Les splotter qui ressortent tels quel pour Indonesia (en fait matos un poil revu mais à la marge) voire à l’identique et en concurrence de la deluxe pour FCM. En financement participatif pour bus.
El grande, ça se vend doucement, pas encore vu soldé pourtant il a pas loin d’un an.
lAdR US, EU. Catane. Dixit. Citadelles. Times up. Codenames. Schotten-totten. Pandémie v1.0, Carcassonne, lgdt, etc, etc, etc.
Mais je ne peux qu’être d’accord sur ton point. Je viens de préciser que des conditions doivent être respectées.
Ça peut être le fait que Russian Railroads ait été peu tiré lors de son édition Filosofia par exemple.
Le BigBoxing est aussi une stratégie « gagnante » de reedition (El Grande 2014).
Le nouveau El Grande se vend doucement mais des boutiquiers m’ont dit que les nouveaux joueurs n’en voulaient pas… d’ailleurs y a plein de boutiques où il n’est même pas (Ex: Ultra Jeux à Paris) et pour les soldes… tout dépend des volumes de tirage et de la vélocité d’achat.
Mais des rééditions toutes simples de jeux de 20 ans, c’est toute un numéro de claquettes que tu dois déployer pour arriver à en faire quelque chose (super prod hollywoodienne : CDB, vente ultra chère d’un jeu en business model « encyclopédies des années 80/90 : City Collection)
il faut bouger cette discussion sur l’ancien thread où on en parle.
Oui mais là tu parles d’un jeu dans le top 50 mondial des jeux de tous les temps, donc normal qu’une réédition se vende bien (comme Grand Austria et Russian Railroads, mais dans une moindre mesure : moins bien classés et donc réédités en moins d’exemplaires).
Mais bon, il serait plus pertinent d’avoir l’avis d’éditeurs sur la question.
Je connais déjà celui de Sorry We Are French (ils peinent à vendre leurs boîtes d’Iki et Zhanguo).
Pour une sortie monde ce n’est pas énorme, pour une sortie monde d’un jeu deluxifié c’est déjà pas mal surtout si t’as tout écoulé.
Sinon pour en revenir au problème de “fonds”, dans les livres c’est simple, les classiques sont réimprimés en poche et rangés au fond de la librairie. Pour le jeu tu ne peux pas avoir de politique de fonds car ça prend trop de place. Si on veut un jour que le fonds soir défendu et disponible, ça ne pourra se faire que par du print on demand (pour les jeux les plus simples à produire). On résoud tous les problèmes de stock et le problème de disponibilité. Et on pourrait rééditer des jeux en plusieurs versions : moche classique ou ré-illustrées.
Non mais vous avez raison, personne n’achète de réédition.
Allez, bonne journée les amis !
($3.000.000, 17k contributeurs -dont des boutiques et des pledges groupés- sur la campagne de reprint en cours, avec la version ravenburger en concurrence qui se vend toujours)
Carcassonne, CdC, AdR : “moches”, se vendent en “grand classiques”, fond culturel du milieu.
En version ultra deluxe prout-prout : les jeux plus récents, à potentiel de hype, qui ne sont pas encore des grands classiques mais ont une aura de “il faut l’avoir dans sa ludo”.
L’écrasante majorité de ce qui sort ou est sorti est destiné aux solderies ou aux tirages très limités (splotter, 18xx) car il n’y a pas la place pour tous les jeux qui pourraient y “mériter” une place dans ces deux marchés.