[modo] jeux, enfance et violence

Rodenbach dit:Bon c'est quand même un peu dommage que le sujet ait glissé vers la philosophie de comptoir !


Philosophie est un bien grand mot pour des propos de bistrot (je ne parle que des propos hors-sujet).

Hummm… J’aurais tendance à dire que bien souvent le bonheur des enfants est proportionnel au temps que leurs parents veulent bien leur accorder pour des activités ensemble.
De plus ils ont un don pour détecter quand l’adulte n’est pas vraiment dans l’activité, ils désirent également très fort imiter les “grands”. Alors effectivement, jouer à du vrai cubeboa est délirant pour un petit de 5 ans. Il n’en reste pas moins, qu’en s’adaptant un peu (ou beaucoup) il est possible de s’amuser ensemble.

Si de plus le petit voit la fierté dans les yeux de papa ou maman sur un jeu qui n’est “pas de son âge” alors que cela n’arrive pas à “premier verger” alors c’est bien au premier qu’il voudra jouer.

Bref, le jeu pratiqué n’a qu’une importance relative. Il suffit de passer de bon coeur du temps avec ses enfants en leur laissant une chance raisonnable de remporter la victoire (pas systématiquement non plus). On peut bien sur en profiter pour faire passer un concept éducatif, mais c’est déjà du bonus à mes yeux.

Kerquist dit:
Rodenbach dit:Bon c'est quand même un peu dommage que le sujet ait glissé vers la philosophie de comptoir !

Philosophie est un bien grand mot pour des propos de bistrot (je ne parle que des propos hors-sujet).


+1 parfaitement d'accord, si on pouvait arrêter de parler de la pratique du jeu de gestion en milieu scolaire, c'est totalement hors sujet !

C’est le problème des topic comme celui là. Une fois qu’on a cité Heroquest, Warhammer Quest, Descent, Mice and Mystic… Plus grand chose à dire.

Si, je commence en avoir marre d’attendre un successeur digne de ce nom à Heroquest surtout qu’il était loin d’être parfait à l’époque déjà.

Mais je suis impatient de voir arriver Mice and Mystic en vf. :D

Jeremie dit:Hummm... J'aurais tendance à dire que bien souvent le bonheur des enfants est proportionnel au temps que leurs parents veulent bien leur accorder pour des activités ensemble.

Parfaitement d'accord ! Et je préfère nettement quand l'adulte accorde du temps à l'enfant que quand il fait volontairement en sorte que l'enfant lui accorde tu temps.

Jeremie dit:
Bref, le jeu pratiqué n'a qu'une importance relative. Il suffit de passer de bon coeur du temps avec ses enfants en leur laissant une chance raisonnable de remporter la victoire (pas systématiquement non plus). On peut bien sur en profiter pour faire passer un concept éducatif, mais c'est déjà du bonus à mes yeux.


Moi je suis assez d'accord avec le fait que le jeu pratiqué doit quand même préserver l'enfant. Dans les jeux de figurines, l'univers est souvent très manichéen ! Tellement que c'en est souvent caricatural. Je ne pense pas qu'un enfant et le recul nécessaire pour absorber ces univers.
Mais bon, c'est un avis général qui ne prend pas en compte la spécificité de chaque enfant et de chaque structure familiale. Chacun fait ce qu'il veut et seuls les parents peuvent estimer ce qu'il y a de bon ou non pour leurs enfants.

Zombicide est rigolo. De toutes façon, mon fils de 6 ans ne sait pas ce qu’est un Zombie, alors il risque pas d’être traumatisé. Et depuis que le chat est mort il y a deux mois, il a eu un vrai aperçu de la mort. Dans Zombicide, le Zombie soit disant tué retourne dans la boîte pour ressortir au prochain tour. Le chat, lui n’est plus là pour de vrai. Faudra penser à coller un autocollant 13+ sur les chats…

Je rejoins un certains nombre de posts sur le fait qu’il aime surtout que je passe du temps avec lui. Avec Zombicide, on passe 1 ou deux heures dans une activité rien que tous les deux, et il est heureux. Et moi aussi. Alors qu’au verger… Au bout de deux minutes, je l’engueule parce qu’il met 3 pijes à choisir son p…n de fruit. Et en termes de sensations, rien à voir.

Exemple cet après midi : On est mal, la zone est infestée de Zombies. On est en début de partie, et nous ne sommes pas équipés… 4 Zombies sur notre zone, impossible de nous échapper. Pas intérêt de se planter. Notre salut réside dans un bon coup de poele à frire en travers de la face du premier zombie. En gros, c’est un 6 ou la mort. Il lance, fort, le dé tombe par terre. Il se baisse et se relève en hurlant ! Le 6 est sorti. Je le félicite grandement pour sa dexterité, on se tape dans la main. Nous sommes sauvés.
Je n’ai pas le souvenir de ça lorsque j’ai sorti le rouge dans le verger pour prendre la dernière cerise avant que cet affreux corbeaux ne vienne tout manger…
En plus c’est du coopératif : ça apprend le travail en équipe.

Après, c’est plus une question de “maturité ludique”. Je le fais jouer depuis qu’il a deux ans. je rassure tout le monde, on a commencé avec Ballons, où un vilain chat fait exploser des ballons et une gentille maman vient en donner un nouveau, puis le verger. Et je me rends compte qu’une fois intégré les mécanismes du jeu de plateau, il est capable d’aller vers des jeux plus complexes alors qu’un enfant plus âgé s’y cassera les dents.
Au final, à 5 ans, on jouait à Takenoko, Tokaido, River Gragon, Rallyman (quelle horeur, un jeu 14+)(en simplifiant un peu les règles quand même). Et là on essaye Zombicide et X Wing (14+). Alors c’est s^^ur, il ne fait pas la composition de sa flotte, il sait même pas lire. Mais choisir ses manœuvres, ses actions et balancer les dés, c’est tout bon. En plus, en dosant bien les points de flotte, même pas obligé de faire exprès de perdre.

Et si j’avais Hero Quest, il jouerait à Hero Quest.

A plus

Poilux dit:Zombicide est rigolo. De toutes façon, mon fils de 6 ans ne sait pas ce qu'est un Zombie, alors il risque pas d'être traumatisé. Et depuis que le chat est mort il y a deux mois, il a eu un vrai aperçu de la mort. Dans Zombicide, le Zombie soit disant tué retourne dans la boîte pour ressortir au prochain tour. Le chat, lui n'est plus là pour de vrai. Faudra penser à coller un autocollant 13+ sur les chats...


Ok, j'imagine que c'est de la provocation mais c'est quand même d'une débilité sans non ! Le chat c'est la vie et qu'un enfant soit exposé à la réalité de la vie, c'est pas choquant en soi. D'ailleurs, quand le chat meure, on trouve souvent une jolie façon de le présenter à l'enfant. On y met les formes.
Les Zombie et les problèmes de violence n'ont rien à voir avec la mort. C'est juste un imaginaire gratuitement violent qui peut faire sourire les adultes ou les grands enfants qui ont la maturité nécessaire pour voir le caractère grotesque de la chose. Personnellement, je ne suis pas pour parler Zombie avec mes filles mais si un chat meure, si un membre de la famille disparaît... En parler aux enfants ne me semble pas crétin.
Khelz dit:Je plussoie également Niannian et Blodkhag...
Notamment en ce qui concerne les jeux vidéos... Je joue depuis que j'ai 4 ans à tout type de jeux vidéos à une époque ou les moralisateurs de tout poil avaient sans doute mieux à faire que de vouloir pratiquer la censure afin de protéger nos pauvres petits enfants dont la vue de sang virtuel risquerait (les pauvres) de les traumatiser à vie!!!!
Je n'ai jamais tué personne jusque là, j'ai une charmante épouse et je suis heureux, merci pour moi. Je dirais même qu'au contraire les jeux vidéo ont eu (et ont encore) un effet plus que bénéfique sur ma vie. Non ils ne nous rendent pas associaux, non ils ne perturbent pas vos petites têtes blondes, non ils ne rendent pas violent, non non et non.
Une multitude d'études l'ont déjà démontré et encore aujourd'hui ce média se fait pointer du doigt par une minorité de gens mal informés qui voudrait leur faire endosser tous les maux de la société.
Triste humanité parfois.


Cf la conférence sur la télé...

Ce n'est pas parce que tu as tué personne que tu n'es pas plus violent a certaines occasions...
manouch' dit:
Cf la conférence sur la télé...
Ce n'est pas parce que tu as tué personne que tu n'es pas plus violent a certaines occasions...


Merci d'avoir lu à moitié ce que j'ai expliqué et de ne répondre que sur une petite exagération volontaire qui ne servait qu'à illustrer de façon un peu rhétorique le propos général.

Les non-joueurs de jeux vidéo manqueraient-ils parfois de discernement?
Khelz dit:
Merci d'avoir lu à moitié ce que j'ai expliqué et de ne répondre que sur une petite exagération volontaire qui ne servait qu'à illustrer de façon un peu rhétorique le propos général.
Les non-joueurs de jeux vidéo manqueraient-ils parfois de discernement?


Qui te dit que je ne joue pas ?

J'ai beaucoup joué ado, et je pense qu'en effet les jeux vidéos peuvent rendre violent.

Je suis vendeur de jeux vidéo.
Je suis très attentifs aux attentes et aux inquiétudes des parents (la plupart tentent de s’intéresser au sujet pour le bien de leurs enfants).
Il y a différents degrés de violence et le PEGI n’est pas forcement une valeur sùr.
Les “Call of” et autres “Battlefield” sont ce qu’il y a de pire dans le domaine et pourtant c’est ce type de jeux que les enfants veulent quitte à pourrir leurs parents désemparés (j’ai joué à ça chez machin, mes potes l’ont et pas moi …)

Pourtant, je ne pense pas que les jeux vidéo rendent violent.
Pas plus qu’un livre, un jeu de rôle ou un jeu de plateau (ou un JT !!!).
C’est un moment de mélange d’émotions fortes mais parfaitement gérable sur le court terme.
Le soucie, c’est le terrain psy de l’individu, sa fragilité latente.
Le jeu vidéo (comme les autres exemples cités) est juste un élément déclencheur (1 cas sur 1000 peut-être).

Attention à ce que vous entendez et ce qu’on veut vous faire croire.
Je me souviens d’un temps ou, nous, rôlistes étions montré du doigt comme des déviants !

manouch' dit:
Khelz dit:
Merci d'avoir lu à moitié ce que j'ai expliqué et de ne répondre que sur une petite exagération volontaire qui ne servait qu'à illustrer de façon un peu rhétorique le propos général.
Les non-joueurs de jeux vidéo manqueraient-ils parfois de discernement?

Qui te dit que je ne joue pas ?
J'ai beaucoup joué ado, et je pense qu'en effet les jeux vidéos peuvent rendre violent.


Et bien dis moi, heureusement qu'ils n'avaient pas de jeux vidéo pendant les croisades, la révolution française, ou encore en 1940 dis donc!

Et j'ose à peine imaginer ce qu'il se serait passé si les combats de gladiateurs avaient été remplacés par des lan party sous l'empire romain. Mon dieu ça aurait été très moche!!!
Khelz dit:
manouch' dit:
Khelz dit:
Merci d'avoir lu à moitié ce que j'ai expliqué et de ne répondre que sur une petite exagération volontaire qui ne servait qu'à illustrer de façon un peu rhétorique le propos général.
Les non-joueurs de jeux vidéo manqueraient-ils parfois de discernement?

Qui te dit que je ne joue pas ?
J'ai beaucoup joué ado, et je pense qu'en effet les jeux vidéos peuvent rendre violent.

Et bien dis moi, heureusement qu'ils n'avaient pas de jeux vidéo pendant les croisades, la révolution française, ou encore en 1940 dis donc!
Et j'ose à peine imaginer ce qu'il se serait passé si les combats de gladiateurs avaient été remplacés par des lan party sous l'empire romain. Mon dieu ça aurait été très moche!!!


:pouicbravo:

Non pas mieux... la j'avoue... :roll:
petitpique dit:
Le soucie, c'est le terrain psy de l’individu, sa fragilité latente.
Le jeu vidéo (comme les autres exemples cités) est juste un élément déclencheur (1 cas sur 1000 peut-être).
Attention à ce que vous entendez et ce qu'on veut vous faire croire.
Je me souviens d'un temps ou, nous, rôlistes étions montré du doigt comme des déviants !


Le terrain psy... c'est pas génétique...

Oui j'ai connu cette époque pour le jeu de rôle quand j'étais joueur.

Après perso je mate la télé j'accepte de savoir qu'elle est nuisible.
Faut savoir faire avec les jeux vidéos.

Enfin après je m'en fous c'est votre vie... :)
C'est également à ce moment là qu'on a vu le film « Orange mécanique ». Je peux alors dire que la rue a pris une autre dimension, encore plus violente… Ce film montre comment il est possible de massacrer des pauvres gens avec un plaisir sadique, juste pour rire. On pourrait alors imaginer des skins coincer une personne, la tête sur le capot d'une voiture et sauter du haut du toit à pieds joint dessus, chacun son tour, ou encore s'amuser à lyncher de gens tout en rigolant et blaguant… La vision de tel film peut avoir des répercussions très très négatives pour ceux qui sont attirés par cette ultra -violence.

http://www.myspace.com/skinhead.repenti/blog
manouch' dit:Le terrain psy... c'est pas génétique...
Oui j'ai connu cette époque pour le jeu de rôle quand j'étais joueur.
Après perso je mate la télé j'accepte de savoir qu'elle est nuisible.
Faut savoir faire avec les jeux vidéos.
Enfin après je m'en fous c'est votre vie... :)


1- La génétique n'a rien à voir là dedans
2- TU composes avec la TV et les jeux vidéo, les gosses ne sont pas forcement armé de la même façon

J'ai déjà joué avec des enfants (8/9 ans) à DungeonQuest. J'ai été surpris de voir à quel point ils étaient dedans. Ils flippaient comme devant un film ou un jeu vidéo. Probablement la marque d'un bon jeu :wink:
Khelz dit:
Et bien dis moi, heureusement qu'ils n'avaient pas de jeux vidéo pendant les croisades, la révolution française, ou encore en 1940 dis donc!
Et j'ose à peine imaginer ce qu'il se serait passé si les combats de gladiateurs avaient été remplacés par des lan party sous l'empire romain. Mon dieu ça aurait été très moche!!!


Personne n'a jamais dit qu'il n'y avait QUE les jeux vidéo qui favorisaient l'émergence de la violence. Personnellement, je ne pense d'ailleurs pas que les jeux violents rendent les gens violents. Je pense que la violence et la fascination pour l'expression d'une certaine forme de pouvoir par la force est quelque chose de naturelle que l'être humain partage avec l'intégralité du règne animal. Cependant le jeu vidéo et les jeux violents peuvent avoir selon moi un effet pervers. Ils banalisent la violence. La violence qui peut avoir un caractère émotionnellement choquant pour quelqu'un qui en est spectateur dans la vie réelle devient quelque chose de fun à travers le prisme d'un écran ou d'un jeu.

Mon grand père a fait la guerre d'Algérie. Jusqu'à sa mort, il ne s'est jamais totalement remis de ce qu'il a vu et de ce qu'il a été contraint de faire. Il ne s'est jamais trop intéressé aux jeux vidéo ni aux jeux de plateau mais s'il avait vu qu'on avait fait de la guerre un thème de jeu, je crois qu'il aurait craqué nerveusement. Il ne comprenait déjà pas qu'on puisse vendre des armes en plastique à des enfants pour leur permettre de "jouer" aux cowboys et aux indiens. Quel jeu ! Je te tue, tu me tues... Comment peut-on faire un jeu d'une telle activité quand on connait l'horreur d'une guerre ? Mais bon, comme tous les petits garçons jouent à ça, ça devient culturel d'acheter une arme en plastique pour l'anniversaire de son petit garçon. Je crois que cette banalisation de la guerre, de la violence... sont les séquelles laissées par une histoire jalonnée de nombreuses guerres. Dès le plus jeune age, il fallait "former" les enfants et les préparer au fait qu'un jour ils devraient se battre. Dans les tribus isolées d'Afrique ou des jungles équatoriales, les enfants ne jouent pas à la guerre pour tuer les méchants, ils jouent à la chasse pour nourrir leurs proches.
petitpique dit:
Attention à ce que vous entendez et ce qu'on veut vous faire croire.
Je me souviens d'un temps ou, nous, rôlistes étions montré du doigt comme des déviants !


Je m'en souviens aussi ! Mes parents voulaient me faire suivre psychologiquement !

Le rôlistes n'est pas le problème. Le téléspectateur non plus. Le joueur non plus... Le problème c'est le jeu de rôle, la télé, le jeu vidéo, le jeu de plateau, les armes en plastiques... qui tous ensemble banalisent la violence. Chez un sujet normalement constitué, ça n'aura aucune incidence mais il peut arriver que certains soient tentés de passer à l'acte. Et on ne sait jamais à l'avance qui est normalement constitué et qui est potentiellement déviant.
petitpique dit:
Attention à ce que vous entendez et ce qu'on veut vous faire croire.
Je me souviens d'un temps ou, nous, rôlistes étions montré du doigt comme des déviants !


aaah j'ai connu moi aussi cette belle époque de chasse au sorciere, de cabale et d'inquisition obscurantiste ! , j'me suis meme fait tabasser dans mon etablissement ou ensuite etudiant dans un bus à cause de ca. Quel dommage que le fer rouge n'aie plus été à la mode :)

ca m'a permis de m'interesser à la periode historique du 14eme siecle grace a ces gens là, que de bons souvenirs :)

maintenant ils nous ont un peu laché la grappe au profit des adeptes du jeu video (pourtant plus repandu et dont l'industrie brasse plus de thunes que le cinema, donc par essence, normalement innattaquable -car c'est ca le pouvoir du fric) sauf que bcp de rolistes sont aussi des gamers donc indigestion de dejavu de connerie


du coup un argument un peu facile serait de montrer le jeu de sociétz comme une sorte d'acte redempteur qui va sauver/extirper le jeune innocent de ce fleau qu'est le jeu video (lui meme reflet des actu tv, lui meme reflet deformé de la realité mais on va pas digresser sinon on va s'ennerver)

mais du coup si on a le malheur d'etre entouré de voisins/amis membres de famille de france ou d'elite bienpensante, mieux vaut eviter les trucs ameritrash pour le moment...

Avantage du jeu de société: meme en cas de panne de courant ou de net on peut jouer :)

La violence et la guerre n’ont pas été inventées par la civilisation ni même par l’homo sapiens.
Les chimpanzés ne se contentent pas de jouer, ils font aussi la guerre pour de vrai, avec des clans rivaux qui s’agressent pour tuer.
On voit aussi notamment des batailles rangées entre clans de suricates (des petits mammifères d’Afrique australe).

Pas plus que le jeu la guerre n’est le propre de l’homme.

:roll: