il faut essayer de faire des combinaisons, qu’une action entraine une autre qui en entraine une autre…
Ensuite les jardiniers c’est bien en début de partie car ils t’offrent des actions en fin de manche
Ne pas oublier les actions de son plateau joueur qui deviennent très forte en fin de partie
Tu peux essayer une partie solo sans l’automa, tu te limites à 3 actions par manche (4 avec l’extension)
Et pour cela il faut s’adapter au tirage des cartes et des bonus ! On ne peut pas appliquer une technique qu’on répète à l’infini. Excepté peut être les jardiniers sur les premiers tours pour leur bonus en fin de tours ! Mais même ça c’est pondéré par le fait que tu devras te priver d’1 dé de cette couleur pour avoir ce dit bonus !
Je vais voir pour qu’on me le prête histoire de voir le solo et peut être passer à la caisse (en écrivant ça presque comme si je l’avais mis dans mon panier. Faible je suis)
C’est plus prudent. C’est sans aucun doute le Feld le plus lourd/complexe auquel j’ai joué. C’est assez vertigineux. On retrouve des éléments de Bora Bora (la migration, les ressources associées aux territoires, la possibilité de virer un adversaire d’un campement, le scoring des statues en fin de manche…) et une action Chasse qui fait furieusement penser à La gloire d’Odin.
On a envie de tout faire mais on n’a pas le temps.
Tout est coûteux en temps et en nb d’actions.
Pour construire des bâtiments, il faut :
procréer
migrer
produire des ressources
transporter ces ressources
construire un bâtiment
5 étapes et autant d’actions (moins si on décide d’abandonner des territoires et de passer par le module Production).
Une alternative est d’acheter les ressources qu’il nous faut. C’est beaucoup plus rapidement mais il faut des $ (4$ si pas découverte sur le plateau, 2$ si découverte) Et ça ne se trouve pas sous le sabot d’un cheval.
Bref, c’est du gros rouge qui tâche avec de la moule dedans. Il y a moyen de moyenner la moule mais là aussi c’est coûteux.
Tout n’est question que de choix crève coeur. C’est le fond de commerce de Feld mais ici je trouve que cela atteint un paroxysme …dans le bon sens du terme.
De mon côté, impossible d’emprunter la boîte de l’association car :
Ayant tâté du bestiau il y a une semaine, je sais à quoi je m’attends (je redis mon doute que j’avais avant cette partie suite aux dernières productions de Feld )
J’avoue qu’il n’a pas été compliqué de me motiver pour l’essayer (au contraire d’un Voidfall qui me tente absolument pas. Probablement le thème) suite à vos retours plutôt positifs voir élogieux. Bien m’en a pris ,peut être pas financièrement si je craque (pourquoi si ?? Ça serait plutôt quand) , mais j’ai retrouvé du grand Feld. Avec pour une fois une salade de points plutôt digeste contrairement à certains opus.
Pour revenir à la complexité, je trouve que mon cerveau est plus capable d’absorber du Feld que du Lacerda. Rien à faire avec notre designer lusitanien, je n’y arrive pas (à part House of Fado mais ce n’est pas un 100% Lacerda) Si on reste dans le domaine viticole, difficile de passer aux Bourgognes quand on a été nourri aux Côtes du Rhône
Don pas un gros rouge qui tache mais plutôt un grand Cote-Rotie
Alors cette fois j’ai bcp misé sur les jardiniers (que j’avais laissé de coté sur ma première partie) et au final je fais 47 soit seulement 6 pts de mieux. J’ai 2 courtisants au chateau (1 dans la selle du daymio et l’autre en dessous) multiplié par 2 guerriers (1 dans le camp à 3 et 1 dans le camp à 1).
Donc l’impression de ne pas vraiment exploiter le truc avec si peu de points…
et effectivement je n’arrive pas à trouver le temps de jouer sur mon plateau…
Il faut selon moi surtout essayer de placer un maximum d’ouvrier et ne ne faire que très peu de collecte de ressources.
Le top c’est les posés en chaîne, ce qui dépend beaucoup du tirage du plateau. Idéalement un forgeron 5 qui te permet de jouer un courtisan ou un jardinier. Pareil, jardinier il faut viser la deuxième colonne “combo”.
Il faut après essayer d’anticiper la ou les cartes que l’on va récupérer pour améliorer sa lanterne mais aussi son plateau joueur : plus on a placé d’ouvriers plus l’offre est alléchante, et là pareil, il faut idéalement avoir une action j’ai te permet de placer un ouvrier sur la meilleure ligne.
En général le plus facile à déployer rapidement ce sont les jardiniers, mais pareil, ça dépend du plateau.
Mettons donc que tu as placé trois quatre jardiniers. Tu peux alors essayer de récupérer via un courtisan une carte qui ira sur ton plateau joueur avec une action forgeron sur la deuxième ligne. En mettant un dé noir sur ton plateau tu as une action forgeron remboursée, qui elle meme peu te permettre de remettre un courtisan etc etc
Steack tartare garantie ! dans mon top 3 des deckbuilding avec Ascension (first for ever) et Thunderstone Quest.
Tiens J’ai réessayé Dominion la semaine dernière pour énième fois, quelle purge ! je pose une carte + 1 action + 1 carte, + 2 cartes + 2 actions, + 1 action + 1 achat … pffff c’est chiant
Alors, je ne suis pas expert en la matière, mais je pense que les puristes ne considèrent pas Mage Knight comme un “véritable deck building”. A mon avis, il s’agit plus d’un jeu de plateau avec des mécaniques de deck building. Mais ça ne l’empêche pas d’être excellent, on est d’accord.
La mécanique principale du jeu reste le deck building. Pour toi un deck building doit être un jeu purement de cartes et pas un jeu de plateau ?.. J’ai du mal à comprendre.
ce n’est pas un réel deckbuinding ou le deckbuilding n’est pas du tout centrale,même s’il est important d’acheter les bonnes cartes disons, mais oui c’est un très bon jeu mais c’est pour moi plus un land crawling.
Tout comme pathfinder le jeu de cartes n’est pas non plus un deckbuilding même si tu composes un deck, c’est un jeu de gestion de main et pourant ya que des cartes