Mirways dit: Vendredi soir : un Time's up pour se mettre en jambe en guise d'apéro. Avec en 2° phase un "let". Je cherche en vain un tennisman dans les personnages (Le grand schtroumpf il a pas été classé 15/4 par hasard ?) pour me faire découvrir "Moby" ......c'est clair que c'était ce qu'il y avait de plus limpide...
À moi les plaisirs solitaires,… une partie d’Onirim, ma première. J’adore les illustrations. Je perds avec cinq portes découvertes. Je n’ai fait qu’une seule prophétie car je voulais préserver les clés dans ma main, mais je pense qu’en faire plus devait quand même faciliter la tâche.
Mirways dit:Week end jeux dans un gite perdu au milieu des bois... L'age de Pierre : 3° découverte du week end et très très bonnes sensations pour celui la....ça coule de source, c'est malin sans être non plus extrèmement original...La chasse aux cartes de coef multiplicateur semble être la seule issue pour la victoire (je me trompe ?) .
Salut, en effet tu te trompes! ce jeu est plus subtil, je l'aime bcp, meme si je ne l'ai pas, du coup je vais me prendre le nouveau du meme auteur, que je ne suis pas seul a attendre apparement!!
Hier, une partie de die hundler ou un truc du genre, c'est pas mal, de la nego, de la modif de marché, des cartes... pas mal pas mal. et 1ere de skulls & roses, j'attendais d'y jouer pour emettre un avis. c'est pas mal. Je pense qu'il faut faire quelques parties avec les memes joueurs, pour qu'il y ait +d'interet, une fois qu'on a compris comment les adversaires reflechissent...
Deux joueurs, le livret de règle bien installé sur les genoux, et au final un jeu fantastique. Tous les avis que j’ai pu lire ici ou là sur la toile sont rigoureusement exacts : ce n’est pas à proprement parler un jeu familial, mais sa simplicité pratique, au delà de ce que l’épais livret de règles peut laisser penser, son thème fédérateur par excellence, son rythme parfaitement maîtrisé en font une passerelle idéale vers les jeux plus compliqués pour tous les neophytes que le jeu intéresse.
Ma femme qui habituellement fuit tous les jeux dont la règle dépasse 3 pages a elle même tenu le livret pendant plus d’une heure et demie tout en surveillant nerveusement mes choix de peur que je ne vienne compromettre son élevage de boeufs programmé dans son joli paturage flambant neuf.
Les choix sont un véritable crève-coeur parfois, et chaque décision pèse lourd dans la balance. Et contre toute attente, même si on redoute le jeu à rallonge à l’installation, on se rend vite compte qu’on aura le temps de rien et on passe 14 tours à courir dans tous les sens pour tenter vainement d’avoir une ferme parfaite.
Un régal! Je n’ose imaginer les parties quand on y rajoutera les cartes de savoir faire et d’amènagements mineurs.
Hier soir donc partie de Vasco de Gama avec ma femme. Toujours aussi sympa, c’est notre 3eme partie et on a enfin maitrisé la bete Bon ca faisait un moment que nous n’y avions pas joué, donc une relecture des règles rapides a du être nécessaire. Toujours aussi peu d’action pour faire tout plein de choses et pas beaucoup de tour ce qui fait que le jeu est fluide et rapide.
Je gagne avec 9 points d’avance au final (77 à 68), ce qui a beaucoup joué c’est que je suis resté 1er joueur tout le temps avec les 2 points par tour sur les 5 tours… J’ai pris au final tous les persos, ma femme ne s’est pas battue pour les avoir. Prochaine stratégie à tester, lors des 2/3 premiers tours s’axer sur les equipages, capitaines, argent et bateaux…
Un Djam à six, les scores sont assez serré, et je suis 2nd égalité avec deux autres participants.
Un Hive, je joue super agressif et gagne la partie assez vite avec une invasion de fourmis
Un Cyclades à quatre, je suis le seul joueur “expérimenté” sur ce jeu, et après une explication assez fluide on commence la partie. La joueuse de la table fait un départ canon sur les revenus et du coup se prend un logique retour de flamme. Malgré cela, elle est à deux doigts d’atteindre sa 2nd cité, mais un blocage sur Zeus la ralenti. J’ai Ares, vole sa cité et le bâtiment manquant, victoire !
Un Bombay à 5, partie pépère, sur le début de partie le plateau est envahi de palais, après les ventes commencent… On se gêne un peu en se coupant l’herbe sous le pied, je termine ex-aqueo avec 31 points mais j’ai moins de cliente, donc je serais second !
Soirée à deux, en débutant avec Kogge. Plus j’y joue, plus c’est bon. La partie s’arrête alors que le maître des guildes est à trois villes de la fin. Je visite la ville dans laquelle il se trouve et j’y construit mon quatrième comptoir et acquiert mon premier jeton bonus. Je remporte donc la partie aux points de développement, mais si on avait du compter les points de victoires, j’aurais été loin derrière car mon adversaire possédait la plupart du sel (7 PVs par cube) et encore un jeton raid non utilisé (10 PVs). J’ai vraiment hâte d’y jouer à trois ou à quatre. Scores : 5-3.
On enchaîne avec une partie de Troyes. Ayant Urbain IV, je me place à l’évêché avec trois habitants. Mon second personnage est Chrétien de Troyes qui me paraît peu rentable de favoriser à deux joueurs, mon objectif sera les 3 PVs pour six habitants. Je me retrouve avec un seul dé rouge qui sera automatiquement utilisé pour lutter contre les évènements, évènements que j’ignorerais la plupart du temps, il y en a eu jusque sept sur le plateau dont la Résistance. Avec huit cubes à la cathédrale, c’est toujours un plaisir de voir apparaître le Verrier que j’utiliserais avec deux visites : 12 PVs avec mes dés et 4 PVs avec un dé acheté. Ayant gagné beaucoup d’influence avec L’aubergiste et mis mon adversaire sur une fausse piste, je dépense un maximum d’influence avec le Troubadour (6 PVs) un fois assuré que Hugues de Payns n’est pas en jeu. Mon adversaire a complétement loupé ses personnages et a marqué très peu de points, mais tous les évènements n’ont pas facilité sa tâche. De mon côté, j’améliore notre record local. Scores : 68-24.
Pour finir, ça sera au tour de Glen More. Pour une fois, j’ai bien joué. Pour une fois, j’ai cru gagner. Mais comme souvent, j’ai perdu. J’ai essayé de me développer pour ne pas être à court de ressources et me payer les tuiles qui me faisaient envie. J’ai eu Duart Castle, mais seulement deux Dorf (villages), les autres ayant été subtilisés soit par l’autre joueur ou le dé. Je comptais également sur la pénalité que mon adversaire allait subir à cause de ses tuiles excessives, mais même avec un malus de -9 PVs, il finit devant. Scores : 60-55.
Deux parties de Betrayal at House on the Hill à 4 joueurs (dont 3 qui découvrent le jeu)
Un des avantages certain du jeu est qu’on peut commencer la partie sans avoir expliqué les règles. On indique juste le pitch (des persos de films d’horreur série Z ont vu de la lumière dans le manoir et sont entrés…).
Les règles (très simples) se découvrent au fur et à mesure de la première moitié (non compétitive) de la partie. Quant la Haunt commence, on explique juste les quelques règles spcécifiques en plus.
Bref point de vue immersion, c’est top.
Première partie, un poil laborieuse. La Haunt 16 n’est franchement pas terrible. Le traitre a du mal à comprendre ce qu’il peut faire d’utile pour gagner (et sincèrement, j’ai toujours pas trouvé la réponse). Deux très gros jets de dés d’affilé permettent aux Héros de remporter la partie sans avoir trop souffert. Mais le stress était bien présent (tic tac, tic tac,…). Bref, ambiance et fous rires sont au rendez-vous. La partie a duré 1h20, on enchaine avec une deuxième.
Ca va encore plus vite. Le scénario 11 est bouclé en une heure par une victoire du traitre. Ce scénario est beaucoup plus amusant que le premier avec des monstres et des surprises. Pas encore très équilibré (plus facile pour le traitre), mais les héros auraient pu prétendre à la victoire si ils avaient mieux géré leurs objets.
Bref, c’est pas équilibré pour un sou (ou alors, c’est équilibré une fois sur 2 ou sur 3) mais quand même tendu. Mais c’est fun, simple, immersif, rapide, roleplayable…tout le monde a aimé.
La grande idée du jeu reste que chaque camp est le seul à connaître ses objectifs, les moyens de les accomplir et les règles qui y sont liées (caractéristiques des monstres, lieux ou objets importants,…).
hier soir 1 partie de BATTLETECH avec toutes les regles. ce jeu est un regal… je pense avoir zappé quelque points mais ce jeu a trouvé sa place dans ma ludotheque.
ps ( bien entendu , je perds)
2 parties de KILLPOWER BALL. ou j eclate mon adversaire grace a mon subtil jeu de passe et une maitrise de pouvoirs qui a tout devasté dans le camp adverse .
Un petit agricola en solo… C’était ma 3e partie consécutive et j’avais pour objectif 59 points. Il faut bien reconnaître que j’ai mal joué l’affaire et que j’ai échoué, n’obtenant que 53 points… A recommencer un de ces quatre!
Pas tout à fait hier, mais presque, j’ai découvert Antiquity. Ce jeu ne constituant pas un “graal ludique” pour moi, j’étais juste raisonnablement curieux. Dori, qui adore ce jeu et recherche des partenaires potentiels, a pris grand soin de nous en expliquer les grandes lignes, dont le fameux “vous jouez d’abord contre le jeu.”
Nous n’avons sans doute pas assez écouté ses conseils, car il y a eu deux abandons, devant le constat que les choses étaient trop mal engagées. La faute à la famine et aux explorateurs.
Pas vraiment le temps de m’étendre sur le détail de cette partie avortée que j’ai pourtant trouvé vraiment très intéressante. Le jeu pousse effectivement à la perfection les mécanismes de " développement/gestion de ressources" et introduit des concepts très intéressants comme la pollution ou la famine. Les possibilités sont énormes, il est vraiment impressionnant. Cela permet de passer outre le style abstrait/naïf (pas désagréable finalement) et les manipulations fastidieuses.
L’interaction, contrairement à ce que j’ai pu lire par ailleurs, est très présente. Ce serait vraiment un contresens de jouer dans sa bulle: gestion de la pollution, exploration et famine, extension territoriale, étouffement de l’autre, choix des saints, tout cela fait vraiment très mal et pousse à être attentif. Reste qu’il est un peu difficile d’accéder à cette dimension lors d’une première (j’allais écrire dernière…) partie.
Pour l’apprécier à sa pleine valeur il faut probablement se donner le temps de l’approfondir. Les règles ne sont pas si compliquées, quant on y regarde, mais il faut vraiment dompter la bête. Cela en fait un jeu assez “technique” quand même – juste au dessus de mes goûts et de mes capacités en la matière je pense. Il faut prévoir, compter, anticiper, et gérer les adversaires. A revoir, mais pour l’instant, si je suis très séduit intellectuellement, si je reconnais qu’il est très au dessus de la mêlée, je ne sais pas encore si cela m’amuserait de creuser plus. Peut-être, peut-être pas. Impression paradoxale.
Hier, à la soirée café-jeu du Club du Nain Porte Quoi, j’ai joué à The Boss (partie à 4 joueurs quej’ai gagné malgré de sacré pertes “d’hommes” !) et à Mission Planète Rouge (où j’arrive 2ème sur 5, derrière le joueur qui aura le mieux géré les ressources de glace et son important bonus final de majorité !)
Deux jeux que j’aime beaucoup et une excellente soirée !
RTTA late bronze age: avec un débutant et un qui découvrait cette version “longue”. Le débutant gagne avec carrière-ingénierie et une architecture très lucrative, je suis dernier et mes deux adversaires ont été convaincus.
Poker avec les mêmes: je finis dernier et rentre dormir. Je sais pas encore qui a gagné. Sympa d’y rejouer de temps en temps.
Hier:
RTTA late bronze age: 2 parties solo, même si l’auteur n’a pas proposé d’adaptation solo à son “extension”. Scores: 91 et 81. Pandémie + ext à 2: opérateur de terrain + répartiteur = défaite. Bien partis, ayant presque éradiqué les rouges, on se fait avoir impuissants par deux épidémies en deux tours qui font exploser les rouges. On perd à la fois par manque de cubes et par excès d’éclosions.
Kikoo, Hier soir en famille (mon mari, mes deux lousticos de 6,5 et 8,5 ans et moi-même) : une partie, du Fantôme de McGregor dans l’obscurité, bof bof pas terrible on n’y voyait rien des blasons et des couleurs de clefs. Quelques parties de Wasabi, on a adoré et bien rit. Aujourd’hui, journée nationale du jeu, nous allons à différentes ludos du coins voir les animations.
Deux parties de Oz puisqu’il vient d’arriver chez nous. Une partie à 4 puis à 3. Un jeu très fluide, on commence à voir quelle pile prendre cependant il faudra attendre plus de parties pour savoir jouer contre les autres. Un bon goût de reviens-y.
Olympus (config 4 joueurs) : un jeu de civ sympa mais l’aspect militaire semble trop puissant face à des joueurs pacifiques (c’était mon cas). Donc on est obligé de s’armer si l’on ne souhaite pas se faire pourrir et piller tout au long de la partie. Je sais bien qu’il existe un proverbe latin qui dit “SI VIS PACEM, PARA BELLUM” mais la franchement c’est trop. De plus, le militaire permet de ne pas développer l’aspect ressource puisque les ressources pillées sont conservées intégralement d’un tour sur l’autre. Trop de cartes également à maîtriser pour une première partie. Vivement Olympos !
Du coup, je n’ai pas eu le loisir de sortir Endeavor et Assyria Une soirée bien pourrie quoi…