Bon ben moi je viens de me rendre compte en regardant la photo du haut qu’elle ne me disait rien du tout cette nénette… pardon nanny. Et voilà j’ai trouvé: ce que j’ai vu c’était les super mammas. Faut pas confondre…
bon, je l'imaginais pas comme ça (comme souvent), mais bon, au moins elle sourit et ça lui donne un certain charme - contrairement à la notre qui fait un peu mère-fouettard
merci en tout cas pour la photo
sinon, le trip mère de famille avec des formes généreuses (contrairement la nanny qui est physiquement plus sèche ... c'est marrant, non ???:shock: ), c'est pas mal non plus ... elle sont toujours livrées par 2, les super-mamas ... ????? (d'ailleurs, elle ont quoi de super ... ????)
faut qu'on arrête, après TT va passer pour un site porno et va se faire surveiller par la DST, la surêté générale, le GIGN, ...
Décidément y sont fort ces Allemands, le concept est il le même à savoir qu’on les envoie chez de petits montres pour une séance intensive de domptage ou alors elles font d’autres trucs les supers mamas ???
Jamais regardé plus de 10 min., mais d’après ce que j’ai pu voir, elle vont chez une mère débordée qui n’arrive pas à se faire obéir et la super mama analyse la situation, les problèmes de communication etc. et lui donne des conseils pour les améliorer. Et elle revient qqs semaines plus tard, si la mère a des problèmes à mettre en pratique toute seule, elle la soutient encore un peu. En Allemagne ce sont en majorité des femmes au foyer, elles sont responsables de l’éducation des enfants pendant que le mari va gagner la croute (une mère qui va bosser est très mal vue ici, même ma génération, ca prendra au moins une décennie pour changer je pense). Il peut s’agir aussi d’une femme qui élève ses enfants seule (enfin en tout cas, tu vois pratiquement pas d’homme dans cette émisison). Donc ces mères sont nuit et jour en permanence avec leurs gosses, sauf qqs heures le matin pour ceux qui vont à l’école.
Yes donc exactement le même concept pour les deux émissions concurrentes
J’avais vu qu’effectivement le travail des femmes avait énormément de retard en Allemagne par rapport à la France. D’après ce que j’avais entendu la législation ne facilite pas autant qu’en France les congés maternité, la reprise après un arret de longue durée etc…
Par contre c’est également mal vu par la génération de jeunes femmes actuelles ??? ou alors on est à la génération du changement.
c’est vrai que la dénatalité en Allemagne est un sujet inquiétant pour le pays.
j’ai entendu et lu tout un tas d’articles sur le sujet.
visiblement, 1 femme sur 3 arrive à l’age de 40 ans sans avoir d’enfants alors que le désir d’enfant est présent. mais bon, elles voulaient pas “casser” leur carrière, pas eu le temps, pas d’aides à la garde, pression sociale sur les mères qui bossent … et puis le temps passe, et pas de gamin …
et moi qui pensait qu’on est nous un pays matcho !!! comme quoi …
je sais pas ce qu’ils ont en Allemagne, parce que en allant à Essen, j’ai rencontré tout un tas de donzelles à qui j’aurai bien proposé de faire … … mais, bon, ha, zut, je m’égare encore …
Tout-à-fait, c’est la raison principale pour laquelle je n’ai pas d’enfants. Et à force d’y réfléchir, dans mon couple, nous nous sommes définitivement fixés sur la question.
Zoid dit: je sais pas ce qu'ils ont en Allemagne, parce que en allant à Essen, j'ai rencontré tout un tas de donzelles à qui j'aurai bien proposé de faire ... ... mais, bon, ha, zut, je m'égare encore ...
Nathalie dit:Et à force d'y réfléchir, dans mon couple, nous nous sommes définitivement fixés sur la question.
Mettons de côté ceux qui ne peuvent pas avoir d'enfants pour des raisons médicales.
Si on se pose la question de base "qui suis-je, d'où viens-je, où vais-je ?" à l'échelle de l'humanité ou de la vie ; on voit que le seul sens à la vie, sa seule cohérence, c'est d'être là.
Donc, objectif premier d'un être vivant = faire que la vie soit = faire des enfants.
Après, on peut compléter cet objectif par d'autres qui facilitent le premier pour soi et pour les autres.
Si chacun de tes actes engage l'humanité entière, si tu peux avoir des enfants, tu dois en avoir car si tu fais le contraire, l'humanité doit suivre ton exemple et sans enfant, elle cessera d'être.
MrGirafe dit: (...) Donc, objectif premier d'un être vivant = faire que la vie soit = faire des enfants. Après, on peut compléter cet objectif par d'autres qui facilitent le premier pour soi et pour les autres. Si chacun de tes actes engage l'humanité entière, si tu peux avoir des enfants, tu dois en avoir car si tu fais le contraire, l'humanité doit suivre ton exemple et sans enfant, elle cessera d'être.
Je ne suis pas contre ton analyse mais elle est emprunt d'une logique scientifique et demographique. C'est la vision d'un homme qui observe le monde. La necessité de vivre et survivre, se déployer.
Mon enfant - Elijah - est né d'une fièvre émotionnelle, une histoire de coeur, de sexe et de joie. Il est né de mes besoins nombrilistes, de l'individu que je suis sans jamais me demander qu'il serait bon que j'apporte ma pierre à l'édifice de l'Humanité.
Il est pour moi primodial qu'une personne ne fasse pas d'enfant si elle n'en désire pas... et inversement. L'Humanité peut sombrer dans le néant si l'Homme n'enfante plus. Mais elle peut aller droit à sa destruction si elle engendre des enfants mal chéris.
Un enfant peut devenir un monstre sans la compassion et la tendresse de ses aïeux. Et ceux qui ne se sentent pas capable d'aimer ne doivent pas construire de famille...
...mieux vaut n'avoir jamais été qu'avoir mal vécu.
Metamorph dit:Il est pour moi primodial qu'une personne ne fasse pas d'enfant si elle n'en désire pas
Désir ? Moi, je place ce genre de choix également sur le terrain de la raison, c'est rééllement un choix. Lorsqu'il est sur le terrain du désir, pas de problème, c'est même tant mieux. Sinon, il doit être mis sur le champs de la raison. Je dis donc qu'en réfléchissant, justement, on veut un enfant.
Metamorph dit:mieux vaut n'avoir jamais été qu'avoir mal vécu.
Beurk !
Moi, je dis plutôt vivant que mort et en toute occasion !
Peut-on dire d’un être qui n’a jamais vécu qu’il est mort? Je suis d’accord avec l’analyse : mieux vaut pas d’enfants que des enfants non désirés. C’est source de malheur.
Metamorph dit:mieux vaut n'avoir jamais été qu'avoir mal vécu.
Beurk ! Moi, je dis plutôt vivant que mort et en toute occasion !
Je vois pas comment j'irais dire ça un enfant battu à coup de chaîne de velo par sa mère, violé par son oncle, affamé et enfermé dans un cellier durant 8 ans. (ce fait "divers", dans notre douce France, certes extrème, me restera à jamais en mémoire). Cet exemple très appuyé pour me mettre à la place du gamin et de me demander si n'aurait pas été plus juste que mes géniteurs m'épargnent cette pseudo-existence.
La plupart du temps, la vie n'est pas aussi injuste et effroyable et faire un enfant est un don et abandon de soi. Donner la vie n'est pas acte purement biologique.
Je dis "Beurk" à ceux qui font un gosse pour agrémenter les pensions de la CAF, "beurk" aux monstres qui n'auront pas une once de tendresse à offrir, "beurk" à ceux qui engrossent par accident et fuient la donzelle sans prendre leur responsabilité...
Oui, il vaut mieux n'avoir jamais été plutôt que de naître dans un lieu où on est pas désiré et aimé.
C'est mon sens de la vie, il n'y en a aucun autre au fond de moi... ce ne sera jamais : "le seul sens à la vie, sa seule cohérence, c'est d'être là."
Metamorph dit:Je vois pas comment j'irais dire ça un enfant battu à coup de chaîne de velo par sa mère, violé par son oncle, affamé et enfermé dans un cellier durant 8 ans.
Oui, c'est dur en effet... Pourtant moi, face à lui, je pourrai lui dire et lui dire qu'il est mieux vivant qu'inexistant ou mort.
J'ai une autre phrase : Tant ké ya la vie on dit toujours ya espoir.
C'est vraiment en toute occasion et de toute évidence, ce n'est absolument pas (aujourd'hui) démago ni consensuel. Mais si on y réfléchit, ca peu devenir consensuel très rapidement.
On peut faire des enfants pour soi, c'est très bien, mais si on ne veut pas pour soi mais qu'on peut en faire, on doit le faire pour l'humanité.
Et le devoir de faire des enfants n'ouvre absolument pas le droit de les maltraiter (j'ai l'impression que pour vous c'est lié, si on ne désire pas d'enfant, alors s'ils arrivent, on les frappe et on les repousse).
MrGirafe dit: Et le devoir de faire des enfants n'ouvre absolument pas le droit de les maltraiter (j'ai l'impression que pour vous c'est lié, si on ne désire pas d'enfant, alors s'ils arrivent, on les frappe et on les repousse).
Le probleme c'est qu'un enfant n'a pas besoin d'être maltraité pour être malheureux. De parents qui n'aiment pas leurs gosses tout en leur founissant un vie matérielle saine, un cadre stable... risque de les rendre malheureux. Ce que je veux dire, c'est que pour l'equilibre psychologique d'un enfant, il ne suffit pas qu'on lui procure une paire d'adulte responsable qui vont le nourrir, le loger, l'éduquer et l'emmener en vacances à la mer et a la montagne.
… mais, bon, ha, zut, je m’égare encore …