Ca se joue plutôt bien à 2.
Globalement, j’arrive à y jouer assez bien. Le thème est beaucoup plus attirant que les 2 autres et l’explication passe mieux. J’avais un peu peur à ma première partie, et ça s’est plutôt bien passé (avec des joueurs ne connaissant pas Pax et que je ne connaissais pas bien en tant que joueur, donc petite appréhension). Globalement, ça passe plutôt bien si on accepte de se laisser un peu porter par le jeu à la première.
barbi dit :
Sinon, ces 24h avec Eipi ne se sont pas limitée à ça:
Oui, j'ai commencé par le tournoi mais je comptais bien évoquer le reste également

Donc concernant cette histoire d'éthique et de laisser sa chance au débutant, j'y ai un peu reréfléchi depuis. Je suis d'accord avec l'idée mais reconnais que ce n'est pas évident de renoncer à une bonne opportunité lorsque l'expérience fait qu'on repère plus aisément son potentiel. Avec le recul, j'ai fait la même chose lors de notre partie de Deep Sea Adventure. Sur les manches deux et trois, j'ai fait en sorte d'accélérer la consommation d'oxygène en ramassant un troisième trésor juste avant de rentrer au sous-marin. Parceque c'est comme ça que j'ai l'habitude de jouer, parceque c'est comme ça qu'on "plante" les adversaires. Eh bien à la réflexion j'aurais largement pu m'en passer et leur laisser le plaisir de remonter sain et saufs. Puis là en l'occurence la fille de barbi m'a fait de la peine, elle jouait plutôt bien mais échouait à chaque fois d'un rien.
Sinon en bref sur les autres jeux. Big points je ne connaissais pas du tout, c'est simple et malin. Shakespeare je n'arrive toujours pas à maintenir une ligne directrice cohérente, je prend toujours plaisir à y jouer et lui reconnais ses qualités, mais sa maîtrise m'échappe totalement. Russian Railroads j'ai tâtonné du début à la fin, j'ai juste envie d'y revenir assez rapidement maintenant que j'ai une meilleure idée de la dynamique générale du jeu. J'ai été un peu frustré par son manque d'interaction ceci-dit. Puis barbi a oublié de mentionner une partie de Taluva en duel, qui donnera lieu à une île très large avec une unique tuile posée au niveau 3, et une victoire de sa part alors qu'il me restait deux huttes à placer.
Et puis samedi, hors le tournoi sus-mentionné, j'ai pris beaucoup de plaisir à rejouer à Caylus, et me suis effectivement fait bien avoir à AdR Marklin, une version que je découvrais avec ses passagers à transporter.
Ce week-end de nombreuses parties de Jaipur jeu qui ne me tentait pas mais après un essai sur bga j ai adoré donc achat. J ai aussi fait 2 parties de vendredi ou j ai gagné mais en mode facile donc bientôt je vais démarrer les choses sérieuses. Nous avons fait un puerto rico à 5 joueurs qui fut festif notamment grâce à l excellent rhum vieux qui l accompagnait, victoire d une stratégie maïs je finis pour ma part 3ème.
3 parties de SdA Jce : 3 défaites.
Ce jeu est dur, mais on veut quand même y retourner !
Doc Topus dit :Première partie de The Great Zimbabwe, fraichement reçu.
Les règles sont simples une fois les premiers tours passés, je vénère tout de suite un dieu qui réduit le cout en PV des artisans (qui est l'objectif à atteindre pour gagner : 20 PV en début de partie, chaque artisan ou dieu augmentant le nombre de PV). Mon objectif de PV ne dépassera pas 28, ma femme atteignant 37.
Je me dis que ça va être singer in the nose, qu'elle a été trop gourmande mais que nenni. Je resterai 2è joueur presque toute la partie faute de têtes de bétail. Ma femme s'en donne à coeur joie pour élever ses monuments en squattant les ressources dispo.
A l'avant dernier tour, je pense gagner en prenant le tailleur de diamants mais j'ai oublié le cout de 1PV ! Je reste donc à 1Pv de la victoire.
Le tour suivant, ma femme élève un bâtiment au 5è niveau et me rafle la victoire !
Super jeu, c'est tendu, interactif. Du Splotter (et il est beau en plus), quoi !
Vivement la revanche
Assez étrangement, j'ai aussi fait ma première partie cette semaine. La partie que tu décris avec ta femme est exactement la partie que j'ai fait avec mon adversaire.
"je vénère tout de suite un dieu qui réduit le cout en PV des artisans . Mon objectif de PV ne dépassera pas 28, ma femme atteignant 37.
Je me dis que ça va être singer in the nose, qu'elle a été trop gourmande mais que nenni. Je resterai 2è joueur presque toute la partie faute de têtes de bétail. Ma femme s'en donne à coeur joie pour élever ses monuments en squattant les ressources dispo.
A l'avant dernier tour, je pense gagner en prenant le tailleur de diamants mais j'ai oublié le cout de 1PV ! Je reste donc à 1Pv de la victoire.
Le tour suivant, ma femme élève un bâtiment au 5è niveau et me rafle la victoire !"
La petite différence c'est que j'ai été plus loin de la victoire que toi.
Bon j'attaque ma deuxième partie tout à l'heure je vais lire attentivement ton autre CR, en essayant de le mettre à profit.
Une partie des Bâtisseurs - Antiquité :
Je découvrais cette version, possédant Moyen-âge, et j’ai pu direct finir un bâtiment avec mon apprenti me donnant une bonne base financière. Un maître recruté et un bâtiment à 6 PV entamé en tour 2, fini en tour 3 m’ont permis de gagner la partie (19 PV).
Par rapport à Moyen-âge, l’emprunt me semble inutile, je n’ai pas utilisé les outils et j’ai bien aimé l’Université et les esclaves. Je préfère néanmoins l’original.
Nous avons enchaîné avec un Five Tribes que 2 joueurs découvraient. La gagnante a visé un max les sages combinés à un Djin doublant leurs PV.
J’ai également découvert BGA. Le fait de pouvoir essayer plusieurs jeux qui me font de l’oeil depuis un moment est cool. Je n’avais jamais joué à Carcassone (chose incroyable), j’ai bien aimé Hanabi (même si l’expérience est différente qu’en vrai je pense), Can’t stop ou encore Jaipur.
Par contre j’aime pas trop le fait d’être exclu de certaines tables pour manque de niveau. Pas très tolérant mais heureusement balancé par la patience de certains joueurs pour nous expliquer les subtilités d’un jeu qu’on découvre…
Buskapé dit :Assez étrangement, j'ai aussi fait ma première partie cette semaine. La partie que tu décris avec ta femme et exactement la partie que j'ai fait avec mon adversaire.
"je vénère tout de suite un dieu qui réduit le cout en PV des artisans . Mon objectif de PV ne dépassera pas 28, ma femme atteignant 37.
Je me dis que ça va être singer in the nose, qu'elle a été trop gourmande mais que nenni. Je resterai 2è joueur presque toute la partie faute de têtes de bétail. Ma femme s'en donne à coeur joie pour élever ses monuments en squattant les ressources dispo.
A l'avant dernier tour, je pense gagner en prenant le tailleur de diamants mais j'ai oublié le cout de 1PV ! Je reste donc à 1Pv de la victoire.
Le tour suivant, ma femme élève un bâtiment au 5è niveau et me rafle la victoire !"
La petite différence c'est que j'ai plus loin de la victoire que toi.
Bon j'attaque ma deuxième partie tout à l'heure je vais lire attentivement ton autre CR, en essayant de le mettre à profit.
t'as aussi reçu ta préco Splotter, c'est pour ça ;-)
3ème partie hier, ce fut encore très rapide, 8 à 10 tours de jeu maxi. La première place me semble déterminante dans nos 3 parties, je pense aussi qu'on ne joue pas assez avec les Dieux et les spécialistes. Pour le moment, on hésite vraiment à monter trop haut notre objectif de PV alors qu'avec certaines combo Dieux / Spécialistes (Atete, Tsui Goab me semblent très très intéressants par ex), ça ne doit pas poser trop de prb. Bref, je crois qu'on joue en étant trop timorés. La prochaine, je change radicalement ma façon d'aborder le jeu !
Pour l'instant, je le trouve à part dans la gamme Splotter ce TGZ, c'est presque "on a 30 minutes devant nous, on se fait un TGZ"
Comme ça a été dit plus haut par les habitués du jeu, avec l'expérience, la durée de jeu doit s'allonger...
Ah sinon, j'ai encore perdu...
barbi dit :les joueurs restent humains, et des français en Angleterre, bah on a bu de la bière belge, mangé du jambon espagnol, et même dormi !
Héhé, vous avez pas du vous ennuyer : de belles rencontres, de belles découvertes, et en plus de ça un podium.
Encore bravo.
Première partie de Dominion hier avec la configuration de base. Je comprends le succès du jeu. Il me rappelle 7 Wonders en cela que durant la partie, on ressent de la frustration et on se voit limité quant à nos possibilités, et en fin de partie on a envie d’en refaire une pour pouvoir faire différemment tout en sachant qu’on revivra probablement les mêmes sensations. Bref: sympatique, avec une réelle possibilité d’influer sur le jeu puisqu’on construit son propre deck, ce qu’il faut de stress quand on voit ses adversaires récupérer des PV plus vite que nous, et le fameux goût de reviens-y.
Je sens bien que ce jeu risque fort d’être un achat futur.
Pour la petite histoire, j’ai marqué 39 points contres 40 et quelques pour ma fille de 8 ans (pour ma défense: qui a de nombreuses parties à son actif) et 50 et des poussière pour ma femme (pour ma défense: c’est un principe chez nous: Madame gagne quasiment tout le temps).
Ce week-end…
Une nouvelle partie de Forge War à 4 joueurs dans le mode Fast-Forward Epic.
Ce mode est bien plus intéressant à jouer que le mode normal : on a le stage II et le stage III, donc 12 tours pour s’exprimer alors que dans le mode normal où on a que le stage I avec 7 tours.
Dans le mode Fast-Forward Epic, le moins qu’on puisse dire c’est qu’on voit du pays !!
Avec de belle armes très puissantes en Mithril serties de pierres précieuses, des aventuriers Champion (de niveau IV) qui ont chacun leur caractéristique et qui peuvent faire très mal… et bien sûr en face, des Quêtes qui piquent les yeux tant certaines semblent difficiles à réussir.
La phase de quêtes, justement, est toujours aussi excellente dans ses mécanismes (notamment les “legs”) et tendue à gérer : un vrai régal.
L’interaction entre les joueurs, quant à elle, s’appuie sur l’ordre de tour qui est déterminant pour avoir les meilleurs choix au Marché et dans le choix des Quêtes. Cet ordre est déterminé en fonction du nombre de mineurs des joueurs dans la mine : celui qui a le moins de mineurs sera premier joueur et ainsi de suite pour les autres joueurs.
Il faut donc savoir renoncer à produire beaucoup de minerai si on veut passer premier joueur pour s’assurer de récupérer la carte du marché ou la carte Quête qu’on veut et qu’on estime prisée : car pour produire beaucoup de minerai, il faut générer beaucoup de mineurs… gros dilemme.
Autre gros point fort : le management des quêtes où on affecte des aventuriers aux cartes quêtes qu’on acheté tout en s’assurant d’avoir la main d’œuvre suffisante pour continuer les Quêtes en cours qui deviennent de plus en plus difficiles au fur et à mesure de leur résolution.
Dans la partie, j’ai commis une erreur, je me suis senti très fort quand j’ai pu équiper un aventurier Champion de niveau 4 avec une arme unique très puissante et je me suis engagé sur une quête plus difficile que je ne me l’imaginais. Résultat… elle a “occupé” mes aventuriers trop longtemps et j’ai donc dû renoncer à m’engager sur d’autres Quêtes puisque je n’avais pas les “ressources humaines” adéquates pendant que les autres joueurs achevaient des Quêtes plus accessibles mais finalement plus rentables en PVs et récompenses (on a du loot quand on réussit une Quête !!! ) sur le long terme. La conclusion, c’est je n’étais pas prêt à m’engager sur cette grosse quête… En multipliant les parties, on saura mieux juger si une quête est raisonnable à envisager ou pas.
Dans la phase marché, on peut aussi “rusher” des Quêtes, c’est-à-dire accélérer leur résolution : si on sait bien anticiper le moment de s’en servir, c’est un atout sérieux pour marquer beaucoup de PVs (quand une Quête est terminée). Mais rusher une Quête signifie aussi se confronter plus rapidement à la difficulté… il faut donc avoir du répondant en face !!! Vite !! Amenez des renforts !!!
Il y a tout de même un bémol dans ce mode de jeu : la mise en place est très laborieuse et la profusion de matériel n’aide pas à la raccourcir…
Bref, un jeu malgré tout toujours aussi excellent qu’il me tarde de rejouer !
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Une première partie à quatre joueurs de Solarius Mission (Spielworxx 2016) des auteurs de La Granja. On reconnait d’ailleurs la parenté entre les deux jeux dans l’utilisation des Cartes.
Avant tout, un gros défaut qui m’a déjà fait hurler contre Spielworxx dans ce forum :
Le matériel est très fastidieux à préparer !! 216 stickers à coller sur les 6 faces de 36 dés ! Sans compter qu’il faut sortir son bâton de colle pour monter la roue de sélection des dés d’actions.
De plus, le choix de certains jetons rond en bois ridiculement petits est des plus discutables : ces jetons font 5mm de diamètre sur 2mm d’épaisseur : c’est injouable !
Pour ma part, j’ai remplacé les jetons marqueurs noirs et jaunes (Fuel et Spacebucks) par des cubes de 8mm classiques aux même couleurs et les jetons marqueurs de colonisation par des jetons classiques de 15mm : le plateau est même plus lisible avec ce changement ! Un comble de maladresse qui dessert grandement un jeu par ailleurs excellent à jouer !
Mis à part ces tracasseries liées au matériel, le jeu est excellent et très prenant. C’est un 3X spatial (Explore, Extend, Exploit) très bien pensé.
Je termine troisième et les scores sont 49 - 36 - 23 (moi) - 4.
Chaque joueur dispose de quatre dés Technologie un dans chacune des quatre couleurs proposées (Noir, Jaune, Turquoise et Marron)
Tout d’abord, le mécanisme à base de dés d’action est très bien pensée. Il y a 5 dés dans chacune des quatre couleurs listées ci-dessus : 20 dés au total). Ces dés ont des faces qui vont de un à trois points qui donnent chacun autant de points d’action à dépenser, les autres faces sont des faces joker avec une étoile. Cette étoile signifie que pour déterminer le nombre de points d’actions qu’on a à jouer, il faut se référer à la valeur de son dé technologique de la même couleur. C’est comme cela que le jeu traduit la montée en puissance des joueurs : plus nous avons des dés technologique forts, plus les dés d’actions sur les faces joker sont puissants mais que pour nous ! Très élégant !
Le tour d’un joueur se fait en trois phases :
1) Choisir un dé d’action parmi quatre et dépenser les points d’actions du dé. L’action à réaliser dépend de la couleur du dé d’action choisi.
2) Réaliser une action secondaire optionnelle : il y a deux possibilités.
3) Piocher un dé d’action dans le sac, le lancer pour le mettre à disposition du joueur suivant : il y a toujours un choix de quatre dés d’action à son tour.
C’est avec l’action secondaire optionnelle que les dilemmes apparaissent et se font douloureux. Il faut choisir entre :
a) Déplacer son vaisseau pour étendre sa main-mise sur le territoire spatial en construisant des structures (Station orbitale), ou en colonisant ou en accomplissant des missions.
b) Ne pas déplacer son vaisseau pour améliorer le rayon d’action de son vaisseau et piocher des cartes Développements que l’on peut jouer comme les Cartes Ferme dans La Grandja. Les Cartes Développement sont divisées en deux parties : une partie mission (livraison de ressources) et une partie Développement qui donne un ou deux emplacement pour les dés d’actions avec un bonus puissant si on y pose plus tard un dé d’action plutôt que sur les emplacement de base des plateaux joueurs.
Le point a) est source de PVs mais a besoin du point b) qui n’est que développement personnel pour pouvoir se faire efficacement… en tous cas plus efficacement que les autres joueurs
Dans la partie, les deux premiers joueurs ont clairement été les plus rapides à occuper les emplacement autour des hubs commerciaux. Ces hubs sont les seules destinations pour valider les missions et donc très prisés : il n’y a pas de place pour tout le monde !!! Et ceci, grâce à un meilleur choix de cartes développement. Pour ma part, j’ai mal jugé le rythme du jeu et fait trop de développements en me disant que “j’avais le temps de revenir faire des PVs”… Finalement, j’ai fait de grosses actions qui rapportent des PVs mais pas suffisamment…
Je ferai mieux la prochaine fois…
J’ai hésité avant de me prendre ce jeu… à cause de la mauvaise qualité de son matériel… et une fois la boîte ouverte, je me suis mis à regretter mon achat tant la préparation du jeu a été un calvaire…
Mais finalement, après y avoir joué, je ne regrette rien… le plus fastidieux est fait, le jeu est prêt à être joué et est de grande qualité ludique comme tous les Spielworxx !
a++
Manubis.
Ce weekend :
- Trône de fer JCE, cinq parties je crois.
- Deus Egypt, en mode “full Egypt” : c’était bien, on y reviendra vite ! Voir un avis plus détaillé dans le sujet sur Deus Egypt.
- Bubblee Pop : découvert par hasard en TTTV, acheté dans la foulée et aucun regret sur cet achat. Pourtant je ne suis pas fan du tout de Candy Crush & co., mais là je suis tombé sous le charme et ma copine aussi.
- Kamisado : ça faisait des années (mais vraiment des années) que j’hésitais à m’acheter ce jeu, j’ai fini par franchir le pas… et aucun regret non plus ! Ah si, un petit : le plateau de jeu et les pièces sont magnifiques… mais la lecture du jeu est vraiment difficile. C’est bien mignon d’incruster des kanjis de couleurs pour distinguer les pièces, mais ce n’est vraiment pas suffisant. À moins de jouer sous un projecteur, on confond trop facilement orange, rose et rouge d’une part, marron et violet d’autre part. Ce bémol mis à part, c’est un excellent jeu, qui s’explique en trente secondes mais qui fait fumer (que dis-je, fondre !) le cerveau assez violemment.
la semaine dernière :
Horreur à arkham : scenario 1 de la ligue américaine, 2 joueurs, 2 investigateurs par joueurs.
On a carrément laissé aucune chance au grand ancien. On gagne en remplissant simultanément 2 conditions de victoire : 6 portails de scéllés et plus aucun pourtail sur le plateau avec en tout 4 trophées de portails.
Code names : plein de parties à 6 joueurs.
Sympa, je ne redirais pas non pour une partie de temps en temps, mais ce n’est pas mon style de jeu.
Mission planète rouge : 1 partie à 5 joueurs.
Un bon vieux jeu que j’affectionne toujours autant. mais ça faisait tellement longtemps qu’il n’était pas sortit que je ne me souvenais même plus des règles!
Rokoko, à 5. Une belle surprise, ce jeu qui n’a rien de compliqué mais qui semble à première vue assez riche. Nous sommes des tailleurs dont le but est d’habiller la cour avec nos robes et nos costumes. On joue des cartes artisans pour effectuer des actions, parmi lesquelles acheter des tissus, fabriquer des robes ou costumes, construire des décors (parcequ’e plus d’être tailleurs on est également décorateur et même artificier), recruter plus d’artisans… Rien de nouveau, tout s’imbrique parfaitement tant sur le plan thématique que mécanique.
Parmi les manières de scorer, on trouve, en plus des points bruts pour chaque création, une majorité sur le nombre de ses créations par salle du palais, le fait d’être le premier à avoir une de ses créations dans chacune des salles, le fait d’avoir des créations de type différent… Il y a des points à prendre un peu partout, ce qui semble permettre une grande variété de stratégies.
Pour ma part j’ai fait de la création à foison, trop peu de recrutements peut-être, je termine à une honnête 3e place avec 56 points. Les deux premiers font respectivement 66 et 63, les deux derniers 52 et 32.
King of Tokyo Edition 2016 : je redécouvre ce jeu que j’adore. On tape, on devient plus puissant et on retape. Mais avec stratégie !
Codenames : un classique instantané de part chez moi. Au moins 15 parties et toujours plein de rires et de désarroi quand on n’arrive pas à faire deviner.
Rockband Manager : à 5 joueurs. Malgré ce que je pensais une bonne stratégie (diversifier), on s’est fait coiffer au poteaux par une joueuse qui a collecté beaucoup de cartes charisme à effets. Du très bon.
Sur la semaine :
15 parties de Warhammer Quest : Le jeu d’aventure en solo :
Comme la gamme est abandonnée, on doit se contenter des productions de fan pour renouveler la flamme, et pour une fois, je m’essaie à la création d’une extension, un nouveau personnage.
Expérience intéressante mais vraiment difficile si l’on cherche à équilibrer.
Passer de l’autre coté permet de comprendre le travail effectué par les auteurs. Travail, parce qu’au bout d’un moment, cela devient moins amusant de recommencer toujours le même scénario pour peaufiner.
Bon, mon Hobbit a bien du mal à survivre dans les donjons et il a pu tester les milles morts qui attendent l’aventurier au coin des couloirs.
Franchement, Bilbo a eu un sacré bol sur les lancers de dé !
5 parties de Le seigneur des anneaux JCE en solo :
Et oui, en ce moment “I’m a poor lonesome cowboy”.
Mais pourquoi je persiste à réessayer ce jeu encore et encore ? Déjà parce que j’ai envie de l’aimer, ensuite parce que quelqu’un a donné le lien vers un site sur lequel j’ai trouvé un deck tricolore constitué uniquement des cartes de la boîte de base.
Bon je me fais toujours éclater par le troll ou dans la rivière … mais malgré ce mécanisme de “menace” complètement artificiel, je me suis quand même bien amusé. Je me demande quand même à quel point le succès de ce jeu n’est pas simplement lié au thème …
5 parties de Seasons à deux :
C’est zoli, thermoformage parfait (même si les sachets s’avèrent rapidement plus pratique pour les jetons) avec la place pour les cartes sous pochette. Voilà des éditeurs qui savent penser utile. J’entends un grincheux qui dit que cela cache le vide en dessous mais je ne l’écoute pas et de toute façon, les autres éditeurs ne font pas le même effort.
On commence par les decks recommandés avec des scores stratosphériques (304 points) et quand on passe au draft, on sent que cela sera plus dur de mettre les mêmes synergies en place. Si je comprends les critiques sur l’intérêt du jeu se limitant à la phase de draft, je ne le ressens pas encore et j’essaie de placer mes cartes au meilleur moment avec une gestion intéressante du tempo et de la fin de partie.
Affrontement minimum, matériel agréable, univers graphique, tout pour passer un bon moment. Bonne découverte et quand je vois que c’est le jeu le plus joué sur BGA j’espère avoir de nombreuses parties devant nous.
2 parties de Quantum à trois :
Tout d’abord, commençons par ce qui fâche, et qui ne concerne même pas spécifiquement Quantum mais des dizaines de jeu : les alliances, le matraquage d’un joueur et son corolaire, le sous marin ou comment gagner la partie sans faire de vague. Je déteste ces situations où le jeu disparaît derrière les guerres d’ego, les revanches, les discussions sans fin et l’escalade de mauvaise foi. Autant j’en comprendrais tout l’intérêt dans un jeu spécifique, axé sur la diplomatie, autant le retrouver occasionnellement dans d’autres jeux m’exaspère.
Donc la première partie s’est résumé à un sous-marin et 2 coqs de village … Par contre la mécanique nous a bien plu, avec mon fils qui a mis en place une synergie dévastatrice en seulement 2 cartes qui lui donnait du mouvement supplémentaire. Il nous a écrasé avec ses stations de combat plus mobiles et gagné à l’Infamie (on adore le terme).
Une deuxième partie plus équilibrée, nous laisse une impression de possibilité assez variées.
Au début on imagine mal que les dés puissent représenter les vaisseaux, mais au final, cela passe plutôt bien.
Même si le travail d’édition ne supporte pas la comparaison avec Seasons, le matériel est quand même agréable à manipuler (dés corrigés dans l’édition actuelle) et j’ai bien aimé l’intitulé des cartes, les pouvoirs consistant en un adjectif : Arrogant, Cruel, Curieux, Flexible …
C’est fou, pour une fois aucune déception et je n’ai quasiment pas dit de mal des jeux essayés !
Manubis333 dit
Une première partie à quatre joueurs de Solarius Mission (Spielworxx 2016) des auteurs de La Granja.
Merci pour ce retour
Tu devrais le coller dans un avis sur la fiche du jeu !
Hier soir nous etions 3 joueurs et mes amis ont choisi Puerto Rico. Je gagne la premiere( 35-28-27) grace a une strategie basee sur les batiments violets et je ne produis qu un café, je finis second a la deuxieme en tentant de produire diversifier le gagnant etant monoculture mais type monsanto.(34-32-32)
Pour finir un petit Jaipur à 2 joueurs histoire de finir sur une victoire.
Tina Turner, Elvis Presley, Freddy Mercury et Mick Jagger
Passe vite fait pour vous redire que ce We Will Wok You (déterrage du jeu), p’tit jeu de cartes de Sebastian Bleasdale (l’auteur de Keyflower, Prosperity ou autre Blackfleet) est vraiment toujours fun à jouer de 2 à 4 joueurs.
Encore une partie hier soir (où je me prends une raclée, passons) de ce jeu malin-malin avec un univers bien décalé pour amateurs de Rock.
Pas cher, il peut combler 15-30 mn de plaisir ludique.
1 action par joueur parmi 3 (je prends une carte Pièce pour acheter, j’achète des ingrédients, je prends une carte Wok) et déjà de la bonne réflexion. : choix, timing et interaction sont au rendez-vous.
Un p’tit jeu bien sympa tombé dans les oubliettes…
Ludiquement conseillé.
Pour ma part, mardi soir, c’est JDS
6 joueurs hier, on a commencé par un Diamant(stop ou encore trés sympa, charte graphique repompée integralement d’indiana Jones), comme ça a plu, on a refait une 2eme dans la foulée…
Poursuivi par un Augustus (jeu le plus joué avec mes potes, 7eme partie depuis Mars), un des joueurs a rushé les cartes faciles, pour empocher les bonus, et il gagne sur le fil…
On a finit par Les colocs (ça devait être une petite pause avec un jeu simple), malheureusement, tout comme Elixir qu’on avait essayé il y a peu, ça fait partie des jeux qui tirent vraiment en longueur, vu qu’on peut en permanence emmerder le joueur en tete, la partie a duré 1h30…
Potrick dit :Manubis333 dit
Une première partie à quatre joueurs de Solarius Mission (Spielworxx 2016) des auteurs de La Granja.Merci pour ce retour
Tu devrais le coller dans un avis sur la fiche du jeu !
Bonjour Potrick,
Merci de ton retour.
Entendu, je vais ajouter un avis sur la fiche de ce jeu , surtout qu'il n'y en a aucun pour le moment.
a++
Manubis.