Hier, j'ai joué à... page 1048 + (partie 2)

Dire que j’ai jamais rédigé d’avis sur Ra du Dr Knizia… :roll_eyes:
Je viens d’y rejouer et… ciel que c’est efficace ! Du stop ou encore, des combinaisons de tuiles, du scoring malin, la circulation des jetons d’enchères du joueur au plateau et du plateau au joueur, la nécessité de réévaluer chaque situation au fur et à mesure de la pioche des tuiles, etc…c’est remarquable. Et puis j’aime bien mon édition qui me vient de 2005, Überplay. j’y avais pas joué depuis un moment. Que ça fait du bien de retrouver un jeu comme ça… :heart_eyes:

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Ra c’est absolument remarquable. Dans le top 3 de Knizia avec samouraï et [pas de nom ici pour éviter la polémique].

Quand je repense à ma première partie où j’avais gentiment expliqué à mon hôte que son jeu c’était quand même très bof, on contrôle rien autant jouer au jeu de l’oie… J’ai honte, c’est pas bien beau d’être jeune.

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Les Rats de Wistar

Une bien belle grosse machine mais qui une fois découverte parle et donne envie de d’optimiser ses choix. Cela demande beaucoup d’investissement pour bien gérer ses choix d’actions et leur puissance associé à la roue. On ne joue que 15 fois au final mais cela fait tourner les neurones.

Les illustrations sont magnifiques.

Le matériel de qualité. Un plateau un peu imposant qui prend de la place et n’aide pas à la lisibilité suivant où l’on se trouve autour de la table. Dommage cette roue qu’il faut démonter à chaque fois pour ranger la boîtes.

A rejouer sans faute en tout cas.

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J’aime bien les polémiques. C’est quoi ce nom?

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Je plussoie, cela m’intéresse !

Fabericus veut peut-être parler de T&E vs Y&Y… mais bon, tout le monde sait maintenant quel est le meilleur. :grin:

…cependant, ne pas oublier Amun Re quand même hein… :slightly_smiling_face:

Ce qui devait être une petite après-midi de jeux, hier, s’est transformée en une journée complète de jeu ! Nous avons débuté à 14h30 pour finir sur les coups de minuit…
Moi, à la base, je voulais juste mettre en place un rendez-vous régulier pour Wonderland’s War. Bah oui, le jeu demande quand même un peu de régularité si on veut s’améliorer et le poncer un peu. Surtout que les parties durent environ deux ou trois heures alors pas évident d’en recaler une derrière (pas avec mon groupe actuel qui a du mal à jouer plusieurs parties d’un même gros jeu dans un même session de jeu).
Mais finalement, on a joué, joué, et encore joué.

Wonderland’s War

Bon, comme c’était l’objectif de cette session, c’est avec ce jeu que l’on a attaqué. Petite différence cependant, nous n’étions que 4 au lieu de 5 pour la première partie mais nous avions tous fait notre première partie ensemble. Pour le coup, on s’est mis d’accord pour tous garder notre personnage de la partie précédente ce qui me semblait plus évident pour s’améliorer. J’avais donc Alice, Madame le Chapelier Fou, mon frère le Jabberwocky et mon fidèle copain de jeu, la Reine de Coeur. L’avantage c’est que l’on connaissait tous les pouvoirs que l’on avait, on savait à peu près ce qui pouvait nous intéresser, etc.

Le départ a été plutôt explosif pour Madame et pour la Reine de Coeur. Ils avaient placé leurs partisans dans deux ou trois régions où ils n’étaient qu’entre eux pour l’affrontement. Madame n’a pas forcément chercher à gagner, seulement à prendre la seconde place pour gagner des points. Du coup, dès les deux ou trois premiers combats, moi et mon frère nous sommes fait devancer d’environ 12/15 points. Encourageant pour le reste de la partie.
De mon côté, ce que je visais, c’était de prendre des châteaux dès le premier tour. Bien sûr, pas évident d’en avoir quatre ou cinq dès le départ. Je me suis ainsi concentré sur deux régions sur lesquelles j’ai gagné les guerres, posé mes châteaux et repris quelques points mais pas suffisamment pour revenir sur les autres. De son côté, mon frère n’a pas su se positionner correctement et, malheureusement, est resté en retrait dès la première phase de guerre.

Deuxième phase de thé, on est très restreint niveau choix de jetons. Par contre je me suis gavé sur les habitants. Ce n’est pas ce qui intéresse forcément les autres joueurs, du coup, j’en profite pour augmenter ma présence dans certaines régions (je vise notamment les 10/12 points de victoire que m’offrent deux régions en cas de victoire à la troisième phase de guerre) et augmenter ma présence dans deux autres régions pour, comme au premier tour, venir installer des châteaux.
Niveau compétence, je ne suis qu’assez peu intéressé par celles proposées par Alice là où les joueurs pour le Chapelier Fou, Jabberwocky et la Reine de Coeur débloquent leurs capacités. Une seule m’intéresse, celle permettant d’obtenir un habitant par fin de phase de thé que je débloque au cours de la seconde phase de thé.
Deuxième phase de guerre, je pose encore des châteaux, trois cette fois-ci, et surtout, je commence à prendre la tête sur la piste de score même si, globalement, on se talonne tous à quelques points près. Et c’est ici que ça devient tendu, parce qu’on veut marquer la différence au score alors on est près à pousser au maximum pour obtenir le plus de points. Je veux prendre des points absolument et je suis dans une région intéressante, 8 points à la clé. Mes adversaires ont abandonné le combat. J’ai le champ libre mais je ne suis pas en tête. Il me faut trois points pour passer devant, prendre ces 8 points si convoités… Alors je fonce, bêtement, sans même faire attention au fait que je n’ai plus qu’une unité dans la région. Je pioche, je sors un jeton folie, c’est fini. Je perds les quatre points, les huit points et surtout, je pense même pas au fait que je pouvais me sauver en utilisant mon bouclier (chose que personne ne fera jamais, parce qu’on n’y pense jamais à ce fichu bouclier). Mais rien n’est perdu, il nous reste encore une phase. Cela dit, Madame est encore bien devant au score. Mon frère lui, est quasiment 30 pv derrière tout le monde…

Troisième phase de thé, je veux un max d’habitants (j’en ai déjà cinq ou six) et quelques jetons. JE DOIS remplir mon sac. J’ai quasiment rien forgé mais j’ai pas mal de folies et finalement assez peu de jetons. Je prends ce que je peux et je suis assez satisfait. Je récupère encore un habitant avec le pouvoir d’Alice et je sens que je suis prêt pour les derniers affrontements.
On se lance. La tension est palpable parce qu’on ne veut pas se faire avoir sur la dernière ligne droite. Finalement, Madame franchit les 50 pv en première. J’égalise ensuite son score. Reine de Coeur est dix points derrière et mon frère…n’a pas bougé. La partie est terminée et il faut faire les comptes.
Madame monte à 70 pv. Là, on n’est pas serein, on doute tous parvenir à ce score. Finalement, Reine de Coeur, avec ces châteaux monte aussi à 70 pv. Mon frère, lui, parvient tout juste au 19 ou 20 pv. Enfin, arrive mon tour. Je pense me placer troisième quand… 71 pv ! Je prends la tête et la victoire pour un seul point.

Une partie très plaisante. Je l’ai d’ailleurs plus appréciée que la première. Je commence à en comprendre un petit peu le fonctionnement. Malgré tout, je sens que les scores peuvent fortement variée d’une partie à une autre. On est tout de même soumis à un certain nombre de choix qui peuvent influer sur le déroulement de la partie. Bref, on est clairement sur une pépite qui va durer dans la ludothèque, je l’espère !

En tout cas, prochaine partie, il faut absolument que je me concentre aussi sur la forge et sur les compétences d’Alice pour tester un peu plus en profondeur.

Love Letter

Après une partie d’environ deux heures, et une petite pause-goûter, on enchaine sur un jeu léger mais que j’attendais de tester sur table avec impatience. Je suis tombé amoureux de Love Letter dès ma première partie sur BGA. J’ai le jeu très intelligent, bien conçu et passionnant. La partie déduction du jeu est folle. On est constamment en train d’essayer de trouver toutes les implications liées à tel ou tel choix fait par un joueur, à essayer de comprendre pourquoi cette carte est jouée, se demander si, étant donné les cartes déjà sur table, ce joueur n’aurait pas cette carte-ci, etc. L’aspect Take That donne aussi lieu à de bonnes tranches de rire quand on joue avec des bons copains. Et bien sûr, on a aussi une petite dose de chance qui permet d’ajouter un peu de fun à l’ensemble. J’ai vu, au cours des trois parties que nous avons pu faire, des coups de génie, notamment une majestueuse partie au cours de laquelle mon ami est parvenu à garder la princesse du début à la fin, sans sourciller. Parce que oui, il faut savoir rester de marbre et sortir sa meilleure poker face dans certaines situtations.
Mon frère a aussi beaucoup apprécié. Madame, elle, ne semble pas avoir été séduite. Je pense que c’est un jeu qui implique trop de réflexion, je dirai, sans fondement, à ces yeux.

Quickshot

Histoire de rester dans le thème, on a glissé vers Quickshot de Seiji Kanai (Love Letter) ! Sauf erreur, il s’agit d’une réimplémentation d’un autre jeu de Seiji Kanai, une sorte de print’n’play vendu moins de deux euros, Race Master. Le thème n’est pas le même mais surtout, il n’a pas vraiment d’importance.
En début de partie, on reçoit tous cinq cartes qui possèdent des pouvoirs. Un joueur est tiré au sort pour être premier joueur et il pioche une carte supplémentaire. Il choisit ensuite une carte qu’il joue face visible. Les autres joueurs choisissent une carte qu’il place devant eux face cachée. On révèle les cartes. Ceux ayant les mêmes cartes retournent leur carte. On applique ensuite les effets de cartes et celui ayant le plus grand numéro gagne la carte leader et on passe à la seconde manche. On fait cela pendant quatre manches au total. Le gagnant sera soit le dernier en lice (les autres ayant été éliminés par des effets de cartes ou une pénurie de carte en main) ou celui ayant la carte leader à la fin de la dernière manche.
C’est très fun et archi rapide. Les parties s’enchainent super bien et on a bien aimé (sauf Madame, toujours pas son style de jeu !).

Après avoir partagé un repas imprévu (des pizzas, c’est toujours bien, alors on ne se plaint pas même si ça va peser sur le budget :rofl:), on a continué de jouer. On devait partir sur Middle Ages mais, 2019 qui avait décidé semble-t-il de veiller un petit peu quand 2017 avait flanché devant le concert de la Star Academy, est venue me voir pour me demander si on pouvait faire un jeu avec elle. Alors on a sorti Bandido !

Bandido

C’est un jeu que l’on aime bien à la maison. Jusqu’à présent, nous n’avions joué qu’avec Madame, 2017 et 2019. C’est chouette mais ça manquait de profondeur. Forcément, les enfants manquent un petit peu de réflexion parfois alors ça peut sembler plat (mais pas déplaisant, le plaisir étant avant tout de jouer en famille et on voit l’amélioration partie après partie).
Là, pour le coup, il y avait davantage de coopération et de réflexion. On s’est tous bien creusé les méninges pour bloquer le vilain bandit. Sans succès. Une fois la fin de la partie arrivée, pioche épuisée et bandit échappé, nous avons compris que le jeu est un chouia plus profond que ce que l’on pourrait croire. La stratégie de mettre des lampes de partout ne suffit pas car il n’y en aura jamais assez si on s’en restreint à cela. Il faut briller d’inventivité pour mettre en place des chemins qui peuvent ensuite faire des formes que l’on peut réduire, bloquer, rejoindre entre elles pour limiter l’usage des lampes. C’est définitivement un jeu de placement plus technique qu’il n’y parait.

Retour aux jeux “pour grands” avec une 2019 satisfaite d’avoir partager ce moment avec nous :slight_smile:

Middle Ages

Découverte de Middle Ages pour les deux joueurs nous accompagnant. Très bonne partie qui confirme tout ce que j’ai lu ici et l’avis que je me suis fait via mes parties BGA. C’est très plaisant, ça demande de la stratégie, de la réflexion et surtout une excellente planification grâce au draft ouvert à la Kingdomino.
On s’est en tout cas tous pris une belle claque par Madame qui a finit avec quasiment 150 pv !

Bon, il devait être environ 23h mais je voulais absolument leur faire tester un dernier jeu.

Age of Civilization

Pas le meilleur choix quand la fatigue est là. Mais cela a permis à Madame de gagner sa première partie sur le jeu grâce à des choix plutôt intelligents !
Pour les autres joueurs, pas forcément séduits je dirai. On en a vaguement parlé mais je n’ai pas retenu ce qui a été dit… Le jeu a une mécanique basée énormément sur les combos et donc forcément, après une seule partie, difficile d’avoir une vision claire du jeu et des possibilités qu’il offre.

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Très grosse session ce weekend chez les Goodies :grin:

On a commencé par ressortir un ancien… Underwater Cities (NDG4) :smiling_face_with_three_hearts:

ça faisait très, trop?, longtemps qu’on y avait pas joué et il a fallu pas mal tours pour se remettre dans le bain. :roll_eyes:
La partie a durée 1h30 et c’est vrai que les décomptes en cours de partie sont assez pénibles…
Dans mes souvenirs ça l’était moins. :thinking:
Peut être parce que nous avons passé une longue période ou on y a joué presque tous les weekends et que du coup tout était beaucoup plus automatique? :thinking:
Bref le jeu est très bon c’est un fait, mais il souffre trop de la comparaison avec le GOAT :smiling_face_with_three_hearts: et Ark Nova :smiling_face_with_three_hearts: dans la même catégorie…
Ce fut donc une bonne partie mais l’envie d’y rejouer ne fut pas là et je pense qu’il va se passer encore pas mal de temps avant d’en refaire une autre :pensive:

On enchaine avec 3 parties du Banger du moment … Harmonies (NDG1) :smiling_face_with_three_hearts:


Rohhh, c’est vraiment toujours un plaisir de faire des parties de ce jeu. :yum:
On a commencé à jouer avec les esprits de la nature ainsi que la variante maison “la rivière coule” :smirk:
3 parties toujours aussi bonnes en une heure… toujours autant addictif et de plus en plus bien parti pour remporter le pigeon d’or 2024. :+1:

En ce Dimanche pluvieux et bien on fini comme tous les weekends par 2 parties des Châteaux de bourgogne (NDG4) :smiling_face_with_three_hearts: :grin:

Deux parties avec des petits scores (entre 150 et 200) ou on a lutté des 2 cotés avec les dés qui n’étaient pas sympa avec nous.
Du coup on a eu pitié l’un de l’autre et on a pas du tout joué chafouin, le jeu se chargeant bien de nous emmerder sans que l’on s’y mette aussi. :grin:
2 Parties pliées rapidement en 1h45 … Ben oui avec plus de 80 parties il faut dire que les tuiles et leur pouvoir on les connait par cœur :grin:

Bon ben il est temps que je me remette un peu à mon autre passion du moment… La goodification à un niveau 5 de Twelve Heroes :sunglasses:

Bonne fin de weekend à tous :slight_smile:

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Session Bounty Hunters à 2 totalement WTF.

Première partie, tout s’aligne, je gagne 48 à 37 avec 5 cibles.

Deuxième partie, humiliation 18 - 53. Alignement de planètes pour l’adversaire cette fois-ci, et pour ma part je pense que j’ai pris absolument toutes les mauvaises décisions qu’il était possible de prendre. Et ça me donne envie de continuer à y jouer :smiling_face_with_three_hearts:

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J’ose espéré que tu n’as pas stocké plus de trois cartes blanches, mon cher @rodenbach !

Je trouve que Bounty Hunters peut se montrer très punitif dans certains cas. Il suffit d’une bonne maitrise doublé d’une bonne pioche pour qu’un joueur roule sur un autre, surtout à deux ! Le jeu n’est pas ressorti depuis quelques jours ici, j’avoue que ça me manque !

GG à toi mais surtout à ton adversaire ^^

Je crois que je vais quand même allez vérifier s’il n’y a pas deux jeux différents qui s’appellent Love Letter:grin:
Car sans aller dire que c’est du 100% hasard chez nous, je pense qu’on peut monter à un bon 80%, la plupart des 20% restant étant assez basique à déduire…
Mais peut être une nouvelle édition ou une extension avec des personnages qui demandent plus de réflexion ?

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Il y a du hasard, effectivement, dans le tirage de la carte de la pioche. Mais le fait d’avoir chaque carte jouée qui est défaussée face visible fait que plus l’on avance et plus la déduction est importante.
Alors oui, il y a du hasard, qui n’empêche pas la déduction d’être folle quand on joue avec les bonnes personnes. Et de la prise de risque !

Alors oui, peut-être que chez vous, le jeu se joue simplement comme un jeu de hasard, chez nous, c’était surtout de la déduction. Parce que la partie déduction se joue aussi dans la façon d’agir des autres joueurs, de comment ils vont se comporter avec telle ou telle carte, à quel moment ils vont défausser telle ou telle carte, et à force, cela se lit sur les parties qui suivent.

Je joue avec la version classique sur BGA, 16 cartes de 1 à 8 pour joueurs max.
Là on a joué avec l’édition de Z-Man comportant deux nouvelles cartes, de 0 à 9.
0 pour l’espionne (qui permet de gagner une manche si aucune autre espionne n’a été jouée ou défaussée par un autre joueur) et 6 pour le Chancelier qui permet de piocher deux cartes, d’en choisir une parmi les trois que l’on possède et de remettre les deux autres, sous le paquet, dans l’ordre que l’on veut.
Il y a deux fois chacune de ces cartes. Le Chancelier est une carte qui change le jeu et pousse à encore plus de réflexion.

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C’est pour moi la version la plus aboutie… :+1:
C’est d’ailleurs cette version que j’ai goodifié à un niveau 5 avec ma version Batman :sunglasses:
:grin:

J’ai une préférence pour la version Filosofia sans les nouveaux pouvoirs. Pour autant, je dois reconnaitre que, si l’Espionne crée de la tension (pas forcément utile) grâce au fait que l’on peut gagner une manche (voire une partie) juste grâce à cela, le Chancelier apporte un plus que je pourrais qualifier de non négligeable.

Mettre des lampes pour boucher les trou est effectivement voué à l’échec. J’ai noté 2 chemins vers la victoire pour Bandido :

  • ne pas vouloir limiter les sorties au début. En début de partie, j’aime bien me débarrasser des cartes “toutes pourries” multi-sorties direct. Cela permet de les sortir du jeu une fois pour toute, en contrôlant un peu le bordel sur la table. Ce faisant, on garde dans sa main des bonnes cartes pour fermer… une sorte de mini-deckbuilding en somme. A un moment où les joueurs sont bien équipés en impasses et autres fermetures, lorsqu’on le “sent” bien, on sonne (silencieusement) la charge et on y va full réduction et fermetures.

  • faire se rejoindre les sorties. En effet, 2 trous qui se rejoignent, c’est 2 lampes d’économisé.

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Par cela, tu entends quoi exactement ? Les jouer en essayant de les connecter au max pour réduire les chemins ?

C’est intelligent. J’apprécie cette vision là du jeu ^^

Merci pour les conseils en tout cas ! Il faudra que l’on teste cela !

Découverte de Marées , un des derniers micro game.
Très étrange que ce petit jeu de collection.
Chaque carte est recto verso : recto (ressources) et verso (objectif).
Lors de.la phase marées basses, on peut récupérer des cartes ressources. Lors de.ma phase marées haute, on retourne toutes les cartes encores présentes et les ressources deviennent des objectifs.
En fonction si on conçoit des objets.pendant la période haute ou basse, on ne gagne pas le même nombre de point.
Une certaine gymnastique cérébrale stimulante et bien sympa

On enchaine avec Antinomy encore un autre micro game
On va avancer dans le passé (gauche) ou dans le futur (droite) a l’aide de nos cartes afin de réaliser des objectifs dans notre main de valeurs, couleurs ou symbole.
Une sorte de tir a la corde bien malin avec possibilité d’affrontement.

Ra hier, Puerto Rico aujourd’hui. Une partie config.3 sur un chef-d’œuvre de l’Ecole allemande qui a lui aussi plus de 20 ans. Ce jeu d’Andreas Seypharth a inspiré bien des auteurs par la suite, au point que la phrase “Tu sais, c’est comme à Puerto Rico” est souvent entendue pour décrire le choix d’une action qui sera jouée par tous les joueurs avec un petit truc en plus pour celui qui l’a déclenche.

La partie s’est terminée par le rush d’une joueuse sur les grands bâtiments ( 3 dans son domaine) grâce à une gestion financière efficace et l’aide de carrières mais avec pour contrepartie peu d’envois de marchandise. Elle marque ainsi 25 points de bâtiment, mais seulement 9 sur les expéditions, et 18 points de bonus grands bâtiments ;
De mon coté, je marque 25 points sur les marchandise envoyées vers l’Europe mais aussi 18 points de bâtiment et 11 points de bonus.
La troisième joueuse marque 30 points de commerce et 17 de bâtiment mais hélas aucun point bonus.
Au final, je l’emporte de peu avec 54 points, 52 pour la seconde, 47 pour la troisième.

Voilà, un retour qui fait du bien, qui me permet de respirer un peu aussi par rapport à la quantité de règles non lues et donc non acquises qui m’attendent encore. On a enchainé avec une partie d’Azul remportée encore par votre serviteur puis deux parties de Faraway. Concernant ce dernier mes résultats sont meilleurs sur table que sur BGA, je sais pas vraiment pourquoi, mais pas au point de gagner quand même : deux fois second.

Voilà, un dimanche après-midi-jeux sympa donc. :slightly_smiling_face:

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C’est ça. On a souvent des cartes “pourries” pleines de sorties. L’idée est de se concentrer dessus en les jouant au max au début, et effectivement, en les connectant au max ensemble.

Oui enfin le jeu pourrait facilement jouer “tout seul” tellement la plupart des coups sont soit évidents, soit au pif dans les possibilités restantes parce que compter quelques cartes visibles ça me paraît pas non plus dingue niveau déduction et si on ne fait pas ces déductions le jeu n’a plus aucun intérêt (déjà qu’il n’en avait pas beaucoup… :grin:, désolé je suis taquin :wink:)

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