J’ai retrouvé l’article en question, c’était tout simplement le texte de Bruno Cathala pour parler de l’extension “La Cour” qu’ils ont rendus dispo en Print n Play gratos pendant le confinement… Ça illustre qu’en tant qu’auteur il a tout simplement envie de créer mais que ce n’était pas si simple une fois qu’il avait créé de commercialiser sa création (voir l’article en question) car celle ci ne rentrait pas forcément dans les “cases” du marché… Ils ont donc décidé de la sortir en PnP gratuit… avant quelques années plus tard de ressortir cette extension officiellement dans Kingdomino Origins c’est vrai mais je trouve cette histoire intéressante car je pense que sincèrement les auteurs ont leurs “chouchous” et envie de les développer au maximum quitte à en sortir “trop” d’extensions et de V2. Après le point de vue de l’éditeur est forcément différent : il doit vendre et peut donc être tenté de surfé sur la vague d’un précédent succès tout en faisant attention au syndrome “Dents de la Mer 30, le Retour de la vengeance absolue” dont plus personne n’a quelque chose à faire… ^^
Oui une fois. Pas deux. J’ai jamais été très tolérant avec les opinions extrêmes. Ou les cons. Ceci n’étant pas mutuellement exclusif d’ailleurs… mais on s’éloigne du sujet.
Une fois n’est pas coutume je vais me citer moi même
Petit passage sur Facebook sur un groupe bien connu de ludistes et bim petite publication sur cette fameuse pile.
Bon les réponses sont effarantes (à mon sens). C’est ce que je disais mon raisonnement est trop micro…
Mais en tout cas ce concept m’échappe complètement. Comment se dire je vais continuer d’acheter des jeux alors qu’il n en a X qu’on a déjà pas réussi à sortir ?
J’aimerais avoir ta volonté.
Pareil, même parfois quand j’ai achete 5-6 jeux d’un coup, ils sont joué dans la semaine
Jamais attendu plus de 2-3 jours pour tester une nouveauté
BlackBook Editions en redressement judiciaire
Je connais rien de ce qu’ils produisaient 
C’est l’éditeur de Casus Belli new generation et d’un tas de JdR
Aïe ! Pourtant je les croyais solides, surtout depuis le redémarrage du JdR. Triste nouvelle.
C’était pas déjà annoncé ? Je pensais que c’était déjà terminé.
Je viens de lire, ça a l’air sain et ils ont l’air d’avoir la tête sur les épaules même si j’imagine bien que les épaules doivent être lourdes…
Autre vidéo très intéressante qui mériterait peut être d’ouvrir un topic dédié :
Deux questions un peu à coté du sujet, quoique…
Vu la quantité de jeux qui sortent de nos jours, ils est tout à fait possible de tomber sur des jeux portant le même titre. Je pense pas exemple à la réédition de Bora-Bora de S. Feld, devenue curieusement Cuzco, qui est aussi le nom d’un jeu du duo Kramer-Kiesling (réédition de Java certes, mais c’est un autre sujet). Je viens de voir la sortie prochaine de Mordred, un jeu dont A. Chiarvesio (Kingsburg) est co-auteur, mais Mordred, c’est aussi le nom d’un jeu de Martin Wallace.
Première question : Connaissez-vous d’autres exemples comme ceux-là ?
Deuxième question : Quelqu’un sait ce que dit la législation sur les titres de jeux ? Qu’est-ce qui m’empêcherait de sortir un jeu s’appelant Brass ou Carcassonne ? Il y a du copyright normalement…
Je pense que c’est plus de la marque déposée (ou trademark en anglais) que du copyright. Donc à moins que le nom soit déposé, il ne devrait pas y avoir de soucis. Ça doit être la même chose pour les films ou les livres.
İl y a également deux boomerang.
Quoiqu’il en soit il est certain que les éditeurs ne déposent pas une marque pour chaque jeu…
Et d’autres plus sournois :
Baron/Le baron
Famiglia/La famiglia
Bonjour,
Si on cherche un jeu sur BGG, c’est souvent le cas.
Par exemple, il y a sept résultats pour Expedition.
Hop !
Avoir un nom déposé ne suffit pas.
Quand j’ai monté ma boîte, on avait pensé à un nom, je suis allé à l’inpi et ce nom était déjà déposé une vingtaine de fois pour le même secteur d’activité !
C’est assez compliqué, si cela se trouve, Carcassonne n’est pas déposé pour le jeu de société. Mais, même si on le dépose, vu l’antériorité du jeu que nous connaissons, ce dépôt pourrait avoir peu de valeur et, de plus on pourrait être accusé de parasitisme commercial (oui… c’est interdit !).
Enfin, tout ça c’est ce que j’ai retenu du discours d’avocat sur le sujet il y a 35 ans. Cela n’a pas dû profondément changer.
A l’époque, Identik avait du changer de nom
Oui, mais ce n’était pas par doublon de nom de jeu dans le monde ludique.