Jokari dit:Un geek, c'est pas quelqu'un qui considère que jouer est une activité bien trop sérieuse pour la laisser aux gens qui ont juste envie de s'amuser ?
J'ai bon ?
Quoi?!?
On est supposé s'amuser en jouant? On m'aurait menti?
Quoi?!?
On est supposé s'amuser en jouant? On m'aurait menti?
Dncan dit: Je connais des geeks qui s'intéressent au jeu, certes, mais aussi à la musique (concerts), au cinéma, à la littérature (principalement SF mais pas que), à... la cuisine, et... qui font du sport : du roller et du jonglage. Et ils ne bossent pas tous dans l'informatique.
Ca c'est de la monomanie, c'est sûr
Merde on a les même potes !
Mat dit:Dncan dit: Je connais des geeks qui s'intéressent au jeu, certes, mais aussi à la musique (concerts), au cinéma, à la littérature (principalement SF mais pas que), à... la cuisine, et... qui font du sport : du roller et du jonglage. Et ils ne bossent pas tous dans l'informatique.
Ca c'est de la monomanie, c'est sûr
Merde on a les même potes !
Merde, ils m'ont retrouvé les cuistres !
Mais je ne cuisine pas, je fais à manger, et j'évite le sport, ça fatigue...
Rody dit:batte man dit:Rody dit:le poney dit:maintenant le terme geek a perdu de sa connotation négative pour remplacer "fan".
Pour moi, ça a toujours une connotation un peu négative : la monomanie.
comme otaku.
Pas tout à fait : l'otaku vit sa passion seul et chez lui.
je parlais de l aspect negatif du terme.
vu mon pseudo, je me devais de sortir de ma rtanière 
. à mon sens qq exemples de pure GEEK (bill gates included) :
et la cravate indispensable à tout bon GEEK qui se respecte :
GEEKMAN dit:...
Rien ne vaut un avatar avec Ghaog II.
Bon, vu que la commande groupée de cravates semblent être tombée à l’eau, je me suis débrouillé autrement. 
Monsieur Bilbo dit:Bon, vu que la commande groupée de cravates semblent être tombée à l'eau, je me suis débrouillé autrement.
T'as trouvé un noeud pap'
WOOD-for-CLAY ?
Pour moi, un type qui préfère se dire “joueur confirmé” alors qu’il passe une partie non-négligeable de son temps libre à faire des jeux de plateau et qu’il y excelle est forcément un peu geek, mais ne veut pas se l’avouer, à cause de la connotation péjorative du terme. Or c’est bien là l’erreur : être un geek, c’est avant tout se sentir affilié à une sous-culture, mais on peut très bien être un geek et avoir une famille, des amis non-geek, une vie sociale, et d’autres centres d’intêrets. On a souvent tendance à confondre “geeks” et “nerds”, ces derniers étant des asociaux au QI élevé fans de Star Trek (pour caricaturer).
shaudron dit:Pour moi, un type qui préfère se dire "joueur confirmé" alors qu'il passe une partie non-négligeable de son temps libre à faire des jeux de plateau et qu'il y excelle est forcément un peu geek, mais ne veut pas se l'avouer, à cause de la connotation péjorative du terme. Or c'est bien là l'erreur : être un geek, c'est avant tout se sentir affilié à une sous-culture, mais on peut très bien être un geek et avoir une famille, des amis non-geek, une vie sociale, et d'autres centres d'intêrets. On a souvent tendance à confondre "geeks" et "nerds", ces derniers étant des asociaux au QI élevé fans de Star Trek (pour caricaturer).
C'est ça ! Passionné par une sous-culture.
A voir : l’excellent docu sur les geeks, présenté par Yannick Dahan et qui a été diffusé sur C+ l’année dernière.
lien direct de téléchargement (il était en lien direct sur le site de C+ à l’époque il me semble bien) :
http://www.megaupload.com/?d=858H0B15
BananeDC dit:A voir : l'excellent docu sur les geeks, présenté par Yannick Dahan et qui a été diffusé sur C+ l'année dernière.
lien direct de téléchargement (il était en lien direct sur le site de C+ à l'époque il me semble bien) :
http://www.megaupload.com/?d=858H0B15
Merci beaucoup pour le lien BananeDC, je ne connaissais pas, mais il est vraiment très bien fait
. C'est évident qu'un documentaire tel que celui-ci ne passera jamais sur TF1, ni dans de nombreux médium considérés comme sérieux... (Télérama peut être...) . J'ai beaucoup aimé les remarques sur le formatage induit par le journal de 20H 
.A bientôt,
Thierry
D’un autre coté, Geek, ce n’est pas très nouveaux comme terme, ça devient à la mode de c’est mieux de s’en proclamer, mais ça fait quelques années qu’il y a de beaux spécimens.
D’ailleurs, comme toujours, on retrouve différents types de geeks.
Parmi les plus anciens, et comme ailleurs, on retrouve les adeptes du “c’était mieux avant”, ou plus communément dénommé nostalgeeks.
Mais si, vous en connaissez forcément, ges anciens de la vieille, qui étaient déjà geeks sans le savoir il y a 20 ou 25 ans, ceux qui restent à la pointe de la techno et du in par habitude, mais qui par exemple, n’investissent dans une nouvelle console ou matos dernier cri que pour pouvoir jouer en émulation à leurs vieux titres NES chéris. Et ce, même si la sus-mentionnées NES est également connectée à la télé grand écran dernier cri, mais l’image est moins bonne qu’avant, et faut vivre avec le progrès, quel pied de passer de Mario 2 à Zelda sans se lever du canapé.
On notera que dans le jeu de société, le nostalgeek est plutôt d’obédience ameritrashienne (ça se dit ça ?), il bave devant les nouveautés FFG, mais ne rechigne pas à verser sa petite larme à l’idée de se rappeler le bon vieux temps avec une partie de Dune, Talisman ou Civilisation. Alors, si en plus, un des grands anciens est réédité, c’est l’apothéose. Ce n’est pas qu’il ne soit pas possible d’être nostalgeek eurogamer, mais il faut bien avouer qu’une histoire qui a débuter avec des colons qui ont des problèmes pour relier un point A à un point B, ça fait tout de suite moins réver. Tout au plus, on versera une petite larme de mépris sur le production actuelle du Docteur Knizia, bénissant le bon vieux temps pas si lointain ou être geek, c’était vouer un culte au maitre, et ou un cube jaune valait vraiment ses 2 cubes roses. Tout se perd, on vous dit…
Plus communément répandus, on trouve les lowgeeks, ou ceux qui veulent faire croire qu’ils sont geeks, mais en fait pas trop. Mais après tout,ls n’ont pas tort, à quoi ça sert d’être à la pointe sur tout, vu que tout se démode avant d’être à la pointe, c’est lowgeek en quelque sorte…
Après, il y a toutes les niches possibles, les stratégeeks se trouvent généralement à la nuit tombée autour d’un plateau de wargame, les trageeks sont beaucoup plus dur à dénicher, il s’agit d’une espèce extrème de geek qui en oublie jusqu’à s’alimenter, alors forcément…
A coté de ça, vous avez le joueur confirmé, lui, il joue, et plutôt pas trop mal généralement…
en fait voilà la réponse : le joueur passionné sait jouer et il gagne, le geek se prend branlée après branlée et en redemande … mon Dieu ! J’en suis un !
Fadest dit:D'un autre coté, Geek, ce n'est pas très nouveaux comme terme, ça devient à la mode de c'est mieux de s'en proclamer, mais ça fait quelques années qu'il y a de beaux spécimens...
Très bien vu.
Sont un peu geeks tous ceux qui ont posté sur la question… Mince, j’en suis !
Sinon, pour reprendre un peu R Quivy, un geek se définit par
*une dimension expérientielle (sentiment de puissance, sentiment de vertige, sentiment de plénitude lorsqu’il lit et relit sur ses toilettes les règles de TI3 en vo, sentiment de bien être proche de l’extase avilien lorsqu’il open une box et s’apprête à dépuncher avec méthode, sentiment assumé de passion pour la pratique, pour certains jeux et certains auteurs,à l’inverse et de façon surprenante, haine ou aversion pour certaines productions ou certains auteurs jugés, critiqués et exécutés par leurs soins)
*une dimension idéologique (il croit que jouer c’est sérieux même s’il croit en même temps ne pas faire partie de ceux qui se prennent au sérieux, il croit que ses victoires sont le fait de ses grandes capacités stratégiques et tactiques, de même que ses défaites ne sont que le fruit d’une malchance aux tirages, à un déséquilibre des règles ou à une alliance délibérée des autres joueurs, il croit être à part parce qu’il joue à 1856 sans feuille de calcul ou parce qu’il n’existe aucune trace génétique de joueur dans sa famille)
*une dimension ritualiste (il prend un soin excessif à ses jeux contrairement au reste de ses affaires, il aime s’asseoir à la même place, prendre la même couleur de pions, il effectue un pèlerinage annuel à Essen, il commence et finit sa journée par aller voir les news sur TT et BGG)
*une dimension conséquentielle (il dépense une fortune dans les jeux, il va sur des forums tous les jours, il fait des salons, il lit des magazines, il a un vocabulaire quotidien dérivé du monde du jeu et bien sûr il joue des nuits entières)
Le joueur passionné se retrouve dans de multiples dimensions, mais avec une distance plus palpable à sa pratique (capacité à aller sur du light, vie sociale moins univoque, tee-shirts moins noirs…)
Sicander dit:
*une dimension expérientielle (sentiment de puissance, sentiment de vertige, sentiment de plénitude lorsqu'il lit et relit sur ses toilettes les règles de TI3 en vo)
Combien de mois mes règles de TI3 et Starcraft m'ont servi de lecture aux chiottes ahah. Mais depuis je les ai remises dans la boîte vu que je les connais par coeur ^^
El comandante dit:[/modo] le sujet de départ est par là[/modo]
loic dit:Geek, c'est plus rapide que joueurs confirmés et la différence est minime à mon sens
Le joueur confirmé ne porte pas de T-shirt imprimé "I love Birkenhead".
Ca veut dire quoi Birkenhead ?
David, ignorant. (non pas taper sur la tête)
dadou dit:Ca veut dire quoi Birkenhead ?
David, ignorant. (non pas taper sur la tête)
Un lien avec Brass je pense. Une des villes du jeu (avec une règle chelou je crois sur une certaine liaison virtuelle si je ne me trompe pas).
McQueen dit:dadou dit:Ca veut dire quoi Birkenhead ?
David, ignorant. (non pas taper sur la tête)
Un lien avec Brass je pense. Une des villes du jeu (avec une règle chelou je crois sur une certaine liaison virtuelle si je ne me trompe pas).
Tout à fait, la subtilité de Brass !! Ma cop' veut plus jouer à Brass à cause de Birkenhead et son point de règle lol