C’est tout l’inverse en réalité.
Le nucléaire a des défauts mais ne produit pas de gaz à effet de serre.
C’est tout l’inverse en réalité.
Le nucléaire a des défauts mais ne produit pas de gaz à effet de serre.
Ce n’est pas l’objet de mes interventions, mais je crois que tu as suffisamment répété cette phrase pour que tout le monde comprenne ta préoccupation.
Si tu veux continuer je suggère que tu ouvres un fil dédié au non lien entre GES et nucléaire.
C’est surtout que tu as ecrit plusieurs messages sous entendant un lien en nucléaire et réchauffement climatique qui sont factuellement faux.
Et que lors d’une demande de clarifier ton message, tu as continué à entretenir la confusion.
Donc oui j’ai retabli plusieurs fois des faits pour éviter tout malentendu.
Une centrale nucléaire n’émet peut-être pas de gaz à effet de serre lors de son exploitation, mais en amont et en parallèle, ça doit être loin d’être négligeable. Entre toutes les ressources utilisées pendant des années pour sa construction et toute la logistique mise en oeuvre pour extraire, traiter, transporter puis stocker le combustible nucléaire, il y a de quoi faire des calculs.
Autre point : le recours au nucléaire ne répond pas à la question centrale de savoir comment on peut assurer un avenir à planète en réduisant la consommation d’énergie. Si on passait au 100% nucléaire dans le monde pour produire de l’électricité, il y aurait moins d’émissions de gaz à effet de serre mais combien de temps avant d’épuiser l’uranium disponible ?
Sur le papier, c’est sûr qu’une comparaison des émissions de gaz à effet de serre entre une centrale à charbon et une centrale nucléaire est à l’avantage de cette dernière.
(Chaque fois qu’on parle de nucléaire, je pense à “Prince des Ténèbres” de John Carpenter et à ça :
)
Si on continue à produire de l’électricité avec du charbon et du pétrole, ça durera plus longtemps tu crois ?
Mais tu as raison, il vaut mieux crever avec certitude rapidement du réchauffement climatique en brûlant du charbon et du pétrole que de gérer un risque à long terme avec le nucléaire.
C’est le choix des allemands, qui du coup est le plus gros producteur de co2 d’Europe, pratiquement le double de la France… et l’objectif de baisse de production de co2 de l:Allemagne pour 2030 reste supérieur à ce que produit la France aujourd’hui !
Et ne me parles pas de renouvelable, ça ne suffira pas, on a aucune piste scientifique pour que cala suffise.
j’ai juste écouté, et ça m’a sauté aux yeux - aux oreilles - que c’était juste des mots en vrac;
je dis pas que ca ne changera pas, je fais juste un constat en l’état.
au fait on devrait renommer le titre du fil parce qu’il me semble qu’on est loin des “articles écrits par IA” désormais. Ou alors se recentrer mais peut etre que tout a été dit du coup…
Je suis d’accord avec ce que tu dis. Le nucléaire est peut-être la solution la moins pire pour continuer à produire l’énergie nécessaire à notre civilisation sans sauter immédiatement dans le gouffre.
Et le renouvelable, si j’ai bien compris les raisons de la panne générale survenue en Espagne, ce n’est pas suffisant pour assurer un approvisionnement fiable.
Le truc est que quelque soit le sens dans lequel on prend le problème, il n’y a pas de solution évidente et simple.
Surtout que les centrales ont besoin d’être refroidies. Si on est en sècheresse va falloir m’expliquer comment… Ah si… Fukushima 2 et 3 en méditerranée et à l’Océan.
Vous vous êtes amusés, et moi aussi (Chatgpt est gentil sur le temps de jeu lol)
Le jeu est riche, mais alourdi par une multitude de micro-effets et d’icônes spécifiques. Cela donne une impression de profondeur, mais aussi de complexité mécanique peu fluide, où chaque carte semble être une exception plus qu’un élément d’un système cohérent. Il manque cette clarté systémique que certains jeux (comme Brass, Azul, ou 7 Wonders Duel) réussissent à instaurer.
C’est “bien foutu”, mais rarement “brillant”.
Oui, plus de 200 cartes différentes. Mais beaucoup sont oubliables, contextuelles, ou dépendantes de tirages chanceux. Certaines synergies sont excellentes, mais d’autres s’avèrent anecdotiques. On est souvent plus dans une optimisation par défaut que dans une stratégie inspirée.
Cela donne un gameplay intéressant, mais rarement grisant.
Le jeu s’étale sur 2h à 3h de partie, pour une montée en puissance relativement linéaire. Le plaisir de progression est là, mais trop long pour ce qu’il offre en retour. On ressent parfois une sorte de plateau émotionnel : le rythme est constant, mais l’intensité ne monte pas vraiment.
Pas d’ennui, mais pas de frissons.
Le matériel est correct, mais le design graphique (et surtout les illustrations disparates des cartes) crée une esthétique datée, bricolée. Ce n’est pas laid, mais ce n’est pas immersif non plus. Le jeu semble fait pour fonctionner, pas pour séduire.
Ce n’est pas moche… c’est juste “meh”.
Malgré son thème, Terraforming Mars reste fondamentalement un jeu d’ingénieur : on optimise des ressources, on construit un moteur, et la planète devient habitable presque “en arrière-plan”. Le thème est présent, mais souvent subordonné à l’efficacité mécanique. On pense plus en cubes qu’en atmosphère.
La tête fonctionne, mais le cœur reste froid.
Terraforming Mars est un bon jeu. Personne ne le nie. Mais c’est un jeu qui coche des cases, sans soulever le cœur. On comprend pourquoi il plaît, mais aussi pourquoi il ne passionne pas. Il donne l’impression d’un travail efficace, structuré, équilibré… mais pas d’un chef-d’œuvre vivant.
En ce sens, il est l’archétype du “Ok game” : bien conçu, bien pensé… mais sans ce petit supplément d’âme qui transforme une expérience en souvenir.
Force est de constater que beaucoup d’humains, qui passent en boucle à la radio, ne font pas mieux…
Fukushima c’était à cause de la température ambiante et d’une canicule exceptionnelle? On en apprend de ces choses, ici !
Comment commenter, sans réfléchir juste pour se moquer…
Si nous n’avons aucun moyen de refroidir les réacteurs proche des rivières (a cause de la sécheresse), le nucléaire nous servira à rien.
Sauf, en s’appuyant sur la belle idée de faire comme au Japon, des centrales au bord d’un océan ou d’une mer. (Ça va faire beau sur le littoral français tiens).
Et comble de l’histoire, d’où mon trait d’humour, c’est bien parce que le système de refroidissement était endommagé à la suite du séisme qu’on a eu cet accident a Fukushima.
Allez je te tends la perche pour que tu te moques encore :
« Des tsunamis en Méditerranée, on apprend de ces choses ici. »
En tout les cas, le vieillissement des centrales est une grosse question en effet vu l’ampleur des dégâts quand il y a un problème. Et il en suffit d’une qui déconne pour avoir des conséquences à l’échelle mondiale, sur la faune, la flore et la santé humaine.
Alors me moquer, oui, je suis joueur, mais jamais sans réfléchir.
Ce que tu viens de faire c’est comme si tu te servais de l’accident du Concorde pour commenter et alerter l’opinion publique sur les risques de catastrophes aériennes liés aux étagements et aux ratés des tours de contrôle… Ou à la santé mentale des pilotes.
Finalité identique mais pas du tout les mêmes causes.
Je pige même pas ton trait d’humour, ni au deuxième degré ni au premier (ha parce que tu parlais de risque de tsunamis en Méditerranée ? Je croyais que tu parlais de réchauffement climatique… Oui, un argumentaire absolument limpide )
Avant que ça ne monte,
@juliano te dis juste :
La comparaison avec le Concorde ne vaut rien.
Un accident de central, un seul, et ce sont des dizaines et des dizaines d’années de dérèglement avec destruction de l’environnement proche et éloigné de la zone du sinistre. Deux accidents graves en 50 ans ça compte, et je ne parle pas de fuites… Donc oui l’impact des accidents ça compte.
C’est vraiment indiscernable de certains comptes Instagram (c’est même mieux que beaucoup).
Je suis bien content que la centrale de Fessenheim soit arrêtée. Au moindre incident grave, c’était toute la plaine d’Alsace, et surtout tout ce qui se trouvait en aval, qui était irrémédiablement irradié.
Et pour ceux qui préparent l’argument “oui, mais ton électricité, tu la fais comment maintenant ?”, je dirai que 2/3 de l’électricité consommée en Alsace provient d’une centrale hydroélectrique sur le Rhin. Fleuve qui coule en continu depuis des milliers d’années.
Bah oui c’était l’idée ! J’essayais de lui faire comprendre que prendre pour exemple Fukushima pour nous parler des risques du réchauffement climatique était aussi inadapté que de parler du Concorde pour les problèmes de tour de contrôle. Bref un mauvais exemple contre un mauvais exemple.
C’était une démonstration de “mauvais” exemple, pas une comparaison de fond. Je critiquais ici l’argumentaire, pas le fond.
Tu as raison juste des mots en vrac.
Mais quand tu ye souviens de bo le lavabo ou autre truc devMikael Young…
Si vous faisiez vos argumentaires avec une IA, on éviterait les malentendus.
Franchement, pourquoi se prendre la tête entre humains quand on peut laisser les machines le faire.