous m’aider. Quand est-ce que le déplacement initial, de Bourges à Greenwich sur la latitude 47, est-il effectif?
Quand a lieu le déplacement?
Réponses possibles:
1. Tout de suite, en gros à la fin de la 530
2. Entre la 530 et la 780 (un peu comme le changement de direction entre la 780 et la 470)
3. C’est le “premier pas” à faire de la 780 avant de commencer l’énigme.
4. C’est l’énigme 780 qui, après résolution, nous indique un déplacement sur l’axe est-ouest.
5. ?
Les points 1 à 3 nous invitent évidemment à considérer la brèche de Roland comme lieu d’où provient la lumière si je dois croire le visuel et la tache blanche sur le Sud. Le point 4, outre le fait qu’il faille déduire de la 780 une direction Ouest, pourrait expliquer assez simplement le changement de direction dès lors que le piéton aperçoit parfaitement la lumière depuis la brèche sur Greenwich, lumière qui pourrait être plus exactement Luz-Saint-Sauveur comme déjà dit plus haut.
Je penche donc plus pour l’instant sur le point 4 car les madits semblent dire que le premier pas se fait à la fin de l’énigme…
Des points de vue, des aides?
Hypothèse : J’entre dans la 780 en étant à Trois Moutiers (“confirmé” par le 3M de la boussole), là où finit la 530.
Après relecture des madits, je constate que Rosse et Cocher sont indissociables et ont un certain sens symbolique…
Je me suis amusé avec des jeux de mots etc.
Bref: l’attelage des deux chevaux avec le cocher rappelle une métaphore de Platon dans Phèdre, où l’un des deux chevaux est de nature désirante et ne gère pas nos passions. Bref, un attelage visiblement (la rosse) se laissant entraîner pas les passions (amour, coeur, désir). Max donne une substitution, on pourrait remplacer le “là où tu voudras” par “là où tu désireras”, ainsi le sens de “vouloir” a plus le sens du voeu, du désir qu’une volonté réfléchie.
Je me suis dit que le singulier de la rosse en regard des deux chevaux pluriels pouvait nous inviter à les mettre au pluriel. “Par les rosses” = “Par l’Eros”. Eros est ce dieu que l’on a fini par représenter comme un chérubin avec un arc et une flèche plus connu sous le nom de Cupidon. Bref, toujours le désir, l’amour. Le cocher m’invite également à “décocher” des flèches. Cet attelage est un puissant catalyseur de pulsions. Il est aussi lié au roc ou au rocher. tout le monde a perçu le contrepet “Par la causse et le rocher” qui rappelle Rocamadour, le rocher de l’amour. J’ajoute que cocher signifie faire une entaille et le tour est joué. La cosse est aussi cette roche calcaire où est planté l’épée de Roland à Rocamadour. Désir, Amour, rocher…
Je réfléchis, je réfléchis…
Je me dis que s’il est clair que cocher du texte correspond au cocher du visuel (confirmé par Max V.), il n’est pas du tout sûr que “le pied” corresponde au piéton (ou à son pied) du visuel… Il y a bien une astuce de ce côté-ci. Le “où-où” pourrait simplement être les deux choix possibles d’une seule entité. Le “par” pourrait également signifier “à travers” “par le même chemin pris” plutôt que “avec”… En gros, je me dis qu’il y a deux choix donné au piéton et donc au lecteur mais deux choix qui sont deux axes différents…
Je réfléchis, je réfléchis et je reviens…
J’ai trouvé!!!
Mais quasi en direct au moment où je vous écris… DONC avec tous les guillemets d’une découverte beaucoup mais alors beaucoup trop fraîche. Je pense que je touche juste au moins l’idée générale. Je vais me répéter encore et encore mais comme je suis le seul à poster ces jours-ci…
Lors de la 530, nous avions une hésitation entre Greenwich et le Méridien de Paris. Je reviens pas là-dessus, les deux sont évidemment importants. La dernière phrase de la 530 je l’interprète comme ceci: "Sois sage, contente-toi de Bourges pour le moment, mais très bientôt (futur) tu devras t’intéresser à la Méridienne de Greenwich (sera pas affaire de 2’20).
En entrant dans la 780, nous savons donc que la méridienne de Greenwich peut être importante puisque l’on commence la 780 là où finit la 530, c-à-d sur la dernière phrase de la 530. Il y aura donc ce premier “pas” à faire en direction de Greenwich, mais pas encore.
Les deux phrases du texte semblent liées au visuel en effet mais c’est trompeur… d’où l’astuce. Le cocher du texte correspond au cocher du visuel, la boussole correspond à la boussole du visuel mais c’est beaucoup moins sûr pour la rosse (bien que presque confirmée par MV) et encore moins pour le pied (qui a dit que le pied appartenait au piéton?).
L’entourloupe, c’est que l’on s’imagine que l’on doit choisir si l’on est le cocher ou le piéton ALORS qu’on nous propose deux directions consécutives et qu’on est le piéton (ou le lecteur)
Il faut interpréter le texte ainsi : "Tu voudrais aller directement au Sud par le même chemin qu’a pris le cocher ? Par la rosse qui a un S sur la face? Il te faut attendre un peu (le futur de vouloir), tu DOIS d’abord aller direction Greenwich comme la 530 te l’avais demandé, par le pied (les pieds 47 et 47 = deux points sur la latitude 47 mais aussi le pied du piéton sur l’ouest de la boussole) et la boussole (le 3M de la boussole = Trois Moutiers) "
A la fin de la 780, le piéton sera sur le point 47-0 (près de Trois-Moutiers) et le Changement de direction (CDD) se fera ENTRE la 780 et la 470 puisqu’on pourra enfin aller au sud là où l’on voulait (on fait donc le premier pas vers l’ouest sur Greenwich et pour le deuxième nous irons en direction du sud).
C’est brillant non?
Comme écrit plus haut, je pense même que l’on peut deviner où veut aller le piéton… Il aimerait directement aller à Rocamadour comme le suggère les multiples interprétations et jeux de mot de Rosse et Cocher: “cosse et rocher”, "l’allégorie du cocher tentant de retenir les passions (rosse = mauvais cheval), les rosses (il y en a deux) = l’Eros, “cocher” me fait penser à décocher une flèche (Eros=cupidon), Rocamadour (rocher de l’amour)… Mais à ce stade, on n’a pas besoin de le savoir pour résoudre l’énigme. Et si il y va vraiment en 470, c’est une autre histoire.
Je vous donne les madits où Max commet des erreurs qui m’ont mis la puce à l’oreille:
QUESTION No 2 DU 2001-06-12
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TITRE: 780
BJR MAX - EST-IL POSSIBLE QUE LA OU JE V OUDRAI SOIT AUSSI LA OU JE DOIS ? PEUX-TU PRECISER SI LES DEUX “OU” DESIGN ENT BIEN UN LIEU? MERCI - MERCURE
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1 - NON. 2 - NON, JE VOUS INDUIRAIS CERTAINEMENT EN ERREUR EN VOUS DISANT QUE C’EST LE ME ME LIEU ! AMITIES – MAX
QUESTION No 27 DU 2001-06-13
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TITRE: QR 780 DES QR EN COURS
BONJOUR MAX, PEUX-TU RELIRE Q ET R EN 78 0 DES QR EN COURS CAR C’EST LA PANIQUE. Q=PEUX TU PRECISER SI LES 2 OU DESIGNENT UN LIEU , R=JE VOUS INDUIRAIS EN ERREUR EN DISANT QUE C’EST LE MEME LIEU AUTREMENT DIT, ON PEUT DIRE QUE C’EST LE MEME LIEU MAIS IL Y A UN TRUC ? ALAIN
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CES DEUX “OU” SE REFERENT BIEN A DES LIE UX, MAIS IL NE S’AGIT PAS D’UN MEME LIEU. J’ESPERE QUE C’EST PLUS CLAIR MAIN TENANT. AMITIES – MAX
QUESTION No 9 DU 2001-11-30
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TITRE: COSA ASPRO
POUR LA 780 COSA AUTRA EST TRES CLAIR… MAIS ENSUITE TU A AJOUTE : “OU TU VOUDRA S” SIGNIFIE QUE TU AS UN CHOIX A FAIRE, UNE DECISION PERSO … CE N’EST DONC PAS UN FUTUR ? SVP, PEUX TU CONFIR— PARDON ME DIRE SI C’EST BIEN CELA ? MERCI ALAIN
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SI, C’EST UN FUTUR, PUISQUE C’EST UNE AC TION CONSECUTIVE. AMITIES – MAX
QUESTION No 22 DU 2001-11-30
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TITRE: DE MAX A ALAIN “COSA ASPRO”
JE VIENS DE M’APERCEVOIR QUE MA REPONSE A VOTRE QUESTION “COSA ASPRO” PEUT INDUI RE EN ERREUR. JE RETIRE LE MOT “CONSECUT IF”, ET LE REMPLACE PAR “C’EST UN FUTUR HYPOTHETIQUE CONDITIONNEL” ! JE NE PEUX PAS ALLER PLUS LOIN QUE CA. ET ENCORE PA RDON POUR MA REPONSE PRECEDENTE, PAS TER RIBLE !
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AMITIES – MAX
Il me reste la CI à trouver… Quelque chose me dit qu’elle doit se trouver vers le cocher qui est parti à l’est lui…
Clignote, tu représentes le collectif a toi tout seul ! 
Bonne chance, car Ston a un tout petit peu d’avance! 
DodoDO dit:Clignote, tu représentes le collectif a toi tout seul !
Bonne chance, car Ston a un tout petit peu d'avance!
Sauf que ston se trompe
et que je ne désire pas trouver la chouette mais "être à niveau" quand le livre des soluces sortira de l'ombre. Juste pour pouvoir dire : vous voyez, j'étais pas tout faux... 
Comme le dit notre animal disparu le Dodo, le collectif s’est bel et bien restreint…
J’ai mis ma contribution chez les sans-hulottes mais, comment dire, c’est plutôt ardu comme fonctionnement … Bref je mets ici le post que j’ai mis là-bas… Ca me permet de consigner voire d’archiver mes idées mais évidemment si le collectif reprenait de plus belle, je saurais m’effacer 
Nous sommes ici encore QUE dans la 780. Les deux “où” je les prends comme deux “lieux” qui m’indiquent des directions et non pas encore comme le lieu final. Je ne m’occupe pas de la 470.
Succession:
Premier Pas
1. Où tu dois : à l’ouest en direction du point 47-0 de Greenwich, c’est la direction générale à trouver OUEST et la seule pour la 780.
Pourquoi?
a. Parce que la 530 nous le demande et que c’est donc une obligation,
b. par la boussole et non pas son aiguille et sur la boussole il y a le 3M (WE à l’envers) qui rappelle Trois-Moutiers
c. Par le pied, soit les pieds des vers (47 47) donc on suit la latitude 47, soit par le pied du piéton qui est près de la lettre W, donc à l’ouest.
Deuxième Pas
2. Où tu voudras: c’est donc un “désir” une volonté mais on ne peut y aller tout de suite, le deuxième pas sera fait (ou non) ENTRE la 780 et la 470, c’est le CDD (changement de direction). Cette “deuxième direction” est donc SUD.
Pourquoi?
a. Par la rosse et le cocher : il faut suivre le cheval qui symbolise nos passions et ce cheval est pointé par l’aiguille, et par la lettre S qu’il a en pleine face. On a donc envie d’aller au Sud. Visiblement peut-être vers un rocher, causse, désir… donc peut-être Rocamadour mais à la limite je m’en fous pour l’instant n’étant qu’en 780. Le PAR ici doit être compris comme A TRAVERS, PAR LE MEME CHEMIN QUE et non pas comme AVEC.
En définitive, la 780, dans cette logique m’invite à aller à l’OUEST même si j’aimerais bien aller tout de suite au SUD. Mais c’est bien l’OUEST la direction générale à trouver dans la 780. Savoir si le piéton, qui est à Trois-Moutiers Greenwich à la fin de la 780, ira au SUD lors du CDD pour faire son deuxième pas, c’est la 470 qui me le déterminera, pour l’instant je m’en fiche.
Ce que je pense amener de “nouveau” (même si tout a déjà été dit bien sûr):
- les deux “où” révèlent deux axes différents consécutifs (directions Ouest puis Sud)
- Le CDD qui s’explique par le deuxième pas au SUD (entre l’énigme 780 et 470)
- le “PAR le cocher” à considérer comme “prendre le même chemin d’où vient le cocher”
- “la rosse” est au singulier car c’est la rosse qui est désignée par le S qu’elle a en pleine face.
- le DOIT qui nous rappelle ce que la 530 nous disait (ne sera pas affaire de 2’20 donc de Greenwich)
- Le même lieu que l’on veut atteindre qui est au Sud mais le détour par l’ouest.
- la tentative de résoudre l’éventuel paradoxe d’un lieu à trouver en 470 qui n’est pas dans la direction générale de la 780 selon les madits. D’où l’Ouest.
Clignote dit:Comme le dit notre animal disparu le Dodo, le collectif s'est bel et bien restreint...
J'essaye de pas perdre de vue le collectif, mais pour te suivre il faut que je me concentre là-dessus et en ce moment j'ai une charge de travail assez pénible...
blad dit:Clignote dit:Comme le dit notre animal disparu le Dodo, le collectif s'est bel et bien restreint...
J'essaye de pas perdre de vue le collectif, mais pour te suivre il faut que je me concentre là-dessus et en ce moment j'ai une charge de travail assez pénible...
Idem pour moi,mais...
"I'll be back! "
Disons qu’avec le retard pris sur STON…
difficile de le “griller au poteau”.
Bonne chance à lui.
Passage en 580 :
Mais avant de quitter notre trilogie 530/780/470, je vous soumets encore une idée qui me semble séduisante sur notre tandem piéton/cocher du visuel :
Pour moi, le croisement évoqué dans les madits pourrait être d’ordre sémantique : un terme qui s’appliquerait aux deux entités ça serait pas beau ?
Alors voilà : Notre piéton serait… Saint FIACRE.
Arguments :
- l’homonymie bien sûr : pas vraiment un hasard puisque c’est St Fiacre qui est la source étymologique du mode de transport, inauguré par l’hôtel Saint Fiacre à Paris. À ce titre, il est le saint patron des cochers puis des taxis.
- Saint Fiacre était un moine gyrovague : (du latin ancien gyrus, « cercle », et vagus, « vagabond ») Avouez que la correspondance avec notre marcheur sur le périmètre de la boussole est troublante…
- Selon la légende, St.Fiacre a reçu, pour fonder son monastère du Breuil (près de Meaux), tout le territoire qu’il serait capable de circonscrire en une journée en creusant un fossé au sol, ce qu’il fit en creusant un sillon avec un bâton traîné derrière lui : Ce bâton ne serait-il pas ce fameux pied bizarre du piéton du visuel ?
- Saint Fiacre, en tant que saint patron des jardiniers est représenté avec un ustensile qui n’est pas neutre dans cette chasse… Voyez et comparez au personnage du visuel de la 650 !
https://www.google.fr/search?q=saint+fi … 24&bih=672
Clignote, j’ai trouvé plusieurs témoignages du culte de saint Fiacre à Troyes, que tu as déjà évoquée sur tes pistes de réflexion…(Statue a l’église Ste Madeleine, tableau à la cathédrale, vitrail à l’église saint Maclou) mais on en voit un peu partout…
Bon, il se fait tard, et je n’ai plus le temps de passer à la 580.
Mais demain je vous dis tout ! Sauf si le Ston nous prouve qu’il a creusé au bon endroit…
Il y a quand même un truc qui me turlupine depuis un bon moment.
Tous les chasseurs décortiquent les phrases des énigmes, certains analysent même mot à mot, bref on sent une volonté de creuser à fond les énigmes avant de creuser pour déterrer la chouette.
Il y a presque une recherche de précision pour chaque mot.
Or tout le monde est d’accord pour dire que la réponse à “mon septième, dressé, crache son venin” est “serpent”.
Pourtant il n’y a rien de plus flou comme réponse, seuls quelques espèces crachent leur venin.
Si on veut être aussi précis et exhaustif que certains la réponse devrait être cobra ou naja par exemple.
J’avoue avoir du mal à comprendre pourquoi dans certains cas les chercheurs vont au plus simple alors que dans d’autres ils compliquent presque à loisir.
Quoi qu’il en soit si la chouette n’est pas trouvée aujourd’hui je prends mon bâton de pèlerin et ma pelle pliante et je pars creuser ce week-end.
En plus elle ne doit pas être loin de Grenoble si on en croit ce télégramme:
Enpassant dit:...
Pas tout faux Enpassant... Si je te suis, on pourrait résoudre la 530 comme ça (enfin c'est juste un exemple vite fait pour l'idée générale):
Mon Premier, première moitié de la moitié du premier âge,
AGE DE PIERRE
Précède mes Second et Troisième, cherchant leur chemin.
ERRANT - PERDU- CHAPERON ROUGE
Mon Quatrième s’inspire, mon Cinquième est en rage,
POETE- AIR- COLERIQUE
Mais, sans protester, suit mon Quatrième et l’alpha romain.
L'ENERVE suit LE POETE ET LE A MAJUSCULE
Mon Sixième, aux limites de l’ETERNITE se cache.
ACCENT AIGU
Mon Septième, dressé, crache son venin.
COBRA NAJA
On pourrait donc imaginer qu'avec: AGE DE PIERRE ERRANT - PERDU- CHAPERON ROUGE - POETE- AIR- COLERIQUE - LE A MAJUSCULE - ACCENT AIGU - COBRA NAJA... on pourrait déduire un lieu pour commencer le jeu. A la limite pourquoi pas dans l'absolu... c'est une idée...
Il va de soit que la solution est une chose mais qu"en passant" on apprend plein de chose sur l'histoire de France, des étymologies etc... C'est donc aussi un plaisir, la digression!