Un match de Bloodbowl, une demie-finale de coupe, derby orque dont voici le résumé (je joue les Wildboar)
Et voila, nous y sommes, la demi-finale 100% peaux-vertes, opposant les Wild Boar aux Gahaz.
Les deux équipes n’ont pas le droit à l’erreur et doivent tout donner pour continuer l’aventure, le match étant éliminatoire.
Un virus semble toucher les favoris de la coupe, sans conséquence pour le match. Le toss est gagné par les Gahaz qui décident de mener le premier assaut.
Et c’est parti, la balle est kickée et les orques enragés se lancent dans la mêlée, alors que la balle est loin derrière.
Mauvais départ pour Gahaz, deux double-skull stoppent prématurément l’attaque. Les Boars en profitent, sortent via la foule le blitzeur star et KO un des pilier orque noir. Le surnombre devrait aider.
L’attaque garde le cap et récupère le précieux ballon et le faire remonter d’une moitié de terrain. Le jeu va se concentrer sur l’aile gauche. Le porteur de balle est rapidement mis à terre mais le rebond favorable rend la récupération impossible. Il va donc falloir continuer de maintenir la pression défensive.
Le troll des Gahaz rate son blocage contre un orque noir pendant que celui des Boars bavent copieusement. Visiblement, il ne faudra pas trop compter sur les géants verts.
Un des blitzeurs attaquant fait le show en tentant le 2D contres, houhou, heureusement la chance est là et c’est un push qui ressort. La balle est très vite sécurisée, mais plus de relances pour les Gahaz : sans filet !
Ramassage de balle échouée, la mêlée devient de plus en plus dense. Au milieu de tous ces orques, difficile de s’y retrouver pour le public.
Les Gahaz, enfermés dans un étau, doivent vite trouver de l’air pour s’en sortir. Magnifique tour des Gahaz, esquive, ramassage… Qui termine hélas par une passe ratée qui renverse complètement la vapeur. Les Boars prennent le contrôle de la balle et du jeu, confirmant la supériorité numérique et s’offrant une voie royale vers la ligne de TD adverse. Le contre est lancé.
Malgré un bon placement, les Gahaz sont un peu enrhumés par le contre véloce des défenseurs. Le quaterback cède le ballon à son capitaine qui file droit devant, semblant inarretable.
Premier sang, infligé par la foule à Harley (pourtant fort efficace jusque là), il n’aura pas été épargné par le public. De toute manière, ses cris de douleurs sont étouffé par les tribunes grondantes à l’ouverture du score, 1-0.
Il reste quelques minutes avant la pause, les Gahaz replacent leur attaque avec le jeune Gorilla (gobelin) dans ses rangs. On dirait qu’ils vont tenter le tout pour le tout !
C’est d’ailleur une très belle passe qu’effectue Voxan, bien réceptionné par un blitzeur, qui hélas ne résiste pas a Attila, toujours présent. Papuensis va donc ramasser tranquillement la balle, sécurisant la zone et éloignant le risque d’égalisation.
Malgré une ultime tentative, le coup de sifflet vient faire vibrer les tympans, c’est la pause.
Les Wild Boar sont donc maintenant à l’attaque, il va falloir confirmer l’avance.
Attaque peu banal des orques, puisqu’un blitzeur file tout droit comme s’il était receveur, et qu’un de ses confrères tente le ramassage plutôt que de laissé faire le préposé.
Malgré l’échec, la balle est bien sûr sécurisée, mais attention à ne pas trop s’exposer pour quelques points d’expérience… La défense se montrant insistante, l’attaque devient plus réglementaire : une tortue se forme tranquillement au centre du terrain, avec comme tête le troll & trois orques noirs. De la puissance, en somme.
La défense ne lâche pas le morceau, harcelant le porteur de balle de plus en plus, le poussant à la faute. Malgré tout, l’attaque progresse doucement, changeant d’aile tranquillement. Le troll défenseur tente le blocage et sort un fatal double skull offrant une autoroute à l’attaque. Une fois de plus, bon retour de la défense, mais ça ne suffira pas, un blitzeur se place derrière la ligne, bras ouverts, et réceptionne la passe parfaite du lanceur. 2-0.
Il reste un peu de temps aux Gahaz pour sauver l’honneur, l’attaque est en place. Le soleil devient aveuglant, ce qui ferme un peu le jeu.
La mêlée qui se forme annonce un jeu assez mou, c’est sans compter le duo troll/gobelin qui surprends la défense avec un lancé, et c’est le TD !!! La foule est en délire ! 2-1.
La fin du match est proche, Raddeanus tente (pour la 3ème fois) de récupérer la balle afin de faire une passe (synonyme de niveau) et réussi enfin, grâce au gobelin agile a la réception.
Reste à sécuriser cette baballe au maximum pour éviter l’égalisation menaçante, mais la défense profonde des Gahaz et l’absence surprenante du gobelin les condamne.
C’est la fin d’un match disputé sur les phases défensives, mais finalement dominé par les Wild Boars en grande forme.
De l’expérience et surtout un ticket pour la finale de la coupe, contre… Des elfes.
Une partie d’Okko sur le scénario d’initiation, la partie est bouclée en 20 min mon gros Oni poutrant ses adversaires un par un : avec la double lames, grosse chatte (5 ou 6 à chaque fois), je tue net mes adversaires. Pour le coup, ça a pas mal refroidit mon adversaire sur du reviens-y. Ca m’ennuie un peu, mais je l’avais prévenue que la chance et surtout les placements étaient capitaux.
Le scénario aller/retour “chasse et cours” de Claustrophobia, histoire de jouer avec les nouveautés.
A l’aller, je joue les démons qui partent vite (mais pas assez vite, puisqu’ils se prennent du plomb de tromblon dans les fesses). Ma chance est qu’une 2nd tuile inondée gêne les mouvements humains. Quelques frayeurs mais j’arrive à m’engouffrer dans un tunnel, laissant un des troglos avec une pièce de l’artefact en leurre. Ca marche, les humains obnubilé par le préciiiiiieux oublient d’explorer, j’arrive à ma tanière et gagne la partie.
Au retour, les dés sont avec moi (comme à Okko !) et j’explore rapidement avec les spadassins. Beaucoup de brume dans ces dédales, ça m’arrange, et c’est les troglo qui trouve la sortie. Les véloces spadassin l’atteigne sans mal, nouvelle victoire !
Question (spécifique à ce scénar) :
Peut-on fait apparaitre un troglo sur une tuile valide, puis le faire explorer “en arrière”, c’est à dire par la sortie d’où il vient ?
Peut-on faire apparaître un troglo sur une tuile valide (vide, et avec une sortie) ou se trouve une pièce de l’artefact, le prendre et se barré dans la foulée ?
Juste de quoi me faire une idée du déroulement de la partie. 
Par contre, over-serre, 154-150. A noter de mon cote deux triple actions Trajan, sympathiques. Et du sien, 35 points au port, et 30 points finaux sur les batiments (balaise, les batiments....).
) où nous nous sommes affrontés tour à tour sur…
Bon, okay, mon tirage n’était pas des meilleurs (les meilleures tuiles dans les trois dernières pioches), mais je crois que je n’ai pas encore bien toutes les conséquences de mes actes en tête à ce jeu. Bilan : 14 à 1. 
L’honneur est sauf ! 
Carson est sans conteste mon jeu préféré pour le moment, alors que chose amusante, je n’avais gagné qu’une seule fois avant ma partie d’hier, et c’était il y a un moment. Depuis ? De la défaite. Pas toujours loin derrière, mais perdu quand même. 
C’est peut-être parce que je lui ai dit ça en préparant le plateau que dans mon inconscient, je me suis dit : ce soir, ça va changer pour de bon. 
), et bien m’en a pris ! 
C’est là que le jeu a basculé, car mon chinois devait prendre des hôtels au début, mais j’ai tenté de partir sur carrément autre chose et mon adversaire n’y a vu que du feu ! 
$110 d’un coup, un record à ma table 
(dont $17 rackettés à son Saloon… 
). Pour finir, un tour passé à empêcher un shérif voulant transformer ses $ en PV à 5 contre 1 grâce à l’aide de la cavalerie, et c’en était fini de lui (église pour protéger mes drugstores, duels pour l’empêcher de construire ou d’acheter des parcelles, racket, etc.). Bilan : 55 à 78, et j’avoue j’en suis pas peu fier. 
), il y a tout un pan de bluff qu’on trouve beaucoup moins avec les dés je trouve (disons qu’en plus du “vas-tu m’attaquer” en amont, il y a le “vas-tu mettre une grosse tuile” en aval ! 
).
