Mine de rien, 3ième partie en quelques jours de Bitoku ce soir, un jeu qui a attendu presque 2 ans avant d’être enfin joué par chez moi. Dans une configuration 3 joueurs sans avoir à expliquer les règles, cela nous a pris 2 heures.
Comme dans la première partie, je vais me lancer sur les bâtiments, mais je vais me faire contrer, opter pour de mauvais choix sur certains coups, me faire avoir comme un bleu par deux fois sur des placements de dés, manquer d’un peu de réussite sur les cartes Bitoku et tout cela cumuler, cela vous donne un joueur qui ne franchira pas la barre des 100 points (je reste scotché à 98), alors que le vainqueur est à 143 points, la seconde place à 120 et quelques.
En tout cas, nous avons passé de nouveau un bon moment sur un jeu qui a tout de l’usine à gaz au prime abord, mais les actions sont simples ( je joue un dé ou une carte ?). Après, ce sont les voies possibles qui sont nombreuses, mais en essayer de nouvelles, combiner certains éléments avec d’autres, c’est assez stimulant…je compte bien tenter autre chose la prochaine fois, j’ai d’ailleurs déjà ma petite idée…
J’aime décidemment beaucoup ce jeu et il me tarde de repartir dans les fonds marins afin de découvrir les nouveaux défis de la troisième mission. Je vais essayer aussi d’y revenir en solo, même si j’ai trouvé ma première expérience solo pas facile du tout avec un bel échec à la clef. Le matériel est beau, sauf la “vague” en carton, le jeton premier joueur qui fait rigoler à chaque fois…je crois que je vais le remplacer par une petite figurine d’hippocampe.
En tout cas en jeu de construction de moteur familial je le trouve très bien et plus interactif que la plupart des jeux auxquels j’ai pu jouer sur ce créneau.
En tout cas ce jeu est un sacré modèle de mécanique simple et efficace, très accessible tout en étant intéressant ! Vu que j’ai la dernière version, faudra que j’essaye les 2 extensions fournies à l’occasion.
