ElComandante dit :fdubois dit :J'ai ma petite idée sur qui est le père de Rey
Pas vous ?Ouais.
C'est R2.
Pour le père je ne me prononcerai pas, mais comme SW c'est "les feux de l'amour" dans une galaxie très très lointaine, je me suis tout de même demandé si XXXXXX n'étais pas son frère...
Encore un petit hommage au IV?
Govin dit :viking dit :J'amènerais plus mon gamin voir Star Wars que Whiplash, qui véhicule une idée de l'éducation et de la performance qui me fait un peu peur. Sinon c'est sympathique, oui.Tu as sûrement raison, et ce n'est pas mon fils qui te donnera tort. A vrai dire, je n'ai pas forcément envie de lui dicter ce qu'il doit préférer ou pas, je veux juste qu'il s'enrichisse avec d'autres points de comparaison "artistiques".
Bien sûr je comprends et c'est un bon réflexe, j'en profitais juste pour balancer un petit fion à Whiplash parce que je suis un TROLL
viking dit :Govin dit :viking dit :J'amènerais plus mon gamin voir Star Wars que Whiplash, qui véhicule une idée de l'éducation et de la performance qui me fait un peu peur. Sinon c'est sympathique, oui.Tu as sûrement raison, et ce n'est pas mon fils qui te donnera tort. A vrai dire, je n'ai pas forcément envie de lui dicter ce qu'il doit préférer ou pas, je veux juste qu'il s'enrichisse avec d'autres points de comparaison "artistiques".
Bien sûr je comprends et c'est un bon réflexe, j'en profitais juste pour balancer un petit fion à Whiplash parce que je suis un TROLL
Whiplash est un très bon film dont la morale ambiguë (comment survivre à un prof pervers narcissique pour atteindre l'excellence : devenir soi-même un plus grand pervers narcissique ; ) fait la force du film...
viking dit :Govin dit :viking dit :J'amènerais plus mon gamin voir Star Wars que Whiplash, qui véhicule une idée de l'éducation et de la performance qui me fait un peu peur. Sinon c'est sympathique, oui.Tu as sûrement raison, et ce n'est pas mon fils qui te donnera tort. A vrai dire, je n'ai pas forcément envie de lui dicter ce qu'il doit préférer ou pas, je veux juste qu'il s'enrichisse avec d'autres points de comparaison "artistiques".
Bien sûr je comprends et c'est un bon réflexe, j'en profitais juste pour balancer un petit fion à Whiplash parce que je suis un TROLL
Ceci dit il est vital que des personnes expriment un avis comme le tiens tant la "morale" de Whiplash peut être dangereuse. Il est nocif ce film en fait! Putain, je crois que je l'aime encore plus!
Franchement à la sortie du film quelqu’un a dit à sa femme “C’est une leçon de pédagogie”, j’ai failli l’apostropher mais je me suis retenu. Si des gens voient vraiment ça comme un modèle d’éducation putain ça fait flipper.
Et cette vision de la musique comme une performance athlétique que c’est con putain.
Non en fait c’est vraiment de la merde ce film
dar dar dit :viking dit :Govin dit :viking dit :J'amènerais plus mon gamin voir Star Wars que Whiplash, qui véhicule une idée de l'éducation et de la performance qui me fait un peu peur. Sinon c'est sympathique, oui.Tu as sûrement raison, et ce n'est pas mon fils qui te donnera tort. A vrai dire, je n'ai pas forcément envie de lui dicter ce qu'il doit préférer ou pas, je veux juste qu'il s'enrichisse avec d'autres points de comparaison "artistiques".
Bien sûr je comprends et c'est un bon réflexe, j'en profitais juste pour balancer un petit fion à Whiplash parce que je suis un TROLL
Ceci dit il est vital que des personnes expriment un avis comme le tiens tant la "morale" de Whiplash peut être dangereuse. Il est nocif ce film en fait! Putain, je crois que je l'aime encore plus!
Cher Monsieur,
Juste vite fait. Il ne me semble pas qu'il y ait de morale à Whiplash. Non. Mais matière à déclencher une réflexion, oui. Et du coup, je pense que l'un des travers de notre époque est de voir de la morale partout. Il n'y en a pas dans Star Wars non plus.
Et, pour retourner dans le sujet, l'épisode 7 n'est pas un chef-d'oeuvre ni une merde infâme. C'est juste un divertissement. Comme ses prédécesseurs. Excusez-moi, mais rappelez vous des Ewoks quoi. Je pense que ceux qui ont vu les premiers ne se rendent pas compte qu'on peut faire les même reproches aux épisode 4, 5 et 6, avec un peu de recul, qu'au 7. Vous étiez tous jeunes, c'est pour ça. Moi, j'adore Star Wars, enfin l'épisode 5 (comme tout le monde), parce que ça excite mon imagination. Mais bon, là, on a soit des cris au génie, soit des cris à la belle merde. On vit dans un monde noir et blanc quoi.
Bien à vous
Monsieur Phal
Monsieur Phal dit :Mais bon, là, on a soit des cris au génie, soit des cris à la belle merde.On vit dans un monde noir et blanc quoi.
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Bien à vous
Monsieur Phal
Il me semble, en tout cas c'était mon cas et je l'ai entendu comme ça des doigts de M. Viking, que nous forcions volontairement le trait. ;)
Cette idée de trouver une morale à tout me parle. Il faut garder à l'esprit que l'auteur raconte une histoire, rien ne l'oblige à la codifier selon ce qu'il veut transmettre, même si beaucoup de réalisateurs en profitent.
Intéressant l’angle de la morale dans le débat ciné. Je suis aussi d’avis qu’il ne faut pas la chercher partout. En revanche, Whiplash, c’est bel et bien une histoire de morale. Le film repose autant sur cette thématique que sur la perversité narcissique. C’est l’interprétation de cette morale, et le prisme par lequel on la visualise, qui tend à rendre ce film dangereux dans son interprétation. Clairement, ce n’est pas un film à mettre en toutes les mains.
Certains le prennent visiblement au 1er degré (la leçon de pédagogie!? flippant en effet) d’autres, comme ma chère et tendre, ou viking, trouvent le film détestable.
Moi j’aime l’oeuvre artistique en tant que telle. C’est pas pour autant que je cautionne le propos. D’ailleurs, dans MON interprétation de Whiplash, ce sont deux personnalités inadaptés socialement qui sont dépeintes. Et quelles que soient leurs réussites/echecs, ce ne sont en aucun cas des modèles. Ce qui convient parfaitement à ma morale!
Cher Monsieur,
Juste vite fait. Il ne me semble pas qu'il y ait de morale à Whiplash. Non. Mais matière à déclencher une réflexion, oui. Et du coup, je pense que l'un des travers de notre époque est de voir de la morale partout. Il n'y en a pas dans Star Wars non plus.
Et, pour retourner dans le sujet, l'épisode 7 n'est pas un chef-d'oeuvre ni une merde infâme. C'est juste un divertissement. Comme ses prédécesseurs. Excusez-moi, mais rappelez vous des Ewoks quoi. Je pense que ceux qui ont vu les premiers ne se rendent pas compte qu'on peut faire les même reproches aux épisode 4, 5 et 6, avec un peu de recul, qu'au 7. Vous étiez tous jeunes, c'est pour ça. Moi, j'adore Star Wars, enfin l'épisode 5 (comme tout le monde), parce que ça excite mon imagination. Mais bon, là, on a soit des cris au génie, soit des cris à la belle merde.On vit dans un monde noir et blanc quoi.
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Bien à vous
Monsieur Phal
Sur Whiplash, il faudrait que je développe un peu mais on est en plein HS. En gros mon problème n'est pas la "morale" du film mais plutôt la morale de la démarche artistique. La manière dont sont traités les personnages "extérieurs" qui pourraient ouvrir notre ado vers le monde, j'aime vraiment pas. Trop facile du coup en supprimant toute altérité de faire un film immersif. Et le plus horrible je trouve c'est cette réduction de la musique à une performance athlétique (je pense que vous ne pouvez pas dire le contraire). Ce n'est pas en soi, de montrer une idée qui m'emmerde, c'est plutôt de ne pas laisser la place à une altérité. Ok, ces mecs sont dans leur monde, mais on peut parfois les montrer s'amuser, ou montrer des gens qui pratiquent la musique différemment. Ca manque cruellement de subtilité.
Sur Star Wars, justement sur ce topic personne ne crie au génie il me semble. Ou alors j'ai mal lu.
viking dit :Sur Star Wars, justement sur ce topic personne ne crie au génie il me semble. Ou alors j'ai mal lu.
J'ai ri, mais peut-être ne fallait-il pas.
@ Dardar: nous sommes d'accord sur le message qui est présent dans Whiplash, il l'est d'autant qu'apparemment il se ferait l'écho du propre vécu du réalisateur.
@ Viking: L'aspect athlétique de la performance ne m'a perturbé qu'à la relecture du film. Ceci dit je n'y connais rien en batterie, pas plus en jazz que je n'apprécie pas du tout en temps normal, s'en est presque épidermique.
Ne serait-ce pas plutôt une facilité scénaristique ? Je me suis interrogé. Cette façon de montrer la réussite était "quantifiable", "visible", je veux dire "remarquable" surtout aux yeux d'un béotien. La montrer plus finement serait peut-être restée sans effet, ôtant la dimension dramatique du film.
@ tous: j'ai fini de digresser.
viking dit :Cher Monsieur,
Juste vite fait. Il ne me semble pas qu'il y ait de morale à Whiplash. Non. Mais matière à déclencher une réflexion, oui. Et du coup, je pense que l'un des travers de notre époque est de voir de la morale partout. Il n'y en a pas dans Star Wars non plus.
Et, pour retourner dans le sujet, l'épisode 7 n'est pas un chef-d'oeuvre ni une merde infâme. C'est juste un divertissement. Comme ses prédécesseurs. Excusez-moi, mais rappelez vous des Ewoks quoi. Je pense que ceux qui ont vu les premiers ne se rendent pas compte qu'on peut faire les même reproches aux épisode 4, 5 et 6, avec un peu de recul, qu'au 7. Vous étiez tous jeunes, c'est pour ça. Moi, j'adore Star Wars, enfin l'épisode 5 (comme tout le monde), parce que ça excite mon imagination. Mais bon, là, on a soit des cris au génie, soit des cris à la belle merde.On vit dans un monde noir et blanc quoi.
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Bien à vous
Monsieur PhalSur Whiplash, il faudrait que je développe un peu mais on est en plein HS. En gros mon problème n'est pas la "morale" du film mais plutôt la morale de la démarche artistique. La manière dont sont traités les personnages "extérieurs" qui pourraient ouvrir notre ado vers le monde, j'aime vraiment pas. Trop facile du coup en supprimant toute altérité de faire un film immersif. Et le plus horrible je trouve c'est cette réduction de la musique à une performance athlétique (je pense que vous ne pouvez pas dire le contraire). Ce n'est pas en soi, de montrer une idée qui m'emmerde, c'est plutôt de ne pas laisser la place à une altérité. Ok, ces mecs sont dans leur monde, mais on peut parfois les montrer s'amuser, ou montrer des gens qui pratiquent la musique différemment. Ca manque cruellement de subtilité.
Sur Star Wars, justement sur ce topic personne ne crie au génie il me semble. Ou alors j'ai mal lu.
HS/ Ce que tu dis sur Whiplash est plutôt injuste, au sens où tu lui reproches de ne pas montrer ce que tu aurais voulu voir et qui n'est pas le propos. Whiplash, c'est pas un film sur la musique, mais sur deux inadaptés qui font de la musique...
Et c'est vrai que le film n'est en aucun cas subtil, puisqu'il ne repose que sur une idée, exploitée à l'extrême. Comme un film de Joel Schumacher, mais en bien.
@ Viking: L'aspect athlétique de la performance ne m'a perturbé qu'à la relecture du film. Ceci dit je n'y connais rien en batterie, pas plus en jazz que je n'apprécie pas du tout en temps normal, s'en est presque épidermique.Tu as tout à fait raison. C'est un procédé pour renforcer l'efficacité du film (sa PERFORMANCE). C'est un truc qui m'emmerde de plus en plus au cinoche.
Ne serait-ce pas plutôt une facilité scénaristique ? Je me suis interrogé. Cette façon de montrer la réussite était "quantifiable", "visible", je veux dire "remarquable" surtout aux yeux d'un béotien. La montrer plus finement serait peut-être restée sans effet, ôtant la dimension dramatique du film
Bon sinon, puisqu'apparemment je crie au génie voici mes notes vodkaster pour ces deux films :
Star Wars VII : 3.5/5
Whiplash : 3/5
OK?
Cher Monsieur Viking,
Pour certaines oeuvres, le propos est que le spectateur se pose des questions, réfléchissent. Une oeuvre d’Art ne vous donne pas une vérité, elle vous fait vous poser des questions. Personne sur terre ne détiens de vérité. Je crois que penser que whiplash nous donne une vérité est une erreur d’approche. Comme toute oeuvre qui n’est pas là que pour distraire ou faire beau, le film déclenche une réflexion. Dans Star Wars, il y en a de toutes petites, comme celle de la démocratie et de ses pièges. Mais bon, il vaut mieux digresser sur la folle idée de coller un pommeau à un sabre laser
Pour moi, whiplash est une merveille. D’autant plus que j’aime la batterie et le Jazz, mais cela aurait marché avec n’importe quoi. Le propos est “doit on”, “peut-on accepter…” il n’est pas de nous asséner une vérité… Donc le prendre comme un film avec morale, c’est je crois une erreur. Et même si c’est la vérité du réalisateur, Damien Chazelle, elle n’est pas la notre mais nous permet de réfléchir et d’être en désaccord. Enfin je crois. Enfin c’est comme ça que je conçois les choses de l’Art… et du divertissement
Bien à vous
Monsieur Phal
Monsieur Phal dit :Cher Monsieur Viking,
Pour certaines oeuvres, le propos est que le spectateur se pose des questions, réfléchissent. Une oeuvre d'Art ne vous donne pas une vérité, elle vous fait vous poser des questions. Personne sur terre ne détiens de vérité. Je crois que penser que whiplash nous donne une vérité est une erreur d'approche. Comme toute oeuvre qui n'est pas là que pour distraire ou faire beau, le film déclenche une réflexion. Dans Star Wars, il y en a de toutes petites, comme celle de la démocratie et de ses pièges. Mais bon, il vaut mieux digresser sur la folle idée de coller un pommeau à un sabre laser
Pour moi, whiplash est une merveille. D'autant plus que j'aime la batterie et le Jazz, mais cela aurait marché avec n'importe quoi. Le propos est "doit on", "peut-on accepter...." il n'est pas de nous asséner une vérité... Donc le prendre comme un film avec morale, c'est je crois une erreur. Et même si c'est la vérité du réalisateur, Damien Chazelle, elle n'est pas la notre mais nous permet de réfléchir et d'être en désaccord. Enfin je crois. Enfin c'est comme ça que je conçois les choses de l'Art... et du divertissement
Bien à vous
Monsieur Phal
Ben justement, la manière dont le construit Damien Chazelle a plutôt tendance à paralyser la réflexion plutôt qu'à la susciter. J'en veux pour preuve la sensation immédiate de PIF PAF dans ta gueule à la sortie du film, très efficace et agréable (d'où mon ressenti favorable sur le film), mais qui ne résiste pas vraiment au temps de la réflexion.
L'autre jour j'ai vu Mia Madre de Nanni Moretti, là on se prend une baffouze dans la tronche immédiate, et le lendemain on y repense, on pleure à nouveau. Parce qu'un nouveau plan du film vient de remonter à la surface de notre souvenir, ou qu'on vient de le comprendre différemment, comme le personnage principal du film. Là il y a autre chose qu'une esbrouffe immédiate (de manière amusante, Whiplash est à l'image des solos de son batteur : technique, performant, efficace, et dépourvu du moindre sentiment).
IL N'Y A PAS PHOTO!
J’ajoute que je trouve débile de différencier le cinéma de divertissement d’un Autre, qui serait Supérieur (surtout si c’est WHIPLASH).
Dans quelle catégorie place-t-on Chaplin?
viking dit :J'ajoute que je trouve débile de différencier le cinéma de divertissement d'un Autre, qui serait Supérieur (surtout si c'est WHIPLASH).
Dans quelle catégorie place-t-on Chaplin?
Cher Monsieur Viking,
Ha si c'est débile... Le sort en est jeté...
Bien à vous
Monsieur Phal
Monsieur Phal dit :viking dit :J'ajoute que je trouve débile de différencier le cinéma de divertissement d'un Autre, qui serait Supérieur (surtout si c'est WHIPLASH).
Dans quelle catégorie place-t-on Chaplin?Cher Monsieur Viking,
Ha si c'est débile... Le sort en est jeté...
Bien à vous
Monsieur Phal
Non mais au-delà de ma provoc, je vous pose réellement la question : Chaplin c'est quoi?
viking dit :Monsieur Phal dit :viking dit :J'ajoute que je trouve débile de différencier le cinéma de divertissement d'un Autre, qui serait Supérieur (surtout si c'est WHIPLASH).
Dans quelle catégorie place-t-on Chaplin?Cher Monsieur Viking,
Ha si c'est débile... Le sort en est jeté...
Bien à vous
Monsieur PhalNon mais au-delà de ma provoc, je vous pose réellement la question : Chaplin c'est quoi?
Cher Monsieur viking,
Chaplin est un génie qui a fait du divertissement, et a utilisé son pouvoir de "divertisseur" pour insuffler des messages, des réflexions à ses films. Donc, dans le cadre de la discussion, Chaplin n'est pas le propos, ses films oui. Mais pas tous. Maintenant, on peut juger le génie sur le fond, mais aussi sur la forme, avec l'historique qui va autour.
Maintenant, quand je regarde un film avec Jason Statham, je cherche un divertissement. Mais cela ne veut pas dire que parfois, il n'y a pas de réflexion à la suite du spectacle de certains de ses films...
Mais bon, si c'est idiot, je l'assume...
Bien à vous
Monsieur Phal
Non mais en fait si je suis aussi violent avec cette dichotomie, c’est je pense parce qu’elle m’emmerde moi personnellement, qui aime me taper les blockbusters autant que les films d’auteur russes ou thailandais, et qui les juge tous de la même façon : comme des films de cinéma.
Après peut-être ai-je tort, mais j’en ai un peu marre d’être coincé entre les multiplexes ultra-chers et les salles d’art et essai qui méprisent le genre ou le “cinéma de divertissement”, coincé entre une critique institutionnelle coincée du cul et des youtubers qui ne critiquent que les Marvel et méprisent le cinéma français (sans le connaître)…
C’est un peu fatigant alors voilà. Mais sinon, vous faites bien toutes les classifications que vous voulez évidemment.