Quel est le but d'une vie sans enfant ?

J’apporte pas vraiment d’eau au moulin mais en ce qui me concerne je veux avoir et j’aurais des enfants.
Après, savoir si ça m’apporte un truc ou me prive d’un bidule et les grosses réflexions philosophiques, pas pour moi…
Moi, je n’y vois que vie et amour et sais que je serais malheureux si je n’en avais jamais.
Bon, sachant tout ce que ça engendre (merci Mr Phal de l’avoir rappeler) et ayant trouvé (j’espère) la future maman qui est du même avis que moi mais qui repousse encore plus l’échéance, la seule question sur laquelle j’ai envie de me casser la tête est : “Quand ?” (mais y a t’il vraiment un moment plus propice qu’un autre ? enfin, si, quand même…)

Il y a une phrase sur l’amitié que j’adore et qui est totu à fait, à mon avis, applicable à la question posée :

Friendship is like art, philosophy it has no survival value, but it gives value to survival.

En gros je rejoins notre ami philosophe sur un point. Poser une telle question c’est admettre que la vie a un but. Elle a une fin ce qui n’est pas pareil.

Je pensais que la philosophie pouvait m’apporter des réponses claires à des questions compliquées, je vois que ce n’est pas le cas :(

J’aimerais pouvoir dire comme Deckard “efficace, clair, concis” mais je pense tout le contraire :oops:

Aprés lecture, je n’arrive pas à dégager la pensée de Sbeuh.
Si quelqu’un pouvait me résumer sa pensée qui m’a l’air trés interessante…merci :)

Mitsoukos dit:Aprés lecture, je n'arrive pas à dégager la pensée de Sbeuh.
Si quelqu'un pouvait me résumer sa pensée qui m'a l'air trés interessante...merci :)


Et bien Sbeuh parle en philosophe de comptoir, comme il dit, avec quelques mots qu'on ne comprend pas, glissés ici ou là, et j'ai dit la même chose (plus quelques autres petites choses) en m'efforçant de ne pas utiliser de mots non usuels.

Un peu la différence entre le devoir de vulgarisation du politique et le devoir d'intellectualisation du philosophe.
MrGirafe dit:
Mitsoukos dit:Aprés lecture, je n'arrive pas à dégager la pensée de Sbeuh.
Si quelqu'un pouvait me résumer sa pensée qui m'a l'air trés interessante...merci :)

Et bien Sbeuh parle en philosophe de comptoir, comme il dit, avec quelques mots qu'on ne comprend pas, glissés ici ou là, et j'ai dit la même chose (plus quelques autres petites choses) en m'efforçant de ne pas utiliser de mots non usuels.
Un peu la différence entre le devoir de vulgarisation du politique et le devoir d'intellectualisation du philosophe.


absolument pas d'accord : pour toi la survie de l'espèce à toute les échelles de temps est un but conscient, pour sbeuh c'est un but inconscient (un instinct primaire).
jmguiche dit:
Boule de cristal dit:Je suis convaincu qu'une femme ou un homme normalement constitué d'une quarantaine d'année sans enfant ne peut pas avoir le regret de ne pas en avoir.
BdC

Laisse donc les gens normalement constitués d'une quarantaine d'années penser ce qu'ils veulent ! Ils sont assez grands... Je ne pense pas que tu considère que toute personne qui n'est pas de ton avis soit "anormalement constitué".
L'humanité est ainsi faite que les gens font des choix et trouvent leur bonheur de tas de façon diférentes.
Tant que personne n'imposent rien à l'autre, c'est plutot chouette non la diversité ?
Bon... Y'en a bien un qui va me dire que les gens qui n'ont pas d'enfants imposent à leurs enfants de ne pas exister...


Auto censuré.
Je perds mon temps

BdC qui n'a pas le droit d'avoir des convictions.
sbeuh dit:
En ce sens, les enfants donnent-ils un but à la vie d’un homme ?
Je répondrai qu’ils donnent non seulement un but à un autre individu, mais ils offrent aussi l’opportunité à une société de transmettre un certain nombre de gènes (informations), de connaissances et de confort, afin de réaliser leur vie d'homme dans les meilleures conditions possibles. S’assurer enfin que la société dans laquelle vit l’être humain lui permette tout ceci afin de pouvoir élever cet enfant dans les meilleures conditions possibles. Assurer la survie et l’ataraxie des hommes devrait être le credo de toute société. Ensuite, sur comment y parvenir, je laisse le travail aux politiciens.


en d'autres terme, les enfants donnent un but à l'homme: la pérénnisation de l'espèce, physiquement et socialement.
=>individuellement
-soit qu'il souhaite se reproduire,
-soit "Lorsqu’un individu ne peut/veut pas se reproduire, il peut néanmoins encore transmettre des connaissances utiles aux autres afin de permettre la pérennisation de l’espèce. "
=>collectivement
-la société humaine doit s'efforcer de créer autour de l'individu les conditions de sa "reproduction" et de la transmission du savoir nécessaire.

Une des différences avec le discours de Mr Girafe, c'est que lorsqu'on est une femme, en lisant Sbeuh, on ne se transforme pas en poulinière...
Mitsoukos dit:Je pensais que la philosophie pouvait m'apporter des réponses claires à des questions compliquées, je vois que ce n'est pas le cas :(


Selon Coluche, et de mémoire, "un philosophe c'est un mec qui quand il te répond, tu ne comprends plus la question" :lol:

Les coluchophiles donneront la citation exactes. :wink:
MrGirafe dit:
Tu fais l'hypothèse que peut être que ça marchera sans nous, ça te dédouanne de toute responsabilité envers la vie et l'Humanité.
Moi, je n'en sais rien, je constate juste la situation présente telle qu'elle est connue.
Il se peut que tout cela ne soit qu'une farce, mais pour l'instant, je n'en sais rien !
Je ne veux pas que la vie des humains ne serve à rien, car j'ai des espoirs qui me font vivre !
Moi, je me dis que le risque qu'on se trompe est trop grand pour le prendre et que, si ça se trouve, la vie ne peut exister que grâce à l'Humanité (qui en fait partie). Ca me donne des devoirs.

et que si ca se trouve la vie ne peut exister que si l'humanité s'éteint et libère la niche écologique qu'elle occuppe pour permettre à une autre espèce plus adapté à la vie dans l'espace de développé des civilisation à grande échelle.
avec ton raisonnement si une autre espèce intelligente commence de poindre, il faut l'éliminer pour ne pas qu'elle nous élimine, alors qu'en fait elle sera (dans quelques milliards d'année soit bien plus de 1000 fois la durée d'existence actuelle de l'espèce humaine) peut-être plus évoluée.

par contre l'hypothèse que peut-être cela marchera sans nous ne me dédouane pas de tous devoir envers la vie, pour maximiser les chances que ca marche (avec ou sans nous), il faut maximiser la biodiversité, ce qui n'est pas forcément compatible avec une maximisation des chances de survie de l'espèce humaine, (ce qui en passant n'est pas non plus forcément compatible avec une maximisation de la reproduction à notre époque(surconsommation tout ça))

Je ne vois pas bien ce qu’on est censé avoir à faire de la fonction (pour éviter le mot de but) de la vie. La survie de l’espèce, la transmission des gènes et je ne sais quoi d’autres, c’est bon pour expliquer les motivations des animaux mais je doute que cela soit ce qui fait la singularité de nos choix. Cela s’impose à tous (les éthologues sont d’ailleurs friands d’exemple de comportements animals qu’on retrouve chez l’homme), arrétons nous là. C’est comme avoir quatre bras et quatre jambes, c’est une donnée de base, mais qu’allons nous en faire ?

Nous sommes des êtres humains ! Tout l’intérêt de ce sujet est de voir ce que nous avons donné comme but(s) à notre vie, plus ou moins consciemment, avec plus ou moins de réflexion et d’ambition, en intégrant plus ou moins les autres personnes ou la société dans son ensemble.

Pour ma part, je n’ai pas grand chose sous le coude : je vivotte. En attendant qu’un jour, peut-être, je serve à quelque chose, je prends soin de ma femme, de moi et me prépare doucement à la fin car, de toutes façons, on sait ce qui va arriver. Le reste, ce n’est pas vraiment des buts, mais plutôt une manière de vivre en collectivité : respect d’autrui et de la planète, dons, participation à des trucs et des machins (famille, syndicat, association…), échanges d’idées…

brunbrun dit:absolument pas d'accord : pour toi la survie de l'espèce à toute les échelles de temps est un but conscient, pour sbeuh c'est un but inconscient (un instinct primaire).

Ah bon... Je ne pense pas que ni moi ni Sbeuh ne restreigne son analyse à un mouvement inconscient ou conscient.
Je dis justement qu'il y a des instincts et Sbeuh parle clairement de cet instinct, tout cela est donc conscient et inconscient, selon les individus (Sbeuh et moi en avons tous les deux conscience, de façon certaine).
Pour Kouynemum, quand je dis on doit se reproduire, ça ne veut pas dire tout le temps et ne faire que ça, j'ai dit "on doit avoir des descendants à notre mort" Il suffit d'un enfant, qui pourra avoir des petits-enfants etc.
C'est jmguiche qui sous-entendait, avec humour, que je voulais que toute femme en âge de procréer soit fécondée.
On ne peut pas avoir une humanité à 40 milliard d'individus non plus...
Pour brunbrun C'est toi qui parle de supprimer des espèces de peur qu'elles nous détruisent, moi je dis que nous regrettons la disparition des espèces, y compris celle des dinosaures. Nous sommes tous assez écolos pour savoir que l'Humanité existe dans son milieu actuel et qu'elle ne doit pas le dégrader si elle veut conserver ses chances de survie.
Puis, tu dis si ça se trouve, mais peut être que la possibilité d'obtenir un être humain était unique. On ne va pas gâcher volontairement cet effort pour un si ça se trouve. Vouloir se simplifier la vie en s'éliminant des devoirs est légitime, mais ça ne me satisfait pas.
Je fais une sorte de +1 sur ce qu'a dit Sbeuh et je vois que malgré tout certains pensent que je ne dis pas ce que je dis... Par défaut, certains partent du principe que je dis n'importe quoi, mais j'ai la patience de mon côté :D
xavo dit:c'est bon pour expliquer les motivations des animaux mais je doute que cela soit ce qui fait la singularité de nos choix.

Il faut se poser les trois questions aux trois niveaux : individu, humain, être vivant.
Ainsi, on voit que les réponses apportées comme "être vivant" sont également à considérer et doivent être complètement compatibles avec les réponses apportées aux deux autres niveaux.

La principale raison d’avoir des enfants, c’est qu’ils aident leur mère à faire le ménage (des choses qui n’auraient pas été salie, s’ils n’avaient pas été là) :P

MrGirafe dit:
xavo dit:c'est bon pour expliquer les motivations des animaux mais je doute que cela soit ce qui fait la singularité de nos choix.

Il faut se poser les trois questions aux trois niveaux : individu, humain, être vivant.
Ainsi, on voit que les réponses apportées comme "être vivant" sont également à considérer et doivent être complètement compatibles avec les réponses apportées aux deux autres niveaux.


En quoi répondre à ces questions en tant qu'être vivant deviendrait discriminant d'un individu à l'autre ? On aurait chacun des réponses différentes à apporter du point de vue "être vivant" ? De ce point de vue, la seule véritable réponse ce sont les scientifiques qui la donne.

Je dis simplement qu'un être humain, en tant qu'animal conscient, pensant et communiquant, a largement mieux à dire sur le but de sa vie que "je me reproduis pour faire vivre mes gènes". Ou alors autant discuter avec un lapin !

Je plussoie Xavo!

Dla pignole jvous dis, dla pignole tout ca…les considérations sur l’avenir de l’humanité c’est du flan, faudrait etre pas mal prétentieux pour affirmer pouvoir influer sur le cours de l’humanité en faisant des gosses ou pas a notre petit niveau.

xavo dit: Ou alors autant discuter avec un lapin !



Un lapin ?! pourquoi, un lapin ?!
MrGirafe dit:
Kouynemum dit:on pourrait presque dire que c'est assurer la pérénité de l'espèce...
(à mon avis, même en se vantant d'appartenir à l'espèce humaine, je ne crois pas qu'on puisse totalement échapper à cet instinct-là...mais bon, là n'est pas la question)

Tout à fait d'accord.
Si chacun de mes actes engage l'humanité toute entière, le premier acte fondamental à effectuer en tant qu'être humain c'est de me reproduire et avoir des enfants, si la nature le permet.
Si je peux avoir des enfants, je DOIS avoir des enfants, au moins pour l'humanité entière. (ce n'est pas la première fois que le sujet est abordé sur TT).
Les ambitions personnelles doivent être compatibles avec cette chose naturelle ou cet effort collectif (tout le monde ne vit pas l'éducation des enfants de la même façon). Faire un enfant, quand on peut le faire, c'est avant tout donner son temps, son amour et son savoir à l'humanité, sans rien attendre en retour sinon un espoir.
Ensuite, il reste les nombreuses autres choses que l'ont peut réaliser dans une vie qui peuvent faire que, le jour de votre mort, vous n'aurez pas l'impression de n'avoir servi à rien mais d'avoir apporté quelque chose à l'humanité, que celle-ci vous en soit reconnaissante ou non (comment les autres vous voit n'influe pas sur comment vous vous voyez, chacun vit avec sa conscience et le peu de reconnaissance qu'il obtient). On peut servir l'humanité par son travail (pro, bénévole ou associatif), le transfert de son savoir (débats, discussions, écrits).
Les buts d'une vie répondent obligatoirement à la troisième question :
D'où Viens-je ?
Qui suis-je ?
Où vais-je ?

Et il faut se poser ces trois questions à plusieurs échelles : en tant que soi (individu inscrit dans une famille et une culture), en tant que membre de l'humanité et en tant qu'être vivant.


Je ne me sens redevable de personne. Ma mort attristera ma famille et mes amis proches. Mes collegues de boulot ou de sport en parleront 2 semaines. Le reste des 6 milliards d individus s en tapera bien fort...Je ne serai plus rien et ce qui se passera apres ne me concernera plus a ce moment la.
Libre aux autres de se mettre des oeilleres en essayant de justifier leur existence, perso, j essaie d accepter le truc tel quel. Ceci dit, ce n est pas pour autant que je n aurais pas envie d avoir des enfants plus tard ou que je ne me lancerai pas dans une cause humanitaire ou autre...
Et je ne me sens pas désabusé ou désenchanté ni quoique ce soit non plus :)

Cher Monsieur Groove,

Groove dit:Dla pignole jvous dis, dla pignole tout ca…les considérations sur l’avenir de l’humanité c’est du flan, faudrait etre pas mal prétentieux pour affirmer pouvoir influer sur le cours de l’humanité en faisant des gosses ou pas a notre petit niveau.


Surtout qu’avec cette technique, vous n’êtes pas prêt de vous reproduire :kingboulet: :lol:

Bien à vous de cordialement

Monsieur Phal

xavo dit:Je dis simplement qu'un être humain, en tant qu'animal conscient, pensant et communiquant, a largement mieux à dire sur le but de sa vie que "je me reproduis pour faire vivre mes gènes". Ou alors autant discuter avec un lapin !

Faire des enfants, selon moi, se trouve au niveau être vivant, comme pour le lapin ou le dauphin.
Ensuite, l'Humanité depuis des années a su accrocher du "culturel" sur cette activité humaine (la religion a été bien utile pour éviter de sombrer dans les vies "plaisir plaisir plaisir"). On peut faire maintenant des enfants pour des raisons intellectuelles louables vis à vis de la société... Mais bon, ce ne sont que des règles culturelles qui sont venues soutenir l'aspect instinctif. Il n'y a rien de courageux ou admirable à faire des enfants, ce n'est pas oeuvrer pour sa paroisse, son pays, faire don de soi, aimer son prochain... Ce n'est rien de tout cela, faire des enfants c'est laisser des descendants après soi et ne pas avoir gâché une vie sans offrir d'autres vies.
Cela dit, s'il n'y avait pas la reconnaissance de la société dans le fait de faire un enfant, nombre de personnes n'auraient pas d'enfants car ils préféreraient sombrer dans la vie "plaisir plaisir plaisir" plutôt que de se faire suer à élever des enfants à temps plein.
briquerouge, par exemple, si tu te vois mort après ton existence et puis c'est tout, sans nécessairement avoir utilisé ta vie pour l'Humanité, ne te fais pas chier avec les contraintes de notre société, offre toi du plaisir, du bonheur à toi et ton entourage ! Vis à fond et sans obligation ! Tu n'as aucune raison de te prendre la tête (rien qu'en lisant les quelques lignes de ce forum). Profites !

Quand on me demande les buts dans la vie, je commence par cela : laisser des descendants. Ensuite vient le niveau humanité, qui n'apporte pas grand chose de plus puis le niveau individuel.
La vie n'a tout de même pas beaucoup de sens... Alors nos petits buts personnels... C'est du pipi de chat face à l'eternité !

Le niveau individuel n'est d'aucune utilité pour les autres individus qui ne sont pas moi, à moins qu'ils s'intéressent à moi en tant qu'individu(famille, amis). Mais la question, selon moi, ne portait pas sur l'aspect individuel.
Mr Phal dit:Surtout qu'avec cette technique, vous n'êtes pas prêt de vous reproduire

Haha c'est un fait :pouicbravo:
Mr Girafe dit:Il n'y a rien de courageux ou admirable à faire des enfants, ce n'est pas oeuvrer pour sa paroisse, son pays, faire don de soi, aimer son prochain... Ce n'est rien de tout cela, faire des enfants c'est laisser des descendants après soi et ne pas avoir gâché une vie sans offrir d'autres vies.

Là on est au degré zéro, les teckels, les sardines, les escargots font pareil, evidemment que faire des enfants c'est laisser des descendants, mais en raisonnant comme ca, en étant dépourvu d'affect ca fait très mécanique, très calculé, très froid, très inhumain en fait. C'est raisonner comme un animal que de se cantonner au coté "repeuplement de la planète" et "survie de l'espèce". A l'extrème pourquoi ne pas pousser ton raisonnement plus loin : on se fait tous cloner et basta. La planète restera peuplée, ton nom et tes gènes se perpetueront.

Demeure une impression d'inachevé non?
xavo dit:
Je dis simplement qu'un être humain, en tant qu'animal conscient, pensant et communiquant, a largement mieux à dire sur le but de sa vie que "je me reproduis pour faire vivre mes gènes". Ou alors autant discuter avec un lapin !


Ben non, le seul but de la vie, c'est de transmettre notre patrimoine génétique. Après, en tant qu'être humain, individuellement, on peut choisir de transmettre ou pas. (contrairement au lapin) Mais globalement, pour notre espèce, on s'applique plutôt consciencieusement à transmettre nos gènes. Il est impossible de déceler un quelconque sens dans l'évolution. D'ailleurs la plupart des gens font des enfants sans avoir réfléchi auparavant au sens qu'on veut donner à cet acte. On peut toujours dire, pour les vieux jours, pour s'occuper... pour moi c'est juste une fausse raison qu'on se donne mais en réalité la décision d'avoir un enfant s'impose à nous.


Edit : j'ai réagi trop vite, j'aurais tout aussi bien pu plussoyer ce qu'a écrit Mr Girafe au-dessus