Hey Patrie(c) ! Détraque pas !
@enpassant () notamment sur cette étude du Sénat relative à la qualité de la loi, en @sedisant qu’ayant déjà vu un extrait législatif précisant un truc comme quoi les lois devaient être rentables, je me permets ici de vous faire part en après-dernière d’un exercice comptable et budgétaire relativement détaillé ce afin que vous puissiez trictracquer à votre manière…
Voici. Juste un truc, = prière de considérer que cela est en cours, fait partie du jeu mais que ce n’est pas assez ambitieux ni chiffré ni tabularisé, svp.
Économie de la dignité
Qu’est-ce qui est fondamentalement nécessaire à l’être humain avant qu’il ne puisse, s’il le souhaite, devenir un être spirituel ? Pour parvenir à l’ascèse, ne doit-il pas avoir satisfait à un certain nombre de conditions matérielles ? Se loger, se nourrir et se désaltérer, se soigner, se déplacer, se cultiver et finalement s’entretenir, en représenteraient six conditions sine qua non.
Aussi avant d’entrer dans cette autre dimension faut-il démontrer des mécanismes économiques qui permettraient de financer l’accès à une dignité minimum et garantie pour tous.
Tout d’abord si certaines associations françaises travaillent déjà sur ces sujets indépendamment les uns des autres le renforcement de leurs moyens s’avère nécessaire.
Ensuite, pour déterminer les leviers économiques et une politique budgétaire équilibrée qui favoriseraient la satisfaction des six conditions de dignité, il convient de les subdiviser dans leur catégorie respective, de déterminer les acteurs qui les garantiraient et leurs moyens, estimer les besoins des bénéficiaires et les actions à mettre en œuvre.
Pour se nourrir et se désaltérer
Si l’accès à l’eau potable doit être garanti par l’État et inconditionnel pour tout individu sur le territoire, il doit aussi être rendu exigible. Par exemple, en Inde, tous les commerces de proximité mettent à la disposition du public de l’eau potable. C’est un principe de solidarité. Concrètement, si une personne a soif, elle a le droit de demander de l’eau à toute autre (entreprise ou association) en mesure de la lui en procurer dans la limite de ses besoins et de l’accès possible via les réseaux existants.
Pour la nourriture, une carte alimentaire nominative serait mise à la disposition gratuite de toute personne pouvant justifier d’un niveau de revenu pour son foyer inférieur à un certain seuil. De plus un droit d’accès marginal individuel plafonné à la nourriture serait garanti aux personnes qui le demandent sur présentation d’un titre d’identité. La présentation de ce titre et son enregistrement par les distributeurs alimentaires ou restaurateurs privés permettrait le remboursement par les collectivités locales de l’avance des denrées ou plats au bénéficiaire. Le recoupement des informations d’identités permettrait alors que des services d’assistance sociale se dédient aux personnes bénéficiaires en cas de récurrences.
Le financement des cartes alimentaires serait permis notamment par une répartition des coûts suite à une taxe sur les produits alimentaires catégorisés comme non consommés et/ou périmés chez les distributeurs alimentaires. Par conséquent, des postes et des aménagements spécifiques seraient ainsi créés pour contrôler les pertes et estimer le montant des taxes. Pour éviter ces taxes, les distributeurs pourraient réaliser des campagnes d’informations régulières destinées aux consommateurs leur indiquant des baisses de prix significatives sur des produits risquant d’être invendus.
Pour se loger
- Organiser par un travail d’enquête (État – communes – associations) un recensement national des biens vacants, déterminer les causes de leur inoccupation, rechercher les propriétaires éventuels et obtenir leur adhésion pour le réaménagement et la location de ces biens.
- L’effort financier pour les constructions, les rénovations et les locations parviendrait d’une certaine fusion de l’indice du coût de la construction (ICC) et de celui des prix à la consommation (IPC) en se référant à la moyenne des besoins hors tabac, alcool et produits de luxe de l’ensemble de la population française (logement, nourriture, transport, soins, éducation et hygiène). Un nouvel indice de satisfaction de la dignité (ISD) serait alors créé au plan économique permettant une redistribution plus réelle et solidaire de la richesse nationale. Cette participation serait collective en fonction de paliers dégressifs relatifs à l’imposition. Les bénéfices réalisés par cette modification budgétaire permettraient des investissements dans de nouveaux projets de construction. Les premiers bénéficiaires de ces projets seraient les personnes SDF et mal-logées à revenus faibles ou inexistants qui pourraient en fonction de leur capacité y participer directement.
Pour se soigner
Les systèmes actuels mutualiste et de remboursement de soins serait conservé. Toutefois certains aménagements y seraient apportés tels que la création d’une plateforme territoriale anonyme de mise en relation patients-traitants où chaque malade d’une pathologie diagnostiquée puisse à termes consulter un spécialiste de celle-ci. Un algorithme régulerait ce site par la mise en relation de l’offre et de la demande de soins fixant un coût fluctuant de la consultation et des traitements. Cette plateforme ferait également office de caisse de souscription et de solidarité pour les personnes à revenus modestes.
Pour se déplacer
Actuellement certaines personnes ne peuvent prendre les transports en commun parce qu’ils sont trop onéreux pour elles. Si tel est le cas, alors celles-ci ne peuvent se rendre là où elles ont besoin d’aller pour des raisons qui leurs sont propres. Elles peuvent aussi être tentées de frauder. Pour ces raisons, ces personnes en question auraient possibilité de solliciter les agents des transports public afin qu’ils leur fournissent des titres de transport sur le territoire intérieur sous condition de fournir un titre d’identité valide. En contrepartie celles-ci s’engageraient à se rendre à la mairie de leur domicile ou de leur centre d’accueil pour envisager l’échéancier de remboursement du titre accordé ou un travail d’intérêt général. L’amende ne serait donc pas systématique. Un fichier de transport serait mis à jour pour éviter les resquilleurs.
Pour se cultiver
Si l’éducation obligatoire, gratuite et laïque doit être conservée, il n’en demeure pas moins que l’approche de ce concept doit être consolidé. En particulier l’accent serait mis sur les principes qui forgent la démocratie, le vivre ensemble et la cohésion sociale c’est-à-dire : la liberté, l’égalité, la fraternité, la solidarité, la laïcité et principalement la dignité.
Ainsi les définitions constitutionnelles de ces termes serviraient de socles aux apprentissages. A partir de celles-ci se déclineraient de multiples contenus.
Une charte d’adhésion aux principes énoncés serait soumise à chaque élève à la fin de la scolarité obligatoire (16 ans) et renouvelée pour l’entrée en cycle secondaire. Les élèves pourraient refuser d’adhérer à cette charte. En cas de refus catégorique, ceux-ci nécessiteraient d’être orientés vers un autre pays, plus en accord avec leurs valeurs. Si le refus est partiel, il sera laissé à l’élève un délai de trois mois pour le justifier. Dans les deux cas des commissions seraient organisées pour tenir compte des besoins de l’élève et proposer des améliorations aux principes constitutionnelles le cas échéant.
D’un autre côté, corréler les projets professionnels avec les études tout au long de la vie doit être possible pour tous. La personne qui souhaite continuer ses études doit pouvoir le faire dans des conditions de dignité minimale. Dans ce cas, elle aurait accès aux conditions tierces citées ci-dessus et la possibilité d’effectuer des travaux d’intérêts généraux pour financer ses études. Toutefois, il est attendu de chaque étudiant des travaux de mémoires ou de thèses pour justifier ses études.
Pour s’entretenir
Chaque individu, quel qu’il soit, doit pouvoir se voir offrir l’accès à des conditions d’hygiène minimales, c’est-à-dire pouvoir se laver et se vêtir convenablement. En ce sens, chaque mairie doit mettre à sa disposition des douches, des sanitaires et des produits d’hygiène gratuitement ainsi qu’une banque vestimentaire. Ceux qui peuvent financer l’entretien des locaux sont libres de le faire ou non.
Le tout c’est de se dire que ben bon,
“rien ne peut se faire sans toi, rien ne peut se faire sans vous”
Abd al Malik
Jouer à pleurer
Bon dimanche,
@sixup @septdown
SVLP juste une réflexion En fait, quitte à faire partie de l’O.T.A.N autant que ça s’écrive en français dans le texte du genre A.U.T.A.N.T = Alliance Universelle du Traité d’Armistice Nouveau sur Terre ou Alliance Universelle du Traité d’Armistice Nommé Terre ou (et là, suspens ! J’attends le tour de toutes les TTciennes et de tous les TTciens) Oh et puis flûte ! Attendez je reviens…
Parce que le mot OTAN, ça veut rien dire ! C’est de la novlangue ! qu’AUTANT c’est (et vous pourrez pas me contredire) un adverbe ! Que bien qu’il emporte au vent, il apporte d’abord au verbe. Alors Ô nu Antonio (Guterres) ! Vas-y, dis-leur qu’Etats Unis d’Amérique aussi bien que Russie, Israël, Palestine, …, sont tout petits petits petits… Et que d’après le Prologue de Jean-Baptiste, l’adverbe s’est fait esprit !
Et que se souciant d’Humanité, il est d’abord tombé en France !
Dans 5 minutes, cette missive s’altercréera… Et je vous jure que je vous promets que ça c’est une pure coïncidence !!!
Mais, redescendu dans le ciel, j’me dis la partie elle est pas encore jouée…
Bon, sérieusement GRATITUDE