Les contrées de l horreur- des retours ?

Merci pour ta vidéo une fois de plus belle présentation.

Il est vrai que le jeu dispose déjà de beaucoup d extension mais j’espère bien que dreamlands ne sera pas la derniere. :grin:

Merci pour la vidéo, qui permet de rappeler que, si effectivement, il n’y a pas de nouveau mécanisme introduit dans Carcosa, le mécanisme (méchant!) de baisse possible de caractéristique peut être une nouveauté pour les personnes n’ayant pas l’extension des Pyramides.

en effet comme d'ailleurs l'extension vestiges occultes avec les token focus et les cartes intro de celle des montagnes hallucinees.

 

 

elle est sortie hyper vite cette extension non ?

Grâce (ou à cause, au choix) à vous, j’ai acquis le jeu ainsi que sa première petite extension qualifiée d’indispensables dans les avis TT.

J’avais l’intention de l’inaugurer bientôt à 5 joueurs. A votre avis, ça durera plus longtemps qu’une partie de BSG ? Sachant que la moitié sera des non joueurs, et que je n’ai moi même pas encore testé du tout.

Merci !

Pour une première partie, je te conseille à 3 ou 4 joueurs max. Sinon, effectivement, ça risque d’être long.
Pour plus tard, quand les joueurs auront bien compris les phases et choix, pourquoi pas à 5. Le jeu prévoit jusqu’à 8 mais j’ai des doutes du fun du jeu à autant.

Pour info, en + de Carcosa la semaine dernière, la réimpression de Légendes Oubliées qui était épuisé sera disponible en fin de semaine.




Et pour les personnes qui l’attendaient, réimpression de la boite de base d’ici mars 2017.
Apparemment, le jeu se vend très bien en France…



Pour la boite de base : corrections des ERREURS à la clef ?

il semblerait que non. réimpression stricto sensu.

Et bien sûr tu as une source ou c’est juste du Edge Bashing gratuit?

Pour quelle raison ce serait la 1ère réédition qui n’intègre pas les erratas connus?

7Tigers dit :Et bien sûr tu as une source ou c'est juste du Edge Bashing gratuit?

Pour quelle raison ce serait la 1ère réédition qui n'intègre pas les erratas connus?

Effectivement !

C'est très important de le savoir.

Pas d’inquiétude à avoir. Réponse officielle de la part de edge:

Évidemment, la réimpression de la boîte de base tient compte des errata repérés jusqu’ici. Nous n’avons jamais réimprimé un jeu sans y apporter les corrections requises, et nous n’allons pas commencer maintenant !

Petit compte rendu “romancé”  du Secret des Pyramides…

Janvier 1925… Partie sur les traces du mystérieux culte du Pharaon Noir, la chercheuse Mandy Thompson décide d’enquêter aux racines du Mal et s’embarque pour la côte éthiopienne avant de s’enfoncer dans le désert égyptien. Là, sa caravane croise la route d’un voyageur errant fiévreux marmonnant des choses au sujet de la Bête. Malgré tous ses efforts, elle ne parvient pas  à comprendre les élucubrations.
Pendant ce temps, Rex Murphy, le journaliste maudit reçoit un télex du professeur Walters qui requiert son aide. Faisant jouer ses contacts, il acquiert un fusil de chasse avant de prendre le train pour San Francisco, malgré les démons intérieurs qui le rongent et qui l’avaient poussé à fuir loin de tout dans le Grand Nord. Enquêtant sur des rumeurs de disparitions sur la côte de Big Sur, le journaliste tombe nez à nez avec une horrible créature ichtyoïde surgie des flots pour s’accoupler avec des pêcheurs miséreux d’un petit village côtier à la faveur de rituels déstabilisant le substrat spatio-temporel dans la région. Grâce à son fusil et malgré sa malchance proverbiale, il parvient à tuer le monstre. Son esprit est ensuite aspiré par le portail créé lors des cérémonies impies le menant vers un lointain passé. Prisonnier d’un corps monstrueux semi-végétal, errant dans les jungles de l’Ere Primaire, il contracte une mystérieuse maladie inconnue de la science. Après avoir été recueilli par des créatures en tous points semblables à lui, malgré ses suppliques,  ces  choses, affirmant être des “Yithians”,  horrifiées par le mal qui le ronge, rompent le sortilège et renvoient son esprit au XX ème siècle. A sa grande surprise, Murphy réalise que son propre corps semble avoir contracté la maladie, par quelque étrange phénomène de résonnance, maladie évoluant rapidement en fièvres délirantes, l’affligeant d’hallucinations épouvantables.
 
Courant après la sapience cachée laissée par les initiés d’antan le professeur Walters d’Arkham étudie un grimoire dont il a récemment fait l’acquisition et y apprend un rituel de guérison dans l’espoir d’aider son ami journaliste hospitalisé sur la Côte Ouest. Jamais rassasié, il court les antiquaires et les boutiques de curiosités de la région, de Boston à Salem en passant par la brumeuse Kingsport. Il déniche un antique médaillon chez un antiquaire.  Le coeur battant, il reconnait le mystérieux Signe des Anciens, dont il avait croisé mention en étudiant le redoutable Necronomicon à la Bibliothèque Orne de l’Université Miskatonic. Se voyant proposer par l’antiquaire des documents plus occultes, le professeur attitre l’attention de la Loge Hermétique du crépuscule d’Argent qui envoie des esprits maléfiques le harceler afin de le faire renoncer à ses recherches.  
Arpentant les cercles occultes afin de trouver un medium susceptible de l’aider à conjurer les spectres qui le hantent désormais chaque nuit, il est accosté par un mystérieux individu vêtu de noir, portant une étrange montre à gousset d’où s’échappe un tic tac inquiétant, comme semblant égrener quelque funeste compte à rebours. L’homme lui propose les clés d’un savoir inimaginable mais dangereux qui aurait un prix, tout en lui demandant pour apaiser ses doutes si selon lui l’humanité mérite réellement d’être sauvée. Le professeur sent qu’il serait dangereux d’accepter les propositions d’aide de cet étranger aux allures faustiennes et s’enfuit à toutes jambes.
 
De son côté, à l’occasion d’une expédition en Egypte où il  découvre des reliques appartenant à une religion inconnue, Monterey Jack paye rubis sur l’ongle et s’endette pour s’assurer les services d’un occultiste, ancien membre renégat de la Loge de l’Ordre Hermétique du Crépuscule d’Argent. L’ésotériste prétend avoir des révélations sur les trouvailles de l’américain.Il sous-entend qu’elles viendraient d’un culte maléfique chassé d’Egypte au début de la IVème Dynastie, le Culte du Pharaon Noir. Intéressé, Jack poursuit son enquête en se rendant au Caire. S’enfonçant dans le souk de la vieille ville, il est mis en contact avec un brocanteur trafiquant de reliques, Faraz Najir , qui lui propose d’assister à une véritable démonstration de l’authentique magie égyptienne recelée par antique bijou en forme de scarabée. En fait de charlatanisme, Jack met véritablement la main sur un artéfact aux pouvoirs occultes impressionnant: ce dernier confère à son possesseur le pouvoir d’enchanter ses armes affinée combattre les suppôts du mal. Discutant avec des explorateurs britanniques dans un des clubs de gentlemen de l’Ezbekiyah,  afin de se tenir au courant des diverses expéditions ayant lieu aux quatre coins du monde, il apprend en outre la disparition de plusieurs d’alpinistes lors de mystérieuses tempêtes dans l’Himalaya.  Des sherpas survivants auraient parlé d’un monstrueux homme des neiges cornu qui aurait déchainé le vent et déchiqueté les malheureux européens. Voilà qui ne laisse pas d’intriguer notre explorateur se promettant d’aller furteter du côté du Tibet dès qu’il en aura l’occasion. Quelques jours plus tard, des rumeurs plus pressantes, lui parviennent faisant état de disparitions dans le désert
 
Travaillant sur des chantiers sur la côte Pacifique, Rex finit par se remettre, avec l’aide d’une psychothérapeute séduite par son côté écrivain maudit et ses visions délirantes s’estompent, à mesure que son corps se raffermit.  Reprenant son enquête, il épluche les dossiers de la police à la recherche d’indices sur une secte connue sous le nom d’Eglise de la Sagesse Etoilée. Il découvre que celle-ci aurait financé des fouilles en Egypte, dans le désert saharien, et s’empresse de faire parvenir un télégramme à Monterey Jack afin qu’il puisse enquêter sur place.

Lors d’un entretien avec Nigel Wassif, le rédacteur en chef du Bulletin du Caire ayant couvert ces fouilles, Monterey Jack déjoue une tentative de meurtre ciblant le journaliste. Le suave anglo-égyptien lui révèle être un agent des services secrets britanniques au Caire. Les assassins portent sur eux des tatouages et des poignards rituels prouvant, comme le sous-entendait Wassif, que la Confrérie de la Bête a survécu jusqu’à notre époque. Tout porte à croire que les fanatiques souhaitaient mettre la main sur un étrange vase canope décorant le bureau du journaliste, qui accepte de le céder à l’explorateur. Sentant que les astres poursuivent leur inéluctable course vers quelque conjonction funeste, il reprend son enquête et apprend bientôt que des chameliers auraient aperçu d’étranges lueurs du côté de la Cité des Morts, à l’extérieur du Caire. De plus, des témoignages de silhouettes contrefaites aperçues entre les antiques mausolées, conjointement à des rumeurs de profanations de sépultures le persuadent que des forces maléfiques sont à l’œuvre.
 
De son côté, Mandy Thompson sillonne l’arrière-pays, de village en village, et apprend des fellahs qu’un archéologue de San Francisco aurait effectué des recherches dans la région. L’homme cherchait des documents permettant de localiser des vestiges d’une antique société secrète nommée Confrérie de la Bête. Il finit par repartir aux USA mais nul n’est en mesure de dire si il trouva ce qu’il cherchait. Se rendant dans un des hameaux dans lequel l’homme aurait séjourné, elle y découvre un paysage de désolation. Nulle âme qui vive dans le village abandonné. Tout semble porter à croire qu’une nuée de criquet se serait abattue sur la zone, bien qu’aucun phénomène de ce genre n’ait été signalé récemment dans la région, d’autant que la saison n’est guère propice à ce genre d’insectes.
 
Un câble,  envoyé à Jack au Caire,ainsi qu’à son ancien maitre de thèse Harvey Walters dans le Massachusetts, décide ce dernier à traverser le pays. Entendant poursuivre les recherches de son étudiante, le vieil universitaire saisit également le prétexte pour s’éloigner d’Arkham et des démons qui le hantent.  Se rendant à San Francisco, avec l’aide de son mystérieux médaillon, Harvey découvre un portail qui le transporte dans des ruines souterraines aux dimensions cyclopéennes. Perdu dans le dédale, le professeur terrorisé finit par tomber sur une sorte de trappe gigantesque enchâssée dans le sol poussiéreux.  Il entend avec horreur  comme le hurlement d’un vent souterrain mugissant derrière la trappe, comme si une chose inconcevable tentait de s’échapper des profondeurs stygiennes. Malgré tous ses efforts pour verrouiller la trappe, Harvey Walters est projeté en arrière alors qu’une abomination à demi-invisible surgit du gouffre de ténèbres, précédée d’une bourrasque indescriptible menaçant de décoller la chair des os du malheureux professeur. La peau lacérée comme par une sableuse, Walters s’enfuit en hurlant dans les ténèbres et finit providentiellement par être renvoyé de l’autre côté du portail. Néanmoins, l’existence même de cette faille dimensionnelle menace San Francisco.
 
Sentant elle aussi  la marche de l’inexorable mécanique des plans ourdis par les adeptes du Pharaon Noir, Miss Thompson redouble d’effort et découvre de vieilles fresques dans le désert. Celles-ci révèlent qu’une partie des adorateurs du Pharaon Noir fuyant les purges entreprises sous le règne du pharaon Sneferu, aurait pu fuir vers “une terre lointaine  par delà le désert et la Mer”…
Pourrait-il s’agir de l’Inde ?  Il faudrait pousser les recherches, peut être à Alexandrie.
Malheureusement, en manipulant de vieilles reliques, elle engendre une faille dimensionnelle  qui l’aspire.
Une fois ses esprits retrouvés, la chercheuse découvre un  paysage étrange, desséché sous le feu d’un énorme soleil rouge. Errant au milieu de vestiges d’un âge immémorial, elle finit par chanceler sous le poids de l’atroce évidence: ces lieux lugubres ne sont pas quelque monde extra-terrestre aux confins de la galaxie mais bel et bien notre Terre, calcinée sous un astre solaire à l’agonie, dans un lointain futur.
Plus tard, errant dans les ruines de notre monde, Mandy observe horrifiée des hordes d’énormes créatures semblables à des scarabées dont les agissements suggèrent néanmoins une intelligence des plus dérangeante. Découvrant des écrits laissés par ces choses, elle note des similitudes avec des glyphes  qu’elle avait étudiés il y a plusieurs années, découverts par des chercheurs d’or dans l’Outback australien, glyphes dont on retrouvait également des retranscriptions dans les sinistres Fragments de G’Harne de Wendy-Smith. Si l’on en croit ce dernier ouvrage, il s’agirait-là du système d’écriture appartenant à la Grande Race de Yith, ayant vécu dans le passé le plus reculé de la Terre, bien avant la venue de l’Homme, une race d’entités capables de se projeter en esprit à travers l’Abîme du  Temps pour posséder les corps d’êtres vivants à diverses époques. Si cela est vrai, ces choses seraient en fait ce qui restera des Yithians aux derniers âges de notre monde. Parvenant à communiquer avec ces choses, elle parvient à les convaincre de la renvoyer à son époque, afin d’enrayer les projets de la Confrérie, projets qui si ils devaient aboutir, changerait à jamais le cours de l’histoire en causant la destruction de notre monde, compromettant par là même le Grand Plan des Yithians et leur survie dans un futur remis en cause. Revenue à notre époque par la faille qui se referme derrière-elle, Mandy finit par être recueillie par des bédouins qui la ramènent à la civilisation. Une fois remise, l’intrépide chercheuse décide de partir vers Alexandrie avec le projet d’embarquer pour l’Inde.

Pendant ce temps, loin des tribulations temporelles de son ancienne élève, le professeur Walters retrouve Rex Murphy qui lui relate ses horribles mésaventures préhistoriques. Frissonnant, Walters réalise que l’étrange cité cyclopéenne  dont il a échappé de justesse ne peut être que des ruines de la Cité de la Grande Race de Yith, cell-elà même que Murphy a visitée, des millions d’années en arrière. Se reposant, l’érudit tente en vain de percer les mystères du portail à l’aide son vieux grimoire.  Muni de toute l’aide que peut lui fournir Rex le Maudit, Walters décide d’aborder le problème sous un autre angle, il écume les asiles à la recherche de gens ayant vécu le même genre d’expériences de métempsychose que le journaliste. Son obstination paye, et, s’entretenant laborieusement avec deux patients prétendant avoir été “possédés” par des Choses Venues du passé, il parvient à rassembler, à partir de leurs souvenirs de l’époque à laquelle ils ont été renvoyé, les bases d’un rituel grâce auquel il parvient à refermer le portail. Pendant ce temps, Rex Murphy engage un détective privé versé dans l’occulte qui l’entraine dans une enquête sur les traces d’un soi-disant artéfact atlante, une sorte de crâne difforme recouvert de symboles ésotériques appartenant à un riche collectionneur de la région. Malheureusement, l’objet semble avoir disparu lors de l’incendie de la demeure. Rex et son allié finissent par remettre la main dessus  et l’étudient. L’objet semble être la clé d’une sorte de rituel de résurrection, mais le journaliste comprend qu’il recèle également un dangereux pouvoir avec lequel il serait imprudent de jouer.
 
Au Caire, après plusieurs nuits à guetter dans la Nécropole, Jack finit par surprendre un des mystérieux pilleurs de tombes.  L’interpellant pour l’interroger, l’archéologue découvre avec horreur que sous la djellaba se cache une parodie d’être humain aux pieds en forme de sabots et au faciès canin, évoquant les ghuls , les mangeurs de morts des légendes arabes.  La bête se rue sur lui et manque de l’éventrer de ses griffes acérées avant de prendre la fuite. Se remettant de sa blessure, Jack reprend la traque de l’immonde créature et parvient à la débusquer après quelques jours, dans les profondeurs d’un mastaba où elle s’était réfugiée, attirée par les émanations surnaturelles d’une autre faille dimensionnelle.  C’est là qu’il rencontre un mystérieux sage arabe à la voix bourdonnante, qui lui fait de bien sinistres révélations sur le portail.  Revenant le voir le lendemain, quel n’est pas l’effroi de l’aventurier en découvrant la masure désertée et un masque de cire  à l’effigie du vieux sage ainsi que des gants de plastique dans les plis de sa djellaba abandonnée. Ainsi donc sous les traits de ce vieux sage se dissimulait une créature qui n’avait rien d’humain…
S’agissait-il d’une autre goule ou de quelque chose de plus terrible encore? Pourtant certaines de ses paroles avaient un accent de vérité lorsqu’il affirmait vouloir lui-aussi refermer la faille. Démêlant le bon grain de l’ivraie, Jack parvient à refermer le portail, donnant un peu de répit aux habitants du Caire, inconscients du danger qui grandissaient non loin de la capitale égyptienne.
 
Mis au courant des investigations de Murphy, Harvey Walters ne peut s’empêcher de poursuivre l’enquête sur le mystérieux artéfact atlante. Ses recherches l’amènent bienôt à croiser la route d’un homme au physique inquiétant, grand et maigre, au visage havre au point d’évoquer un crâne. Se présentant comme un occultiste répondant au nom exotique de Surama, il se prétend prêt à enseigner à Harvey des secrets atlantes perdus depuis la nuit des temps. La curiosité du professeur l’emporte cette fois sur la prudence et il accepte en échange de services futurs mais indéterminés, conscient qu’il traite surement avec le diable…
 
De son côté, Rex Murphy s’intéresse au travail d’un écrivain à sensation, un certain Smith, dont les écrits trahissent peut être d’une connaissance réelle de Ce Qui Se Cache Derrière Le Voile Des Apparences…
Pour lui qui sait voir entre les lignes, ce qu’il y lit est effroyable de noirceur, révélant un cosmos d’une froideur et d’une malignité incalculable qui le plonge dans les affres d’un désespoir insondable.
Les nuits du journaliste maudit sont bientôt hantées par des visions  terrifiantes de ruines titanesques aux angles impossibles englouties dans les abysses,  d’un caveau sculpté de pictogrammes blasphématoires dans lequel Murphy pressent qu’un mal absolu sommeille…
Un Mal qui désormais l’appelle, lui et d’autres âmes sensibles disséminées de par le monde…
 
Au cours de son voyage en train vers la côte,  Mandy a vent de rumeurs concernant des phénomènes surnaturels en Afrique Occidentale, dans les colonies françaises, où, selon les griots locaux, des démons de l’air et de l’eau surgiraient pour assaillir les villages isolés. Se promettant d’aller enquêter dès que possible, la chercheuse poursuit néanmoins sa route vers la Méditerranée.  C’est à Alexandrie qu’elle finit par découvrir des ouvrages attestant bel et bien l’existence du culte du Pharaon Noir, détaillant ses origines et son histoire, au sein de collections privées. Elle y apprend de plus les noms de diverses personnes étant venues consulter ces archives au cours des dernières années…
 
L’ennemi, jusque là oblitéré par l’Histoire, est désormais connu et a désormais un nom… Nephren-Ka.
 
Malheureusement, sa satisfaction est de courte durée car elle exhume lors de ses recherches une épouvantable prophétie. La résurrection du Pharaon Noir Nephren-Ka adviendra 20 siècles après la venue du faux prophète et sera annoncée par la venue du héraut de la fin des temps, le Grand Sphinx, la Bête Sans Visage…
Or voici que des rumeurs effroyables arrivent bientôt du Caire où un séisme d’une magnitude effroyable aurait anéanti le site de Gizeh, détruisant semble-t-il les pyramides et le Sphinx…
 
(5 tours achevés, Echelle du Destin toujours 11, un Mystère Résolu, un autre Révélé…à suivre…)
 
 

Salut

Il est tard je n’ai pas le temps de lire mais c’est partie remise. ça a l’air bien. Des talents d’écrivain mon cher stp


Je n’irai certainement pas jusque là…:slight_smile:
En revanche, c’est vrai que ce jeu se prête bien à l’exercice tant il en ressort le sentiment d’avoir vécu une aventure…

Je voudrais relancer un petit débat qui avait était lancé (dans un autre topic je ne sais plus) à propos de Horreur à Arkham VS Contrées de l’horreur.

Des arguments disaient que HàH avait largement un avantage avec ses extensions (CH venait de sortir) entres autres.Et certains voient CH comme une version améliorée et plus légère.

Les avis se résumaient en:

HàH: Plus avancé, plus d’extensions, se passe dans les villes iconiques, donc plus immersif. Demande un investissement conséquent par contre.

CH: Plus digeste/léger, plus “narratif” (on ne fait pas  que sortir des monstres) mais le fait que ça se passe dans le monde entier fait que le jeu perdrait un peu de charme même si des nouvelles de l’univers se passent dans le monde aussi.

Avec l’arrivée des extensions depuis quelques temps pour CH, de nouveaux arguments pourraient faire pencher la balance sur un choix entre ces deux jeux ?

Ne jouant qu’à Horreur à Arkham, je peux dire que c’est effectivement un jeu très exigeant de par ses règles touffues et bourrées d’exceptions de règles.

Mais c’est comique à jouer, il faut le dire.

Je ne possède pas (encore) les Contrées de l’Horreur ou “les Congés de l’Horreur” qu’avait fourlaché un TTcien. yes

J’attends la nouvelle version l’année prochaine enfin corrigée…

Les topics comparatifs Horreur à Arkham vs Contrées de l’Horreur.
En février 2015.
En août 2014.

Disons qu’on peut maintenant négliger les arguments portant sur le nombre d’extensions et le suivi du jeu, parce que les Contrées s’est largement développé de ce côté-là, et continue à l’être.
Les autres arguments restent recevables. Pour celui de l’immersion, c’est vraiment subjectif. Je comprends ceux qui préfèrent jouer à l’échelle d’une ville, se plonger dans ses rues, faire connaissance avec ses habitants etc.
Personnellement, j’ai toujours eu un problème avec le fait qu’un quasi-Dieu comme Cthulhu choisisse de s’attaquer systématiquement à l’insignifiante ville d’Arkham, Nouvelle-Angleterre, et je trouve que la menace mondiale est bien plus tangible justement. Même si, il est vrai, on prend une plus grande distance avec les évènements.
D’un pur point de vue mécanique, je trouve que les Contrées l’emporte haut la main (HàA ayant beaucoup de règles alambiquées).

Chakado dit :Les topics comparatifs Horreur à Arkham vs Contrées de l'Horreur.
En février 2015.
En août 2014.

Disons qu'on peut maintenant négliger les arguments portant sur le nombre d'extensions et le suivi du jeu, parce que les Contrées s'est largement développé de ce côté-là, et continue à l'être.
Les autres arguments restent recevables. Pour celui de l'immersion, c'est vraiment subjectif. Je comprends ceux qui préfèrent jouer à l'échelle d'une ville, se plonger dans ses rues, faire connaissance avec ses habitants etc.
Personnellement, j'ai toujours eu un problème avec le fait qu'un quasi-Dieu comme Cthulhu choisisse de s'attaquer systématiquement à l'insignifiante ville d'Arkham, Nouvelle-Angleterre, et je trouve que la menace mondiale est bien plus tangible justement. Même si, il est vrai, on prend une plus grande distance avec les évènements.
D'un pur point de vue mécanique, je trouve que les Contrées l'emporte haut la main (HàA ayant beaucoup de règles alambiquées).

Toi aussi t'as du mal avec les extraterrestres qui visitent que l'Amérique du Nord ou encore l'Angleterre (Dr Who)  ?

Bon à savoir qu'il y aura une version re imprimée corrigée pour Contrées de l'Horreur. A voir, je trouverais bien quelqu'un dans mon entourage ludique pour essayer Horreur à Arkham déjà 

Sub-Zero dit :

J'attends la nouvelle version l'année prochaine enfin corrigée...

Quelles modifications ?
Sortie prévue pour quand ?

Merci...