t’exaJer, tu ne dois pas être si quiche que cela!
Mais il est vrai qu’à ma première partie je me suis fait atomiser par une joueuse qui a marqué près de 120pts
Hier soir:
Navegador à 5: Une très bonne découverte d’un certain monsieur Mac Gerdts . Le jeu est maronatre mais j’aime bien car le style colle bien avec l’époque où se place le jeu. J’ai eu un peu de mal au début avec la couleur des usines mais après quelques tours c’est assimilé.
J’ai eu une configuration qui m’as permis de profiter du bon “cours” de l’or très tôt grâce aux autres joueurs et de me faire pas mal d’argent. Je me suis focalisé sur les colonies d’or et d’épices, beaucoup sur les chantiers navals et je n’ai pris aucune usine. J’ai pris quelques privilèges liés ( marron et vert) et mes chantiers navals m’ont permis de générer environ la moitié de mes points de victoire ! Le jeu commence doucement, mais la fin pointe le bout de son nez très vite dès qu’un premier joueur explorer la zone qui permet à nos bateaux d’avancer de 3.
La fameuse roue et son timing sont très bien pensés et j’aime beaucoup. Un peu de calcul mental lorsqu’on fait le marché et qu’on se retrouve avec 8 tuiles colonie mais rien de méchant. Je finis premier avec 99 points, ce qui n’est pas étonnant vu mes origines portugaises et donc mes grandes connaissances d’exploration maritime du 16ème siècle que mes aïeux se transmettent de génération en génération
L’auberge sanglante à 4 pour finir la soirée tranquillement: C’est bon, le jeu à fait ses preuve et j’adore. Dans cette partie j’arrive à mettre en places quelques dépendances intéressantes qui m’ont permis de payer, enterrer et construire pour 1 comparse de moins. En arrivant à la fin de la première saison mon plan diabolique se met en place doucement . Avec un policier en main je tue un voyageur de niveau 1 (chaque tour si possible) que je reprend en main, de plus je n’ai pas besoin de le payer lors de la phase des salaires. J’enterre vite fait le corps de niveau 1 gratuitement en tant que deuxième action grâce à le réduction et je continue ainsi jusqu’à avoir 38 ou 40 points puis je blanchis un coup . Je termine premier avec 89 points en ayant tué que des niveau 1.
Sur les 10 derniers jours :
20 parties d’Onirim en solo : Le plaisir de la redécouverte, en poussant un peu plus le jeu, avec et sans les 3 premières extensions. Encore une de ces tâches que le cerveau maîtrise doucement, à l’intuition, sans compter les cartes. C’est beau l’évolution ! Le taux de réussite devenant trop important il fallait passer à autre chose, et ce fut …
4 parties de Pandémie en solo, avec 2 personnages, 5 épidémies : Et bien, il faut réapprendre à perdre. Bon pas tout de suite, car le jeu a été clément pour ma redécouverte (Expert aux opérations + Répartiteur).
Par contre sur la deuxième (Chercheuse + Médecin), les mouvements étaient beaucoup plus difficiles et le temps que je le réalise, le jeu m’avait pris de vitesse. Je suis désolé de vous le dire, mais vous êtes tous morts !
Le hasard me redonne le même couple pour la suivante mais j’ai pigé et je dépense plus facilement les cartes pour les déplacements. Il est parfois contre productif d’être trop radin. Victoire, je vous ai tous sauvé.
Pour la dernière, une erreur me coûte la partie. La peste et le choléra s’abattent sur le monde et c’est de ma faute. J’ai dorénavant du mal à trouver le sommeil.
J’aime bien l’adaptation nécessaire aux différent rôles.
Bon mais le jeu c’est aussi à plusieurs, donc,
1 partie de 7 Wonders Duel : ça commence mal, car ce sera la dernière, d’ailleurs j’ai vendu le jeu dans la foulée. La déception est à la hauteur de l’attente. Trop de hasard, pas assez de maîtrise, des parties qui se jouent sur la révélation d’une carte. Je me rends compte que je n’ai pas gardé un seul jeu de Bruno Cathala, et pas forcément pour les mêmes raisons. Five Tribes me faisait de l’oeil mais celui là je le teste avant de l’acheter.
7 parties de Kingdom Builder à 2 : On a fini par intégrer une variante pour tempérer le hasard (on commence avec deux cartes et on garde celle que l’on ne joue pas, laissant 2 choix à chaque tour). Quand je perds je peux toujours me plaindre du hasard, mais si je suis honnête, je porte quand même une part de responsabilité. Il manque une pointe de contrôle pour en faire un grand jeu, mais cela reste agréable, avec quelques jolis coups.
1 partie de Timeline-Evenements avec les enfants : Je perds. Cool, ils seront peut-être plus cultivé que leur père.
1 partie d’Agricola : Je ne sais pas ce qui m’a pris, j’avais tellement de cartes valorisant et favorisant la construction de pièces en pierre que je me suis lancé bille en tête sur cette voie, oubliant qu’il fallait aussi bouffer. J’ai évité la mendicité de justesse, mais je me suis fait humilier par le voisin qui étalait les richesses dans sa cour.
3 parties d’Epic en Dark Draft : Je pars dans le rouge bleu avec une optique de contrôle.
Mon fils prend l’ascendant sur la première mais je remonte doucement notamment grâce à Ritual Sacrifice qui me débarrasse de sa 18/18 et me rend 18 PV.
Sur la deuxième, il me roule dessus en 5 minute avec son deck Wild soupoudré de bonnes cartes bleues qu’il ne m’a pas passé.
La troisième me voit naviguer à 4 PV pendant une éternité (il ne joue qu’un sort de dégât direct). Je cherche à poser la 30/30 pour utiliser Ritual Sacrifice le tour suivant, mais je ne réussis pas à la garder sur la table. Je finis par perdre.
Si j’aime ce format de draft, je préfère largement les parties en préconstruit. Ce fut beaucoup trop long.
1 partie de Spyrium : Je l’emporte 93 à 70 avec une mine moyenne remplacée par une grosse, 2 usines petites et moyennes et le brevet valorisant les usines. Ma femme partait sur la piste de résidence.
1 session de Loup garou pour une nuit : Toujours mauvais à ce jeu, je suis quand même content d’un de mes coups, où je n’innocente pas tout de suite mon compagnon Loup Garou, laisse planer le doute et rebondit sur la proposition d’une victime nous laissant la possibilité de tuer un innocent !
5 parties de Patchwork : On découvre et mes scores naviguent entre 15 et 28 (sur la première partie). Je ne pensais pas m’intéresser un jour à la couture mais le jeu prend et je ne peux que saluer un thème original et un auteur qui sait surprendre alors qu’il semblait enfermé dans ses usines à transformation de matières. J’ai gagné en générant de gros revenus, j’ai gagné avec beaucoup de tissus sans bouton, reste maintenant à optimiser tout ça et réussir à finir une couverture quand même (1 case vide au mieux pour l’instant).
1 partie de Decathlon de Knizia : Alors celui là, beaucoup ne doivent pas le connaître, et pourtant vous l’avez chez vous, ou plutôt, vous avez 8 dés à 6 faces, du papier, un crayon, et une imprimante. Il s’agit juste de réaliser le meilleur score en lançant les dés mais avec avec des contraintes différentes pour chaque sport. On a tous bien accroché.
Largement en tête, je fanfaronnais quand je me suis lamentablement vautré au lancer de disque (vu les résultats, j’ai du le lancer dans un arbitre). Je l’emporte quand même sur un score de 212, très loin du record mondial “homologué” (sur BGG) à 285. Ma femme a quand égalisé le record mondial (et définitif) de 30 au saut en longueur (bon OK, c’est le plus facile).
A essayer, on peut juste lui reprocher d’être un peu long mais il suffit de le transformer en heptathlon.
Sansdétour dit :7 parties de Kingdom Builder à 2 : On a fini par intégrer une variante pour tempérer le hasard (on commence avec deux cartes et on garde celle que l'on ne joue pas, laissant 2 choix à chaque tour).
J'ai adopté une variante plus soft, car avoir le choix entre 2 cartes à chaque tour peut rendre le jeu prise de tête : choix entre 2 cartes différentes au premier tour et je devrai jouer au 2e tour celle que je n'ai pas jouée au 1er.
Le début de partie étant crucial, ça permet de s'assurer au moins d'éviter un sale départ.
Une première partie de TAKARA ISLAND.
Je suis à la recherche de jeux familiaux afin de faire jouer le maximum de joueurs autour de moi.
Pas déçu. Partie découverte à 2 joueurs. Du beau matos. Du suspens à la découverte des tuiles.
On peut jouer avec des enfants et même entre adultes qui ont su rester des…enfants.
Pas de pion premier joueur ?
On change donc à chaque tour ?
Une seule épée finalement réservée au premier joueur ?
Chaque joueur fait ses actions eton passe au suivant.
pour l’épée tu la rends en fin de tour, elle est donc dispo pour le joueur suivant.
Lapinesco dit :Chaque joueur fait ses actions eton passe au suivant.
pour l'épée tu la rends en fin de tour, elle est donc dispo pour le joueur suivant.
Ok alors me suis planté.
Je joue tous mes aventuriers et après c'est au joueur suivant c'est ça ?
Nous on jouait un jeton aventurier chacun son tour.
Je comprends mieux, merci à toi Lapinesco.
Une partie de discoveries à 4. Les scores sont très serrés (43-42-41-40). Le jeu est intéressant mais chacun joue trop dans son coin. Je ne pensais pas l’emporter, vu que d’autres adversaires empochaient des cartes presque un tour sur deux, alors que j’ai galéré avec 2 cartes particulièrement inadaptées à mon tableau (avec des montagnes en début de parcours), ce qui m’a fait perdre du temps. Un jeu auquel je rejouerai volontiers mais que je ne me procurerai pas.
Une partie d’Istanbul avec les 3 mêmes adversaires que je remporte également. Un joueur récupère rapidement les 4 premiers rubis (par les actions des mosquées, un passage chez le sultan et un autre chez le marchand de gemmes). On pensait qu’il allait l’emporter mais au final, il ne parvient pas à assembler la somme requise suffisamment rapidement pour acquérir la dernière gemme. Pour ma part, je me suis concentré sur les extensions de charrettes, une des deux mosquées (avec le bonus permettant de relancer les dés). J’ai fais main basse sur les 3 cartes permettant de prendre 5 livres, je fais une vente à 25 au grand marché, et je fais l’acquisition des 3 gemmes restantes chez le vendeur de gemmes. Le tout assez rapidement puisque je parviens à prendre mes 3 dernières gemmes en 5 tours. Vraiment un très bon jeu, qui laisse la place à des retournements de situation. Le timing est très important. Une réussite.
Huitième partie de IKI jeudi soir au Flash avec Valérie “Tad” et Seb “Moosmi”. Pour la première fois nous jouerons avec la « vraie » règle, en n’oubliant pas le cinquième nagaya formé par les quatres boutiques centrales. L’auteur avait fait l’impasse sur cette règle lors de ma partie de découverte à Essen, et depuis lors j’expliquais la règle sur cette base. Seb qui a lu la règle, lui, nous a remis sur les rails.
Démarrage un peu poussif pour moi, sans un plan bien arrêté en tête. Les artisans à l’embauche ne sont pas mes favoris. Je démarre avec celui qui, une fois à la retraite, me permettra de bouger d’une case de plus que ne permet mon style de vie. La dernière fois il ne m’a pas réussi (voir « la partie de la désillusion » : deuxième post sur la page). Fort de cette expérience de je sais qu’il faut soigner mon revenu et je me retrouve rapidement à la tête de quelques artisans rapportant soit du riz et soit du fric.
Du coup, où sont mes points ? Un peu nulle part, je le crains. Côté bonus artisan, j’ai assuré tout juste deux couleurs… Pas génial. J’ai un peu de tabac, mais pas question –ce qui avait été un peu mon intention reconnaissons-le humblement– de le truster ; Seb, le petit salopard, m’a bien coupé l’herbe sous le pied. Côté poisson, Seb est en bonne position pour se faire la totale et je n’ai jamais été dans le timing pour le contrer. Côté matériaux de construction, je suis bon dernier avec un pauvre petit bout de bois derrière Seb et Valérie qui domine ce secteur. Côte nagaya bonus, je joue (enfin !) à peu près correctement ce qui me permet tout juste de rester dans le peloton sur la piste de score, les autres le jouant au moins aussi bien que moi.
Bref, ça craint !
Inutile de lutter là où je suis dominé, il me faut une stratégie à contretemps des autres. Mon seul point fort : J’ai beaucoup d’artisans à la retraite. Le revenu qu’ils m’assurent me laisse une grande liberté d’action.
Je décide de truster les artisans à points, en essayant autant que possible de les placer par familles pour maxer les nagaya bonus. Ça marche ! Au décompte de l’automne je m’envole enfin sur la piste de score. Renonçant à toute ambition sur les bâtiments, j’embauche un artisan qui me permet d’échanger le bois contre cinq points. Grâce à lui, je valorise mon petit bout de bois avec la quasi-certitude que les autres n’en feront jamais autant… ils gardent leurs ressources dans l’espoir de construire des bâtiments (rire sardonique à la clé bien sûr).
L’artisan « +1 déplacement », révèle enfin la puissance dont je n’avais pas su jouer lors de « la partie de la désillusion » : en me plaçant un cran plus tôt sur la piste de style de vie je peux choisir mes artisans plus tôt sur le marché. Ça n’a l’air de rien, mais usant et abusant de ce privilège, je ne ressentirai plus aucune contrainte sur le choix de mes artisans ou de mes actions jusqu’à la fin de partie, et maximiseria sans difficulté le bonus artisan qui m’inquiétait tant en début de partie. Seb et Valérie me semblent beaucoup plus contraints sur leur choix d’artisans en fin de partie, et ne réaliseront pas un gros score sur ce plan.
Valérie gagne la lutte pour les bâtiments et en construit deux : le petit bâtiment à dix points et le bâtiment « bonus pompier » (20 points grâce à son score de dix sur l’échelle de lutte contre le feu). Seb ne pourra pas lutter sur ce plan, mais assure la totale en poissons pour 29 points (15 points pour un poisson de chaque saison plus 14 points pour avoir les deux poissons de luxe à sept points bonus chaque).
C’est la première partie que je vois où personne ne marque de gros points lors du treizième tour bonus ; chacun se contentant d’aller acheter un koban d’or valant trois points au décompte.
Au final, je gagne assez largement, Seb et Valérie étant dans un mouchoir de poche loin derrière. On peut donc gagner sans aucun bâtiment, ni poisson, ni beaucoup de tabac… Ce jeu se révèle plus riche que je ne croyais à chaque nouvelle partie. Vivement la prochaine !
Shakespeare à 4 joueurs , 3 découvrent (dont moi):
Je pars vite sur le développement de l’acte 2 en pourrissant un peu les autres joueurs via Hamlet et un décor violet. Je développe l’acte 2 pour rester toujours en tête et commence un peu de l’acte 3 pour ne pas perdre trop de points aux répétitions. Je recrute Béatrice et un décorateur à 8 en me disant que je vais galérer pour payer tout ça à la fin de la partie.
Au jour 3 on est au coude à coude aux points de prestige (bon, logique c’est pas le moment ou on en marque le plus)
Au jour 4 je termine mon 3ème costume (un total de 5 points de prestige et 2 pièces pour mes costumes) je prends la tête des scores durant les répétitions grâce à ma première place de l’acte 2 tout en marquant 1 point de prestige sur l’acte 3 et mon Hamlet costumé qui m’en fait 1 de plus.
Jour 5, il va falloir payer tout ce petit monde , j’ai pioché l’objectif qui permet de virer un ouvrier à la fin de la partie pour ne pas le payer. Je me débrouille pour avancer sur mon décor et marquer tous les points tout en accumulant les sous pour pouvoir tout payer.
Tout se déroule parfaitement en faisant avancer l’acte 1 qui me permettra de récupérer les 3 sous manquant pour payer mon Othello.
Au final je termine premier sur les 3 actes (à fond sur le 2 et 3), mon décor presque finit (mais je marque tous les points) et 4 costumes finis (le dernier genre à 3 points pour avoir le bonus de répétition) et un seul objectif de la reine qui me rapporte rien mais m’économise une paye.
23-20-16-14
Je comprends les louanges que l’on lui fait, je trouve ce jeu très bon et tendu juste ce qu’il faut.
On enchaine sur une partie de 10’ to kill toujours à 4 dont 2 qui découvrent:
On commence doucement le 1 premier tour puis on fait chacun un petit kill à son aise sauf un joueur , une débutante fait son 2ème kill de manière trop prématurée et se fait repérer directement (aucun doute sur son assassin) et là une erreur du joueur qui la fait arrêter au lieu de l’assassiner (enfin facile à dire si son assassin n’est pas bien placé) du coup je fais mon 2ème kill , et le dernier joueur fait son 2ème kill aussi mais pas de chance pour lui entre les coupables potentielles et mes cibles et mon assassin je sais qui est son tueur.
Je me retrouve à jouer la victoire avec celui qui n’a pas encore fait un seul kill mais arrêté un assassin , pas de chance pour moi il tente le coup (je pense qu’il devait hésité entre 2) et démasque mon assassin juste avant que je ne commette mon 3ème contrat, on sera 3 à jouer contre lui et après son kill ce n’est pas moi qui découvre son tueur.
On se retrouve à 3 avec 3 points et la dernière avec 1 point, comme il est tard on ne remet pas ça pour être premier chacun son tour mais c’est pas grave la partie reste bien agréable tout de même.
Petit retour sur la soirée jeux d’hier soir à la ludothèque de Chantepie. Une quinzaine de joueurs ont pu tester les nouveautés.
Harald un koryo like. Parait plus controlable à 2 ou 3 qu’à 4.
Arboretum c’est bôôôôôô mais c’est retors
Mystérium à 7 ou les médiums ont échoué à trouver le coupable.
Mafia de cuba à 12 et à 10 ou le parrain a retrouvé ses diamants dans la première partie et ou il a accusé tour à tour un enfant des rues et un agent du FBI dans la deuxième .
Origin je n’ai pas suivi la partie mais c’est beau aussi
Shadow Hunter à 8 ou les hunters massacrent facilement le garou et le doppleganger avant à leur tour tomber sous les coups d’un vampire on fire seul contre tous…
Et surtout une Guerre de l’anneaux. Des nouveaux joueurs avaient amené leur boîte. Quel plaisir de retrouver ce jeu. Config à quatre, ou les peuples libres ont une chance insolente aux dés et aux cartes et gagnent militairement en 2 heures . Le Rohan contre l’attaque de Saroumane en étant en sous nombre puis gandalf débarque avec les Ents mettre mettre la fessé à ce dernier. Rohan contre-attaque et prend Orthank. Au nord Les elfes de Rivendell se sont renforcés et avancent vers La Moria (du moins c’est ce qu’ils font croire) et bifurque vers Angmar. Prise d’Angmar et victoire des peuples libres. Il était temps, Sauron sortait de de la Moria en force et le Gondor commençait à sentir sa fin …
//Antique Duellum// 1ère partie
Une première partie d’Antique Duellum.
Nous connaissons déjà Antique II.
Je perds 7-9. Mon adversaire me détruit trop de cités à la fin de partie. J’ai trop misé sur mes galères alors qu’il faut équilibrer, je pense, terre-mer.
On retrouve le jeu Antique avec quelques modifications et ajouts : cartes à gagner, etc.
Avons beaucoup aimé comme son grand frère.
Excellent jeu 2 joueurs avec du développement, de la ressource à gérer, de la conquête et un p’tit peu de baston.
Partie en 2 H tout de même. On le préférerait presque à son aîné.
//Takara Island// 2ème partie
Juste ce que je recherchais. Un jeu pour (à peu près) tout le monde. Ce jeu est amusant (et c’est beaucoup demander pour un jeu ?).
Partie 3 joueurs avec ma petite de 7 ans, son grand frère de 18 ans et moi.
Je gagne 35-27-8. Le résultat importe peu car il s’agissait d’expliquer le jeu à ma fille. Elle a compris le mécanisme et les actions à faire. Elle a aimé retourner les tuiles et surtout combattre les “gentils” monstres.
Bon ici pas de stratégie à élaborer, beaucoup de chance, de la prise de risque mais ça le fait bien.
Une bonne pioche que ce jeu qui devrait sortir pour réunir et rire autour de la table.
//We Will Wok You// 9ème partie
Un p’tit jeu de cartes très malin au thème décalé qui a bien pris chez nous.
Je gagne 41-30-26.
3 jeux ludiquement conseillés.
Pour une fois que je gagne quelques parties…allez bons jeux à vous tous…
Depuis vendredi dernier :
Grog island j’adoooore ce poids moyen, je ne m’en lasse vraiment pas. Enchères, dés, objectifs secrets, placement, le tout sur un plateau colorié et joué en une petite heure… Un régal !
Keyflower à 4 avec mes parents et mon petit frère qui découvrent, moi je n’ai jamais joué qu’à deux. Ma mère peste toute la partie parce qu’elle n’a pas choppé de tuiles aux deux premières saisons, résultat, on baisse notre garde et, sur la fin, elle choppe tellement de bateau qu’elle est à deux doigts de gagner, avec les 32 points de la tuile qui score sur les bateaux. On expérimente plus qu’on ne joue vraiment, moi y compris, tant le jeu est riche. Je me réjouis qu’on y revienne, histoire d’avoir une belle alternative à Hansa Teutonica (j’adore mais 30 parties tout de même) dans le genre multiples pistes de stratégie.
Gingkopolis Un classique, ici, toujours joué à trois joueurs, une super config. Très belle partie où tout le monde s’en sort bien. Ma mère nous démontre qu’on peut très bien se débrouiller sans pouvoir d’écrasement, notamment avec le maire de l’extension. Jamais essayé les événements, par contre, ça ne nous tente pas.
Hanabi et Spyrium en ligne avec l’ami Beri. Bien agréables parties où je me frotte à son expertise d’Hanabi. C’est pas encore le 25, mais y’a moyen. Je suis trop fatigué pour le Spyrium et accumule les erreurs, il l’emporte largement.
For sale à cinq, top !
Mystères à cinq, très agréable même si c’est parfois gênant de meubler le temps de réflexion du maître du mystère.
Qwirkle à quatre, ça faisait longtemps et c’est bien plaisant. Même s’il y a une grosse part de chance, avec de la maîtrise on peut bloquer la possibilité des Qwirkle, tabler sur sa pioche, se préparer des coups pour l’avenir… Je suis content d’avoir celui-ci, moins interminable qu’un Chromino.
Five Tribes à quatre. Onze parties en tout et j’aime beaucoup, pas trop pressé d’avoir l’extension pour autant. C’est une question de conventions, mais nous en général, comme on joue, mon frère et moi, avec mes parents qui ont plus de mal à voir les coups juteux, on met en évidence avant les enchères ce qu’il ne faudrait pas louper. On ne le fait pas systématiquement, mais ça permet de diminuer les temps de réflexion et de rendre le jeu agréable pour tout le monde.
Castellion 4 parties en solo pour tester le troisième mode et… Quatre défaites. J’adore, c’est mon préféré (jamais testé Urbion) car, à mon avis, c’est le plus fluide. Les graphismes me font fondre.
San Juan à trois, pour initier doucement à RFTG en jeu de base. J’ai l’extension en allemand mais je l’ôte pour cette partie de découverte. Le jeu manque un peu profondeur mais reste plaisant. Et puis, quel précurseur !
Discoveries à deux, on découvre. Et je tombe sous le charme ! Les sensations sont vraiment inédites, et en même temps il y a cette idée de Lewis & clarck qu’on a toutes les données en début de cycle pour planifier nos actions. A deux, c’est fluide, mais on ne se risque forcément pas trop à prendre des dés de l’autre, ou en tout cas à les placer. On y a aussi rejoué le lendemain, et je ma copine m’a mis deux branlées. Je me concentre trop sur le fait de faire des doubles cartes pour rejouer, quitte à faire des petits points, tandis qu’elle mise sur les grosses cartes et ça lui réussit mieux. Maintenant, j’aimerais tester à plus pour ajouter du piment sur la prise de dés adverses.
We will wok you à deux. Je me concentre à fond, compte les cartes et optimise mes brocolis (si, si) pour me venger du Discoveries. Partie pliée en dix minutes qui aura fait fulminer nos neurones : excellent !
Pandemic Legacy On entame avril avec un super twist dont on a vraiment peur tant il peut laisser des traces. On a bien géré le truc grâce à nos persos surboostés. J’aime beaucoup y jouer à deux, mais on le ferait bien découvrir à d’autres joueurs, la prochaine fois. Le truc, c’est qu’ils n’auront pas le sel de l’évolutif, mais on peut leur résumer les événements précédents.
Raptor pour faire découvrir à ma copine. Partie assez serrée où elle peut plusieurs fois gagner en un tour en sortant ses bébés, très proches du bord, mais où je parviens à chaque fois à trouver la carte qui, dans tous les cas, contrera ses plans. J’avais déjà trois parties au compteur, donc normal que je gagne tant le jeu est tactique et nécessite un peu de maîtrise. Vraiment génial dans son format !
Noé à deux. Je n’y joue qu’à deux, seul moyen qu’il soit contrôlable. Dans cette config, il est vraiment chouette, malin et retors. Beau retournement de situation dans la troisième manche : ma copine repasse devant alors que je menais précédemment.
Patchwork je remplis mon plateau au poil mais manque de revenus. ça me forcera à sauter un nombre pas croyable de cases sur la fin, ce qui cause ma défaite face à ma copine qui redécouvrait. Tellement meilleur qu’Hengist…
Medina à quatre. Un classique ici, où on adorerait pouvoir passer son tour. Le matos de la réédition est superbe et les ajouts sont sympas. Ce jeu est vraiment unique en son genre. Mon père l’emporte, comme souvent.
Tournay sur BGA à deux. Grand plaisir d’y revenir, mais mon adversaire découvrait visiblement plus ou moins. Résultat : le vétéran que je suis lui roule dessus avec sa tactique habituelle : le spam des remparts avec le bâtiment niveau 3 qui va bien ! Un de mes rares 10 sur 10
Bon week-end ludique à tous !
Découverte d'Olympos à 5 joueurs. Pas mal de possibilités dans ce jeu qui offre plusieurs axes stratégiques possibles. Nous faisons tous nos premiers pas sur ce jeu, et c'est toujours un peu délicat de dompter la bête, d'autant plus que la partie se déroule selon un axe du temps, et que celui-ci file à vive allure! Jouant les développements autant que faire ce peut, je me fais souffler bêtement une merveille sous le nez (je n'avais pas anticipé la possibilité d'avoir deux "étoiles" dans ses cartes), finissant largement en retrait. Les leaders du jour se seront montrés agressif pour l'un (avec de nombreuses prises de positions et conquêtes), et explorateur pour l'autre s'emparant tranquillement des terres de l'Atlantide (personne n'ayant réellement souhaité perdre du temps à le contrer). A refaire, assurément!
On enchaîne sur un Arboretum, mon petit jeu à haute densité du moment: règles simples, et choix cornéliens. Il reste décidément mon chouchou sur les jeux de petit format. La partie est très serrée, et chacun parviendra à tenir plus ou moins ses majorités (ça a peu couiné). Le vainqueur de cette partie à 4 montera un espace dense sur trois essences d'arbres seulement.
S'en suivra un Lady Alice à 4 joueurs. Mon épouse avait hâte de pouvoir le sortir entre adultes, tant le bluff de nos enfants est facile à cerner (surtout pour elle d'ailleurs...). Un bon compromis entre le cluedo et le mastermind, avec du bluff et une once de chance. Sympathique à jouer, mais pas certain qu'il ait régulièrement sa chance de quitter le placard.
Nos invités du jour doivent nous quitter et nous laissent gentiment 7 Wonders et Five Tribes que nous n'avons jamais pratiqué (il paraît que c'est une tare chez un joueur). J'insiste donc pour faire nos premiers pas en famille à 4 joueurs sur 7 Wonders. Je relis rapidement les règles qui sans être compliquées regorgent d'icônes pas tous évident à comprendre. Lors du premier âge, je fais l'impasse sur le militaire, et me développe en production, imité par mon grand et mon épouse. Seul mon bout de chou partira sur le commerce. Lors des deux âges suivants, je galère par l'absence de tissu (mes voisins de tablée n'en ont pas non plus, mais se servent chez mon petit bout!) et remonte sur le militaire reprenant l'ascendant sur ces peuples barbares qui m'entourent! Les cartes scientifiques seront sacrifiées dans les merveilles et pour récupérer de l'argent, ainsi personne n'arrive à réellement se développer de ce côté là.
Je l'emporte sur cette première partie, avec quelques points d'avance sur mon épouse. Mon petit commerçant se retrouvera loin au score.
J'ai beaucoup plus apprécié ce jeu que son petit frère, 7 wonders duel, le trouvant plus maîtrisable et étant jouable de manière moins automatique (plus de choix à mon goût).
On termine avec mes enfants sur un Black fleet. Dire que je n'avais pas du tout accroché à ce jeu lors de mes deux premières parties (en salon)! Si on y joue pour s'amuser et qu'on fait l'impasse sur le hasard, on passe réellement un bon moment autour de la table. Je l'emporte tranquillement grâce à quelques jolies combinaisons de cartes. C'est un très bon jeu de pick and delivery (je le préfère d'ailleurs à Bombay).
Une superbe journée ludique! Demain, on s'essaye à Five Tribes (avec quelques à priori pour ma part, mais j'espère que j'aurai une bonne surprise!).
Expo 1906 à 4 joueurs. Découverte pour tout le monde de ce jeu. Ca se passe à l’expo universelle de Milan. Les joueurs vont récupérer des inventions et les construire. Les inventions sont des tetragrammes et les ressources des carrés (1x1). On pose tout ça sur un plateau perso de manière à coller les ressources aux inventions qui en ont besoin. Quand c’est fait, on gagne les points de l’inventions et les ressources peuvent servir pour d’autres inventions adjacentes. Un bon gros Tetris. A coté de ça, la mécanique est assez sympa, même si classique. Chaque joueur a une main de 6 cartes et peut jouer celle de son choix sauf celle jouer par le joueur précédent. Assez malin pour essayer de ne pas être dans le même timing que lui et faire chier le suivant. L’une des actions permet à tous les joueurs de récupérer leurs cartes en main et met fin à la manche. Il ya 10 manches. Ca rappelle un peu Historia, mais en plus fluide. L’ensemble tourne très bien et on a bien apprécié. Le seul défaut parès cette première partie c’est que le Tetris est peut-être un peu trop brain burner alors que, s’il est au coeur du jeu, il ne représente cependant pas l’essentiel.
Je me suis développé assez vite grâce à une académie améliorée mais j’ai senti mes adversaires revenir, j’ai alors accéléré la partie en provoquant des fins de manche en série mais ça n’a pas suffit, un autre joueur arrivant à sortir 2 grosses inventions en publiant un max à leur sujet : 25-21-21-17. De très bonnes idées pour un jeu très sympa.
Ponzi scheme à 5 joueurs dont 2 qui découvrent. Vraiment très bon celui-là, je pars tranquille et je commence à faire quelques rachats sympa en accélérant un peu l’endettement mais pas trop. Je repère alors un joueur en difficulté et j’accélère mon jeu pour accroitre mon avance. Mais j’ai mal. Je suis obligé d’emprunter à mort pour survivre, mais je perds des points. Un autre joueur a très bien géré, même s’il est passé à 2 doigts de l’endettement. Un krach boursier aurait pu éliminé 4 d’entre nous, mais il n’est pas survenu, victoire nette et sans bavure de celui qui a le mieux géré la spirale infernale, c’est assez logique : 24-17-17-0-0. Vraiment très bien foutu, je suis assez admiratif de cette mécanique. Certaines sensations de jeu me rappellent Modern Art.
Dweller on the Threshold dit :brougnouff dit :Tomfuel dit :blood rage hier soir à 4En effet, c'est un jeu win to win ou lose to lose, ca dépend de quel coté tu te trouves :)
Tu sais très vite si t'es largué ou pas (dés la moitié du jeu, voir fin de 1er tour).
En effet, super matos, mais j'ai pas été conquis par les mécanismes et surtout les cartes qui sont de plus en plus uber au fil du jeu !
Bref, faut aimer ce style...Ayant joué à Blood Rage (avant) hier soir, et ce pour la 5 eme fois, je ne pense pas que ce jugement rende justice au jeu. La partie d'avant-hier a été menée de bout en bout par un joueur qui a su bien se placer et a bénéficié d'un tirage de cartes avantageux, ce qui pourrait aller dans le sens de ce qui a été dit. Cependant, ce serait nier la necessité de s'allier alors pour descendre l'insolent, ce que nous n'avons pas su faire, trop occupés à nous placer égoïstement, persuadés que nous étions de pouvoir gérer seuls notre drakkar qui prenait l'eau...
A contrario, mon avant-dernière partie en est le parfait contre-exemple: j'ai totalement planté mon premier âge, ce qui ne m'a pas empeché de finir premier en fin de 3ème Age avec un total de 190 pts de Gloire...
C'est au final un jeu plus finaud qu'il n'y parait, une erreur tactique ou la dépense mal avisée de sa Rage pouvant entrainer vers un desastre.
En même temps, c'est exactement ce que j'attends d'un jeu de stratégie, par opposition à un Risk qui peut se gagner ou se perdre a coups de dés...
Assez d'accord avec Dweller on the T... Blood rage peut sembler bourrin, mais il y a une petite partie developpement sympathique, des strategies perdantes qui peuvent se reveler efficaces (le fait de voler des pts de Colere ou des cartes quand on perd une bataille...), beaucoup de choses a surveiller en terme de timing : qui se place ou, possede combien de quetes etc... et surtout bcq de tensión sur les batailles (l'issue est rarement gagnee d'avance).
Sur notre 1ere partie, je m'arme comme un malade en esperant declencher une grosse bataille finale... et tous mes protagonistes vont me planter en l'evitant, cette bataille. Celui qui gagne aura su controler la fin de partie, optimiser ses quetes et l'usage de ses creatures . Tout en subtilite. Vraiment bien foutu!
Cher. Mais bien foutu!
Une belle partie de Mythotopia, dans la salle du magasin Starplayer, avec trois personnes qui découvrent le jeu. Toujours aussi bon : un jeu assez fin et surtout très fluide avec peu de temps d’attente entre les tours. Le tout pour une durée somme toute raisonnable : 3 heures à 4 avec les explications et l’installation. Si la réserve est vraiment un élément déterminant pour préparer ses coups et atténuer le hasard de la pioche, je me suis rendu compte de l’intérêt des cartes (comme le Marchand) permettant de modifier le type de ressources d’autres cartes, cela apporte tellement de souplesse que cela permet de nombreuses options là où parfois on est limité à une. Le draft des provinces en début de partie est excellent et arrange beaucoup de choses mais je n’ai toujours pas trouvé une fin convenable, la solution alternative qui veut qu’à la 4e carte bonus vidée on mélange la pioche et la défausse et que le premier joueur ne pouvant compléter sa main arrête le jeu n’est pas satisfaisante. J’aurai en effet pu pour ma deuxième action défausser mes cartes ce qui m’aurait obligé à en tirer de nouvelles or il ne m’en restait que 4, j’aurai alors mis fin artificiellement au jeu. Ce que je n’ai pas fait, pour finalement terminer premier ex-aequo avec Jérôme.
Au cochon qui rit, tant qu’on peut encore
//Takara Island// 3ème partie
1ère partie en duel contre ma p’tite de 7 ans qui commence à adorer ce jeu vu que y’a plein de p’tits monstres bien gentils à combattre et avec une épée en plus.
Je perds 49-39.
Ma fille prend des risques et ça lui donne la victoire. Suis resté trop prudent. Une pierre magique chacun donc décompte des points.
Ce jeu va rejoindre la liste de ses jeux préférés :
Glastonbury
Sherlock
Cartagena
Takenoko
The Island (à condition de ne pas jouer trop méchant alors)
Tokaïdo
Pingouins
Patchwork
un Clash of cultures à 3
je fais un début très risqué, en misant sur culture, philosophie, démocratie, liberté économique, risquant la famine (j’en ai pris une qui m’a fait mal) et les barbares (je les ai évité par chance)
ça a fini par payer, j’ai eu un développement économique plus rapide que mes adversaires et j’ai par la suite réussi à les décourager de m’attaquer, au final je gagne 47 45 43, de justesse donc, après une partie plutôt statique - j’ai oeuvré à ce qu’elle le soit
mais au final, à mon humble avis, ce jeu est un poil long et aléatoire à mon gout. j’adore les gros jeu de gestion/baston, ce sont mes préférés, mais celui-là est un poil en dessous…