Dragons Down - Un royaume qu'il est magique!

Amis, Kubenbois et Eurogamers, au revoir ! Ce sujet est réservé aux amateurs d’épées dans le bide, de dés qui roulent en dehors de la table et de monstres qui vous trucident la gueule !

Bon, désolé si j’y suis allé un peu fort, mais aujourd’hui, c’est bien dans l’Ameritrash que nous nous aventurons. Mais attention, car il s’agit d’Ameritrash élégant et subtile, de quoi faire passer vos ringards de jeux tableaux Excel pour des… pour des… !!!

expiration du narrateur

Pardon, donnez-moi deux secondes. Un petit poney qui broute dans la prairie. Un petit poney qui broute dans la prairie. Un petit poney…

Vous êtes toujours là ? Parce que je suis calmé, maintenant, on peut continuer !

Introduction

Ce qu’il faut savoir avant tout, c’est que le jeu dont je vais vous parler, est la réédition d’un jeu.
En fait, non, ce n’est pas la réédition d’un jeu. C’est plutôt la mise à jour d’un jeu.
En fait, pas complètement. On dira plutôt qu’il s’inspire d’un jeu vieux de plus de 40 ans. Je veux, bien entendu, parler du légendaire Magic Realm !

Vous connaissez Magic Realm ? Si oui, c’est normal, car c’est un jeu incroyable. Si non, c’est normal aussi car personne ne le connaît. Est-ce que je suis bien clair ? Tant pis parce que j’ai pas le temps de l’être plus, alors on continue.

Dans Magic Realm, on incarnait un personnage très archétype, tels que le chevalier blanc, le barbare, l’amazone le sorcier, etc. On parcourait un royaume magique et dangereux dans la forêt, en quête de gloire et de renommée. On combattait des monstres grâce à des armes et des armures, on trouvait des trésors cachés et on apprenait des pouvoirs magiques. Bref, la vie d’aventurier, quoi. Mais le jeu était horriblement compliqué, bourré de cas spéciaux et de micro-règles qui abaissaient Mage Knight au rang de jeu de l’oie, en comparaison. Si, si, vous m’avez bien lu !

En plus d’être d’une complexité démesurée, ce cher Magic Realm ne se trouve plus nulle part aujourd’hui, à moins d’avoir quelques organes (les vôtres ou pas, je m’en fous) à revendre sur le bon coin pour vous acquitter de son prix d’or sur le marché de l’occasion.
C’est pour cette raison qu’un auteur, qui a d’ailleurs donné naissance à Hellenica, a eu la géniale idée de redonner vie à ce jeu en en faisant sa propre version, simplifiée, modernisée et avec un matériel plus qualitatif. Et cette version s’appelle Dragons Down !

Mais qu’est-ce que Dragons Down ?

A l’instar de Magic Realm, Dragons Down nous met dans la peau d’un héros en début de carrière, c’est-à-dire avec un équipement sommaire, quelques piécettes et éventuellement deux trois sorts de connus. Mais pas la peine de chercher à signer des autographes, tout le monde s’en foutra car le monde ne vous connaît pas ! Cette légende si chère à votre cœur, cela sera à vous de l’arracher, en l’espace d’un mois seulement, en affrontant le redoutable royaume de Dragons Down !

Qu’est-ce qu’il a de redoutable, ce royaume ? Eh ben c’est simple, il y a des monstres partout. Des chauve-souris géantes, des orques à l’haleine putride, des trolls poilus et, naturellement, des dragons. Et tout ce beau monde ne vous veut pas du bien, croyez-moi. Sans doute pensent-ils que vous en voulez à leurs trésors, et à juste titre.
Heureusement, le royaume abrite quelques communautés isolées où vous pourrez vous reposer, acheter ou vendre de l’équipement et accepter des quêtes périlleuses.

Mais par quoi on commence, dans tout ça ? Eh bien on s’attèle à créer le royaume en premier temps. Le royaume est composée de tuiles, chacune abritant des clairières reliées entre elles par des sentiers. Selon la façon dont vous placez ces tuiles, vous aurez un royaume différent à chaque partie, comme celui-ci, par exemple :

Dans cet exemple, le royaume est de taille moyenne, mais selon vos préférences, sa taille peut être adaptée.

Ensuite, vous vous montez un personnage. Pour cela, il vous faudra choisir une race (humain, elfe, nain ou halfelin) ainsi qu’une classe (chevalier, barbare, prêtre, sorcier etc.). Comme chaque race et classe a ses propres avantages et capacités, vous aurez le choix entre un bon nombre de combinaison.
Du côté des races. par exemple, les humains sont rapides en attaque et à l’aise dans les communautés du royaume ; les nains voyagent sous terre sans problème et sont robustes ; les halfelins esquivent bien les attaques et se font rarement repérer et les elfes, en plus de savoir composer de jolis bouquets de fleurs, ont un don inné pour la magie.
Pour ce qui est des classes, le barbare est ultra costaud et fouille efficacement en zone montagneuse ; le chevalier récupère vite de ses blessures, le sorcier peut balancer des boules de feu ; le prêtre peut se soigner et est efficace contre les morts-vivants ; le roublard esquive tout et fuit facilement les combats qui ne sont pas à son avantage ; le guerrier peut changer d’arme en un clin d’œil durant les combats pour s’adapter à ses ennemis etc.
Selon sa race et sa classe, votre personnage aura même des valeurs d’intelligence, de sagesse et de charisme qui lui seront utiles pour négocier le prix d’objets chez les marchands ainsi qu’obtenir des récompenses supplémentaires en accomplissant une mission.

Dans l’image ci-dessous, vous pouvez voir un druide humain, une halfeline barbare et une elfe chevalier.

Maintenant que le royaume et votre personnage sont prêts, vous allez enfin pouvoir commencer l’aventure. Et là, si c’est votre première partie, vous vous demanderez : “Mais bon sang, qu’est-ce que je fais ?”.
Eh oui, Dragons Down est un jeu de type sandbox. Cela veut dire que vous n’aurez pas de chemin prédéfini à suivre. Il faudra vous débrouiller pour accumuler ces points de Légende indispensables à la victoire.
D’ailleurs, voyons les différentes façons d’en gagner :

  • Tuer des monstres
  • Dénicher des trésors épiques
  • Accomplir des missions
  • Trouver l’entrée secrète de lieux mystérieux
  • Se faire récompenser d’un titre par les habitants d’une communauté

Et d’autres petits moyens.

Le problème, c’est qu’il ne suffit pas de choisir l’une de ces options pour ramasser le pactole : ça sera toujours plus compliqué que ça.
Vous voulez tuer des monstres, par exemple ? Dans ce cas, il faudra attendre qu’eux vous tombe dessus, car ils ne vous attendront pas au détour d’une clairière.
Vous voulez mettre la main sur de supers trésors ? Dans ce cas, il vous faudra trouver les cachettes secrètes et les explorer pour en remonter des objets, en partant du principe que vous n’aurez pas été tué par le gardien entre-temps.
Vous aurez de la planche sur le pain, en somme !

Baston !

De toute façon, quelle que sera votre voie, vous vous retrouverez tôt ou tard face à une ou plusieurs créatures.
Et là, mes amis, je risque de briser vos fantasmes, car votre héros est loin d’être un demi-dieu capable de résister à tout danger. La réalité, c’est qu’il y aura plein de combats qu’il vous faudra éviter, car votre héros n’aura pas l’arme adéquate, sera dévêtu de toute armure, ne sera pas sur ses gardes ou ne fera pas le poids, tout simplement
Cela signifie que la plupart du temps, vous vous cacherez quand surgiront des monstres. Ainsi, vous n’aurez pas à les affronter, ou alors vous pourrez leur tendre une embuscade. Mais il vous faudra toujours y réfléchir deux fois, avant de vous précipiter dans la bataille, car les conséquences pourraient être funestes. D’ailleurs, ce que l’on disait pour Magic Realm s’applique également pour Dragons Down : avant de chercher à remporter la partie, le joueur débutant devrait d’abord chercher à rester en vie !

Mais ne vous inquiétez pas, il y aura des combats auxquels vous participerez, parce que si vous ne vous battez jamais, le monde ne se souviendra pas de vous, non mais !
Quand combat il y aura, faire preuve de subtilité il vous faudra ! Voyons un peu comment ça marche.

Votre héros possède différents cubes, sur sa fiche : des cubes de force, des cubes de vitesse et des cubes de magie. A moins que votre héros n’ait pris la peine de se mettre en alerte au préalable, vous ne pourrez utiliser que cinq cubes par tour. Cela veut dire que vous devrez répartir vos cubes selon votre façon d’agir.
Pour commencer, si votre arme est lourde, il vous faudra employer beaucoup de force, ce qui limitera le reste.
Et pour ce qui est de la vitesse, il faudra aussi la répartir, car la vitesse sert aussi bien à frapper vite qu’à esquiver. Si vous misez sur la vitesse de frappe, vous aurez plus de chance de toucher votre ennemi mais moins d’éviter son attaque, et inversement si vous misez sur l’esquive (appelé la vitesse de manœuvre).
Ces décisions dépendront à la fois des capacités de votre héros mais aussi des ennemis qu’ils affrontent, car ces derniers ont aussi leur propre force, leur vitesse de frappe et d’esquive. Les chauves-souris géantes sont horriblement difficiles à toucher, mais elles n’infligent que peu de dégâts. Les géants, eux, sont d’une lenteur affligeante mais vous ratatineront si votre jeu de jambe n’est pas à la hauteur. Et certains monstres… ben ils savent à peu près tout faire.

Ici, nous avons un ours-hibou (si vous avez déjà joué à Dungeons et Dragons, vous connaissez), d’une force plutôt conséquente (chiffre 3 sur le carré rouge) et à la tactique défensive (0 en vitesse de frappe et 2 en vitesse de manœuvre).
A droite, il s’agit d’un redoutable démon, capable de déclencher des tremblements de terre tuant toutes les créatures qui ne volent pas (et ça tombe mal, parce que lui vole), avec des vitesses conséquentes aussi bien en attaque qu’en défense.
Et en dessous, nous avons la redoutable Wyverne, sans réel point faible, forte, rapide et ultra résistante : un cauchemar.

Et comment meurt-on ? Eh bien c’est simple : quand nous nous prenons des coups, notre armure amortit le choc, ce qui cause des blessures sans réelles gravité mais qui affaibliront notre héros. L’ennui, c’est que les coups des monstres sont parfois si violents qu’ils détruisent notre armure. Et si nous n’avons plus d’armure, alors nous courons un grave danger, parce qu’à partir de cet instant, la moindre blessure peut devenir fatale. Votre maman vous rabattait les oreilles avec ça quand vous étiez petit mais il est temps de l’écouter à présent : sortez toujours couvert !

Et si l’on meurt, c’est le Game Over (appréciez cette rime subtile) ? Eh bien… ça dépend. En rendant son dernier souffle, votre héros perd une importante quantité de points qui peut, anéantir vos chances de succès. Après cela, vous aurez la possibilité de continuer la partie avec un nouveau personnage.
Pour ma part, j’ai décidé que la mort signifiait la défaite immédiate, dans mes parties, car cela me plaît davantage sur le plan thématique.

Avant de passer à la suite, il se peut que vous vous demandiez si l’on peut attaquer les autres joueurs, dans le jeu.

Ah pardon, vous attendiez une réponse ? Eh bien cela dépend de ce que vous décidez en début de partie, car cela utilise des règles différentes. Mais comme il y a déjà beaucoup à combattre dans le royaume, je ne suis pas sûr que tous les joueurs trouvent cela pertinent. Par contre, il est possible de s’entraider durant les combats, mais souvenez-vous : cela sera celui qui portera le coup fatal au monstre qui empochera les points de victoire !

Et comment on gagne ?

Là aussi, cela dépend, parce qu’il y a différentes façons de jouer.

Première façon : le mode sanbox, où vous concevez votre royaume comme vous le voulez et où le but est d’avoir plus de points Légende que ses adversaires à la fin. Si vous jouez en solo, comme il n’y a pas de héros ennemi, vous devez atteindre 20 ou 30 points de Légende, selon la difficulté choisie. Mais il y a aussi une autre option, que vous découvrirez plus bas.

Deuxième façon : vous jouez à un scénario proposé du jeu. Les scénarios sont plus dirigistes, avec des règles spéciales et des mises en place un peu plus strictes. Certains scénarios sont compétitifs, d’autres purement solo et il y en a un qui est coopératif.

Pour ma part, je ne joue qu’au mode sandbox dont j’apprécie la richesse et la liberté octroyée.

Bonus pour les joueurs solo

Si vous consultez la page BGG du jeu, vous verrez que Dragons Down est vivement recommandé pour le solo, et à juste titre, car comme je l’ai dit plus haut, les dangers du royaume sont si nombreux que l’on n’a absolument pas besoin d’adversaire pour venir nous embêter.

Il y a cependant un hic, mais celui-ci est purement personnel. Voyez, bien qu’étant un adorateur du mode sandbox, je ne suis pas trop client des conditions de victoire en solo, à savoir que le jeu nous demande d’accumuler 20 ou 30 points de Légende avant la fin de la partie.
Le premier problème pour moi est qu’une fois que l’on a un peu d’expérience avec le jeu, il n’est plus très difficile de marquer 30 points, ce qui transforme le mode en genre de Beat Your Own Score. Et le deuxième problème est encore plus dérangeant : imaginez que vous ayez atteint le score requis plusieurs tours avant la fin de la partie, à quoi bon continuer ? A moins d’aimer battre ses propres records, il n’y a pas trop d’intérêt.

C’est pour ça que j’ai conçu ma variante personnelle : les Rumeurs. Avec cette variante, le but n’est plus d’atteindre 20 ou 30 points de Légende, mais de battre un score adverse qui évolue en cours de partie.
Pour cela, on utilise sept cartes Rumeurs à imprimer que l’on pioche à la fin de chaque tour. Ces cartes vérifient si notre héros est suffisamment courageux ou s’il passe son temps à boire des bières à l’auberge (oui, bon, je caricature un peu). Bref, selon la rumeur tirée et la situation de votre héros, une opposition fictive va gagner des points de Légende, et cela sera ce score qu’il faudra battre, à la toute fin.
Avec les cartes Rumeurs, vous conservez votre liberté d’agir comme bon vous semble dans le royaume et aurez quelques moyens à disposition de limiter le gain de points de l’opposition.
Cela fait plus de 20 parties que je teste ces cartes et elles fonctionnent très bien à mon goût, sans compter que vous pourrez choisir votre niveau de difficulté.

Voici la variante à découvrir ici !

Ah, et peut-être un avertissement…

Vous l’aurez peut-être pressenti, mais Dragons Down est un jeu que j’apprécie énormément. Néanmoins, il est de mon devoir d’attirer votre attention sur certains points :

  1. Le jeu est en anglais uniquement, et je doute fortement qu’il soit traduit un jour.
  2. Les règles sont… je ne dirais pas catastrophique parce qu’en soi, elles contiennent toutes les informations. Mais diantre, elles ne sont pas des plus intuitives et pas si bien structurées. Attendez-vous à passer beaucoup de temps dedans lors de vos premières parties. Et n’hésitez pas à me poser des questions ici, je serais ravi (je pense) d’y répondre. :grin:
  3. La boîte a été étrangement conçue pour accueillir le matériel, car si les cartes trouvent parfaitement leur place, les tuiles possèdent un espace réservé qui n’est pas assez profond. Du coup, certaines tuiles déborderont. Mais ne vous inquiétez pas : cela ne vous empêchera pas de refermer la boîte pour autant !

Où se procurer le jeu ?

Le jeu est issu d’un Kickstarter dont j’ignorais totalement l’existence. Mais grâce aux tuyaux de notre amie @earwen, j’ai pu me procurer un exemplaire. Sauf que, maintenant, il n’y en a plus beaucoup. C’est pour ça que je vous invite à suivre le Kickstarter de Dragons Down qui débutera le 5 janvier, cette année ! La campagne servira notamment à sortir une nouvelle extension mais donnera aussi la possibilité de se procurer le jeu ainsi que son extension déjà existante (qui rajoute un contenu très chouette). Alors réfléchissez bien !


C’est ainsi que se termine mon long article. Pfiou, j’en avais plus fait comme ça depuis longtemps. J’espère qu’il vous aura plu et aidé à vous faire une idée de ce qu’est Dragons Down.

Je suis à votre disposition pour répondre aux que… Non, en vrai je suis pas du tout à votre disposition, je répondrai à vos questions si j’en ai envie seulement, alors posez-moi des questions intelligentes et pertinentes, s’il vous plaît, sinon je me fâââââââââche !

Allez, à bientôt les amis ! :kissing_heart:

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Bonjour,

Merci pour ce bel article qui m’a donné très envie de… ressortir Magic Realm !

Un peu dans la même veine (c’est le plateau de jeu qui a des similitude)

mais en beaucoup plus simple, il y a Return of the heroes dont j’ai fait une VF intégrale.
Il s’agit d’accomplir des quêtes et ensuite de vaincre L’Innommable.

Hop !

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Ah oui, avec les fameuses clairières. :grin:

Joli visuel, en tout cas, l’enfant que j’étais en serait tombé amoureux !

Oooh Rückkehr der Helden j’en ai de très bons souvenirs ! :star_struck:

C’est fait en MP. :wink:

Bravo pour ton article !! :star:

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Les photos sont à toi ou c’est bgg ?

Sympa, merci pour toutes ces informations.

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La table en bleu, c’est BGG et les autres, c’est moi. :wink:

Si tu peux remplacer la photo BGG par une photo à toi on pourra passer ton article en une :grin: (pour des questions de droit, évidemment)

Je m’en charge ! :smiley:

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Premier article de l’année, et quel article ! Du beau moubourrage en règle comme on n’en n’avait pas eu depuis longtemps !

(Mais que font @hadoken et @harry-cover ?)

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Certes mais ce qui est dommage c’est que c’est un jeu que l’on ne peut pas se procurer…
Du moufrustage en quelque sorte.

Hop !

Merci !! :smiling_face_with_three_hearts:

Alors ça y est, j’ai changé l’image du plateau par une des miennes, sur sa nappe non repassée et couverte de poils de chat. :partying_face:

J’en ai profité aussi pour ajouter quelques avertissements, concernant les règles, notamment.

Finalement, j’espère que je n’ai pas laissé trop de fautes d’haurteaugrafe… :grimacing:

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Si Ks ce mois-ci

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J’imagine que tu parles en tant que personne qui ne participe pas aux campagnes Kickstarter, ce qui est tout à fait respectable.

Après, le jeu Hellenica du même auteur et éditeur a fini par rejoindre le catalogue Philibert, alors qu’à mon sens, ce jeu ne touchera jamais autant de joueurs que Dragons Down.

On peut donc imaginer que Dragons Down sera disponible un jour dans certaines boutiques en ligne !

J’adore ta photo :wink:

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Oui, c’est ce que je dis.

Oui, un jeu qui va être sur KS n’est pas un jeu “disponible”.

En effet, je surveille toujours de ce côté là ou sur l’occasion.

Hop !

Merci pour cet excellent article. Je vais surveiller ce Kickstarter car j’avais été frileux sur le 1er.

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C’est moi qui suis parano ou les illustration font très « ia » ?