…mais c’est au milieu qu’aura lieu l’issue fatale de la Bataille, une grosse attaque d’infanterie allié vient à bout de mes allemands qui gardaient un village avancé, victoire des alliés 5 à 4 médailles !
(J’avais une chance sur 3 de l’emporter au tour précédent avec une tentative de terminer un blindé allié à coup d’infanterie allemande mais le dé ne m’aimais pas… )
Rohhhh tu as raison…
La goodification est magnifique et ça fait plaisir de la voir assumée à travers le postage de photos
Seul bémol … ça rentre pas dans la boite
Toujours très étonnant ce jeu et quel plaisir de rejouer à cette véritable pépite trop rarement citée. Il repose sur des mécaniques de majorité, de coups bas et de corruption, où l’on manipule fonctionnaires et argent sale avec une délectable immoralité. Les retournements de situation y sont constants, pas de “Castillo”, comme dans “El Grande”, mais un enchaînement de manigances, de rackets direct/indirect et de trahisons à tout-va pour réunir les ressources nécessaires pour faire les « sales boulots ». Une expérience aussi tendue que jubilatoire, qui nous plonge pleinement dans l’univers du Parrain, un jeu et une œuvre d’une efficacité redoutable…
Bleu premier à 53 points, Rouge second à 34 points, Violet troisième à 19 points (racketté à mort), et 18 points le vert.
un pendu un peu revisité, rien d’affriolant en effet.
Par contre j’ai vraiment apprécié Osmotis
… mis à part le texte à la fin du livret un peu trop enjôleur sur la psychanalyse
Comme disait Nabokov : “Laissons les crédules et les vulgaires continuer à croire que toutes les infortunes mentales peuvent être guéries par une application quotidienne de vieux mythes grecs sur les parties intimes de leur individu.”