On l’a aussi, et on a doré ces deux modules 
Mieux que les cactus ?
Différent . Les deux extensions sont bien !! Un de ces jours, on a dit qu’on jouerait avec les 4, même si la probabilité d’avoir “en vrai” des sapins et des cactus dans la même forêt est faible lol. Mais après tout, nous sommes ailleurs, et la vérité est peut-être ailleurs 
Considérant Evergreen comme un grand jeu et appréciant la première extension, je me demande où on peut acheter la deuxième, à part sur le site de l’éditeur… me trompe-je?
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Du coup je viens de zyeuter la video de Rahdo, histoire de.
Pour lui, c’est le meilleur jeu de son auteur (qui a commis Bitoku et Sabika, entre autres), mais…
… trop long. Sans quoi il serait dans son top 5 de l’année.
Combien de temps a duré ta partie à 2 ?
P.S. c’est Men-Nefer
Un peu moins de 2h (en ayant fait mes parties solo avant du coup j’étais à l’aise sur l’explication).
Bon alors il exagère.
Sauf si vous êtes des joueurs très rapides. Vous êtes ?
Ni lent, ni rapide …
Je le vois pas plus long qu’un barrage, terra mystica au max.
Oui, en effet, uniquement sur le site de l’éditeur. J’avais profité de la promo frais de port offerts pour ceux qui n’allaient pas à Essen (et j’avais complété avec les jolies sleeves spécial Evergreen) 
La première avait été éditée par Gigamic, peut-être que ça sera pareil pour celle-ci.
On n’a pas encore testé les « grands arbres » mais « les champignons » étaient bien sympa à jouer.
Une question me vient.
Ce matin j’ai joué avec l’extension « giant trees » que j’ai trouvé vraiment pas mal. Par contre à chaque fois je me pose cette question « quel pouvoir est-ce que j’écrase au profit de la nouvelle tuile pouvoir ». Et vous ? Vous enlevez le(s)quel(s) ?
Pour ma part je tire au hasard.
Je pends une carte de chacun des pouvoirs et pouf!
J’essayerai comme ça pour voir, merci de l’idée.
Au début j’enlevais le pouvoir avec la graine parce qu’il ne me paraissait pas ouf. Finalement ces cartes viennent aussi détruire la puissance des biomes donc ça donne du peps à la mécanique.
J’avoue qu’on enlève en priorité le pouvoir Germination
Dans la même catégorie, découvert de The Phantom Of The Opera, de Geonil, un des spécialistes des jeux à deux joueurs, auteur, entre autres, de Ptolemy. Bon sang j’ai galéré à décrypter les règles… mais finalement du tout bon !
Jeu constitué de 4 « couleurs » (miroirs, chandeliers, anneau et masque) de 6 cartes (chacune de valeur 1 à 6), Trick taking avec atouts (les masques) et super atouts (changeant suivant l’emplacement de la dernière note de la partition), une valeur « critique » déclenchant un échange de une carte (deux par joueurs ?), pouvant engendrer un retournement de situation, qui double le gain ou la perte de point (note) sur une partition représentant la progression du Phantom, ce dernier devant arriver au bout suite à 2 manches de 10 cartes chacune (ouf 
).
Bah qu’une envie : y rejouer
De plus matériel très qualitatif nous imprégnant autant que possible dans le thème. Cartes increvables (texture tissé limite plastifié) à moins de les plier volontairement…
Allez faire un tour sur la page BGG, lire l’avis de MikeKoro pour plus d’info, mais aussi voir l’updated rules proposé par l’auteur suite aux retours des joueurs.
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Je ne sais plus quel scenario j’avais fait à deux, mais on a trouvé que le mal était (très) avantagé. A retester.
Je vais aller voir les scenarii en téléchargement. Merci pour l’information.
Pas mal de découvertes cools en octobre:
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Comet (VO): un jeu “initié” où l’on doit sauver des espèces préhistoriques d’une comète donc, en les conduisant en lieu sûr dans une grotte. J’étais attiré par le thème plutôt sympa et la mécanique fonctionne vraiment bien. En gros, un plateau plutôt classique avec des cases hexagonales avec des types de terrain différents à la Course vers El Dorado ou plus récemment Footprints. A chaque tour, on peut jouer une carte animal soit pour faire popper l’animal correspondant sur un nid de la carte (plus l’animal est loin de la grotte, plus il rapportera de points en le sauvant) soit pour déplacer un jeton qui matérialise l’animal à sauver sur le plateau (on en a 3 maxi sur le plateau). Les cartes sont donc à double usage, avec des icones pour les déplacements et un effet immédiat ou permanent lorsque l’animal est sauvé. C’est très fluide, malin, on essaie d’optimiser ses déplacements avec un effet de saute-mouton pour les jetons et on hésite à prendre des animaux qui font beaucoup de points ou d’autres qui vont booster nos actions. Pas révolutionnaire mais très efficace, malin avec une durée de partie raisonnable (45 minutes à 2), de l’interaction positive (sauter par dessus les jetons adverses pour aller plus vite). Bref, assez conquis par celui-ci.
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Covert (VO): un jeu de placement de dés (ouvriers) avec un thème sympa d’espionnage avec des codes à cracker, des missions à réaliser et des espions à déplacer astucieusement sur une carte pour valider les missions. Il y a encore une fois des cartes multi-usages (un principe que je trouve toujours cool dans un jeu) et la mécanique de placement de dés est assez originale.
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Inferno (VO): un peu plus lourd et intimidant que les 2 autres. C’est pourtant limpide quand on se met à jouer et le thème est finalement assez présent. Difficile à résumer en termes de mécaniques mais disons qu’il y a du placement d’ouvriers avec une gestion très originale pour les récupérer et des pistes de pêchers à monter. J’aime aussi la manière dont les 2 grosses zones du plateau interagissent entre elles: la partie haute est la ville de Florence et la partie basse, c’est l’enfer et en gros, on va accuser des pêcheurs dans la ville pour les envoyer directement en enfer. Chaque pêcheur a une couleur et on doit donc le conduire au cercle de l’enfer correspondant. Vraiment une excellente surprise aussi, celui-ci.
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Altay (VO): on revient à de l’initié avec celui-ci, du deck-building et du contrôle de territoire. J’ai craqué sur celui-ci parce que Paolo Mori (Ethnos, Libertalia…) et Ole Steiness (Champions de Midgard). Vraiment très classique globalement mais étrangement plaisant à jouer. On se fait la gueguerre, il y a de la gestion de ressources et un marché fixe pour constituer son deck. La seule originalité serait peut-être des cartes objectifs, qui, une fois validées, vont donner des bonus (bonii?) permanents, immédiats ou des scorings de fin de partie. Mon inquiétude est plutôt du côté de la variabilité, étant donnés le marché fixe de cartes et les cartes objectifs assez peu nombreuses. Donc, une bonne surprise tout de même mais à jouer avec parcimonie.
Du coup, beaucoup de vo (mais très peu de textes) parce que les sorties françaises m’ont moins enthousiasmé ces derniers temps.
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Terraforming mars automa , j’attends la fin du mois pour le prendre, ta note me donne encore plus envie 
Quelques découvertes ce mois de jeux peu récents :
- le plus addictif “Ghost fightin’ treasure Hunters” à 3 avec 2009 et 2014 : jeu coop’ dans lequel on joue des gamins qui doivent récupérer des trésors dans différentes pièces sur un plateau. Chaque partie se joue à chaque fois à pas grand chose, la pression monte au fur et à mesure avec l’apparition des fantômes à chaque tour et encore plus dès l’apparition des fantômes rouge. Les règles sont ultra simples, la mécanique également mais ça fonctionne bien pour un temps de partie de 30 min et il n’est pas simple de gagner (1V/4D pour le moment).
- Carcassonne Ombre et brouillard : carcassonne en coop’, découverte à 3 également, niveau de départ (atteindre 50 pts avant qu’il n’y ait plus de tuiles ou plus de fantômes à placer), victoire assez facile. Pas plus emballé que ça pour le moment, à voir en ajoutant les autres règles et donc de la difficulté.
- L’ascension des mangemorts : une partie à 3, un départ qui peut être mou car ça se joue au lancer de dés pour réussir à recruter des sorciers dans son équipe mais après on augmente assez vite notre pool de dés et donc nos possibilités. La partie a été plutôt sympa, un peu longue, à retenter pour voir si le temps de jeu diminue un peu maintenant que les règles sont connues.
- Dungeons, dice and danger : partie à 3, jeu à cocher sympa même si chacun fait sa tambouille (son exploration de donjon) de son côté. 2009 à adoré.
- The loop : une partie à 2, un bon casse tête pour éliminer les cubes pour éviter l’apparition d’un vortex et réaliser en même temps à avancer dans les missions. J’ai bien aimé. A refaire.
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Après un peu de réflexion, je me souviens ce que j’ai découvert.
Bien sûr j’ai découvert Endeavor eaux profondes.
Et j’en ai même fait 8 ou 10 parties déjà.
La première force de ce jeu est sa mécanique issue de son grand frère, à la fois limpide et générateur d’un moteur.
On l’a beaucoup comparé à son grand frère, en disant que ce prédécesseur est plus interactif. J’imagine que la plupart des gens pensent aux canons. Mais pour moi un autre domaine d’interactions qui est presque plus fort encore, c’est le déblocage des pistes explorations. Car partir tout seul coute trop, il faut donc attirer d’autres joueurs tout en restant majoritaire.
Dans eaux profondes, il n’y a pas de canon, mais en revanche il est possible de coopérer un peu avec un autre joueur en plaçant son sous marin sur la même case. J’ai trouvé cet aspect important surtout sur les scénarios où on ne commence pas forcément sur la même case. Cet aspect n’est présent qu’à partir de trois joueurs.
Cependant eaux profonde est aussi intéressant à deux joueurs. Dans ce cas là il va être possible d’explorer ou pas hors de portée de son adversaire, car se déplacer coute quelque chose.
Il n’est pas si simple que ça de se faire une stratégie, car tout ce qu’on fait parait peu impactant, alors qu’en fait l’impact est subtil. Dévoiler une nouvelle tuile maritime permet d’aller plus loin, mais permet aussi aux autres de le faire. Je suis aussi étonné que dans ce jeu, à la fois les animaux et les publications demandent de la ressource science. Cela fait un peu redondant.
Malgré tout j’ai toujours envie de replonger, je veux explorer la subtilité des conséquences de mes actions et aussi les 10 scénarios.
Toujours en mer, mais cette fois-ci au dessus. J’ai essayé Aegean Sea
Pour être honnête, je n’ai pas encore osé le présenter à d’autres joueurs à cause de la barrière de la langue et surtout de la barrière de Carl Chudyk 
C’est un jeu de cartes.
On choisit sa nation : Athènes, Sparte, La Crète, Ephèse et Rhodes. Et chacune d’entre elle a un pouvoir qui est très très fort et impactant ! Mais il m’a fallu 3 parties solo avant de les introduire dans mon jeu (et encore je n’ai tenté que les deux plus faciles). Chaque nation a aussi son deck propre.
L’idée est de poser des îles (cartes) sur l’un des emplacements (5 à 2 joueurs) et de les contrôler avec de la population, d’y générer des marchandises et de les ramener avec des bateaux dans notre capitale. Les points se font en fonction des ressources ramenées. Il y a 5 actions de base pour lesquelles il faut défausser une carte de la bonne couleur:
- ajouter une population à une île,
- ajouter un bateau,
- ajouter un temple (c’est une aide pour piocher plus de cartes),
- ajouter une ressource,
- ajouter une île.
Ensuite il est possible d’effectuer l’action indiquée sur la carte… …si on peut. Pas facile.
Le jeu est très mécanique, pas simple à apprendre.
C’est jeu méchant, car on peut aller piller les autres capitales. 
Je ne suis pas déçu de mon achat, je m’attendais à un jeu injouable (pas facilement jouable), mais mécaniquement intéressant, c’est exactement ce que j’ai. 
Sa particularité par rapport aux autres jeux de l’auteur est qu’il n’y a pas de démultiplication des actions dans ce jeu.
Je vais continuer de l’explorer en solo (en mode schizo), je ne suis pas sûr de pouvoir vraiment le présenter un jour à d’autres joueurs. Un peu comme impulse du même auteur.
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