Le topic qui n'a pas le droit de dépasser la page 5

Ca y est, ça va mieux, prêt pour le sprint final, ren ?




Quand je pense que quand je me reconnecterais demain, ce fabuleux jeu sera terminé :(

Vais-je etre le preums de la pâge 4 ?

Allez, je m'y mets aussi

He non raté! :)
Effectivemment, le concept me plait :
Celui qui est le premier de la page 6 (le perdant donc, bouuuuh le mauvais) doit offrir le cadeau (du chocolat donc) au gagant (le dernier de la page 5). Donc jouer mais c'est à vos risque et périls!! :)

j'y suis !

j'y suis !

Plus celui là a mon avis

melimelo dit:j'y suis !


Bouh le doubel post qui m'a piqué ma place!! :)

ouch ! la fin est proche... :?

il se passe vraiment des choses bizarres dans ce forum... :?

ah ?

Quel genre de trucs ?

ben, ce genre de topic, par exemple...
mais bon, je ne m'étonne plus de rien.

shingouz dit:ben, ce genre de topic, par exemple...
mais bon, je ne m'étonne plus de rien.


Si je te cite, tu crois que................ ??????

[EDIT] Histoire d'essayer de faire perdre la main a M. Phal en page 5, un petit poeme de Totor qui sonne tout drole au regard d'un certain topic ou il question d'impots et de parasites..... :

A ceux qui sont petits
Est-ce ma faute à moi si vous n'êtes pas grands ?
Vous aimez les hiboux, les fouines, les tyrans,
Le mistral, le simoun, l'écueil, la lune rousse ;
Vous êtes Myrmidon que son néant courrouce ;
Hélas ! l'envie en vous creuse son puits sans fond,
Et je vous plains. Le plomb de votre style fond
Et coule sur les noms que dore un peu de gloire,
Et, tout en répandant sa triste lave noire,
Tâche d'être cuisant et ne peut qu'être lourd.
Tortueux, vous rampez après tout ce qui court ;
Votre oeil furieux suit les grands aigles véloces.
Vous reprochez leur taille et leur ombre aux colosses ;
On dit de vous : - Pygmée essaya, mais ne put.-
Qui haïra Chéops si ce n'est Lilliput ?
Le Parthénon vous blesse avec ses fiers pilastres ;
Vous êtes malheureux de la beauté des astres ;
Vous trouvez l'océan trop clair, trop noir, trop bleu ;
Vous détestez le ciel parce qu'il montre Dieu ;
Vous êtes mécontents que tout soit quelque chose ;
Hélas, vous n'êtes rien. Vous souffrez de la rose,
Du cygne, du printemps pas assez pluvieux.
Et ce qui rit vous mord. Vous êtes envieux
De voir voler la mouche et de voir le ver luire.
Dans votre jalousie acharnée à détruire
Vous comprenez quiconque aime, quiconque a foi,
Et même vous avez de la place pour moi !
Un brin d'herbe vous fait grincer s'il vous dépasse ;
Vous avez pour le monde auguste, pour l'espace,
Pour tout ce qu'on voit croître, éclairer, réchauffer,
L'infâme embrassement qui voudrait étouffer.
Vous avez juste autant de pitié que le glaive.
En regardant un champ vous maudissez la sève ;
L'arbre vous plaît à l'heure où la hache le fend ;
Vous avez quelque chose en vous qui vous défend
D'être bons, et la rage est votre rêverie.
Votre âme a froid par où la nôtre est attendrie ;
Vous avez la nausée où nous sentons l'aimant ;
Vous êtes monstrueux tout naturellement.
Vous grondez quand l'oiseau chante sous les grands ormes.
Quand la fleur, près de vous qui vous sentez difformes,
Est belle, vous croyez qu'elle le fait exprès.
Quel souffle vous auriez si l'étoile était près !
Vous croyez qu'en brillant la lumière vous blâme ;
Vous vous imaginez, en voyant une femme,
Que c'est pour vous narguer qu'elle prend un amant,
Et que le mois de mai vous verse méchamment
Son urne de rayons et d'encens sur la tête ;
Il vous semble qu'alors que les bois sont en fête,
Que l'herbe est embaumée et que les prés sont doux,
Heureux, frais, parfumés, charmants, c'est contre vous.
Vous criez : au secours ! quand le soleil se lève.
Vous exécrez sans but, sans choix, sans fin, sans trêve,
Sans effort, par instinct, pour mentir, pour trahir ;
Ce n'est pas un travail pour vous de tout haïr,
Fourmis, vous abhorrez l'immensité sans peine.
C'est votre joie impie, âcre, cynique, obscène.
Et vous souffrez. Car rien, hélas, n'est châtié
Autant que l'avorton, géant d'inimitié !
Si l'oeil pouvait plonger sous la voûte chétive
De votre crâne étroit qu'un instinct vil captive,
On y verrait l'énorme horizon de la nuit ;
Vous êtes ce qui bave, ignore, insulte et nuit ;
La montagne du mal est dans votre âme naine.


Plus le coeur est petit, plus il y tient de haine

Le jeu rend fou .....le feu prend tout ...le pneu rend mou...le mont Ventoux ... le preux s'en fout...le gueux ment sous ...le mieux prend l'choux ...Aaaaaaaaaaahhhhh !!!!!

pouet

Euh ... comment dire ....


Si on s'arrête pile avant la 6eme page, ben il suffit qu'une personne poste un message de plus et c'est fichu, c'est ça ?

je suis sûr qu'un troll va troller...

heu moi???? :shock:







[Edit] avec quelques retour à la ligne ca change la donne non????

ben on considere que le dernier de la page 5 a gagner et que tout les suivant ont perdu

Chère Madame et Cher Monsieur,

Hop, prems sur la page 5 !

Bien à vous de cordialement

Monsieur Phal