Xaal dit: Toi aussi tu trouves qu'il y a un trop grand avantage à conquérir les provinces militairement plutôt qu'avec l'influence? En plus on marque des PV quand on les prend, puis à nouveau à la fin de la partie.
Je n'ai jamais pu faire une partie. Je me base sur les commentaires que j'ai pu lire ici et là et sur les règles. Les majorités dans les jetons aventures qui apportent 5 points, les objectifs qui n'en apportent qu'1 ou 2, les provinces qui n'apportent pas beaucoup plus. Ca me semble un peu bancal. Surtout que les jetons aventure, je ne vois pas comment on peut s'assurer d'en récupérer du type qu'on souhaite à moins d'être tout le temps Conan. Je pense que donner plus de points pour les provinces et pour les objectifs serait une première piste. Il faudrait revoir l'histoire de l'influence du coup.
La definition du Larousse n’est pas très bonne. Chez les cinéphiles le nanar est un film mauvais ou médiocre mais pour lequel ont à tendance à avoir une certaine sympathie par tant de médiocrité ou par la naïveté, sincérité des auteurs avec laquelle il est produit.
A la difference d’un navet, qui est lui un film mauvais pour lequel on a aucune estime, à la difference du nanar.
Exemple : Plan 9 from outer space de Ed Wood est un nanar. Les visiteurs en Amériques est un navet.
J’allais dire exactement la même chose. Des amis nous l’ont fait essayer en disant que c’était hilarant… Je peux pas dire que c’était un mauvais moment mais avec ma femme on s’est quand même regardé à la fin de la partie avec un air de “Ils le vendent ça ?”.
Comme nanar (jeu vraiment pas terrible mais qui fait sourire par sa médiocrité), je me vois obligé de citer le Tiers-Mondopoly que je ne pensais pas retrouver dans les archives de TT.
Bon, même si c’est difficile, je vais faire abstraction de la boîte à pizza dans laquelle repose le jeu. Même Victory Point Game fait de plus jolis trucs. Après, je dois reconnaître qu’une brosse boîte Deluxe aurait sonné un peu hypocrite pour un jeu qui qui veut sensibiliser sur la situation du Tiers-Monde.
Je passerai aussi le matériel de jeu lui-même qui ressemble à un vieux prototype avec des cartes en carton uni de taille inégale et des photos imprimées sur les cases.
Le gros problème avec Tiers-Mondopoly, c’est qu’il remplit mal ses objectifs : au lieu de faire naître l’empathie et la compassion chez le joueur, il le rend encore plus raciste qu’il l’est déjà ! J’ai passé la partie entière à me faire entuber par les habitants du Tiers-Monde !
Exemple : je tire une carte chance qui me dit que l’employé local à qui j’ai généreusement prêté mes outils pour réparer sa maison a disparu dans la nature, mes outils avec. Génial !
Et c’est pareil avec les poules qu’on élève (ah, je vous avais pas dit qu’on élevait des poules ?), on passe son temps à se les faire piquer, elles qui assurent pourtant notre survie !
Et je ne parle même pas de cette fichue case “Prison” qui est, dans ce jeu, la case des Racketteurs (avec une cagoule sur la tête pour faire wesh-wesh) qui volent la moitié de notre blé. Du moins la première et la deuxième fois, parce que lors de notre troisième passage, ils nous tuent. Oui, ils nous tuent ! En gros on peut quitter la partie et laisser les autres jouer. Même Dawn of the Zeds est moins punitif.
Mais ce qui m’a achevé, ça reste le moment où j’ai tiré une autre carte chance annonçant que ma maison avait pris feu. La sanction a été impitoyable : je perdais tout mon argent. Les 2’500 Francs que j’avais durement amassés pendant une heure de jeu partaient en fumée (c’est le cas de le dire). Comment donc espérer gagner après ça ? Heureusement, le texte de la carte chance n’était pas fini : il annonçait que les autres joueurs, ayant eu pitié de ma mésaventure, s’étaient cotisés pour m’aider à refaire surface. Tout n’était pas perdu, tout compte fait ! Eh bien peut-être que si tout compte fait, puisque chaque joueur avait pour ordre de me verser 10 Francs ! Et comme nous n’étions que deux…
…
Voici la retranscription légèrement censurée des pensées qui m’ont traversé à ce moment :
“Sérieux, qu’est-ce que tu veux que je fasse avec ton bip de fric ?!! Saleté de jeu de bip, tu ferais mieux de brûler avec la bip dans le bip et ta mère avec !!!”
Par chance, le jeu a pris fin dans les minutes qui suivirent, avec une affligeante défaite pour moi.
Ce jeu m’a tellement gonflé… Je l’ai trouvé long, ennuyeux, pas joli… J’aurais eu plus de plaisir à jouer à Dominion, c’est pour dire (non, je n’aime pas vraiment Dominon :D).
“Casse toi pôv’con” : un thème qui fait rêver (les élections présidentielles), on mélange plein de cartes, on en choisi certaines un peu au pif parce qu’il faut aller vite et celui qui a le mieux choisi gagne. Enfin c’est en gros ce que j’en ai retenu. (toutes mes excuses à M. Vidberg !)
“Dindons & Dragons” : c’est intéressant de reprendre des concepts connus en essayant de les moderniser. Je pense par exemple aux différents jeux qui ont revu le concept du Yam’s. Mais qui a pu valider l’idée que ce serait sympa de moderniser le bonneteau ?
moi le dernier nanar en date c’est Yokohama … Grosse envie d’y joué, matos bof, effet bof une fois installé, pas interessant, pas fun, long, chiant,… mais qu’est ce qu’on s’est marré du fait des critiques autour de la table. Bref un bon souvenir pour une mauvaise expérience ludique. (bon je l’ai revendu rapidement qd même)
Skinner dit :Et sinon, comme navet, je cite Viking Gone Wild.
Ce jeu m'a tellement gonflé... Je l'ai trouvé long, ennuyeux, pas joli... J'aurais eu plus de plaisir à jouer à Dominion, c'est pour dire (non, je n'aime pas vraiment Dominon :D).
pareil chez nous, VGW à fait ch*** tous ceux qui l'ont testé et après avoir essayer plusieurs fois avec plusieurs public, hop revendu. Pour notre groupe, quand on parle de jeu qui ont totalement déplu, c'est toujours les mêmes qui ressortent : Not Alone car à quoi cela sert il de jouer à un jeu où il faut jouer tout sauf ce qui est logique sinon on se fit attraper. Autant ne pas jouer alors... Et Munchkin car c'est trop brouillon, on joue les cartes et on se pourrit la vie sans vrai contrôle.
J’ai testé The Mind : c’est juste une escroquerie. 100 cartes numérotées de 1 à 100, on en distribue une par “niveau” et par personne (donc : niveau 1 : 1 par personne, niveau 2 : 2 par personne…). Et ensuite, sans communication, sans signe, sans rien, il faut les retourner de la plus petite à la plus grande… On doit deviner par transmission de pensée… Voila c’est tout.
Que des gens le vendent, déjà j’ai du mal, mais alors qu’on l’achète, ça me dépasse complètement…
noisettes dit :@skinner oui mais savoir lire déjà ça aide pour comprendre les jeux.
Tu peux retourner à la définition de la prmeiere page ....
Ah, je sais pas lire ? Mince, va falloir que je consulte le médecin, parce qu'à mon âge, pour un Suisse de classe moyenne, c'est plutôt inquiétant ! Pour ma défense, j'ai suivi la définition proposée par genesteal que je trouvais intéressante et que je cite au passage. Alors oui ça concerne les films, mais il me semble que la corrélation entre ces derniers et les jeux est évidente dans ce sujet.
J'espère que tu pardonneras ma faute.
La definition du Larousse n'est pas très bonne. Chez les cinéphiles le nanar est un film mauvais ou médiocre mais pour lequel ont à tendance à avoir une certaine sympathie par tant de médiocrité ou par la naïveté, sincérité des auteurs avec laquelle il est produit.
A la difference d'un navet, qui est lui un film mauvais pour lequel on a aucune estime, à la difference du nanar.
Exemple : Plan 9 from outer space de Ed Wood est un nanar. Les visiteurs en Amériques est un navet.
?
P.S. The Mind, pas mal non plus…