Hier j'ai joué à....

Didou_did dit:La dernière fois, je sors : Jesse Pinkman. Je savais qu'autour de moi une et une seule personne trouverait ma carte ! Chose réussie ^^

Par chez nous, on interdt les indices dont on sait que tout le monde ne peut pas trouver, ne serait-ce que par correction envers les autres joueurs (exemple: référence à une carte de Magic lorsqu'un seul autre joueur est présent,...).
De plus, surtout pour les débutants, j'impose des indices "phrase" (au minimum sujet, verbe,complément), pour éviter "neige", "escalier", "coquillage"...

-Mildaene.
Lapinesco dit:En attendant Siggil, For Sale et Ryu
-> j'ai les 2 premiers dans le radar, Ryu je le vois de loin, tu le conseilles ?

Ryu, je le recommande vivement :)

Fin de la campagne Pathfinder : les 3 derniers scénarios valent leur pesant de cacahuètes !! Par contre, pourquoi y a-t-il des récompenses à la fin de l’aventure, puisque pour les autres boîtes, on repart à zéro ??

deepdelver dit:Fin de la campagne Pathfinder : les 3 derniers scénarios valent leur pesant de cacahuètes !! Par contre, pourquoi y a-t-il des récompenses à la fin de l'aventure, puisque pour les autres boîtes, on repart à zéro ??

Les trois derniers scénarios sont en effet très bons. Dommage que toute la campagne n'a pas été de ce niveau.
Les cadeaux de fins sont dans le cas ou ils lanceraient la suite de cette campagne. Dans le jdr les joueurs finissent niveaux 16. Rien n'empêche de créer une suite ...
Janabis dit:Plein de trucs.

Veinard! :evil:
Sinon, faut que ça avance 13/10/1307 parce qu'il est trop bon pour rester dans les placards. Et quand est-ce que tu repasses par Paname?

Churchill
1944. La guerre est proche de son dénouement, les forces Alliées avancent inexorablement vers les bastions de l’Axe que sont l’Allemange et le Japon. Leurs dirigeants respectif, Winston Churchill, Franklin Roosevelt et moi même, Joseph Staline, vont de conférences en conférences accompagnés de leurs généraux, afin de coordonner les prochaines attaques, tout en essayant de se tailler la meilleure part dans le nouvel ordre mondial qui ne manquera pas d’émerger.
Lors de la première de ces conférences, le plus important pour moi est clairement de m’ouvrir la voie vers l’Allemagne. Mes deux “alliés” semblent n’avoir rien contre, l’un semblant plus intéressé par le Japon, l’autre, dans son esprit idéaliste bien connu, par la libération de l’Italie.
Mais il y a un souci… Tant que les Américains n’ont pas opéré le fameux débarquement en Normandie dont ils parlent tant, ils ne représentent aucun danger pour l’Allemagne, qui peut alors se permettre d’envoyer une grande partie de leur armée sur le front Est, le mien. Grâce à l’aide de mes généraux, ainsi qu’au soutien de l’Angleterre, je parviens de justesse à avancer la ligne de front vers mon objectif. Mais je me rends bien compte qu’à moins d’y laisser toutes mes forces et mes ressources, il me sera difficile de progresser si la situation à l’Ouest n’évolue pas.
J’annonce donc au cours de la deuxième conférence que je renonce temporairement à cet objectif. Trop occuppés à se disputer le leadership des offensives en Europe et dans le Pacifique (le grand drame des offensives communes). il ne me prêtent guère attention. En revanche, lorsque j’annonce mon intention de déclarer la guerre au Japon (poussé il est vrai par mes généraux), ils s’y opposent vigoureusement. Le Japon, c’est chasse gardée visiblement…
Un peu frustré d’avoir armé ce front pour rien, j’aurais quand même profité de cette conférence pour, d’une part, me construire une base de production en Finlande, et d’autre part, faire avancer mes recherches sur la bombe atomique. Sous le regard désapprobateur de mes collègues, il faut bien le dire.
La troisième conférence me fait prendre conscience que je néglige quelque peu mes états satellites. Quel gâchis, de voir tant de leurs leaders soutenir ouvertement tantôt les américains, tantôt les britanniques. Je tente donc de faire passer en force mon projet de rideau de fer, afin de mettre un terme à ces agissements. Indignation générale, et échec cuisant pour moi. Mais quelle ironie, quelle hypocrisie même, de constater que Churchill se sera servi de ce débat pour discrètement assoir sa domination sur ses colonies du Pacifique. Ca ne semble pas gêner Roosevelt plus que ça, lui qui a plus d’intérêts en Europe de l’Est que dans le Pacifique doit se dire que c’est un moindre mal.
Enfin il sortira quand même du bon de cette conférence, puisque les américains ont enfin décidé de lancer leur offensive en Normandie. Je peux donc recommencer à armer le front Est en prévision d’une avancée rapide sur l’Allemagne. Ce fut en effet un bon choix, étant donné que j’ai pu facilement faire avancer ma ligne de front, tandis que les Allemands livraient bataille à mes deux alliés de l’autre côté.
Arrive la quatrième conférence. Et là, c’est le moment. Si je suis suffisamment préparé, si tout se passe bien, je peux faire tomber l’Allemagne et l’occuper avant même que les occidentaux n’arrivent. Il se trouve que l’américain est, face au Japon, dans la même situation. La fin de la guerre est en vue, et la victoire avec… Mais qu’en pense Churchill ? Va-t-il accepter de nous laisser l’entière gloire de la reddition de l’Axe ? Eh bien il se trouve que oui, considérant qu’il bénéficie d’un grand nombre de soutiens de par le monde, que les dernières conférence lui auront apporté un poids et une légitimité considérable, et surtout, qu’il ne pourra pas nous empêcher longtemps d’atteindre nos cibles respectives. Il ira donc même jusqu’à nous aider à les atteindre.
Cette générosité me permettra même de mettre d’autres sujets sur le tapis, dont la poursuite de mes recherches sur la bombe atomique, que personne ne me conteste. Selon les experts, je sors pour la première fois d’une conférence en vainqueur. Quant aux dernières offensives, trop déséquilibrées elles se passeront comme prévu sans encombres, l’Allemagne tombant entre mes mains et le Japon dans celles des Américains.
Une grande victoire donc, mais une victoire amère, puisque comme je le craignais, c’est bien Churchill et son travail de l’ombre qui aura gagné au cours de cette guerre l’influence qui lui garantira une place de choix dans le nouvel ordre à venir. Les experts lui accordent ainsi 48 points d’influence, tandis que Roosevelt et moi même ne sommes crédités respectivement que de 40 et 39 points.
Je regrette vraiment d’avoir négligé ces pays d’Europe de l’Est, un fort potentiel de soutien que je nai pas su exploiter. Mais on ne peut pas tout faire, et si j’avais passé plus de temps à m’assurer leur soutien, aurions-nous gagné la guerre ? Et plus important, aurais-je réussi à prendre seul le contrôle de l’Allemagne ? Tant de questions sans réponses, mais on ne peut pas refaire l’histoire…

euh…c est quoi ce jeu??
j ai fait une recherche sur la base TT mais ça ne donne rien…

https://www.boardgamegeek.com/boardgame … /churchill
Churchill (GMT Games, 80€) est un jeu d’inluence politique, mêlant coopération et rivalité, simulant les conférences et choix politico-stratégiques des Alliés dans les dernières années de la seconde guerre mondiale.

1 à 3 joueurs (Churchill, Roosevelt, et Staline), avec des “bots” pour jouer les absents si besoin.
En VO uniquement.

By late 1942 the Axis had been stopped at Stalingrad, El Alamein, and Guadalcanal. With Axis expansion halted and Allied victory only a matter of time and resources Churchill, Roosevelt, and Stalin began to focus on how to shape the ensuing peace to their advantage. Churchill is a game about the inter-Allied conflicts that occurred over the Conference table as each side vies to control the Allied agenda and the course of things to come.
The players in the game take on the roles of Churchill, Roosevelt, or Stalin as they maneuver against each over the course of six Conferences that determine who will lead the Allied forces, where those forces will be deployed, and how the Axis will be defeated. The player whose forces collectively have greater control over the surrendered Axis powers will win the peace and the game.
Churchill is a three player game of Coop-etiion where the players must cooperate to win World War II, while at the same time achieving a superior post war position over your allies. If the players collectively fail to defeat the Axis the Allies lose, but if the Axis are defeated, there is a victor of the peace that follows. There is also a two player and solo variant.
Churchill is NOT a wargame, but a political conflict of cooperation and competition. While the game focuses on 10 of the historical conferences from 1943 till the end of the war these and much of this design should not be taken literally. Before and after each conference small groups of advisors and senior officials moved between the Allied capitals making the deals that drove the post war peace. Each conference sees one of a group of issues nominated for inclusion in the conference. The issues categories are: Theater leadership changes, directed offensives, production priorities, clandestine operations, political activity, and strategic warfare (A-bomb). Each of the historical conference cards independently puts some number of issues such as directed offensives or production priorities metaphorically put on the table, while the players nominate an additional 7 issues.
The game display for this is a circular conference table that the three players sit around behind their ‘seat’. Each player has a staff deck of named personages, such as Secretary Stimson and Anthony Eden that are randomly drawn to make your conference hand. A pre-conference round of cards gives leverage to the winner who then moves an issue toward their side of the table equal to the value of the card played. Play then proceeds with the conference where each player in turn plays a card on one of the issues in the center of the conference table moving it the value of the card toward his side of the table. Each card is an historical personage and they often have bonuses if played on a particular category of issue. Contesting an issue has you move an issue away from an Ally toward your own.
At all times each player has his Head of State card (Roosevelt, Churchill, or Stalin) that can weigh in on any issue once per conference by discarding another card. Each use of your personage has a bonus and a potential penalty. Each time Roosevelt is used he may die and be replaced by Harry Truman. Churchill can have a heart attack and miss the next conference, while Stalin’s paranoia may cause a mini-purge and reduce his sides effectiveness for the remainder of the conference. The net result of the conference play is players will ‘win’ various’ issues with the player who won the most issues gaining leverage in one of the bilateral global issues (UK versus USSR global issue is Free Europe versus Spheres of Influence).
The game then moves into a post conference phase where players implement the issues that they now control. These actions impact three basic game functions: clandestine cells, political activity, and military offensives. Clandestine cells have players try to establish partisan networks in conquered countries and colonies. Using a very simple mechanic of place a network or remove an opponents network the historical ferment that occurred in Yugoslavia, France and across the world is simply simulated. A country or colony can only have one dominant side’s network at any given time and during political activity players can emplace friendly governments in exile that can be subsequently undermined and replaced if the supporting networks are later neutralized by one of your allies.
Once this has all been sorted out the military portion of the game keeps the score. There is a separate display that abstractly represents the major theaters of war, Western, Eastern, Mediterranean, Arctic (Murmansk convoys and Scandinavia), CBI, SW Pacific, Central Pacific, and Far East. Each of these tracks has a Allied front for which I am looking for some kind of 3D tank piece that advance toward Germany, Italy, and Japan. Using a very simple combat mechanic each front tries to advance with Axis reserves deploying to oppose the various fronts. A successful offensive advances the front one space, although with overwhelming superiority a two space breakthrough is possible. Naval operations are simply handled by requiring a defined level of support to advance into an amphibious entry space such as France (D-Day). When a front enters Germany, Italy or Japan they surrender shutting down military operations although clandestine and political activity continue until the end of the game. In the background is the development of the A-bomb and Soviet efforts to steal its secrets. If the A-bomb is available Japan can be forced to surrender sans a direct invasion.
If at the end of Potsdam conference Germany, Italy, and Japan have not surrendered the Allies as represented by the players collectively lose the game. If the Axis have been defeated then tthe winner is the player with the most Cold War points portioned out for governments and networks aligned to your side, global issues, and a list of conditional situations. For example colonies with no network or political authority give Churchill points for keeping colonialism alive or which fronts caused axis surrender.
An important feature of the design is it can be played by zero to three players. The Churchill, Roosevelt, and Stalin ‘Bot logic akin to Volko’s COIN series allows you to always have the ability to play Churchill whether you have a full crew or you just want to watch the ‘Bots beat each other up in zero player mode.
As I stated this is not a wargame, but a three player excursion into power politics. The game takes around 3 hours to finish, and it includes a short (Tolstoy: 3 conferences), a medium (D-Day: 5 conferences) and the long (10 conferences). All scenarios end with Potsdam, but you will be able to start later in the war if you only have 1 or 2 hours to play.
Do you have what it takes to shape the Post War world in your own image? Play Churchill and find out.

7Tigers dit:1 à 3 joueurs (Churchill, Roosevelt, et Staline), avec des "bots" pour jouer les absents si besoin.

Ah ? Il me semblait avoir lu "pour 3 joueurs uniquement".

Ca va être le moment pour moi de savoir si je suis capable de créer une fiche de jeu 8)
(Edit : J’ai réussi :^: )
En attendant, il y a un sujet ici
Et je confirme qu’il y a des bots si besoin.

fdubois dit:@deepdelver, @loic : merci de vos retours.

Je trouve RFTG nettement plus épuré, plus simple et direct. Plus technique aussi, avec une courbe d'apprentissage qui (naivement, hein, je peux très bien louper plein de trucs à Roll) me parait plus longue. Cela étant Roll reste un bon jeu, et manifestement plus "simple" d'accès pour des raisons qui me sont étrangères.

Une partie de Bruxelles 1893 à 2 : je perds 141-139 avec une stratégie notable + construction contre une stratégie hôtel de ville + construction.Pas mal de blocage et d’enchères méchantes dans cette partie, j’aime beaucoup !
Après la victoire de madame à Troyes 42-41, je vais commencer à me vexer :mrgreen:

TS Léodagan dit:
Janabis dit:Plein de trucs.

Veinard! :evil:
Sinon, faut que ça avance 13/10/1307 parce qu'il est trop bon pour rester dans les placards. Et quand est-ce que tu repasses par Paname?

Ouais je sais :D
J'ai été agréablement surpris de voir que ma belle-famille avait super envie de jouer :mrgreen:
& je ne m'en plains pas !
Pour 13 X 1307, il faut effectivement que je m'y attèle, mais vraiment ... j'ai même un joueur qui s'est proposé de participer au financement !
& sinon, j'envisage de créer un évènement soirée 13 X 1307 ... le 13 octobre :D Chez moi, dans un bar ou autre, on verra selon le nombre. C'est un mardi, je ne travaille pas & si je finis trois boîte de jeu, ça pourrait être fun :^:
Sinon, je suis revenu ce week-end ... je finis l'année & zou ! Bye-bye Paris :D
En attendant, je ne sais pas trop quand j'aurai des occasions pour des moments ludiques, j'ai l'impression que le temps rétrécie :?

3ème partie de Mage Knight
Première reconnaissance en solo
2H de dépaysement
J’atteins la Cité.
Je finis avec 1 sort, 1 forteresse, 1 donjon, 30 de gloire, 0 de réputation et 1 blessure infligée par un draconien au dernier tour
Encore une belle aventure avec ce jeu
Bons jeux à tous

Petunia ça a l’air vraiment bon Churchill…

J’ai enfin pu étrenner mon Bohnanza, à 3.
Une partie sympa, sans attaque méchante, plus gentille je pense.
score : 22 - 21 - 20
Dominion : l’intrigue, à 3 dont un novice, avec le placement “danse de la victoire”.
Comme souvent, je combote et remélanche mon deck quasiment un tour sur 2 mais ne fait aps un très gros score.
De mémoire : 59 - 44 - 40

Xahendir dit:4 (!!!) parties de Legendary encounters: an Alien deck-building game, à 3 (dont 2 novices) et ... 4 défaites (en jouant le premier film).

Merci pour ton retour. Ca me donne envie de m'interesser à ce jeu. Sais-tu s'il sera prochainement traduit en VF ?
Zemeckis dit:
Xahendir dit:4 (!!!) parties de Legendary encounters: an Alien deck-building game, à 3 (dont 2 novices) et ... 4 défaites (en jouant le premier film).

Merci pour ton retour. Ca me donne envie de m'interesser à ce jeu. Sais-tu s'il sera prochainement traduit en VF ?

Legendary Marvel date de 2012 ... et n'est toujours pas édité en VF.
Je pense qu'on peut faire une croix sur l'édition en VF des Legendary et Legendary encounters.
Le livre de règle a été traduit en français et est disponible sur ce forum et un utilisateur parlait de franciser ses cartes donc je suppose qu'il les a toutes traduites.
Au passage, il y a quelques jours j'ai obtenu ma 2ème victoire en solo mais un message sur BGG me fait douter d'un point de règle que je dois vérifier : quand le deck de ruche est vide les cartes arrêtent d'avancer ou on doit reconstituer un deck de ruche ?

Ma p’tite dernière de 7 ans me réclame pour jouer.
Je la laisse choisir.
Elle me propose Beasty Bar.
Toujours amusant à jouer.
Puis Perlinpinpin.
Histoire de réviser ses additions ?
Un jeu de cartes avec des Princesses et des Princes.
Impeccable pour cette tranche d’âge.
Enfin en solo je retrouve Aux Portes de Loyang…ça faisait longtemps.
Je bats mon record en atteignant 16.
Toujours sympa à manipuler ces petits légumes.
Bons jeux à tous :D

Xahendir dit:J'ai enfin pu étrenner mon Bohnanza, à 3.
Une partie sympa, sans attaque méchante, plus gentille je pense.
Bohnanza gagne vraiment à être joué à 4 et plus. A 3, on a 3 champs d'entrée de jeu, c'est assez tranquille.