Quelques parties ce weekend, lors du festival l’Alchimie du jeu de Toulouse :
- Codenames, en VF. Vraiment apprécié ce jeu, alors que j’étais moins emballé par un jeu qui lui ressemble (selon moi) : Linq. Il y a moyen de bien se planter/de tenter des trucs improbables quand on est en retard au score, ce qui peut donner des retournements de situation.
- Doctor Panic que je montre plus ou moins bien à des potes qui voulaient voir à quoi ça ressemblait. J’ai apparemment un peu merdé dans la présentation d’une ou deux épreuves. J’ai chargé la bande-son “Facile” sur le site de repos Prod pour la partie, mais c’est vrai que l’application se fait attendre.
- Augustus à 6 : un pote dont c’était la première partie nous explose complètement en enchaînant les “Ave César”. Quelques errements stratégico-tactiques de mon côté et je termine dans les choux.
- Loup-garou pour une nuit : Je suis franc-maçon et quasiment dès le début de la partie le joueur qui se révèlera être la voyante commence à parler en se déclarant… Franc-maçon. Devant ce mensonge éhonté, on le catalogue comme possible Loup-garou mais surtout probable Tanneur. Un autre joueur se réclame comme franc-maçon, ce qui nous conduira à voter pour lui au final. En fait il était Voleur (car le Voleur avait échangé sa carte avec lui et lui avait pris sa carte Tanneur). Les loup-garous jubilent, on engueule un peu la voyante, qui ne voit pas trop ce qu’elle a fait de mal :“en mentant, je me fais passer pour tanneur, donc comme villageois. Si j’avais parlé de prédiction dès le début, je serais passé pour loup-garou”.
- Le joueur de flûte : Ma proposition de jouer avec la version avancée (qui intègre du bluff) est refusée, car la plupart des joueurs débutent. Moins de coups d’éclat que lors de ma première partie mais j’aime bien ce petit jeu pour ma part.
- Triple Ha ! en fin de festival lors du repas du dimanche soir entre bénévoles. De bonnes idées, notamment dans la rédaction des propositions de mime, mais la mécanique n’a que très moyennement marché.
elshaka dit :Ce week-end
2 parties de Shakespeare. Chez nous ça reste le jeu qu'on sort le plus. Un jeu stratégique où il faut vraiment s'adapter. Une victoire grâce aux costumes et aux répétitions et une partie où je subis complétement mes choix de début de jeu.
[...]
et un Mysterium où on perd à la révélation finale : je bloque de plus en plus sur cette phase. On est dans un jeu coopératif et à la fin chacun vote dans son coin... Ca reste un bon jeu quand même.
Pour le premier, j'en suis déjà revenu. Je le trouve un peu longuet pour ce que c'est. A vrai dire, je joue toujours pareil & ça marche, mais quand je ne le peux pas, que je dois partir sur une autre tactique, je me prends une rouste. Il ne rejoindra probablement pas ma ludothèque.
Pour le suivant, c'est parce que tu joues avec les règles de la version française. Pour ma part, je reste fidèle aux règles de la version polonaise. Plus simple, moins alambiqué, mieux.
A part ça, j'ai pu faire deux parties des Loups-garous de Thiercelieux & en mener 4.
La première partie, on la joue en meneur/joueur à 7 (ou 6 ?) avec ma variante double-jeu. On se fait laminer par les loups-garous.
La suivante, je mène. Super partie à 15 ou 16 où seul un loup-garou aura raison du village.
La troisième, on joue avec les règles un peu étrange d'un meneur, nouveau dans le groupe, mais cette fois, le village l'emporte à la pelle ... mais sans moi.
La quatrième, partie assez longue, que je vais mener avec 16 (puis 17 joueurs grâce à une règle d'intégration de mon cru pour les retardataires). Avec les évènements, les loups auront la vie dure ... & c'est le village qui l'emportera ... de très peu.
La dernière partie, on mène à deux pour une communauté des hameaux de 9 & 10 villageois. Une nouvelle fois avec les règles un peu spéciale de l'autre meneur. Dans mon village, les loups ont la victoire facile ... sauf qu'avec un excès de zèle de l'un d'entre eux & une sorcière à l'affût, ils se rétameront lamentablement. Dans l'autre village, c'est l'hécatombe & les loups tombent comme des mouches pour laisser la victoire aux villageois.
Bref, nous nous sommes bien amusés.
Janabis dit :C'est tout le charme de Shakespeare savoir s'adapter pour gagner !elshaka dit :Ce week-end
2 parties de Shakespeare. Chez nous ça reste le jeu qu'on sort le plus. Un jeu stratégique où il faut vraiment s'adapter. Une victoire grâce aux costumes et aux répétitions et une partie où je subis complétement mes choix de début de jeu.
[...]
et un Mysterium où on perd à la révélation finale : je bloque de plus en plus sur cette phase. On est dans un jeu coopératif et à la fin chacun vote dans son coin... Ca reste un bon jeu quand même.Pour le premier, j'en suis déjà revenu. Je le trouve un peu longuet pour ce que c'est. A vrai dire, je joue toujours pareil & ça marche, mais quand je ne le peux pas, que je dois partir sur une autre tactique, je me prends une rouste. Il ne rejoindra probablement pas ma ludothèque.
Hier,
Découverte de Pagode pour 2, forcément. Très agréablement surpris par ce jeu, qui demande adaptation à sa main et bon gestion du timing. Mon adversaire s’empare des premiers étages et engrange les capacités spéciales. Je suis un peu distancé du coup, mais je reste à courte distance, avant de repasser devant en parvenant à construire le premier sommet. Pour la suite, mon adversaire temporise, il a des cartes vertes nécessaires pour terminer la construction d’une pagode, mais pas suffisamment de doubles pour faire le toit. Il joue donc de petits tours, à 1 ou 2 colonnes, et score peu. Je m’envole au score en posant le maximum à chaque tour, même sur de bas étages. Je prends tellement d’avance aux points que je suis sûr de ma victoire… sauf que, au final, mon adversaire assure la finition de deux pagodes, score énormément en fin de partie et me repasse devant de 2 points ! Argh !!!
Très bonne première impression, avec un peu de chauffage de neurones juste bien comme il faut.
On enchaîne avec un Yéti à 4. Mes 3 partenaires de jeu découvrent. Le jeu prend bien, même ma compagne qui est habituellement réticente aux jeux de dés a accroché (et pourtant, elle finit 3ème). J’aime bien la gestion des dés, avec obligation de tout garder même si on a besoin que d’un seul dé, qui force aux concessions même avec un tirage favorable. J’aime bien aussi la gestion des mauvais tirages, avec le blocage des dé qui pénalise aussi les autres joueurs, et l’avancée du Yéti qui donne du temps pour revenir dans la partie.
J’aime moins la petitesse du plateau, mais bon, la montagne passe déjà limite dans la boîte. J’aurais aimé un truc deux fois plus gros, mais le dimensionnement de la boîte aurait sans doute été compliquée…
elshaka dit :Ce week-endShakespeare reste aussi le jeu que je sors le plus depuis fin 2015. Tout le monde adore, les parties ne sont jamais les mêmes. On y a joué à deux la semaine dernière, toujours un vrai plaisir sur cette configuration. Le jeu est bien dynamique à deux et très calculatoire, ça peut vite devenir la gué-guerre sur les costumes et les décors, le timing est encore plus important qu'à plus.
2 parties de Shakespeare. Chez nous ça reste le jeu qu'on sort le plus. Un jeu stratégique où il faut vraiment s'adapter. Une victoire grâce aux costumes et aux répétitions et une partie où je subis complétement mes choix de début de jeu.
Trône de fer jeu de carte (2nd édition) en joute. Deux parties pour deux victoires. On s'initie encore au jeux. Je commence à comprendre pourquoi les joueurs de JCE disent qu'il faut plusieurs coreset. première partie où je gagne 15 0 (quand les personnages ne rentrent pas comme il faut ou sont vraiment faibles ça fait mal. Et seconde partie beaucoup plus longue où je gagne contre mon adversaire grâce à un coup réfléchit depuis le début de la partie. Un attachement (l'épée Glace) que je peux enfin utiliser me permet de tuer un personnage adverse de mon choix, ce qui me sauve clairement la mise et me permet de gagner le tour d'après.
Pour le Trône de fer JCE, on vient de s'y mettre aussi. On est quatre à être motivé par l'idée. Pour l'instant avec ma boite de base on a chacun testé la configuration débutant préconisé par la règle (Stark VS Lannister). Au bout de ma troisième parties j'ai encore du mal avec certains aspects de la chronologie des réactions, etc. La tête dans les règles du coup et pas mal d'erreur qu'on corrige au fur et à mesure des tests, mais c'est pour mieux appréhender sereinement la suite. Normalement les prochaines séances on devrait tester les decks préconstruits indiqués par la boite, afin de se familiariser avec les spécificités des familles. L'idée c'est de sortir de là avec quelques familles qui nous intéressent chacun. Normalement un deuxième corset doit arriver dans le groupe. Je pense que lorsqu'on aura un peu joué avec les decks préconstruits on va essayer avec deux boites de se faire un petit deck, au moins adapter un deck complot.
On veut surtout s'investir régulièrement dans le jeu entre nous quatre. C'est à dire à terme avoir 3 boites dans le groupe + quelques extensions, construire nos decks ensemble (chacun de son côté, mais en même temps) et puis tester ça. On est au moins 3 sur 4 a être intéressé par l'aspect mêlée du jeu. Je pense que ce programme va déjà nous prendre pas mal de temps. Mais c'est aussi le but. Même si on va se le faire à la cool, on va nécessairement passer par la phase construction de deck, parce qu'en préconstruit on voit direct les déséquilibres. Au moins si c'est pensé par nous, on ne pourra s'en prendre qu'à soit même de ne pas avoir un deck un minimum équilibré et on essayera de l'améliorer.
Récemment, 1 partie Contrées de l’Horreur, en solo face à Azathoth. La carte Mythe du 7ieme tour (rejouer 2 fois l’effet sentence des monstres) a été fatale aux 2 héroïnes qui n’ont pu venir à bout du deuxième mystère. Battu par KO au 8ieme tour.
Ce jeu est assez immersif et plaisant à jouer, une sorte d’histoire interactive. Les vidéos de parties en solo qui fleurissent sur le net à son sujet ne trompent pas.
1 partie solo du Signe des Anciens. J’aime beaucoup les choix tactiques à effectuer dans ce jeu et évidemment la joie du lancé de dés. Quel plaisir de sortir la bonne combinaison in extremis ! Bon, là j’ai perdu…
Moi je dis, l’Ameritrash, c’est quand même vachement bien en solo !
Egalement, 1 partie d’Arctic Scavenger à 3, ans extensions. J’adore ce jeu qui mine de rien est assez thématique et offre des parties bien funs. Un deck orienté éclaireurs + snipers à fait des ravages dans les rangs adverses. Je crois qu’à la prochaine partie, on ne me laissera pas faire aussi facilement
elshaka dit :Janabis dit :C'est tout le charme de Shakespeare savoir s'adapter pour gagner !elshaka dit :Ce week-end
2 parties de Shakespeare. Chez nous ça reste le jeu qu'on sort le plus. Un jeu stratégique où il faut vraiment s'adapter. Une victoire grâce aux costumes et aux répétitions et une partie où je subis complétement mes choix de début de jeu.Pour le premier, j'en suis déjà revenu. Je le trouve un peu longuet pour ce que c'est. A vrai dire, je joue toujours pareil & ça marche, mais quand je ne le peux pas, que je dois partir sur une autre tactique, je me prends une rouste. Il ne rejoindra probablement pas ma ludothèque.
Bah, c'est le charme du jeu en général, pas seulement à Shakespeare, & j'aime ça, mais là, justement, je n'ai pas trouvé que l'adaptation au jeu soit transcendante. Par exemple, je n'ai personnellement encore jamais vu un joueur axé sur les décors gagner ... ni même sur l'argent.
Après, j'ai toujours joué à 4, ça y fait peut-être. Mais le jeu reste plaisant quand même car il n'est pas mauvais & je ne refuserai pas une partie parce que j'aime jouer, mais j'en suis quand même personnellement déjà lassé sans envie de creuser plus.
Skyler dit :elshaka dit :Ce week-endShakespeare reste aussi le jeu que je sors le plus depuis fin 2015. Tout le monde adore, les parties ne sont jamais les mêmes. On y a joué à deux la semaine dernière, toujours un vrai plaisir sur cette configuration. Le jeu est bien dynamique à deux et très calculatoire, ça peut vite devenir la gué-guerre sur les costumes et les décors, le timing est encore plus important qu'à plus.
2 parties de Shakespeare. Chez nous ça reste le jeu qu'on sort le plus. Un jeu stratégique où il faut vraiment s'adapter. Une victoire grâce aux costumes et aux répétitions et une partie où je subis complétement mes choix de début de jeu.
Trône de fer jeu de carte (2nd édition) en joute. Deux parties pour deux victoires. On s'initie encore au jeux. Je commence à comprendre pourquoi les joueurs de JCE disent qu'il faut plusieurs coreset. première partie où je gagne 15 0 (quand les personnages ne rentrent pas comme il faut ou sont vraiment faibles ça fait mal. Et seconde partie beaucoup plus longue où je gagne contre mon adversaire grâce à un coup réfléchit depuis le début de la partie. Un attachement (l'épée Glace) que je peux enfin utiliser me permet de tuer un personnage adverse de mon choix, ce qui me sauve clairement la mise et me permet de gagner le tour d'après.
Pour le Trône de fer JCE, on vient de s'y mettre aussi. On est quatre à être motivé par l'idée. Pour l'instant avec ma boite de base on a chacun testé la configuration débutant préconisé par la règle (Stark VS Lannister). Au bout de ma troisième parties j'ai encore du mal avec certains aspects de la chronologie des réactions, etc. La tête dans les règles du coup et pas mal d'erreur qu'on corrige au fur et à mesure des tests, mais c'est pour mieux appréhender sereinement la suite. Normalement les prochaines séances on devrait tester les decks préconstruits indiqués par la boite, afin de se familiariser avec les spécificités des familles. L'idée c'est de sortir de là avec quelques familles qui nous intéressent chacun. Normalement un deuxième corset doit arriver dans le groupe. Je pense que lorsqu'on aura un peu joué avec les decks préconstruits on va essayer avec deux boites de se faire un petit deck, au moins adapter un deck complot.
On veut surtout s'investir régulièrement dans le jeu entre nous quatre. C'est à dire à terme avoir 3 boites dans le groupe + quelques extensions, construire nos decks ensemble (chacun de son côté, mais en même temps) et puis tester ça. On est au moins 3 sur 4 a être intéressé par l'aspect mêlée du jeu. Je pense que ce programme va déjà nous prendre pas mal de temps. Mais c'est aussi le but. Même si on va se le faire à la cool, on va nécessairement passer par la phase construction de deck, parce qu'en préconstruit on voit direct les déséquilibres. Au moins si c'est pensé par nous, on ne pourra s'en prendre qu'à soit même de ne pas avoir un deck un minimum équilibré et on essayera de l'améliorer.
Et encore, c'est pas le déséquilibre des familles le pire (même si de ce que j'ai pu voir, jouer avec la garde de nuit c'est pas simple). Vous verrez quand on joue avec les pré-construits et un core set, le soucis majeur c'est l'instabilité du deck. On est jamais sûr qu'un personnage va rentrer.
J'ai un exemple en tête qui nous est arrivé ce week-end en joute : une victoire 15 0 pour moi. Les gros personnages de mon adversaire ne sont jamais rentrés. Alors que s'ils rentrent au setup ça change clairement la donne.
Pour l'instant, madame n'était pas convaincue de vouloir faire du deck-building. Puis après ce 15 0 elle s'est dit je vais quand même choisir mes complots et mes cartes neutres. Donc peut-être un achat d'un second coreset en préparation. On verra bien.
Pour Shakespeare, j'ai déjà gagné avec le décor et plusieurs fois. Mais c'est bien une stratégie assez compliquée car il faut savoir ne pas monter son décor trop vite. C'est très fort quand c'est bien joué et avec les bons persos. Genre quand on a dans son jeu le Roi lear, un décorateur et un orfèvre ça emmène loin : 28 ou 29 points de mémoire juste là dessus.
Janabis dit :Bah, c'est le charme du jeu en général, pas seulement à Shakespeare, & j'aime ça, mais là, justement, je n'ai pas trouvé que l'adaptation au jeu soit transcendante. Par exemple, je n'ai personnellement encore jamais vu un joueur axé sur les décors gagner ... ni même sur l'argent.
Après, j'ai toujours joué à 4, ça y fait peut-être. Mais le jeu reste plaisant quand même car il n'est pas mauvais & je ne refuserai pas une partie parce que j'aime jouer, mais j'en suis quand même personnellement déjà lassé sans envie de creuser plus.
La stratégie acteurs est la plus facile et évidente à jouer mais les stratégies qui les délaisses un peu sont tout aussi viables, elles demandent sans doute un peu plus de finesse dans son jeu.
Découverte de Sylvion hier soir. Pour le moment seulement des parties en mode Initiation. C’est déjà bien prenant, hâte de tester le mode avancé. Victoire au bout de la 4e partie. ^^ À l’époque de la TTTV j’étais pas allé au bout de la vidéo, les dessins m’avaient un peu rebuté. Grosse erreur. Déjà parce que le jeu est plus profond qu’il n’y parait (avec la draft) et parce que finalement le jeu est très beau.
elshaka dit :Par rapport au manque de personnage dans le préconstruit, c'est ce que je me doutais déjà. Rien que dans l'opposition Lannister/Stark dans le mode découverte c'était assez frustrant. La dernière partie que j'ai faite, je pioche mes 7 cartes de départ, seulement un personnage en main, je fais un muligan, je repioche 7 cartes après avoir mélangé. Dans la main de départ j'ai deux personnages de valeurs 5, beaucoup de cartes limités lieux et deux cartes évènements. Autant dire que c'était pas un bon départ et après ça j'ai pas mal ramer pour les personnages dans les pioches suivantes. Donc, dès le mode découverte on sent un peu les limites.Et encore, c'est pas le déséquilibre des familles le pire (même si de ce que j'ai pu voir, jouer avec la garde de nuit c'est pas simple). Vous verrez quand on joue avec les pré-construits et un core set, le soucis majeur c'est l'instabilité du deck. On est jamais sûr qu'un personnage va rentrer.
J'ai un exemple en tête qui nous est arrivé ce week-end en joute : une victoire 15 0 pour moi. Les gros personnages de mon adversaire ne sont jamais rentrés. Alors que s'ils rentrent au setup ça change clairement la donne.
Pour l'instant, madame n'était pas convaincue de vouloir faire du deck-building. Puis après ce 15 0 elle s'est dit je vais quand même choisir mes complots et mes cartes neutres. Donc peut-être un achat d'un second coreset en préparation. On verra bien.
Même si au départ on est pas tenté par le deckbuilding, si on est trop frustré par l'aléatoire, on y vient ou on arrête. Je crois que c'est déjà pas mal de choisir ses complots et ses cartes neutres comme ta "madame". Je pense qu'on commencera aussi par ce genre de choses. Mais encore une fois, on y est pas.
Tiens j’avais un p’tit quart d’heure devant moi et j’en ai profité pour mettre une belle raclée à Aaron à Châteaux de Bourgogne le jeu de cartes.
Bien calmé le Aaron.
Battu 35 à 23.
Mon record.
Bien bien ce p’tit jeu.
Un p’tit quart d’heure ? Mince, déjà tu mets le jeu en place, t’en as mangé un tiers.
Trop balèze, Cripure !
Les aventuriers du rail, Inde. A 4, bien que nous étions 5 autour de la table, vu que le possesseur du jeu a annoncé que la carte pouvait être jouée jusqu’à 5 joueus, avant de se rendre compte qu’en fait non !
Donc en Inde les gens aiment bien faire des aller-retours sans emprunter deux fois le même chemin. Concrètement, si on relie deux villes d’un objectif par deux chemins disjoints, ça rapporte des points en plus. C’est des mandalas, c’est spirituel.
Je commence à développer un réseau assez dense à l’extrémité Sud de la péninsule, avant quelques percées dans l’intérieur des terres au fil des objectifs. Sur sept objectifs en main à la fin de la partie, seuls deux ne seront pas réalisés. L’un à cause d’une erreur de lecture de la carte, je pensais être dans la bonne ville alors que la bonne était juste à côté. L’autre parceque je n’ai pas su arriver à Jaipur à temps, tous les accès à la ville s’étant retrouvés bloqués avant que je n’y parvienne.
Du coup il faut bien le dire, je termine bon dernier. Avec 90 points, contre 99, 113 et 132. Le vainqueur aura réussi 5 mandalas, rien que ça lui a rapporté 40 points !
Medici, à 4 mais pas les même. Un jeu aux graphismes absolument illisibles, il faut bien le dire. Des chiffres impossible à distinguer de loin, et des zones du plateau dont l’association avec certain types de cartes est tout sauf visuellement claire.
A part ça il s’agit d’un jeu d’enchères de Reiner Knizia. Un jeu aux règles très simples. Chaque tour, un lot de 1 à 3 marchandises est mis en vente. La possibilité d’enchérir se limite à un seul tour de table, et à chaque manche (il y en a trois) on ne peut acheter que 5 marchandises en tout. Ce qui fait qu’au fur et à mesure que la manche avance, certains joueurs seront automatiquement exclus des enchères.
Les marchandises ont un type et une valeur entre 0 et 5. Lorsqu’on achète une marchandise, on progresse d’une case sur la piste du plateau central associée à ce type de marchandise, peu importe sa valeur. Puis à la fin d’une manche, on marque des points pour notre rang sur chacune de ces pistes, et pour la valeur totale des marchandises achetées.
Et lorsqu’une nouvelle manche commence, comme à Art Moderne, on défausse ses achats mais les positions sur les pistes marchandises restent les même. On a donc une reflexion immédiate, la valeur des achats, et une à plus long terme, le type d’achat.
Et comme à Art Moderne, difficile parfois d’estimer la “réelle” valeur d’un lot. Mais pour moi c’est un peu ce qui fait le charme des jeux d’enchères, cette grande liberté qu’il faut savoir assumer derrière.
Bon ben moi j’ai pas su ! Je finis encore dernier, j’ai sûrement trop dépensé au début, sans grande logique dans mes achats. Mais le jeu m’a beaucoup plu malgré ça.
sgtpepere dit :Un p'tit quart d'heure ? Mince, déjà tu mets le jeu en place, t'en as mangé un tiers. ;)
Trop balèze, Cripure !
Ouais bon une p'tite demi-heure plutôt t'as raison.
sgtpepere dit :;)
Tiens j'en profite pour dire tout le bien que je pense de Cap'taine Carcasse vraiment fun ce jeu.
Cthulhu wars 3j.
le marcheur des vents vs celui qui ouvre la voie vs Chaos rampant.
Bon alors pour la mauvaise nouvelle je n’ai à nouveau pas gagné (je sais, je spoil…)
Resultat
Chaos 33 - Yog 28 (mais que 5 grimoires) - Marcheur 17.
Alors d’abord les excuses de mauvaise foi
Le chaos a beaucoup trop de chance dans le signe des anciens 3-3-2-2-1
Et bon, la mauve a même pas tout ses grimoires.Ils se sont acharné sur moi (pfff, ça même pas)
La vérité c’est que j’ai fais quelques belles boulettes, que le Chaos à super bien joué les déplacements et ce trouvait partout, tout le temps.
Si celui qui ouvre la voie avait eu un tour de plus c’est sans doute lui qui aurait gagné.
Et que pour gagner j’aurais du avoir un nouveau tour avec 4 portes.
Mais la partie était plutôt fun et plein de rebondissement (sauf pour moi qui ai moyennement subit).
Seul Bemol … J’ai le DVM et je ne gagne jamais :(.
Harald 3j.
Partie découverte d’un bon petit jeu de carte.
Je suis deuxieme avec des scores de 40-37-27 et le jeu est rempli de petits coups de pu**s .
C’est un peu le dark tales plus calculateur et avec plus de prend ça dans les dents.Tout en étant assez rapide.
Attention, je pense que certains joueurs pourraint être pris D’analysis Paralysis.
Ces derniers temps, j’ai joué en particulier à quelques jeux que voici :
- 18EU : plusieurs parties en duel. Il s’agit d’un jeu de gestion (et connexion) sur le thème des chemins de fer en Allemagne. C’est très réussi, prenant, intéressant, avec une complexité relative (pas facilitée par la rédaction des règles). Passé le charme du thème qui n’a de pire que le charme du matériel, on se prend vraiment au jeu. De la phase intitiale d’enchères aux ramifications de voies ferrées, en passsant par les blocages, les achats et reventes d’actions, et les dividendes répartis ou pas, il y a de quoi faire. Un très bon ressenti ludique. Il n’y a qu’une carte non modulaire, mais la répartition initiale des compagnies mineures permet un réel renouvellement.
- 1889 : Une variation du jeu précédent, mais avec quelques différences et le tout situé dans une île du japon. La carte est plus petite, je la pensais sur une première impression mieux adaptée pour le jeu en duel. Mais j’avoue que cela perd à mes yeux un tout petit peu de profondeur et de richesse par rapport à 18EU (avec moins d’une dizaine de compagnies privées). J’aime toutefois les bonus individuels et spécifiques de ces compagnies privées. Sinon, je me répète, ce jeu est une variation de l’autre, donc le bilan très positif reste le même.
- Titanic : ce jeu de logique en solitaire (ouai, bon, c’est un casse-tête ) est un vrai régal. J’adore le principe de règles aussi succintes, dévoilant une grande richesse. Je vois une réelle prouesse technique et mécanique, presque même une forme de poésie, dans certains des problèmes posés. Oui, je sais, il faut faire fort pour voir de la poésie dans ce type de jeu, mais j’assume. Comment un auteur peut-il élaborer un truc pareil, et si bien en tirer la substantifique moelle ? Je reste dubitatif. En plus, manipuler le matériel est très agréable.
- Food Chain Magnate : J’en avais fait un début de partie à Essen 2015, mais l’occasion d’y rejouer ne s’était pas représentée. J’avais alors flairé que ce jeu me plairait, ce qu’il recélait de trésors stratégiques et tactiques, et tout ceci se confirme. On y pense, on y repense, on veut en faire plusieurs parties, tester de nouvelles voies. C’est ce que je vais m’atteler à faire. J’ai l’intention d’y passer un moment, de creuser. Quel jeu ! Je remercie Toooooof pour sa programmation / adapatation et me réjouis d’avoir par son biais la chance de jouer à ce jeu divin.