adel10 dit:alors que ce que dit greuh c'est presque exact
Il appréciera le "presque", putain de chier de sucer des bites.
adel10 dit:en tous cas il a complétement raison sur un point les gens ne regardent pas les actes des partis mais seulement leurs étiquettes
Les gens c'est nous et nous même, nous ne retenons pas de Jospin les 35 heures, la CMU, les privatisations, le taux de croissance excellent, la chute du chomage.. Non, nous ne retenons que l'absence du PS au 2nd tour des présidentielles de 2002 et son ancienne étiquette trostkiste.
Nous ne retenons pas de Mitterrand la première partie du mandat "socialiste" avec ses nationalisations, la semaine de 39 heures, la retraite à 60 ans, l'abolition de la peine de mort, ni le resserrage de vis dès 83, la diminution de l'inflation, le RMI, l'ISF, la délocalisation des administration, la loi Evin, etc.
Nous retenons l'arrivée des communistes au gouvernement, sa fille cachée et son passé sous Vichy.
Bien sûr ! Peut être que "les gens" font cela, je ne sais pas si pour vous c'est la totalité ou la majorité ou une partie des gens.
En tout cas, je peux continuer à comparer les politiques et à voir celles qui me correspondent le plus (ou s'éloignent le moins de mes idéaux).
Si je fais le même inventaire sur les actions des gouvernements de droite, sous la cohabitation de Mitterrand, sous Chirac et sous Sarkozy, qui sont elles aussi intéressantes, je n'aborderai pas les mêmes thèmes ni les mêmes solutions adoptées.
Si quelqu'un se sent de faire le parallèle entre les différents points que j'ai "retenus" ci-dessus et les mesures prises actuellement, qu'il n'hésite pas.
Je peux également vous laisser faire vos commentaires sportifs sur la politique et vous inviter à ne pas voter. Tout cela me convient !
C'est vrai que l'alternance ne joue pas sur un changement radical systématique de toutes nos institutions (communisme, libéralisme, fascisme, anarchisme), mais il me semble que les choix politiques diffèrent (sensiblement) d'un gouvernement à l'autre, même s'ils s'inscrivent actuellement dans un contexte capitaliste et plutôt libéral.
Vous qui participez au tissus associatif, à votre arrivée à la présidence de l'association, changez-vous *tous* les status et tous les modes de fonctionnement de l'association ? Ou améliorez-vous simplement l'existant pour ne pas perturber les fidèles de l'association et les faire évoluer dans une direction avec leur accord (même si c'est en passant par des votes à la simple majorité voire à la majorité relative) ?
Et bien la vie associative est une école de la vie politique, sauf que cette fois-ci, vous avez été élu.
Et si les membres de l'association ne viennent pas à l'AG ou ne participent pas aux votes ni aux décisions de l'AG, c'est l'association qui perd en efficacité et en cohésion. Des groupes se forment, des rivalités naissent etc. etc. Et que dire des mecs qui ne viennent pas aux AG et qui critiquent ensuite toutes les décisions qui ont été prises ?
Pour autant, ces "enquiquineurs" associés ne sont pas exclus et sont acceptés dans l'association pour leur participation orthogonale, ou pour conserver une certaine paix sociale. Puis, à part faire chier le peuple, ils n'influent pas sur les votes puisqu'ils ne participent pas aux votes.
Vous allez me dire, en association, c'est pas pareil, on se connait. Vous êtes donc comme Giscard, pour que le président (ou chaque candidat) s'invite à manger chez les français pour qu'on se connaissent tous et pour que nous passions une bonne soirée entre électeurs et élus...