On enchaine sur Skyrise, la refonte de Metropolys.
On a joué sur l’édition essentielle et je la trouve superbe telle quelle. Le plateau en fin de partie a de la gueule. Mais bon on s’en fout.
Je n’ai jamais joué à Metropolys donc je n’ai aucun point de comparaison, sauf d’avoir entendu que le scoring a été mis au goût de jour avec un côté salade de points plus prononcé (apparemment). Alors oui, l’enchère telle qu’elle est présentée a toujours un petit côté old school. La premiere moitié de la partie nous a tous paru intéressante à défaut d’être enthousiasmante, voire répétitive.
Par contre, une fois la deuxième manche lancée les décisions s’intensifient, les enjeux se révèlent et les mauvais choix piquent.
C’est marrant parce qu’on nous avons eu tous les 3 les mêmes impressions, pour finir sur l’envie d’y rejouer. 4/5
Je ne dirais pas que c’est plat. Dans une première partie, les enjeux se révèlent en deuxième manche et qu’on aurait joué bien différemment si on avait pu la rejouer puisque tout ce qui nous paraissait anodin prenait soudainement une autre dimension.
Il faudrait que je lise les règles de Metropolys pour en faire la comparaison.
La moitié des bâtiments n’est disponible qu’en première manche, dont la fin sera déclenchée par la pose du dernier bâtîment de la réserve d’un joueur. Un premier scoring intervient sur les objectifs communs et sur les majorités dans chaque quartier. De nouveaux bâtiments sont mis en jeu et le jeu continue avec une petite asymètrie puisque certains joueurs vont avoir plus de bâtiments en main lors de la seconde manche. Chaque joueur pourra aussi choisir une Merveille qui gagne des enchères automatiquement avec un scoring supplémentaire.
En fin de partie, on scorera les jetons collectés, notre scoring perso par quartier, le scoring des majorités, le scoring commun. Ce qui fait quand même assez salade de points mais qui, je trouve, ne dénature pas la mécanique principale du jeu.