Ah oui… c’est vendredi. 
Dans la colonne de droite il manque les hormones et la nourriture bourrée de produits chimiques donnée au bétail.
C’est bon, les végans vont mourir :
Une étude scientifique implique que les plantes sont conscientes
Tiens, le cri de la carotte… ça faisait longtemps.
Et les pleurs du persil, c’est pas horrible ça ? 
@en passant.
Ben a gauche il manque la liste des engrais et des pesticides 
enpassant dit :Et les pleurs du persil, c'est pas horrible ça ?
Pas pire que les pleurs des oignons
Et les omnivores suivront les vegans de peu puisqu’ils refuseront d’infliger d’hypothétiques souffrances aux végétaux mangés par le bétail (notons que la souffrance bien réelle et pas du tout hypothétique du bétail, visiblement, ils s’en cognent).
À moins que ce ne soit une n-ième et peu inspirée tentative de se moquer des vegans, comment savoir ? 
Bah, moi je trouve qu’avec son intention “c’est bon, les vegan vont mourir”, il ne va convaincre personne, il défend mal la cause des plantes, je continuerai donc à en manger.
Au moment où certains parlent des zoos, voici qui va réconforter les autruches…
https://www.l214.com/communications/20221005-reaction-L214-amendement-reduction-fiscale-associations
Krrro dit :Lymon Flowers dit :Krrro dit :Sinon par rapport aux remarques de Lymon Flowers, je crois que, d'une manière générale, je préfère les positions "pratiques" aux positions "théoriques" : qu'est ce qu'on fait là maintenant là où on en est avec des animaux nés en captivités qui mourrait si on les "libérait" dans la nature ? Avec des animaux saisis dans des cirques, des laboratoires ou chez des particuliers qui sont euthanasiés si personne ne les accueille ? Avec des espèces ultra menacés ? La position "théorique" qui consiste à dire "c'est trop tard", "c'était avant qu'il fallait", etc... je trouve que ça évacue d'un revers de la main beaucoup trop facile la réalité dans laquelle on vit ...Tant qu'il y aura des zoos il y aura des animaux en cage, c'est la réalité dans laquelle on vit. Comment sortir de cette situation est un autre débat qui ne doit pas occulter le fond, bien réel, du problème.
Comment sortir de cette situation fait partie amha du "fond du problème"... S'il n'y a pas de proposition alternative sérieuse et concrète on reste dans la théorie, certe séduisante, mais qui ne fait pas spécialement avancer les choses...
C'est amusant, j'aurais plutôt défendu le point de vue adverse. À savoir que si on ne sait pas dans quel monde on veut vivre, les propositions concrètes ne viendront jamais et le status quo, certes rassurant, perdurera. Comme quoi …
Quant aux propositions, il y en a plein et des concrètes (et elles ne sont pas de moi). Prenons l'exemple des cirques et l'interdiction des animaux sauvages qui s'y trouvent. Il a suffit que l'opinion y soit très majoritairement opposée pour que le législateur s'y intéresse et proclame l'abolition malgré les arguments de la profession. On notera que l'exploitation dans les cirques d'animaux dits domestiques perdure, mais les grands voyages sont fait de petits pas.
En ce qui concerne les zoos, un premier pas est de nous faire sortir de cette image d'Épinal du zoo-refuge qui accueille des animaux blessés pour les sauver. En France, l'immense majorité des animaux des zoos est née en captivité c'est la loi. Cela concerne aussi les « bons zoos » comme celui de Lille qui communique à fond d'avoir fait naître deux nouveaux pandas roux. Le zoo parc de Beauval a fait exploser sa fréquentation en important deux pandas nés en captivité. Est-ce vraiment très différent de Tiger King ?
Alors oui, une partie du cheptel des zoos Français est issu de saisies, argument avancé ici. Durcir la législation sur la détention d'animaux sauvages est une autre proposition concrète. Car les zoos sont en surpopulation et l'euthanasie y est une réalité. Si on voulait réellement en faire des refuges, on pourrait par exemple arrêter d'y faire se reproduire les animaux. On pourrait aussi tout simplement décider de ne plus les subventionner et à la place financer des structures plus adaptées.
Car il ne faut aussi pas oublier que le budget des zoos n'est que partiellement tourné vers l'animal. Comme tout lieu de spectacle, il faut ajouter foncier, frais de comm, d'accueil du public, de billettique, etc. etc. À titre d'exemple, le budget communication du zoo de Beauval est supérieur au budget nourrissage des animaux qui s'y trouvent !
Voilà donc quelques propositions concrètes, mais au risque de me répéter, la plus importante est d'ouvrir les yeux du public sur la réalité des zoos afin de procéder progressivement à l'abolition de ces lieux de spectacle qui créent structurellement plus de problèmes qu'ils n'en résolvent !
C’est quand je lis des choses comme ça, apparemment dans ma région, avec des termes comme fermier, terroir, etc., que je suis bien contente des choix que j’ai faits, enfin de celui du végétalisme en tout cas.
Mais même (ou peut-être encore plus) si vous ne l’êtes pas, vous pouvez aller signer cette pétition contre ces formes de maltraitance. Ou juste lire le texte pour comprendre ce qui ne va pas.
Quand on voit les conditions dans lesquels on fait travailler certains humains pour nos biens de consommations, pas étonnant qu’ils n’aient pas non plus une once d’humanité envers les animaux.
(“humanité” un mot dont la définition est galvaudée)
Y a aussi cette histoire d’HLM pour cochon:
(passez les 37 premières secondes de la vidéo, hors sujet et inintéressantes)
Avez-vous déjà mangé des algues ?
Vicen dit :
Avez-vous déjà mangé des algues ?
Oui, en salade avec du poulpe c'est pas mauvais.
J’ai mangé des feuilles d’algues séchées (très prisées au Japon) ; la première fois, je n’avais pas trop aimé mais finalement, on s’y fait et surtout, en fonction des assaisonnement, il y en a des vraiment très bonnes. Et j’ai mangé aussi de la salade d’algues (toujours dans la cuisine asiatique) et c’était super bon.
Sinon, dans ma région, il y a pas mal de Salicorne (qui paraît-il n’est pas une algue mais une plante maritime dixit Wikipédia) ; ça se mange. Moi je ne l’ai goûté qu’en condiment (un peu comme des cornichons).
J’ai goûté à un certain nombre de sortes d’algues, et celles qui m’ont le moins plu sont celles qui ont justement un goût d’algue iodé un peu trop prononcé. Salade d’algues, algues séchées, “tapenades” d’algues, condiments, pas mal de choses y sont passées. Il y a eu une vague de mode, une dizaine d’années plut tôt, je la resssens un peu moins maintenant.
Ce qui m’a le plus convenu, ce sont les salicornes, (passe-pierre, que j’associe quand même aux algues), très agréables à manger en accompagnement avec du poisson, mais pas seulement. On les saute rapidement à la poêle avec beurre, ail et persil. Et on retrouve un peu la consistance de haricots verts extra-fins avec ce goût iodé, en conservant justement une grande délicatesse gustative (pas de goût fort, pas de viscosité).
Oui c’est très bon !
- en dashi, pour donner du goût à un bouillon (i.e. pour faire cuire des lentilles)
- en tartare d’algues
- en paillettes pour saupoudrer sur une salade ou des crudités
- en salade
- sans oublier les feuilles de nori, celles qu’on retrouve autour des makis
J’ai un collègue assez sportif qui prend de la Spiruline en complément. Ca lui donne la pêche mais ça le rend aussi super agressif. Je sais pas si c’est un effet placebo ou non, mais en tout cas, ça lui fait de l’effet.