Ce weekend j’ai ramené Sur les traces de Darwin à la maison dans le but d’y faire jouer mon mini-ludi de 8 ans. Depuis cet été et la découverte de Lotta Rome il délaisse les jeux enfants pour trouver du plaisir à découvrir des familiaux (Triqueta, Biomos, Carcassonne, le Bal des chaudrons etc…).
Je me dis donc que Darwin peut être un jeu à son goût, même s’il n’est pas au mien.
Hééé ben ça a été la bonne surprise dans cette configuration, moi et mini-ludi de 6 ans face à mini-ludi de 8ans. Je pense que c’est principalement le moment partagé ensemble qui a forcé cette impression, parce que m’imaginer y rejouer avec un adulte joueur je sens que je vais à nouveau m’y ennuyer.
Point positif, j’ai envie d’y rejouer dans cette configuration.
Ludi-moitié me propose une partie d’Everdell !
Quoi ? Comment ? Que se passe-t-il ?
En ce moment il est davantage petits jeux que de se poser autour d’une table pour presque 1 heure donc je saute sur l’occasion avant qu’il ne se ravise sur Everdell (qu’il n’a jamais gagné en 8 parties en duo ensemble).
Everdell reste pour moi une référence d’univers dans lequel on plonge et encore une fois ça n’a pas loupé, ma petite épicerie construite mon épicier arrivera dans le village, l’indispensable ferme que l’on cherche à optimiser avec un couple de souris etc…
Ma main est plutôt chanceuse et je profite d’une bonne suite d’actions pour placer mes cartes productions qui me permettent de ne pas trop me soucier des ressources pour la partie. Je m’amuse à poser quelques cartes par-ci par-là en optimisant les actions. Habituellement ludi-moitié est dans les choux avec ce style de jeux d’optimisation saupoudré de combos donc je ne me soucie pas tellement de son village, bien que je vois qu’il ne galère pas lui non plus.
J’aurais dû me méfier ! Habituellement il peut se plaindre, presque gémir comme une bête blessée. Là il ne disait rien, jouait vite… On compte et il l’emporte le bougre !