La cuisine végétale, recettes

Coucou Molmo,

Bienvenue au club.

Pour le sans gluten, nous on cuisine pas mal de riz, mais il y a aussi des pâtes dans les magasins bio qui sont estampillées sans gluten, par contre les pâtes deviennent un plat de luxe, vu le prix (en moyenne, dans les 12 euros le kilo).

On fait notre pain nous-même et notre achat le plus précieux pour cela a été un moulin électrique à meule de pierre qui nous sert sans faillir, presque quotidiennement depuis près de quinze ans. Faire notre pain évite de payer un pain super cher et pas terrible au goût, mais en plus ces pains qu’on trouve dans le commerce sont souvent très gras, donc si on veut en consommer régulièrement, ça pose des problèmes de santé de ce genre.

Globalement, aujourd’hui quand je veux faire un plat qui sort de nos habitudes, je tape dans un moteur de recherche le nom d’un plat, j’ajoute “vegan” et je vire dans la recette ce qui contient du gluten. D’autant que de plus en plus de blogueuses vegan proposent des recettes estampillées sans gluten, ce qui est très pratique pour un régime sgsc.

Un livre qui peut bien aider, car même si beaucoup de recettes contiennent du blé, il propose des alternatives pas trop tirées par les cheveux (par rapport à celles du genre où tu remplaces la farine de blé par dix-huit farines et colles quelconques, très peu pour moi), c’est Vegan, de Marie Laforêt. Par contre, par opposition, les recettes du connu Sébastien Kardinal sont une vraie plaie à adapter sans gluten, voire mission impossible, à part pour certaines assez rares (oui, j’aime bien les défis).

Et je confirme qu’il est plus compliqué, culinairement mais socialement surtout, de pratiquer le sans gluten que le végétalisme (et encore plus quand il s’agit d’un sans gluten strict, pas juste d’éviter le gluten “apparent”).

Je t’envoie un MP.

Salut Molmo !

Vegan et sans gluten ce n’est pas évident en effet car beaucoup de produits de substitution contiennent du gluten.  Je ne suis pas directement concerné, mais un ami venant souvent à la maison étant intolérant et pas cuisinier pour deux sous, j’essaye souvent de lui faire des versions sans gluten de plats auxquels il ne peut plus goûter désormais.

Pour tous les plats qui nécessitent de la farine, le gros défi c’est que le gluten retenant l’eau avec ses petits bras et donnant donc de l’élasticité aux pâtons, il faut réussir à reproduire cette propriété avec des alternatives.  En mode non végan, il y a évidemment l’ajout d’œufs.  En mode vegan, tu peux essayer l’ajout de farine de chia, de lin ou de tapioca.  Les deux premières sont assez onéreuses et ont un goût prononcé (on aime ou on n’aime pas).  La dernière est plus raisonnable en termes de tarif si tu trouves une épicerie asiatique bien fournie. 

Pour les pâtes fraîches, j’aime bien utiliser un mélange de polenta, farine de riz, farine de pois chiches, farine de tapioca, arrow root.  Mais on ne va pas se mentir, c’est beaucoup moins facile à travailler, les pâtes sans gluten sont bien plus friables.

Pour les pâtes brisées, on tourne souvent autour d’une base de farine de riz et/ou de quinoa (qui donne un goût sympathique) et on étale comme on peut.  Pour les béchamels la farine de riz ou fécule de maïs remplacement la farine de blé.  Les gnocchis supportent très bien la version sans gluten.  Pour la pâte à crêpes, je n’ai jamais réussi à reproduire quelque chose de valable par contre.

Et pour la pâtisserie, ça dépend vraiment de la recette.  Souvent je tourne autour de la farine de riz car c’est le plus économique et le goût le plus neutre.  Mais j’aime bien ajouter de la farine de quinoa, de châtaigne ou de pois chiches en fonction de la recette et du goût recherché.  J’aime bien aussi faire des entremets type crème au chocolat à base de farine de riz et lait de soja, c’est surprenant de facilité.

Pour les céréales en accompagnement d’un plat, il y a évidemment le sarrasin, le quinoa, le millet, l’amarante (si on aime, c’est spécial).  Et évidemment, l’idée de diminuer l’apport en céréales et de privilégier les légumineuses dont on ne fait jamais assez la consommation !

Et d’un point de vue général, les produits industriels contenant très souvent du gluten parfois bien caché (coucou les sirops de glucose), le fait-maison est aussi une bonne réponse.  Enfin c’est ce que j’ai constaté !

Bon, cette réponse est un peu brouillonne, Proute aura sans doute des conseils plus précis car si je ne m’abuse elle est dans le même cas que ton épouse. [Edit: grillé, même :-)]

Edit: Et sinon, pour ceux qui ont eu la « chance » d’être diagnostiqués de la maladie cœliaque, il faut savoir que la sécu peut prendre en charge une partie de vos courses, considérant que le traitement de la maladie passe par un changement d’alimentation vers des alternatives plus onéreuses.

@Lymon Flower : waouw, tu as le courage de cuisiner plein de trucs sans gluten que je. ne fais absolument pas ! laughLes pâtes fraîches ou les gnocchis, notamment. Mais il faut dire que je ne les cuisinais pas non plus “avant”.

Pour le reste, c’est rigolo, on procède assez différemment.

Mais il ne faut pas perdre de vue que la cuisine “sans” est surtout une cuisine pleine d’“avec” qu’on n’aurait jamais goûtés sans cela.

Pour les crêpes, tu peux essayer la version galette bretonne : sarrasin (fraîchement moulu, et sinon, si tu n’es pas habitué, essaye différentes marques de farines, le goût peut être plus ou moins marqué) et eau, avec du nocciolata en garniture, c’est très bon. L’avantage c’est que tu fais une seule pâte pour une soirée galettes bretonnes salées + crêpes au chocolat en dessert.

Ayant recueilli une Ukrainienne à la maison, j’ai récemment découvert un aliment que je n’avais jamais envisagé sous cet angle: le sarrasin.
Il se présente, se cuisine et se consomme comme le quinoa, que je n’apprécie pas particulièrement.
Préférer le sarrasin grillé (kasha) qui est absolument savoureux, et trouvable facilement dans nos contrées.

Merci pour vos conseils.
On débute dans le truc, même si on voulait partir sur du vegan à plus ou moins long terme, là, l’occasion fait le larron…

On apprend au fur et à mesure et quelque fois, on se loupe mais ça nous aide à comprendre pour la prochain fois. 

Govin dit :Ayant recueilli une Ukrainienne à la maison, j'ai récemment découvert un aliment que je n'avais jamais envisagé sous cet angle: le sarrasin.
Il se présente, se cuisine et se consomme comme le quinoa, que je n'apprécie pas particulièrement.
Préférer le sarrasin grillé qui est absolument savoureux.

Hmmm, le kasha c'est trop bon en effet !  Et la bonne odeur qui s'en dégage quand on le torréfie, c'est presque aussi bon que le gomasio !

@Proute: Bien noté la version sarrasine des crêpes !  À tester la prochaine fois.

Oui, j’aime bien le kasha, mais je crois que je lui préfère encore le sarrasin non grillé. no

Ici, on a eu plein d’épinards, donc je les ai fait cuire avec des petits oignons et des champignons de Paris émincés, et des petites PST grillées, ce qui a donné une bonne base pour faire ensuite, d’une part un feuilleté aux épinards, et d’autre part une partie de la garniture d’une pizza.

Sinon, comme les poivrons et courgettes sont de retour, c’est à nouveau la saison des tajines (mot qui désigne chez moi toute cuisson à l’étouffée avec un peu d’eau de légumes d’été divers avec du ras-el-hanout).

Il fait chaud… il fait beau… saison des barbecues ?

Il est tout à fait possible de faire des délicieux barbecues vegans ! Nous, on adore, et le secret est dans la/les mardinade(s). Bon, faut avouer que le plus grand secret, c’est que même avec une marinade très simple, c’est super bon.

Déjà, des tranches d’aubergine ou de courgette arrosées d’huile, de sel et d’herbes de Provence sont délicieuses grillées au barbecue.

Ensuite, on peut faire des brochettes. Champignons de Paris arrosés aussi simplement du même mélange : huile d’olive, sel, herbes de Provence, on laisse reposer une bonne heure, on les pique sur les brochettes, et après grillade, c’est une tuerie. La raison d’être d’un barbecue tellement c’est bon.

On fait aussi des brochettes avec poivron, oignon, courgette, tofu, champignon (si on a pas fait de brochettes avec que des champignons parce qu’on a commis l’erreur de ne pas en acheter assez), tous en morceaux juste assez gros pour être bien piqués sur la brochette ; marinade huile d’olive, sel, poivre, paprika ou curry, tamari, coriandre fraîche si on en a, on mélange bien, on laisse reposer pendant au moins une heure ou deux, on pique sur les brochettes, on grille et miam.

Avec des patates un peu pré-cuites en robe des champs et mises sous la braise pour finir la cuisson, des salades de crudités… what else ?

Pour ceux qui mangent du blé, il y a en outre toute une panoplie de saucisses végétales qui existent. Jamais mangé, mais pour en avoir humé l’odeur sur barbecue d’autrui, ça avait l’air appétissant.

Pour ceux qui ne mangent pas de blé, il y a aussi des saucisses végétales, mais pas en France (elles contiennent toutes du blé ou, au mieux, de l’avoine), donc pour les frontaliers, n’hésitez pas à voir ce qui se fait dans les supermarchés du pays de l’autre côté ; si vous avez de la chance, il y aura même de délicieux magnums vegans pour le dessert.
Sinon, faites comme nous et rabattez-vous sur des melons et autres fruits de saison, en entrée de préférence.

Bon appétit.

S’il y en a qui suivent encore, c’est le temps des cerises… et donc, des clafoutis !
Pis bientôt, avant de dire ouf, ce sera le temps des mirabelles… et donc, des clafoutis !
Pis ce sera ensuite le temps de sortir les cerises et les mirabelles du congélateur, et donc, des clafoutis !

Mais un clafoutis sans œufs, sans lait… ???

Pour environ 300 grammes de fruits :

1 grosse cuillère à soupe de purée d’amandes délayée dans 180 ml de lait végétal
50 g de sucre complet
60 g de poudre d’amandes
1 cuiller à soupe bombée de fécule de maïs (maïzena, pour ceux qui n’en connaissent pas d’autre)

Après avoir bien délayé la purée d’amandes dans un peu de lait végétal (classiquement, de soja, mais je prends du lait de riz et ça marche très bien), ajouter otut le reste, bien mélanger (au fouet, ça marche bien), verser dans le moule où attendent bien sagement vos cerises (avec leurs noyaux), et au four pour 30 mn à 180 °C.

Votre plaisir gustatif pourra envahir votre palais alors que vous aurez laissé les poules, les poussins mâles, les vaches et les veaux (et les taureaux, et les coqs) en dehors de tout ça. C’est pas beau, la vie ? wink

Je ne peux que plussoyer violemment ce qui a été dit sur le barbecue !  Les brochettes de légumes marinés c’est tellement bon que même dans un barbecue mixte vegan/omni les omnis se jettent dessus et qu’il faut en faire des quantités astronomiques pour espérer en avoir assez !  Parfois, j’achète des champignons portobello que je mets tels quels sur la grille, c’est tellement bon.

J’adore aussi les tomates à la provençale : des simples demi-tomates posées côté peau dessous, sur lesquelles on dispose chapelure, ail, herbes de provence, huile d’olive, sel, poivre et beaucoup d’amour .  On fait griller (sans les retourner naturellement) et zou, on se régale.

Hmmm et les betteraves en papillote ou alors en chips !!!

Oui, c’est tout à fait ça !
Et si tu apportes des légumes juste pour toi on te fait les gros yeux !

Jamais essayé les betteraves en papillotes, tu fais comment ?

Un peu comme les patates à la braise: tu mets dans du papier alu et zou, direction la braise pour aller tenir compagnie à leurs amies les pommes de terre.  Si on est pressé (ou si on n’a pas assez de braises) on peut aussi couper en gros morceaux pour accélérer la cuisson.  On peut assaisonner la papillote avec ce qu’on a sous la main, mettre de l’ail, etc.

Pour la cuisson, j’avoue que je fais ça au pif mais il faut compter au moins une bonne demi-heure.

Merci monsieur Lymon. 

J’ai eu l’occasion de goûter récemment à certaines lactofermentations et pickles, notamment de courgettes au fenouil, une véritable tuerie ! Je pense que je vais essayer de trouver des recettes et faire les mien(ne)s cet été comme conserves pour l’hiver.

Si jamais vous avez des recettes de ce côté-là, je suis preneuse !

Première lactofermentation de l’année réussie : aubergines + ail pour faire du baba ganoush (cru, du coup).

Alors ça n’a pas le goût du baba ganoush, mais c’est super bon et c’est un nouveau goût pour moi, du genre plus j’en mange plus j’aime. Facile à faire, en prime (alors que le baba ganoush cuit, j’ai toujours trop la flemme d’en faire).

Une recette sympathique aussi, en me basant sur celle du coq au vin en remplaçant le coq par des PST marinées 24 h dans du vin rouge aux herbes et les lardons par du tofu fumé. J’ai beaucoup aimé.

Qu’est-ce que c’est bon le baba ganoush !  J’avoue, j’ai souvent la flemme, j’achète de la purée d’aubergines chez mon libanais.

Jamais tenté la lacto-fermentation à part le kimchi, il faudrait que je m’y mette à n’a pas l’air trop complexe.

Sinon récemment, j’ai profité de l’absence des gnomes pour faire des plats plus épicés.  C’est hyper basique, mais simplement en découpant des courgettes, aubergines, carottes, oignons en petits dés, en ajoutant moult ail et du piment frais émincé et en faisant revenir le tout dans de la sauce tomate avec des lentilles qui vont cuire dans la sauce, sans oublier du garam massala, du gingembre, de la cannelle, de la cardamone, du cumin, de la coriandre, des clous de girofle (et beaucoup d’amour) on obtient un curry fort sympathique et réconfortant en mode plat unique.  J’ajoute parfois des pommes de terre directement dans le bouillon et zou, directement dans l’assiette.

Pour la lacto-fermentation, je pense que le plus difficile est d’évaluer combien de bocaux tu vas manger dans les années qui viennent. laugh

Les aubergines (et le baba ganoush), c’est super facile, j’ai pris les instructions sur le site Ni cru ni cuit et ça marche très très bien.

J’ai aussi fait un essai : un petit bocal, une rondelle de citron au fond, des gousses d’ail dessus, l’eau à 30 g de sel par litre. Mais un mois après, ce n’est toujours pas à point, je pense qu’il faut laisser lactofermenter plusieurs mois pour l’ail, on verra bien.

Et sinon, ton curry a l’air très sympathique, oui. 
Un peu du mal à être gourmande, là, tellement j’ai mangé de chou braisé ce midi, le truc tellement bon tu t’en ressers autant que tu peux !

Le chili… le chili, c’est super bon, mais comment on fait du chili sin carne ?


Le plus simple, pour les flemmards, les pressés, les fatigués : on l’achète en bocal à son magasin préféré, vu que ça existe (et que c’est généralement sans gluten en plus, pour ceux concernés).

Sinon, si on a l’habitude de le cuisiner, on peut…

le faire comme d’habitude, mais sans viande,
- sans rien changer d’autre
- et compenser par plus de haricots rouges si vous avez peur de manquer de protéines
- et compléter avec des haricots noirs en plus des rouges (ou rouges en plus des noirs)
- en utilisant un steak haché végétal
- en utilisant du haché végétal déjà tout prêt
- en utilisant du tofu nature écrasé à la fourchette
- en utilisant du tofu nature écrasé à la fourchette et parfumé en le faisant revenir au début puis en ajoutant votre épice préférée avec
- en utilisant des PST que vous assaisonnez à votre goût

Pour ceux qui ne connaissent pas, les PST ce sont donc les Protéines de Soja Texturées. C’est à dire qu’en gros, c’est du soja conditionné comme des pâtes (oui, blé → pâtes, celles que vous mangez souvent, et soja → PST, celles dont vous apprenez tout ébahis ici même l’existence).
Mais au lieu de les cuire comme des pâtes, on les réhydrate à l’eau bouillante parfumée comme vous voulez, puis on les cuisine.

Par exemple, dans mon dernier chili, j’ai utilisé des PST que j’ai réhydratées dans un mélange de bouillon additionné de tamari (sauce de soja sans froment, pour ceux qui ne connaissent pas, mais si vous mettez votre sauce soja qui est comme au resto vietnamien, c’est tout bon aussi, juste que vous ne partagerez pas votre chili avec vos amis intolérants au gluten, ce serait dommage, quand même) et d’un chouilla de vin rouge, pendant 30 min, puis j’ai mis le tout dans la marmite avec le feu dessous, attendu que le jus s’évapore plus ou moins, ajouté du garam massala (un mélange d’épices, toujours pour ceux qui découvrent), de la sauce worcester vegan (oui la même, mais vegan, c’est écrit dessus) et un peu d’huile d’olive, j’ai mélangé, hop hop, laissé saisir un petit peu et ajouté ensuite mon mélange oignons-poivrons que j’avais fait un peu fondre auparavant et réservé, puis ajouté une bonne cuiller de paprika fumé et puis ensuite le reste, comme quand vous faites votre chili, dans votre ordre à vous, comme vous voulez.

Bon appétit !

Bon, j’ai l’impression d’être un peu seule par ici, mais tant pis, peut-être que certains liront la recette ultra-facile qui suit et auront envie de la faire : une soupe aux pois cassés. Avec ce qu’il y a à la maison.

Donc couper quelques patates et légumes (par exemple poireau, carotte, oignon), les faire revenir dans un peu d’huile d’olive, ajouter une feuille de laurier, un peu de sel, un bol de pois cassés bien rincés, une cuiller à café de curry et couvrir généreusement d’eau + une grosse cuillère à café de bouillon (ou un cube pour ceux qui préfèrent).

Laisser mijoter trois quarts d’heure, et hop, une soupe bien nourrissante et délicieuse.

Si vous avez un peu de pain, n’hésitez pas à faire quelques croûtons à l’ail pour accompagner.

Ma recette d’hier soir : chou-fleur Kung Pao (temps de preparation entre 20 et 30 minutes)


- Préparer une sauce dans un bol :
2 cuillères à soupe (CS) de soja, 1 CS de vinaigre noir ou de vinaigre de riz, 1 CS de sucre, 1 cuillère à café de maizaina, 1/4 de cup eau ou bouillon

- Dans un wok, faire revenir les fleurets de chou-fleur dans de l’huile végétale avec du sel (1 minute en mélangeant bien, de 5 à 10 minutes couverts en mélangeant toutes les 2 minutes). Mettre de côté.

- avec de nouveau de l’huile végétale, faire revenir des morceaux de 3cm de poivrons rouge et/ou vert pendant 1 minute. Ajouter une demi-cuillère a café de poivre du Sichuan moulu et des petits piments séchés (marche aussi avec un piment frais coupé en petit morceau ou des piments concassés) et faire revenir 1 minute. Ajoutez deux gousses d’ail émincés et 3cm de gingembre râpé grossièrement et faire revenir 30 secondes. Remettre le chou-fleur dans le wok et y verser la sauce préparée à l’avance. Une fois bien melangé, y ajouter des noisettes grillés et des oignons nouveaux coupés en fine lamelle.

Servir avec du riz et bon appétit !

 

Merci pour ta recette, ça a l’air carrément bon !

De mon côté, une quiche (on adore ça) avec deux oignons, trois blancs de poireau, une petite carotte (découpée en tout petits mini-dés), du tofu fumé, revenus à la poêle puis posés sur la pâte feuilletée + appareil (fécule de maïs + sel + poivre + curcuma + crème de soja).