Voire carrément un article 
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Allez, je m’y mets !
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On s’est refait une soirée -span. C’est à dire un enchaînement de Wyrmspan et de Wingspan. Et @babarounet m’a chauffée avec sa question sur les impressions sur les deux jeux alors j’ai pris ma plume 
Wingspan ET Wyrmspan !
Je craignais que Wyrmspan me détourne de Wingspan. Ça m’aurait bien fait suer de le préférer au point de devoir revendre la totale, jeu de base & extensions, juste pour des dragons aux yeux plus scintillants. J’y suis tout de même allée plus par curiosité que par enthousiasme, plus par attachement à la gamme que par envie.
Mais j’y vais franco, pas par quatre chemins : après une dizaine de parties Wyrmspan n’a pas détrôné Wingspan. Wyrmspan n’est pas meilleur, il n’est pas juste différent, il est un complément.
Pour une remise en contexte avant la suite, Wingspan est le jeu que j’ai le plus joué de ma ludothèque. 43 parties enregistrées depuis novembre 2019. Joué dans toutes les configurations, du solo à 5 joueurs. J’ai une petite préférence pour le deck Asie qui pour moi est le plus abouti et fun à jouer.
43 parties vs. 10
Oiseaux vs. dragons
Hargrave vs. Vogelmann
Et en conclusion…
Ce que Wingspan a que Wyrmspan n’a pas.
- Une ambiance zen, l’esprit nature et « je prends mon temps » au point de lire les petites anecdotes des cartes ou de sortir l’application qui fait cui-cui.
- Un plateau bleu, souvent oublié, qui contrebalance le défaut des objectifs au regard de la rivière ou des mains lorsque ces dernières ont eu un tirage faiblard. En effet l’écart des PV obtenus y est moins punitif qu’avec le vert pour cet élément hasardeux du jeu.
- Des objectifs communs ET personnels qui rendent satisfaisant la trouvaille de la carte aux cinq pattes palmées qui répond à tout !
- Une gestion de la nourriture parfois ardue qu’il faut alors calculer au millimètre près et qui oblige à changer ses plans pourtant bien ficelés.
- Des combos créés sur chacune des lignes d’action. Est-ce que je spécialise cette ligne pour avoir encore plus de nourriture, encore plus de cartes ou d’œufs ? Est-ce que j’optimise celle-ci en gain de PV de fin de partie en stockant un maximum de jetons nourriture ou de cartes ? Ou est-ce que j’entrecroise les activations de cartes pour que chaque ligne m’apporte un peu de tout ? Que de choix différents variant les parties.
Ce que Wyrmspan a et pas Wingspan
- Des jetons d’action qui temporisent les actions surgonflées. Une gestion à réfléchir, sans prise de tête, une sorte de budget, mais surtout… quel plaisir lorsque notre réserve se voit gagner de nouveaux jetons action pour la manche en cours. « Et hop +1, et +1 encore » sous les yeux envieux des adversaires. On se sent plus fort, indéniablement.
- Une guilde, à la fois piste de bonus et course aux avantages. Alors on tourne autour, vite, encore plus vite. On surveille les autres, on surveille leur avancée. Car il faut être dans les premiers pour obtenir les meilleurs avantages.
- Une montée en puissance qui débloquera par divers mécanismes le manque de cartes, nourriture ou œufs qui se débloquent. Aussi si le piège de l’auto-blocage a été évité grâce à un savant équilibre des éléments en main la disette se transforme en combo satisfaisant, gratifiant, survitaminé et le reste de la partie sera une gestion aisée et plaisante du tout.
- Des dragonnets. La belle surprise et un effet de carte jamais vu ! Une condition offrant des PV de fin de partie et un gain immédiat en ressource et qui à la troisième itération libère un super-gain. Et s’ils sont si mignons c’est pour faire comme tout bébé mammifère : qu’on s’occupe d’eux, qu’on les protège, qu’on les nourrisse pour les faire arriver à l’âge adulte.
De Wingspan à Wyrmspan puis de Wyrmspan à Wingspan
Basé à 80% sur les mêmes mécaniques Wyrmspan n’est pourtant pas un Wingspan+. Wyrmspan n’est pas non plus une V2. C’est une proposition qui offre des sensations de jeu bien différentes. Et c’est là un beau tour de force !
Wyrmspan ne rend pas Wingspan moins bon et j’ose dire, au contraire même !
Je m’explique… il m’arrive d’enchaîner une partie de Wyrmspan puis une partie de Wingspan. J’en ai même trouvé un certain plaisir à ces soirées spéciales -span.
Passer de la mécanique de Wyrmspan à celle de Wingspan rend les choix stratégiques plus visibles, plus fluides et plus évidents. Bon, « stratégie » n’est pas tout à fait le mot adéquat pour Wingspan mais disons qu’après une partie de Wyrmspan la tactique à développer dans Wingspan est davantage à long cours.
Et donc si c’est « au contraire » c’est que, pour moi, Wyrmspan a redonné un coup de boost à mes parties de Wingspan en les rendant meilleure qu’auparavant.
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Récemment, un petit tournoi de Mémoire 44 avec des potes. 10 joueurs, 5 boites, on se fait 2 parties aller retour en mode les gagnants affrontent les gagnants et les perdants affrontent les perdants. Chaque partie se joue en parallèle sur la même carte. On joue d’abord le scénario de la troué de Saverne parce qu’on est situé juste à coté, puis un 2eme dont j’ai oublié le nom.
Puis on enchaine sur des demi finales pour les 4 meilleurs joueurs.
Mes 2 1ere parties se passent bien, j’enchaine les victoires donc je suis qualifié pour les demis. La 1ere manche des demi finales est top, on joue la Libération de Paris, scénario très déséquilibré, je gagne 5 médailles VS 1. Je suis donc très bien parti mais je sais que tout peut basculer. Et c’est exactement ce qui arrive, je me prends un 5 vs 0 en 3 tours de jeu (seulement 2 pour moi). Je ne peux rien faire, je n’ai que des cartes pour attaquer à gauche ou il n’y a rien et pas de cartes pour attaquer à droite ou j’ai des chars. Mon adversaires me sort 2 percées de blindés et une action héroique, il me prend 5 médailles en 3 tours, fin de la partie 
Jamais vu ca une branlée pareille. Pourtant, j’en ai des parties au compteur ^^
Une partie de The Gang, un jeu qui ne devrait pas tarder à sortir chez IELLO. Il s’agit d’un jeu de poker coopératif. Nous sommes 6 joueurs et l’idée est de trouver le classement des mains dans le bon ordre en fin de partie. Pour ca, on joue une partie de poker normale.
On distribue 2 cartes à chaque joueur puis chaque joueur prend un jeton posé sur la table qui indique sa force à ce moment du jeu.
Par exemple à 6 joueurs, on avait 6 jetons (valeurs 1, 2, 3, 4, 5, 6). Si j’ai un 7 2, je vais plutôt prendre le jeton 1, si j’ai une paire d’As, le jeton 6. Bref, on peut se reprendre les jetons entre nous, le 1er tour se termine quand tous les joueurs se sont mis d’accord et chaque joueur possède 1 jeton devant lui. bien sur, toute communication est interdite.
Ensuite, 2eme manche, on découvre le flop et on recommence avec des nouveaux jetons de 1 à 6 (à 6 joueurs)
Même chose pour la turn.
Et enfin à la River, chaque joueur va prendre un dernier jeton et c’est celui ci qui doit etre juste. Les autres jetons pris précédemment ne sont la que pour indiquer notre puissance au moment ou on a pris le jeton.
On révèle les cartes et on vérifie qu’on a le bon ordre de la plus petite main à la plus grosse.
Une espèce de The Mind version poker avec un peu plus de matière pour prendre des décisions. Simple, rapide et efficace, très sympa.
Une partie de Bloodbowl avec mes Lézards contre des Chaos. On se fait un petit championnat entre potes à 4 joueurs avec 2 équipes chacun. Une partie ou les dés de blocage seront bénis pour moi. J’enchaine les flashs et je mets mes adversaires à terre à chaque blocage mais par contre, je ne passe aucune armure. Mon adversaire lui, c’est le contraire. Il a des très mauvais jets de dés mais quand ca passe, c’est la blessure directe malgré mes armures 10.
A part se taper dessus, on joue aussi un peu avec le ballon et pour ca, les lézards avec leur mouvement 8 sont des champions. Les pauvres chaos avec leur mouvement 6 ont bien du mal à m’empêcher de passer et c’est le 2 - 0 en fin de match. Je n’ai laissé aucune chance à mon adversaire qui a eu quelques bons jets de dés bien pourris. Si je jouais chaque match comme celui la, je serai champion d’office 
Une partie des Rats de Wistar à 3 joueurs. Je découvre. L’explication commence bien, le système d’action à l’air super sympa avec les actions que l’on répète en fonction du nombre d’ouvriers dessus et la possibilité de les déplacer. La partie exploration de la maison à l’air sympa aussi. C’est simple, fluide, interactif, lisible. Et malheureusement arrive la mauvaise surprise, une bonne centaine de cartes, toutes différentes avec des icones dans tous les sens. Elles sont sensées comboter ou pas. Illisible. Je n’ai jamais aimé ce type de jeu et j’ai vraiment l’impression qu’il n’y a plus que ca qui sort aujourd’hui, je ne supporte plus. Seul point positif, y’a pas de deckbuilding dans celui la.
Et effectivement, en fin de partie, j’ai pris beaucoup de plaisir avec le système d’action, c’était vraiment sympa. Assez opportuniste, on se prend les actions intéressantes restantes à notre tour mais on n’est jamais bloqué. Les bonus gagnés à droite à gauche sont assez hasardeux mais ils ne sont pas très puissants donc rien qui bouleverse une partie. Tout est bien pensé. Et puis il y a toutes ces cartes qui gâchent tout, dommage. C’est rédhibitoire pour moi mais le jeu à l’air vraiment très bon pour qui aime.
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Du coup ce soir on a joué à… Tyrants of the Underdark !
3 joueurs. J’avais un souvenir mitigé de ma 1e partie (y’a longtemps, sans doute à la sortie en 2016) mais celle-ci m’a bien donné envie d’aller voir plus loin.
On a vraiment fait 3 strat différentes : un camarade assassinait et promouvait beaucoup mais se plaçait peu, l’autre a souvent contrôlé 3 villes avec pas mal de contrôle total, tandis que je me plaçais énormément mais de manière bien plus pacifique. J’avais surtout moins de cartes pour promouvoir, ça me coûtera cher à l’arrivée. Le vainqueur marquera 30pts de cartes promues !
On finit avec un petit Faraway des familles, toujours aussi sympa !
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Découverte (on n’arrête plus, deux en deux semaines) d’Hégémonie à trois. Alors, là, on n’est plus dans le classique allemand mais dans une toute autre dimension, du moins en apparence.
Il s’agit donc d’un jeu sur la lutte des classes qui transpire son thème : le rouge représente vraiment qqch et jouer le bleu met encore plus le seum que de manipuler cette horrible couleur (oui, je joue rouge normalement, et oui j’étais le capitaliste dans cette partie). Chaque joueur incarne un rôle aux mécaniques propres : classe laborieuse en rouge, capitaliste en bleu (donc) et la classe moyenne en jaune (
).
L’objectif du prolétariat est d’accroitre son bien-être en récupérant des ressources auprès de l’Etat (neutre à trois, mais incarné par un joueur à quatre) et/ou du capitaliste. Celui du capitaliste est d’amasser le plus d’argent possible, principalement en créant des entreprises qui, occupées par les prolétaires, généreront des ressources. Ces dernières seront vendues à ce même prolétariat ou à l’export. Le capitaliste devra bien sûr payer les salaires et les taxes avant de pourvoir épargner. Et c’est cette épargne qui en fin de tour lui octroiera des points de victoire. La classe moyenne, quant à elle, emprunte ses mécaniques à ces deux classes : elle doit augmenter son bien-être tout créant des entreprises et en accumulant de l’argent. Elle joue également le rôle pas facile d’arbitre : elle doit à la fois générer ses ressources et payer des taxes pour les micro-entreprises qu’elle crée.
En pratique, la mécanique sous-jacente consiste à jouer des cartes (propres à chaque classe) soit pour leur pouvoir soit pour des actions “de base” (une petite demi-douzaine qd mm, propres à chq classe aussi).
Et, enfin, le truc hyper malin et qui pour moi est l’idée du jeu, c’est le tableau des lois. Ce sont 7 jauges de trois niveaux chacune qui vont avoir une influence sur tous les aspects du jeu : coûts des ressources fournies par l’Etat, niveau des taxes, niveau du salaire minimum, niveau de l’emploi public, niveau de protectionnisme (import/export et immigration). Evidemment, ces trois niveaux correspondent pour un extrême au libéralisme effréné, pour l’autre à un étatisme forcené. Avec une fois de plus un entre-deux plutôt favorable aux classes moyennes.
Et une fois la pénible mise en place faite qu’est-ce que ça donne ? Beaucoup, beaucoup de trashtalk : et vazy que je traite de macroniste parce que tu joues jaune avec tes startups et vazy que je te traite de macroniste parce que tu joues bleu et que tu baisses les salaires, et vazy que je traite de macroniste, juste pour le fun. Bref, vous voyez l’idée. On parle évidemment de politique et d’anecdotes amusantes. Mais, c’est nous qui faisons le show, pas le jeu qui ne raconte pas des masses de choses et ne gère pas d’histoire.
Et ça nous amène aux trois problèmes que je vois après cette première partie :
1/le jeu est long (au moins 5h sur notre partie) et comme il n’est porté par un souffle épique ni des négociations enflammées, il en devient un peu rébarbatif ;
2/ c’est un bordel de p* d’euro dans lequel on finit par faire des calculs d’épicier pour optimiser ses points et pousser le curseur dans le bon sens pour en grapiller qquns, pour être juste où il faut en bénéfices pour éviter de perdre de l’argent en subissant l’effet de seuil des niveaux de taxes, pour avoir le bon compte d’actions pour poser une carte et y mettre les bons meeples etc ;
3/ mécaniquement, j’ai trouvé certaines choses un peu faibles or comme c’est euro ça gène : l’intervention du FMI, la gestion des stocks et du prix de revient, les niveaux de taxe non linéaires, les grèves ou la manif sans impact.
Donc, oui, le jeu a un thème fort qui le porte, mais non on ne “vit” pas la lutte des classes. Il n’y a pas de lutte, ni même de confrontation et ou un début de négociation : il y a des actions à optimiser pour gagner des points. Il y a une certaine intrication des rôles, c’est tout. Le jeu est ainsi tout le temps pris entre son thème super fort et les contraintes mécaniques qui viennent percuter ce thème et l’affaiblir.
C’est d’autant plus le sentiment que l’on a que les rôles donnent l’impression d’être très figés. Ainsi, la table des lois est une excellente idée mais elle est en grande partie stéréotypée ce qui ne donne pas de possibilité d’entre-deux. En tant que capitaliste, je dois avoir le moins de taxes possibles sinon, je perds des points. Donc, je joue dans le but de baisser les taxes et rien ne peut m’y faire déroger. Je n’ai pas de terrain d’entente possible avec les prolétaires et pas d’interprétation du rôle autre que ce que le jeu m’impose.
De plus, et c’est faire preuve certainement d’une trop grande exigence, mais la simulation/le modèle atteint des limites certaines. On est, par exemple, arrivé à une situation économiquement absurde dans lequel les taxes étaient faibles et les ressources fournies par l’Etat gratuites. Personne n’incarnait l’Etat pour éviter une telle situation, d’accord, mais rien à trois ne l’empêchait non plus. On s’est pris le FMI sur la tête, faillite étatiques. Moi, j’étais très content en tant que capitaliste. Mais, il n’en est résulté qu’une remise à jour des curseurs et en avant Guingamp. Les prolétaires n’en ont pas tant pâtit que ça et je n’en ai pas franchement bénéficié. Thématiquement bien vu, mais mécaniquement un peu anecdotique et loin de la bonne vieille cure d’austérité néo libérale espérée.
Le jeu fait une promesse qu’il ne tient pas. Le thème est super bien intégré, pour un euro. Ce n’est pas un John Company dans lequel on vit une histoire de folie en oubliant la mécanique qui est d’ailleurs par moment un peu simplette. Et, c’est sûrement la force de celui-ci : un jeu qui assume son thème en lui donnant la prépondérance sur la mécanique. A Hégémonie, c’est l’inverse et c’est pour cette raison que c’est un euro : la mécanique prend le pas sur le thème alors qu’il est si présent. Le FMI intervient, on met qq curseurs à jour et pim pam poum, on continue notre petit tour d’action. Aucune injustice, aucune méchanceté. La première fois que la John company a fait faillite, on l’a senti passé. On l’a insulté le boloss qui a laissé l’Inde sans protection parce qu’il avait préféré s’acheter des actions. A JC, mon argent si précieux quand je l’octrois à une direction, je le pèse la sous-pèse. Là, je fais de la monnaie en permanence (ce qui est assez pénible au passage) pour gagner de l’argent qui me feront des PV comme dans tout euro.
Pour conclure ce qui ressemble certainement trop à un long réquisitoire à charge, j’ai malgré tout passé un excellent moment. J’ai très envie de rejouer au moins pour être le rouge et découvrir ce que les prolétaires peuvent faire. Je ne sais pas si on pourra être 4, mais incarner l’État doit être amusant aussi.
Passée la découverte, je sais pas si on refera. Si on doit faire 5h de partie, je vais probablement préférer un truc plus épique.
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1h30, 2h je dirais. Ce n’est pas très long.
Oui sortie fin d’année et de mémoire cet été en VO.
Tu l’as “fait” toi même (bien qu’il ne faut pas grand chose ?) ou tu as eu l’occasion d’y jouer à une vraie version ?
J’ai eu une période poker du coup J’ai vraiment bien envie de l’essayer même si je suis presque sûr que je n’ai pas le public pour y jouer chez moi…
Il y a de sacrés beaux posts par ici qui mériteraient de ne pas se faire noyer dans l’écume de “Hier j’ai joué à…”.
@christophej2 : ose-je te proposer de copier ton très beau retour dans le topic dédié au jeu ?
@Antoinette : la même ?
C’est un pote qui bosse chez IELLO qui nous a fait jouer.
Ce n’était pas tout à fait la version définitive pour le matos dans le sens ou certains trucs étaient bricolés.
Sur le jeu en lui même, nous étions tous amateurs de poker à la table donc on a tous beaucoup apprécié le challenge.
On a fait plusieurs parties et c’était loin d’être évident quand 2 joueurs ont des mains assez proches.
Avec plaisir, tu parles de quel jeu ? The Gang ?
Je voulais dire @flugubluk, avec son gros post sur Hegemony.
Mais ça compte pour toi aussi, genre ton retour sur Rats of Wistar pourrait être copié ici :
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Tu veux me piquer mes non-coeurs ?!
Merci pour ton long retour sur la question ! Cela fera ma lecture de la fin de la journée 
Découverte de Memoarrr
Chouette jeu de mémoire ou ici on va devoir trouver non pas deux cartes ide tiques mais deux cartes avec un lien commun.
Le gagnant gagne un trésor puis on remet les cartes cachées dans les remelanger ce qui fait qu’à chaque tour on connaît de plus en plus de cartes face cachées.
J’aime beaucoup.
Découverte de Les 5 tours
Rien d’innovant ici, on enchérir pour récupérer des cartes au centre et ériger une tour de valeur décroissante.
Bon … Voila quoi
Tranquille, tranquille hier soir. Une nouvelle partie de Ancient Knowledge , à 3 cette fois, avec une joueuse qui redécouvrait…Ma Seconde Moitié d’Orange l’emporte pour la première fois. Et puis Kingdom Builder ensuite et je me fais souffler la victoire de deux points. Comme je le disais, tranquille tranquille…
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Alors dernièrement toujours du
Next Station Tokyo avec pouvoirs et objectifs. C’est simple plus je joue à cette version plus je l’apprécie (heureusement parce que madame adore le sortir). On se fait à la carte un peu biscornue.
Pas l’idéal pour rentrer dans la gamme qui se fait très bien avec London mais ça le fait.
Codenames duo qu’on avait pas sortis depuis très longtemps. Finalement c’est bien difficile de s’en sortir dans cette version.
Après ça reste du Codenames j’en ai tellement mangé qu’il ne sort finalement pas si souvent que ça.
J’ai eu l’occasion de tester Prey Another day
Bon comment le dire… J’en ai beaucoup entendu parlé, en bien.
De mon côté deux possibilités soit je suis passé complètement à côté du truc soit on me l’a tellement survendu que je finis déçu.
En fait je ne vois pas dans quel cas je ne sors pas Love Letter à la place. Ok c’est plus court. Mais finalement c’est du bluff et trois tonnes de chance.
Les sorties doivent être bien tristes pour mettre tellement en avant ce jeu.
Je me demandais justement si prey serait mieux qye live letter
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En tout cas ça n’a pas pris sur moi. Ça reste bien sûr un avis tout ce qui est plus subjectif.
Mais 10 fois Love letter (après tout le monde dans notre groupe ne l’a pas testé)
J’ai les deux et j’apprécie les deux différemment.
Prey se jouera plus facilement avec des novices car pas de texte à lire et effectivement parties plus courtes