Diamant d'or 2024

Et je te remercie pour les mises en lumière que tu proposes sur de tels jeux : High Frontier, Station Fall…
Bientôt Pax Renaissance ? :slightly_smiling_face:

+1
Darwin’s journey je trouve est très soumis à l’effet de groupe et est interactif, 2 facteurs qui font que je ne vois pas en quoi il serait scripté ( sans compter le set up qui ouvre ou non des opportunités).
J’ai l’impression de retrouver un peu les arguments des cowboy à great western.

En tout cas perso , après une dizaine de partie, j’ai toujours l’impression d’y découvrir des choses :slightly_smiling_face:

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Pour verser dans l’auto-promo et renvoyer ailleurs, j’avais pas mal parlé de PaxRen ici.

Alors, par ici plusieurs choses ces derniers temps et en premier lieu Pax Renaissance V2. Ouais, ouais, en VO parce qu’en VF, c’est pas pour tout de suite (muhaha). Pour vous faire patienter, j’étais parti pour relater qq unes des 6 parties faites en qq semaines, mais c’est finalement une espère de review…

C’est quoi ?
Une création des Eklund père et fils dans la série des Pax et qui à l’instar de Pamir a eu droit à une seconde édition.

Il s’agit de présider au destin de l’Europe du XVIe en tant que grand argentier finançant les obscurs desseins. On va intriguer en faisant appel à différents personnages (les cartes) pour faire émerger une Europe impériale, religieuse, libérale ou de la Renaissance. On va, pour ça, influer les différents empires (zones géographiques) de l’Europe scindée en deux espaces distincts : l’ouest et l’est.

Chaque empire est occupé par des classes dirigeants symbolisées par des pièces d’échec qui sont soit guerrières (cavalier) soit nobles (tour) et d’une des trois religions (représentées par une couleur : vert pour musulman, doré pour catholique et rouge pour les réformés). Nos pions (de la forme de pions d’échec) représentent des concessions bancaires posées à la frontière entre les empires. Les classes dirigeantes protègent ou attaquent, nos pions permettent de gagner de l’argent.

Ca se joue comment ?
Comme un Pax, c’est-à-dire très bien à condition de s’être fadé les règles et d’avoir bien compris les enjeux de chaque action (il vous faudra plus d’une partie, promis) !

Plus précisément, outre les actions de jeux (achat, pose de cartes, trade fair, déclenchement des actions des cartes) tout va se jouer grâce à des cartes qui sont disposées en deux marchés l’un pour l’ouest et l’autre pour l’est. Ces cartes vont nous octroyer des actions immédiates à leur pose (one shot et pose d’agents sur le plateau, c’est-à-dire de jetons), des pouvoirs passifs et des actions récurrentes que l’on pourra activer lors de notre tour (ops). L’achat de cartes se fait comme dans Pamir : en payant les cartes précédentes dans le marché et une carte dans la Xeme colonne coute donc X.

La plupart de ces actions vont consister à essayer de contrôler des zones que ce soit en faisant un mariage entre un roi et une reine (couronnement), une invasion (campagne), une révolte (guerre civile lancée par les jetons réprimés), une guerre de religion, un vote. D’autres actions permettront d’avoir une influence sur le jeu soit en retirant des jetons du plateau (qui seront tués ou réprimés), soit en supprimant des cartes etc.

Le gain d’argent principal se fera via l’action de trade fair qui permettra 1/ de réintroduire de l’argent et 2/de récupérer les pièces laissées sur les cartes (et aussi de peupler les empires). Ce sont nos concessions qui en fonction de leur positionnement nous permettront de glaner ces précieuses richesses.

Enfin, il y a quatre conditions de victoire (je les simplifie) :

  • contrôler le plus d’empires (victoire impériale) ;
  • avoir le plus de concessions (victoire commerciale) ;
  • avoir le plus de Républiques (victoire de la Renaissance)
    je n’en ai pas parlé, mais on peut transformer ses propres empires en Républiques dans certaines conditions ;
  • la suprématie d’une des religions (victoire religieuse).

Le déclenchement de la victoire de se fait en deux temps : 1/ il faut acheter une carte comète qui permet d’activer une des conditions au choix du joueur et 2/ dépenser une action pour se déclarer vainqueur.

N’ayez pas peur, ça en vaut vraiment la peine
Même si on ne dirait pas, j’ai simplifié et passer sous silence pas mal d’aspects du jeu notamment les pirates, les évêques (les fous), les spécificités de chaque moyen de récupérer des empires, certaines actions des cartes etc. Il faut donc une bonne motivation pour s’approprier les règles. Dautant qu’Eklund a une manière bien à lui de présenter les choses (et je ne parle mm pas des notes de bas de page wtf). Et forcément, tout ça prend une bonne heure minimum à expliquer soit autant de temps qu’une partie !

Oui, parce que c’est ça le plaisir du jeu : une fois lancé, on est tout de suite au cœur du truc. On fait basculer les empires dès le début et la phase d’approche est réduite à sa portion congrue. Toute action compte et nos choix ont forcément des implications à courte ou moyenne échéance. Tout est à couteau tiré à chaque instant. Lors d’une nos parties, on adversaire a eu une condition de victoire remplie dès le 3e tour !! Autant dire qu’il ne faut pas niaiser.

Et si lors des premières parties on est plus concentré à bien prendre le main le truc, le thème est archi présent. Les guerres religieuses changent tout de suite la configuration du plateau et imposent de modifier notre comportement. Les personnages ont des actions en lien avec leur histoire (décrite dans un texte d’ambiance), les Empires ont des forces et des faiblesses qui les rendent plus ou moins intéressants en fonction de la stratégie adoptée. Bref, on est plongé dedans !!

Et donc, bah, c’est vraiment excellent !! Il est rapide (moins d’une heure trente à deux), tourne bien à deux, thématique, joli.
Cole Wehrle disait de la v1 que c’était un jeu de civilisation à grande échelle : les actions que l’on fait ont un impact global et durable et il n’y a pas de micro-truc sans conséquence. Je trouve ça très juste. Par exemple, quand on fait un trade fair pour gagner de l’argent, ça va entrainer l’apparition de nombreuses pièces sur le plateau renforçant certains empires, nécessairement au détriment d’autres.

Il n’est pas exempt de défauts. Il manque parfois de lisibilité : les cartes sont chargées et le plateau comporte beaucoup d’informations qui peuvent un peu perdre. On finit par s’y faire, mais ça n’aide pas au début. Et bien sûr, les règles piquent. Il faut non seulement retenir toutes les actions et leurs spécificités, comprendre l’implication de telles ou telles actions, mais surtout faire un énorme effort pour donner du sens au livret de règles. Entre les concepts expliqués deux fois de manière un peu différente, les points essentiels renvoyés au glossaire, les exceptions présentées comme des cas généraux. Il en faut de la volonté ! La difficulté est d’autant plus grande que l’originalité du jeu empêche de se raccrocher à des choses connues. Un Lacerda demande un effort de mémorisation et de dérouler la boucle d’implications plusieurs fois, mais on est en terrain connu : pose d’ouvriers et productions de ressources pour faire des PV, on a déjà fait ça des tas de fois.

Et en comparaison des autres Pax ?
Comme je le disais au-dessus, c’est un Pax. On retrouve les caractéristiques des autres : thème très présent, multiples marchés de cartes, trois factions en concurrence, les sphères d’influence, différentes conditions de victoires déclenchées par l’achat de certaines cartes etc.

Pax Pamir
  • Pax Pamir

Au-delà de ce que je mentionne juste au-dessus, les similitudes entre les deux sont importantes : manière d’acheter les cartes, actions de certaines ops, rôle des espions/évêques (y compris en termes de victoire). Pour autant, ce sont bien deux jeux distincts.

En premier lieu, le plateau joue un rôle plus central à Renaissance : c’est là que tout se passe. Alors qu’à Pamir, on peut faire des parties en ne posant que peu sur le plateau, c’est impossible à Renaissance. L’interaction sur les cartes, une fois sélectionnées, est moindre : l’équivalent des espions de Pamir (les évêques) est assez peu présent et la destruction de cartes moins fréquente. Les cartes sont donc moins fragiles. Alors qu’à Pamir on est vite limité par le nombre de cartes devant nous, il n’y a pas de limite à Renaissance, ce qui offre des stratégies différentes.
Ensuite, l’argent coule plus à Renaissance : non seulement une action en réintroduit (trade fair), mais on peut également toujours vendre une carte posée ou en main pour deux d’argent.
Par ailleurs, Renaissance est moins abstrait : que ce soit dans les conditions de victoire ou dans ce que représentent les jetons (la forme de pièces d’échec aide beaucoup), on prend ainsi mieux en main le thème.
Pas de sphère dominante qui influence les règles dans Renaissance. Les 4 conditions de victoire correspondent à ces sphères, mais contrairement à Pamir elles n’ont pas de rôle en jeu (pas d’actions gratuites ou d’influence sur le coût des cartes).
Enfin, Renaissance tourne parfaitement à deux (seule configuration jouée). Pamir fonctionne dans cette configuration, mais on sent qu’on rate un truc avec les trois factions.

Je crois que je préfère Renaissance à Pamir parce que moins abstrait et aprce qu’il tourne parfaitement à deux, qui est ma principale configuration actuellement. Ce dernier aspect n’est pas à négliger pour un jeu aussi exigeant en règles !

Pax Transhumanity
  • Pax Transhumanity

Je serai plus bref, n’ayant qu’une partie dans les pattes.
Trois choses diffèrent fortement dans Transhumanity des autres Pax : les 4 marchés (correspondant à 4 sphères d’influence), le système économique (repris d’Emancipation, je vous laisse regarder, c’est très malin), la quasi-absence de plateau de jeu !
Les règles sont relativement accessibles, mais je l’ai trouvé très abstrait, notamment du fait du thème futuriste. Là où à Renaissance, on peut se raccrocher au thème par exemple sur les conditions de victoire à Transhumanity, c’est difficile de se les approprier.
Il marche très bien à deux et je dirais qu’il est un poil plus long sans la variante désormais officielle qui réduit les cartes des decks et du marché en fonction du nombre de joueurs.

Pax Emancipation
  • Pax Emancipation

Seulement deux parties en solo avant revente (autant vous dire que le jeu n’a pas tout à fait trouvé sa place chez moi), ce que je dis est donc très fortement soumis à caution. Pour faire simple, j’ai l’impression qu’Emancipation est un Renaissance raté dans lequel des éléments de Transhumanity auraient été intégrés (splay, système économique), alors même qu’il est antérieur à ce dernier.
Les deux ont des règles aussi complexes, avec une explication thématique plus forte dans Renaissance. Les rôles dans Emancipation sont assez figés (ce qui est d’ailleurs un gros défaut) alors qu’ils sont assez libres dans Renaissance : le choix du personnage de départ ne détermine pas les conditions de victoire et on peut/doit en viser différentes en cours de partie. Les deux marchés à Renaissance jouent un rôle équivalent alors qu’à Emancipation, l’un ne prend de l’importance que dans un second temps.

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Je me permets d’ajouter que par chez nous aussi Barrage continue d’être joué quand l’occasion se présente et qu’il fait toujours parti des “must” de ma ludothèque :+1:

Après je ne sais pas si c’est pareil pour d’autres mais de mon côté, je ne mets pas ici (dans les divers sujets du forum) toutes les parties des jeux “plus anciens” auxquels je joue, alors que je le fais plus facilement pour les nouveautés que je viens d’acquérir :man_shrugging:
Donc ça peut, peut être expliquer cette sensation que certains jeux sont un peu oubliés. Mais ce n’est peut être pas parce qu’on en parle moins qu’ils sont pour autant mis de côté ad vitam aeternam :wink:

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Dans mon asso aussi, le noyau dur de “gros joueurs” joue très régulièrement à Barrage.
C’est devenu un petit classique, aux côtés de Brass, Ark Nova, Underwater Cities, Projet Gaia, Anachrony… pour citer quelques autres jeux qu’on voit régulièrement sur la table. Y a quelques fans hardcore de Caylus édition Ystari aussi. :slight_smile:

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Je n’y ai pas joué suffisamment pour me prononcer mais c’est souvent ce qui lui est reproché. Après combien de parties, je ne sais pas.

Barrage est aussi un classique des conventions par chez moi. Je ferai de nouveau un point dans un peu moins d’un mois :slight_smile:

Merci merci ^^ En fait je connais plutôt bien Pax Ren V1.
Je suis toujours intéressé par les impressions des joueurs sur cet OVNI.

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Ben j’aime pas du tout du tout.

Ce n’est pas surper passionnant comme avis par contre. Désolé de ne pas avoir tellement de quoi développer plus.

Bonjour à tous,
Mon cercle de joueurs a la même impression sur ces GROS jeux (lourds comme des SUV :smile:) et moi aussi j’avoue…avec un peu de honte :woozy_face:.
Nous sommes peut être des petits joueurs après tout.
Et pourtant nous jouons à Mage Knight, Earth, Clash of Cultures, Shakespeare, Agricola, entre autres.
Mais je trouve que les “euro games” qui sortent ces temps ci, sont bedonnants d’icônes, graisseux de points de règles, dégorgeant de matériel avec des mécaniques vraiment, euh, comment dire, vraiment…ben, mécaniques. Peu d’émotions ludiques et nous avons la mauvaise sensation de calculer, de compter, recompter, chiffrer, mesurer, convertir encore et encore.
Comme si c’était une course au “toujours plus”.

Quand j’ai fini d’expliquer les règles (et c’est toujours moi qui m’y colle :hugs:), tout le monde a mal à la tête (alors que ce beau monde venait autour de la table pour se la vider, justement…la tête) et dit : “Et si on jouait à Yspahan ou à Agricola, tiens, non ?”.
Nous avons essayé Darwin’s Journey par exemple, pour citer le jeu nominé et plébiscité.
Pffff, pas marrant pour un sou. C’est froid et frigide comme un bureau de banquier :flushed:. (désolé pour les banquiers, un métier comme un autre).
Mais je me répète nous sommes probablement des joueurs dérisoires.
Des joueurs non experts et j’ai toujours pensé que “expert” et “jeu” sont un oxymore peu appétissant.
Je respecte ces jeux et leurs auteurs et tant mieux si ces jeux plaisent.
Il en faut pour tous les goûts. :+1:
Allez, bons jeux à tous.

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Je ne pourrai pas te décrire les différence, n’ayant joué qu’à cette version. Mais, je recommande très chaudement, tout comme Pax Transhumanity que j’ai poncé depuis et sur lequel j’avais disserté par ailleurs.

Je n’ai pas tout compris :grimacing:, mais je vois bien pourquoi ça peut ne pas plaire. Les règles seraient moins tordues, il pourrait avoir un succès bien plus large.

Aucun problème avec les règles que j’ai trouvées plutôt sobres (dans leur articulation, pas dans leur rédaction !). Mais toutes mes parties sont tellement tombées à plat que j’ai perdu la foi…

(J’édite ma faute de frappe, merci de l’avoir relevée)

bon une dizaine de partie ce n’est non plus tant que ça. Je ne dis pas qu’un jour je me rangerais à cette avis :wink: , mais pour l’instant je n’ai pas constaté tant que ça un aspect scripté sur l’exploration et le niveau ( ça reste une très bonne combo on est d’acord). Et le fait que Darwin’s journey soit autant plébiscité m’envoie comme message que visiblement les joueurs trouve que le jeu révèle son potentiel avec le temps.

@kibitzer
pas question de gabarit de jeu, juste une question de sensibilité ludique à des créations :wink: (comme en musique ou littérature).

Bonjour ocelau,
@kibitzerCripure
pas question de gabarit de jeu, juste une question de sensibilité ludique à des créations :wink: (comme en musique ou littérature).

Oui, tu as raison, c’est sûr. Je vois bien quand je discute littérature, certains vont dire : “Waouh, Flaubert il m’emmerde avec ses phrases travaillées.” alors que moi j’adore.
“Waouh, Bach c’est chiant, ça fait mal à la tête.” alors que moi ça me la lave.
Mais j’avais envie de grogner sur ces jeux. :smile:

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En fait c’est pas mal l’histoire d’une déception amoureuse. Tu sais, la phase de séduction et de découvertes ou tout est incroyable puis le quotidien ultra usant où on ne voit plus que ce qui devient insupportable. J’ai commencé il y a fort longtemps par High frontier (:heart::heart::heart::heart:) et j’ai essayé des années et des années de maintenir la flamme : Bios megafauna (pas la dernière édition celle plus moche revendu), Bios genesis (revendu), Pax renaissance (à vendre) et Greenland, revendu faute d’avoir trouvé des gens avec qui y jouer. Je crois que je vais finir par accepter que ce n’est ni pour moi ni pour les gens avec qui je joue. Phil, ce n’est pas toi c’est moi. Enfin, si, c’est quand même toi aussi, faut arrêter les conneries. Bref. Continuons chacun de notre côté, ça sera mieux pour tout le monde.

Me reste pax porfiriania (et Pamir mais c’est borderline HS) que je ne désespère pas de jouer (3 ou 4 ans déjà qu’il prend la poussière). Et high frontier que j’aime d’amour déraisonnable.

Pax emancipation, pax transhumanisme, pax cassoulet et toute la série je ne regarde même plus.

Après stationfall c’est pas pareil. En plus passer au fils quand on s’est lassé du père c’est complètement logique. Et moralement indiscutable.

Voilà. Exactement.

Je trouve aussi qu’ils diluent pas mal la série avec des jeux qui n’ont plus franchement de lien avec le truc de départ (cf. la discussion sur Pax Viking que je citais).

Sur le reste, très clairement le défaut des Eklund est que ce n’est sortable que dans des conditions bien particulières. Quand les gens accrochent, c’est juste magique.

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C’est bien toi qui nous recommandais La couronne d’Emara à l’époque, non ? J’avoue ne plus comprendre :wink:

Bonjour fdubois,
Oui mais La Couronne d’Emara est léger comme une plume niveau mécanique.
Ce n’est pas un jeu dit “expert”.
Restriction de matériel, tours de jeu fluides et absence de litige de points de règles.
Ce n’est pas un jeu lourd à jouer.
Bons jeux à toi.