Matheson a écrit plusieurs épisodes de la Quatrième dimension. Voici ce que nous dit IMDB :
- Spur of the Moment (1964) … (written by)
- Night Call (1964) … (written by)
- Nightmare at 20,000 Feet (1963) … (written by)
- Steel (1963) … (written by)
- Death Ship (1963) … (written by)
- Mute (1963) … (written by)
- Young Man’s Fancy (1962) … (written by)
- Little Girl Lost (1962) … (written by)
- Once Upon a Time (1961) … (written by)
- The Invaders (1961) … (written by)
- Nick of Time (1960) … (written by)
- A World of His Own (1960) … (written by)
- A World of Difference (1960) … (written by)
- The Last Flight (1960) … (written by)
- Third from the Sun (1960) … (based on a short story by)
- And When the Sky Was Opened (1959) … (based on a short story by)
Il est donc l’auteur de l’un des meilleurs épisodes de cette fabuleuse série : Cauchemar à 20 000 pieds.
Jer dit:Il est donc l'auteur de l'un des meilleurs épisodes de cette fabuleuse série : Cauchemar à 20 000 pieds.
Je n'ai vu que la version filmée par George Miller dans l'anthologie de 1983 signée Dante, Landis, Miller, et Spielberg. C'est excellent, le meilleur segment avec celui de Dante, loin devant les deux autres (le Spielberg : rarement vu un truc aussi à chier et moche de sa part)
Je possède l’intégrale de la Quatrième Dimension en dvd. J’ai tout vu, certains épisodes plusieurs fois.
Il y en a qui sont anecdotiques, d’autres qui sont des merveilles.
Parmi les meilleurs, je pense qu’on peut mettre :
Cauchemar à 20 000 pieds.
Pour servir l’homme.
Question de temps.
Les Monstres de Maple Street.
L’Oeil de l’admirateur.
C’est une belle vie.
Le Soleil de minuit.
Ce dernier épisode, je l’avais vu enfant, quand ça passait dans l’émission des frères Bogdanov. Ca m’avait fait très peur.
Jer dit:Je possède l'intégrale de la Quatrième Dimension en dvd. J'ai tout vu, certains épisodes plusieurs fois.
Il y en a qui sont anecdotiques, d'autres qui sont des merveilles.
Parmi les meilleurs, je pense qu'on peut mettre :
Cauchemar à 20 000 pieds.
Pour servir l'homme.
Question de temps.
Les Monstres de Maple Street.
L'Oeil de l'admirateur.
C'est une belle vie.
Le Soleil de minuit.
Ce dernier épisode, je l'avais vu enfant, quand ça passait dans l'émission des frères Bogdanov. Ca m'avait fait très peur.
"Pour servir l'homme" m'a glacé le sang enfant!
J'ai entamé y'a pas longtemps l'intégrale, j'en suis à la première saison. La plupart des épisodes sont au moins cool. Super série
viking dit:
"Pour servir l'homme" m'a glacé le sang enfant!
Tout pareil, tres marquant, ça pourrait quasi servir de base á une bonne adaptation cinematographique aux multiples rebondissements
Knock knock dans le cadre du FEFFS (Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg).
La fiche du film :
Knock knock
Director: Eli Roth
Producers: Miguel Asensio Llamas, Cassian Elwes, Colleen Camp
Scenario: Eli Roth, Nicolas Lopez, Guillermo Amoedo
Cinematography: Antonio Quercia
Editing: Diego Macho
Music: Manuel Riveiro
Cast: Keanu Reeves, Ana de Armas, Lorenza Izzo
USA, Chile – 2015 – 1h35 – VOST
Evan est architecte, il a la quarantaine, est père de deux enfants et marié à une artiste talentueuse. Lors d’un week-end orageux où il est seul chez lui, deux jeunes femmes égarées sonnent à sa porte pour qu’il les aide à se rendre à une soirée. Il leur propose de s’abriter et se sécher le temps qu’un taxi viennent les chercher. Ces deux sublimes créatures sont alors bien décidées à ébranler Evan dans ces certitudes d’homme comblé par son mariage.
Eli Roth est très connu pour ses films d’horreur sanglants et corrosifs. Avec Knock Knock, il change de style pour réaliser un thriller dans lequel la vie d’un père de famille, croyant être à l’abri de tout dans son cocon familial, va virer au cauchemar. Après avoir vu Knock Knock, vous n’ouvrirez plus votre porte aussi facilement…
C’est assez difficile de décrire le film sans gâcher le suspense mais la dernière phrase ci-dessus en est un bon résumé.
Le film a beaucoup plu à la salle comble. Pour ma part je l’ai trouvé un peu trop extrême par moment pour savourer certains passages. Par le genre de film que je qualifierais de “jubilatoire” (pas comme Les Nouveaux sauvages, par exemple).
En revanche de nombreux passages tirent des fous rires des spectateurs et je pense que certains éléments/passages me marqueront pendant un moment …
Keanu Reeves fait du bon boulot, s’il y a encore des gens qui pensent qu’il ne dispose que d’une unique expression faciale, je les invite à regarder ce film.
Petit détail : au début je me suis dit que le film avait du être financé par le placement de produit tellement certains noms ou certains visuels de marques/produits étaient appuyés ce qui donnait d’un côté une impression de grande réalité et de l’autre un je-ne-sais-que grotesque. Par exemple quand le personage principal dit “Non, vous n’aurez pas de taxis ici … Attendez, je vais vous appeler un chauffeur Uber”.
En résumé, un film correct, que j’ai apprécié mais qui ne m’a pas plus enthousiasmé que ça.
Pas comme les 3 films de l’an dernier que j’ai cités quelques pages plus tôt.
2 très bons films:
Le superbe Ni le ciel ni la terre, de Clément Cogitore, mérite vraiment le coup d’oeil, et au cinéma je vous prie, pour encourager ce type d’auteur qui n’a pas peur de se frotter au genre le moins exploité actuellement par le cinéma français : le fantastique.
Et le bonhomme a une audace visuelle impressionnante, le basculement progressif dans le fantastique se fait par le truchement de la lumière crue des projecteurs des militaires, ainsi que leurs lunettes infrarouges.
La maîtrise de la mise en scène est impressionnante pour un premier film, avec des ellipses bien senties et parfaitement orchestrées, et une scène de tension de nuit hallucinante.
Un sacré talent le mec.
viking dit:Jer dit:Je possède l'intégrale de la Quatrième Dimension en dvd. J'ai tout vu, certains épisodes plusieurs fois.
Il y en a qui sont anecdotiques, d'autres qui sont des merveilles.
Parmi les meilleurs, je pense qu'on peut mettre :
Cauchemar à 20 000 pieds.
Pour servir l'homme.
Question de temps.
Les Monstres de Maple Street.
L'Oeil de l'admirateur.
C'est une belle vie.
Le Soleil de minuit.
Ce dernier épisode, je l'avais vu enfant, quand ça passait dans l'émission des frères Bogdanov. Ca m'avait fait très peur.
"Pour servir l'homme" m'a glacé le sang enfant!
J'ai entamé y'a pas longtemps l'intégrale, j'en suis à la première saison. La plupart des épisodes sont au moins cool. Super série
Notons que si seulement les 2 premières saisons sont disponibles en VF sur Blu Ray, on trouve le reste en VO st VO sur les sites UK.
0ui l’intégrale est sur Netflix UK notamment.
Je vous laisse chercher comment utiliser le catalogue UK de Netflix, chers brigands.
viking dit:
Le superbe Ni le ciel ni la terre, de Clément Cogitore, mérite vraiment le coup d'oeil, et au cinéma je vous prie, pour encourager ce type d'auteur qui n'a pas peur de se frotter au genre le moins exploité actuellement par le cinéma français : le fantastique.
Et le bonhomme a une audace visuelle impressionnante, le basculement progressif dans le fantastique se fait par le truchement de la lumière crue des projecteurs des militaires, ainsi que leurs lunettes infrarouges.
La maîtrise de la mise en scène est impressionnante pour un premier film, avec des ellipses bien senties et parfaitement orchestrées, et une scène de tension de nuit hallucinante.
Un sacré talent le mec.
Comme je veux trop le voir celui là !!
A priori c’est ta came, ça fait un peu penser à Predator, même si c’est carrément moins bourrin, disons plus français.
viking dit:A priori c'est ta came, ça fait un peu penser à Predator, même si c'est carrément moins bourrin, disons plus français.
Tu veux dire que le monstre a lu Sartre et aime Truffaut ?
Jer dit:viking dit:A priori c'est ta came, ça fait un peu penser à Predator, même si c'est carrément moins bourrin, disons plus français.
Tu veux dire que le monstre a lu Sartre et aime Truffaut ?
Ou qu'il a lu Marc Levy et aime Olivier Dahan
Lapinesco dit:Jer dit:viking dit:A priori c'est ta came, ça fait un peu penser à Predator, même si c'est carrément moins bourrin, disons plus français.
Tu veux dire que le monstre a lu Sartre et aime Truffaut ?
Ou qu'il a lu Marc Levy et aime Olivier Dahan
Si c'était le cas, le film serait interdit aux moins de 16 ans.
Faut pas exagérer et garder une certaine mesure, même dans le fantastique et l'horreur.
C’est Jérémie Rénier à la place d’Arnold Schwarzenegger. Tout est dit.
Arnold est capable d’avoir un jeu très sensible. Tu n’as pas vu “Un flic à la maternelle” ?
Et tac, une belle petite fournée!
Sicario, de Denis Villeneuve, vaut surtout pour ses trois premiers quarts d’heure, intenses et suffocants, avec en apogée une scène de tension à un péage d’autoroute extrêmement réussie. Le truc c’est que Villeneuve ne sait pas trop quel film il veut faire, et que passée cette introduction en forme de gros film de genre stylisé, le Mexique réduit à un enfer et les trafiquants à des zombies, Villeneuve semble vouloir faire 2 autres films, beaucoup moins réussis, une histoire de vengeance qui échoue complètement à générer une quelconque catharsis, et un film plus acceptable pour les festivaliers, film réaliste sur le monde qui va mal, prout prout. S’ensuit une absence totale de cohérence de point de vue, assez embarrassante.
The Visit, de M.Night Shyamalan, est vraiment un joli petit film, dans lequel ce dernier prend à contrepied les attentes de son public (venu chier dans son froc devant une énième production Jason Blum). Si Shy est limité par le dispositif du found footage, il choisit de s’en amuser, et génère une comédie étonnamment méchante par moment, et réussit à l’intérieur de plusieurs séquences à générer une hésitation entre le rire et la peur. A ce titre, la scène où le gamin rappeur imite sa grand-mère prise d’une étrange crise de somnambulisme effrayante, est hilarante. En fait Shyamalan est ici dans la lignée d’un Sam Raimi, mélant humour, peur, et dégueulasserie potache (la COUCHE DE CACA!). C’était vraiment cool.
L’homme irrationnel, de Woody Allen. Qu’il est brillant ce film, une merveille de comédie noire, de rythme et d’ironie. Un film qui coule tout seul, et dans lequel réussit à atteindre un équilibre rare dans sa “tendre cruauté”, extrêmement ironique sans jamais se livrer à un jeu de massacre cynique. Comme celui de Shyamalan, c’est un beau “petit film”, un cinéaste détendu, aux talents de narration immense.
Crimson Peak, de Guillermo Del Toro. Une créativité visuelle impressionnante, qui vaut à elle seule de jeter un oeil au film, dont les apparitions fantômatiques, les machines, et ce manoir gothique transpirant le sang sont très belles. Par contre d’un point de vue de la narration c’est très laborieux (surtout quand on vient de s’envoyer les deux films précédents), et le romantisme affiché ne vibre jamais vraiment, il semble plus là pour générer de belles images que l’inverse. C’est assez chiant au final comme film. Dommage
Phantom boy, très très chouette dessin animé !
Bon, je ne vais plus beaucoup au cinéma ces temps-ci…
Heureusement, Netflix pense à moi et me livre des films tout neuf directement sur mon ordinateur, en l’occurence :
Beasts Of No Nation
Je suis bien embarassé. Je n’arrive pas exprimer ce qu’il manque dans ce film, et pourquoi il m’a globalement insatisfait.
Le sujet (les enfants-soldats en Afrique) est à la fois très puissant et très délicat à traiter. On suit le parcours de Agu, orphelin enrôlé dans une armée rebelle commettant atrocité après atrocité…
A la réalisation, c’est Cary Fukunaga, très remarqué pour la saison 1 de True Detective. Y a pas à dire, il sait filmer. C’est soigné, il y a même le passage obligé du plan-séquence de folie prend-ça-dans-ta-face, petit spectateur.
Mais je ne sais pas. Il y a une volonté louable de ne pas juger ses personnages, mais du coup ils manquent un peu de corps, de chair. Le film manque de point de vue, et hésite constamment entre tout raconter du point de vue de Agu, ou faire un constat à plus grande échelle sur le système de la guerre civile, le fonctionnement des armées rebelles, l’endoctrinement… Et du coup n’arrive à faire aucun des deux.
Avec un sujet pareil, le film devrait me bouleverser plus que ça.
Un sujet fort, des acteurs formidables (le jeune Agu est incroyable), une réalisation soignée… Mais au final, des images qui impriment la rétine davantage que le coeur et le cerveau.